Discussion:Joseph d'Arimathie

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Authenticité de Joseph d'Arimathie[modifier le code]

Qui prétend qu'il y a un "consensus" sur l'authenticité du personnage de Joseph d'Arimathie ? Il n'existe aucun élément probant prouvant qu'il ait existé. La mention dans les 4 Évangiles ne constitue pas une preuve et d'autant moins dans le contexte de la double et triple traditions. Il y a même des voix qui s'élèvent pour affirmer que c'est la Grande Église qui créa ce personnage pour donner une fin un peu plus honorable à l'épisode du Golgotha puisque rien ne prouve que Jésus ait eu des funérailles. Il serait plus prudent d'écrire que dans un sens ou dans l'autre, tout cela ne repose que sur des hypothèses.

On pourrait juste écrire que sauf preuve du contraire, la majorité des spécialistes acceptent par défaut et disons par convention l'historicité de Joseph d'Arimathie.--luxorion

Remarques d'autant plus exactes que les sources fiables citées dans l'article insistent bien sur l'aspect apologétique du personnage et sur le caractère hypothétique de son historicité. J'ai donc modifié l'intro et un passage en conséquence. Au passage, j'ai supprimé un gros copié-collé (plus de 4000 octets) qui n'apporte strictement rien (source primaire brute et sans portée historique) et qui constituait p-e un copyvio, en plus. Dans la foulée, j'ai élagué qq TI-pov récurrents, dont les inénarrables "évangile attribué à". Un dernier point : SVP, inscrivez vos remarques en bas de cette page et surtout pas en haut comme ici : c'est notre type de présentation. Merci encore pour vos commentaires, cdt, Manacore (discuter) 6 octobre 2017 à 15:28 (CEST)[répondre]

ok[modifier le code]

D'après la tradition de Provence, rapporté dans des ouvrages tels que La vie de Marie-Madeleine de Rabanus Maurus : Après le martyre de saint Étienne (entre 33 et 36) et l'exécution de l'apôtre Jacques par Hérode en 42, la persécution fut si violente à Jérusalem que tous les fidèles partirent, à l’exception des apôtres.
En 42, les infidèles se saisirent de Marie de Béthanie ("Marie-Madeleine"), de son frère Lazare le ressuscité, de sa soeur Marthe et les embarquèrent au port de Joppé (Jaffa) sur un bateau sans voile ni rame, comme dit la tradition provençale, ou selon la coutune de l'époque, sur un navire de lignes régulières, en donnant aux marins la mission de les déposer sur quelque lointain rivage d'où ils ne puissent revenir.

Plusieurs disciples vinrent partager leur sort : les deux "soeurs" de la Vierge Marie (en araméen "aha" signifiait à la fois frère, demi-frère et cousin) : Marie Jacobé (mère de Jacques le Mineur), Marie Salomé, mère des apôtres Jacques et Jean, Maximin, Sidoine l'aveugle, et Joseph d’Arimathée qui, selon la légende, avait emporté le vase avec lequel le Christ célébra sa dernière Cène et dans lequel il recueillit son sang sur le calvaire : le calice du Saint Graal
La barque vint aborder dans le delta du Rhône, sur une plage que l’on appelle aujourd’hui les Saintes-Maries-de-la-Mer. Selon certaines sources Sarah-la-Kali,

Lazare allait prêcher à Marseille, Maximin et Sidoine à Aix, Marie Madeleine se retirait à la Sainte Baume, à l'Est de Marseille.


http://perso.wanadoo.fr/cultures.tsiganes/st_maries/deux_maries_p1.htm Cléone venait à Toulon

Trophime (futur évêque d'Arles)

Marie Jacobé, Marie Salomé, Sarah leur servante, Marie Madeleine, Marthe, Marcelle, Lazare le ressuscité, Sidoine, Maximin, Ruf, Cléone et Joseph d'Arimathie étaient jetés dans une barque dépourvue de gouvernail. Après avoir dérivé à travers la Méditerrannée, ils abordaient aux embouchures du Rhône.

Robert de Boron a écrit en vers une légende du Graal mettant en scène Joseph d'Arimathée (en partie inspirée de l'évangile selon Nicodème), et qui a inspiré d'autres légendes (le développement de l'écriture en prose a permis le développement de l'écriture de ces légendes).

Selon certaines de ces légendes, un juif (ou un homme de Ponce Pilate) aurait dérobé le Saint Calice au Cénacle puis l'aurait remis à Ponce Pilate. Certaines légendes ajoutent même que Pilate y aurait puisé l'eau avec laquelle il s'est lavé les mains.

Dans toutes ces légendes, Joseph d'Arimathée recueille dans le Saint Calice (que Ponce Pilate lui a remis ou qu'il est allé chercher au Cénacle), quelques gouttes du sang émanant de la plaie faite aux côtes de Jésus par un coup de lance (les évangiles parlent bien de cette plaie ; l'évangile de Nicodème révèle le nom du soldat qui infligea le coup de lance : Longin. La lance est appelée la Sainte Lance). Le fait que Joseph d'Arimathée ai recueilli le sang du Christ est uniquement décrit dans les légendes.

