Fors (Deux-Sèvres)

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Fors
Fors (Deux-Sèvres)
La façade occidentale de l'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Niort
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Niortais
Maire
Mandat
M. Alain Canteau
2020-2026
Code postal 79230
Code commune 79125
Démographie
Population
municipale
1 844 hab. (2021 en augmentation de 3,36 % par rapport à 2015)
Densité 98 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 14′ 14″ nord, 0° 24′ 29″ ouest
Altitude Min. 25 m
Max. 66 m
Superficie 18,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Niort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Frontenay-Rohan-Rohan
Législatives Première circonscription
Localisation
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Fors
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Fors
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Fors

Fors est une commune du centre-ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont les Forsitains.

Géographie[modifier | modifier le code]

La gare de Fors.

Fors est située à 12 km au sud de Niort, la préfecture des Deux-Sèvres.

L'habitat y est principalement concentré autour de deux pôles : le village de Fors proprement dit, et le hameau des Sanguinières au nord-ouest. Le reste du territoire communal est essentiellement composé de parcelles agricoles.

L'autoroute A10 traverse l'ouest de la commune sans la desservir ; les routes qui desservent Fors relèvent des voiries départementale et communale. Une halte SNCF sur la ligne de Chartres à Bordeaux-Saint-Jean assure une desserte ferroviaire.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 854 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Niort à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 846,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Fors est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Niort, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,4 %), prairies (10 %), zones urbanisées (8,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Fors est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999 et 2010[16],[14].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Fors.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[17]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].

Économie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Le nom du village est le même depuis 1243, les origines seraient gallo-romaines (ex-foris : « en dehors » de la cité). À cette époque, il y a 11 métairies qui forment des petits quartiers (la Nouzière, la Chamerie). Il y a une forteresse depuis 1099.

Il y a principalement trois familles qui ont régné sur Fors :

  • Les VIVONNE : jusqu’en 1494.
  • Les POUSSARD : 1494-1663.

Anne Poussard était la première maîtresse de François Ier. Il édifia un château magnifique pour elle, en lieu et place de la forteresse. Taille du château : 30 m de long sur 30 m de large, une façade de 10 m de haut. (Environ la moitié d’un petit terrain de foot). À sa mort, Jean son fils sera seigneur de Fors. Charles, le petit-fils de François Ier, sera vice-amiral des côtes de Normandie (il meurt à 80 ans en 1584).

Entre 1663 et 1686, il y a une procédure judiciaire pour connaître le droit du sang sur le château.

  • Les MABOUL : (1686-1776)

Les premiers de la famille a régner sur Fors sont Anne Catheu (morte à 91 ans) et Louis Maboul 2e du nom. Jacques Maboul, le frère de Louis, est nommé évêque d’Arles en 1708, et fit l’oraison de Louis XIV en 1715. Louis François Maboul, fils de Anne Catheu sera maître des requêtes en 1728 à Versailles, à la cour du roi. À cette époque, il y a 37 métairies à Fors. Donc, en 1686, Louis 2e du nom hérite du château, il y fera des travaux jusqu’en 1716. Il conserve l’architecture principale et ajoute des toits en ardoise (en mansardes), une grande avenue de 1 km de long, 2 cours. Il achète une trentaine de villas autour du château qu’il fait détruire pour faire des avenues de marronniers. Le périmètre de château allait jusqu’à l’actuelle église. Louis meurt en 1721.

Une ruine du château de Fors.

