Luce Basseterre

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Luce Basseterre
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (66 ans)
ToulonVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Prononciation

Luce Basseterre, née en à Toulon, est une romancière, nouvelliste et autrice de science-fiction française.

Biographie[modifier | modifier le code]

Née à Toulon, Luce Basseterre a passé une partie de son enfance au Québec où elle a découvert la science-fiction au travers de la série Star Trek. Ce n’est qu’en 2009 qu’elle commence à écrire d’abord des fanfictions, puis des nouvelles de science-fiction ou fantastique[1]. Elle fait la connaissance de Jean-Pierre Fontana et d’un petit groupe d’amis appelés à fonder l’Association Gandahar en 2013. En 2015, elle revêt la casquette de rédactrice en chef délégué le temps de concevoir le troisième numéro de la revue Gandahar, opus consacré aux 24 heures de la nouvelles.


Luce Basseterre est un pseudonyme choisi en hommage à son grand-père paternel, la majorité de ses écrits appartiennent au genre de la science-fiction, et plus particulièrement au space opera[1].

Dans le Le Chant des Fenjicks, un préquel sur les cybersquales, elle expérimente l'utilisation du langage épicène pour aborder la complexité d'une société complexe organisée selon le genre[2].

Œuvres[modifier | modifier le code]

Romans[modifier | modifier le code]

Nouvelles[modifier | modifier le code]

  • Visite Fantôme, Les Éditions Mille Cent Quinze, 2018, 32 pages (ISBN 979-10-97100-05-6)
  • Bob, textile futé, Les Éditions Mille Cent Quinze, 2018, 32 pages (ISBN 979-10-97100-20-9)
  • « La maison fantôme », Bragelonne, coll. Brage fantastique, 2016[6].
  • « Bienvenue à Sisko », Présences d'esprits n° 86, 2016.
  • « Les plumes de l'imaginaire », Etherval n° 7, 2015.
  • « Ceux qui sont restés » dans Dimension New York, Rivière Blanche, 2015[7].
  • « Il suffit de passer le pont », Gandahar n° 3, 2015.
  • « Bob » dans Robots, La Madolière, 2014.
  • « Le synchromachintruc », Galaxie n° 32, 2014.
  • « Entraves et découvertes », L'armoire aux épices, 2014.
  • « Le chant des baleines » dans Créatures, La Madolière, 2013.

Transmédia[modifier | modifier le code]

Luce Basseterre appartient au collectif « Aventuriers intérimaires »[8],[9]regroupant une douzaine d'auteurs dont Anthony Boulanger, Eva Simonin, Jean Vigne, Lilie Bagage, Clémence Godefroy, Laurent Pendarias et Lucile Dumont qui développe depuis 2013 un projet transmédia comportant des romans et des jeux vidéo. Dans ce cadre elle co-scénarise le jeu vidéo « Aventurière intérimaire »[10] en traitant les thématiques LGBT+ et écrit deux nouvelles pour l'univers étendu[11]

  • « L'affaire Henri Verne» ;
  • « Je n'arrive pas à le croire ».

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Luce Basseterre (auteur de Les enfants du passé) », sur Babelio (consulté le )
  2. « Dossier - 5 nouvelles voix de la science-fiction française à découvrir et à suivre attentivement ! », sur syfantasy.fr, (consulté le ).
  3. Le Chant des Fenjicks, (ISBN 978-2-253-10334-9, lire en ligne)
  4. « La débusqueuse de monde », sur Le Peuple de Mü (consulté le ).
  5. « Les Enfants du passé », sur Editions Voy'el (consulté le ).
  6. « La maison fantôme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Les libraires.fr (consulté le ).
  7. « Dimension New York »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Edition Rivière Blanche (consulté le ).
  8. Luce Basseterre, « Présentation », sur lucebasseterre.fr (consulté le ).
  9. « Aventuriers intérimaires le concept » Accès libre, sur aventuriers-interimaires.fr (consulté le ).
  10. « Aventurière Intérimaire le jeu », sur laurent-pendarias.itch.io (consulté le ).
  11. Luce Basseterre, « Nouvelle "Je n,'arrive pas à la croire" », sur wattpad.com (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]