En 1725, Anne Marie Louise Maboul, fille de Louis, épouse Jean Emmanuel de Crussol. Après la mort du dernier Crussol, au début du XVIIIe siècle, le château est entre deux lignées. Il revient à Philippe Xavier de la Rochebrochard. En 1815, il y a un retour des Bourbons à la chute de Napoléon Ier. Par peur de devoir rendre le château, il préfère le détruire. Les ruines seront achetées par M. Arnault, qui les cédera à M. Robelin en 1884. Celui-ci se servira des ruines pour construire sa maison (en face de l’actuelle mairie). D’ailleurs, plusieurs maisons ont été faites avec les pierres du château à cet endroit. Le reste sera pillé (ex de la maison de Prahecq avec la salamandre du château).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie de Fors.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
25/05/2020 En cours Alain Canteau    
29/03/2014 25/05/2020 Mme Dominique Pougnard DVG Conseillère départementale du canton de Frontenay-Rohan-Rohan (depuis 2015)
15/03/2008 29/03/2014 Alain Fort[20]    
17/03/2001 15/03/2008 Michel Brault    
17/06/1995 10/03/2001 Rémi Chauveau    
17/03/1989 16/06/1995 Rémi Chauveau    
20/03/1983 16/03/1989 Rémi Chauveau    
25/03/1977 19/03/1983 Rémi Chauveau    
26/03/1971 24/03/1977 Marcel Poirault    
21/03/1965 25/03/1971 Marcel Serpault    
21/03/1959 20/03/1965 Marcel Serpault    
08/05/1953 20/03/1959 Marcel Serpault    
03/06/1949 07/05/1953 Marcel Serpault    
31/10/1947 02/06/1949 Abel Babin    
20/05/1945 30/10/1947 Ernest Brault    
26/12/1937 19/05/1945 Ernest Brault    
19/05/1929 25/12/1937 Louis Girard    
17/05/1925 18/05/1929 Louis Girard    
10/12/1919 16/05/1925 Georges Lefèvre v    
1re Guerre 1re Guerre Guilloteau Brault    
1re Guerre 1re Guerre Louis Brault    
1re Guerre 1re Guerre Ernest Albert    
17/05/1908 1re Guerre Ernest Albert    
11/11/1904 16/05/1908 René Girard Papineau    
08/05/1904 11/11/1904 François Gautier    
17/05/1896 07/05/1904 Gautier Moreau    
13/02/1894 16/05/1896 Gautier Moreau    
07/03/1874   Louis Bordier   )
07/05/1871 07/03/1874 Louis Bordier    
20/09/1870 07/05/1871 Brault (Mangou)    
10/09/1865 xx/09/1870 Louis Bordier    
12/08/1860 13/08/1865 Louis Bordier    
24/06/1855 11/08/1860 Louis Bordier    
20/07/1852 23/06/1854 Louis Bordier    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Fors, cela correspond à 2008, 2013, 2018[21], etc. Les autres dates de « recensements » (2006, 2009, etc.) sont des estimations légales.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
586565639756806743740810809
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
840817807792825849712690761
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
716746755755748718709716749
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
7247318191 2961 4061 3471 5771 6431 774
2018 2021 - - - - - - -
1 8021 844-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le champ de foire :il a toujours existé depuis Saint Louis au XIIIe siècle[réf. nécessaire]. Il donnait lieu à au moins deux foires par an jusqu’au début du XXe siècle.
  • La mairie : en 1855, il y a l’achat d’une maison qui servira d’école et de mairie (en face du bureau de tabac). En 1923, la mairie achète la maison en face de chez Robelin, qui sera l’actuelle mairie et qui servira toujours d’école.
  • Ancien bar, maison avec sol en terre, l’ancienne poste et le presbytère.
  • Le presbytère : construit en 1860, il servira de logement et de bureau administratif au curé.
  • Fromagerie HETEL : Créé en 1947 à la place de l’ancienne distillerie par M. Lestel et Mme Spangenberg.
  • L’église Notre-Dame date du XIIe siècle et dépendait de l’abbé de Bourges. Elle fut détruite pendant la guerre des religions (fin du XVIe siècle) puis restaurée. Les deux travées de la nef ont été inscrit au titre des monuments historique en 1989[24].
  • La cloche : Cette vieille cloche avait été fondue le 23 mai 1881 au Mans, son poids était de 206 kilos. Les parrains et marraines, dont les noms se retrouvent gravés sur le métal, sont en général les donateurs des cloches. Sur cette cloche, le fondeur BOLLEE avait inscrit dans le métal : J’ai été bénite en 1881, M. Morisset étant alors curé de FORS. ADELINE est mon nom, j’ai eu pour parrain M. Charles ARNAUD propriétaire à la Chauvinière et ma marraine a été Adeline ARNAUD née BRAULT.
    Cette cloche sera refondue en 2011, avec la volonté de conserver l’histoire du patrimoine et donc de se rapprocher au plus près de la copie de la cloche de 1881. Le tout pour un montant de 11 299,12 € TTC. Les mêmes inscriptions y figurent avec simplement l'ajout de : Refondue en l’an 2011 par Bollée fondeur à ORLEANS. La bénédiction de cette nouvelle cloche se fera en l’église Notre Dame de Fors le 23 octobre 2011.
  • Les fresques à l’intérieur de l’église seront découvertes en 1923.
  • L’école : Les premières traces d’école date de la fin du XVIIIe siècle, où elle était faite par le concierge régisseur du château, Geoffroy dit le bBoîteux-Grenotton.
  • Une statue de la Vierge à l'Enfant, au bord de la Route de Prahecq.
  • Plusieurs puits.
  • Quelques ruines du château, encore visibles.

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

La stèle à Jean-Louis Fourdan et Grégory Jaillet.
  • Joseph-Charles Lefèbvre, Cardinal-archevêque de Bourges (né à Tourcoing en 1892 et décédé à Bourges en 1973), il y vécut ses années de jeunesse et d'adolescence. Sa famille s'était installée à Fors pour y exploiter une distillerie[réf. nécessaire].
  • Catherine Doribeau, née dans la commune de Fors le 11 décembre 1650, fille de Michel Doribeau et Anthoinette Olivier[25], est l'une des « Filles du Roy » envoyées en Nouvelle-France au XVIIe siècle pour s'y marier et y fonder une famille. Embarquée le 15 mai 1669 sur le navire Le-Saint-Jean-Baptiste au port de la Rochelle, elle débarque dans la ville de Québec le 30 juin 1669. Elle épouse Jacques Genest (Genais), soldat de Carignan, sur l'Ile-d'Orléans avec qui elle aura huit enfants[26]. Elle décède le 10 décembre 1706 à Saint-Jean-de-l'Île-d'Orléans, Canada, à l'âge de 55 ans.
  • Jean-Louis Fourdan, enseigne de vaisseau de première classe de la Marine Nationale, et son élève Grégory Jaillet, tués le dans la collision et l'écrasement de leurs avions Epsilon près de Fors, alors qu'ils étaient en session d'entraînement[27]. Une stèle commémorative a été posée près du lieu de leur écrasement.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Fors Blason
D'azur au chevron d'or accompagné de trois besants, celui de la pointe soutenu d'un croissant, le tout du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Fors et Niort », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Niort » (commune de Niort) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Niort » (commune de Niort) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Niort », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Fors », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  20. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
  21. « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le ).
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. « Eglise Notre-Dame », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  25. Archives départementales des Deux-Sèvres - Registres paroissiaux et d'état civil - FORS - Baptêmes, Mariages, Sépultures : 1624-1663 (vue 10)
  26. Landry, Les Filles du Roi au XVIIe siècle, édition 2013 p.98
  27. « Mémorial des officiers de marine », sur memorial-aen.fr (consulté le ).