Joseph d'Arimathée est ensuite capturé et mis au cachot (généralement, le soir même, Vendredi Saint, vers la dixième heure, l'évangile selon Nicodème révèle en effet cet épisode; cela dit certaines versions de la légende situent son arrestation trois jours après, lorsqu'on s'apercevra que Jésus a disparu du tombeau).

Il est raconté que Jésus est apparu à Joseph d'Arimathée (le Vendredi soir à minuit précisent certaines légendes).

Dans certaines légendes, c'est seulement à ce moment là que Joseph d'Arimathée reçoit le Saint Calice (des mains de Jésus; dans d'autres il le récupère à nouveau et dans d'autres versions, il l'a seulement reçu de Ponce Pilate, ou est allé le chercher au Cénacle).

Tandis que dans l'évangile selon Nicodème, Jésus transporte Joseph d'Arimathée chez lui en lui demandant de ne pas bouger de là pendant 40 jours, dans la légende il reste enfermé dans son cachot, pendant 30 à 40 ans où, dans certaines légendes, une colombe vient déposer tous les jours une galette dans la coupe.

La légende vient généralement se rattacher à une autre légende, celle de la maladie de l'empereur Vespasien.

Un pélerin (dans certaines légendes, il s'agit de l'ange Gabriel déguisé ainsi), raconte à Vespasien qu’il a vu en Judée un prophète ayant accompli de nombreux miracles. Bien que ce prophète, Jésus, soit mort, Vespasien peut être guéri s'’il touche quelque chose lui ayant appartenu de son vivant. Il envoie ses hommes à la recherche d'un tel objet à Jérusalem. Sainte Véronique l'apprend (ou est prévenue par Gabriel) et se rend chez Vespasien pour lui apporter son voile.

Pour la suite, on a deux types de versions, suivant les légendes :

Il transmet le Saint Calice à son beau-frère (Hébron ou Bron ?), époux de sa soeur (Enygeus ?). (Alain ?) qui le transporte aux Vaux d'Avaron, un endroit inconnu que certains interprètent comme étant l'île d'Avalon. Dans Grand Saint Graal

"Saintes Maries" : lors de la persécution Saint Lazare et ses soeurs, Sainte Marthe et Marie ("Marie-Madeleine"), Saint Maximin, Marie Jacobé et Marie Salomé.


Dites-nous, comment l'apele-on (le veissel) Quant on le numme par son non?» Qui à droit le vourra nommer, Par droit Graal l'apelera; Car nus le Graal ne verra

Hebron, le riche Pescheeur (le roi pêcheur ???)

Uns Juis le veissel trouva chiés Symon, se l' prist et garda, car Jhesus fu d'ilec menez et devant Pilate livrez.

A son veissel et si l'a pris, Et lau li sans couloit l'a mis, Qu'avis li fu que mieuz seroient Les goutes ki dedenz cherroient

Qu'ès vaus d'Avaron s'en ira Et en ce païs demourra

Enygeus par non l'apeloit; Et sen serourge par droit non, Quant vouloit, apeloit Hebron

Sainte Sara[modifier le code]

Quant à SARA, la légende chrétienne nous la présente comme l'humble servante, la familière, qui pleure sur la grève le départ de ses maîtresses Jacobé et Salomé, que la fureur des Juifs a jetées avec d'autres dans cette "barque sans rame ni voile". Révoltée, elle veut partager le sort des condamnées, quel qu'il soit. Alors, Salomé lui jette son manteau sur lequel elle marche à travers les flots et vient prendre place auprès de ses amies.

Tout autre est le récit de la tradition camarguaise. Pas plus qu'elle n'est servante, Sara n'est du voyage. Comme la tige de lotus sacré, Sara, issue de race noble, monte des profondeurs mystérieuses s'épanouir au soleil. Reine autochtone de sa tribu, elle campe dans les forêts de pins parasols qui ombragent le territoire. Sylves et marécages, boeufs et chevaux sauvages font de ce pays une source d'abondance incomparable. Longtemps avant le Christ, cette population nomade avait en Camargue son port d'attache, sa vie, son temple. Sara ne serait-elle pas une de ses prêtresses? A l'arrivée des Saintes Sara les accueillit, se convertit à leur prédication et reçu le baptême ainsi que sa tribu.

Selon d'autres versions, il s'agirait de Sara l'Egyptienne, abbesse d'un grand couvent de Lybie et fêtée par l'Eglise le 13 juillet. Ou bien encore, d'une Sara qui figurait dans un groupe de martyrs persans avec deux Maries et une Marthe et dont les reliques seraient parvenues jusqu'en Gaule.

Enfin, la lettre apocryphe des Apôtres remontant incontestablement au II° siècle, nous présente une Sara découvrant, avec Marthe et Marie le tombeau vide et partant annoncer aux apôtres la Résurrection du Christ.

La première version de Sara se trouve dans un texte de Vincent Philippon, baïle (ou préposé) du viguier du comté de Provence, rédigé vers 1521: "La légende des Saintes Maries" et dont le manuscrit est à la bibliothèque d'Arles. On l'y voit quêtant à travers la Camargue pour subvenir aux besoins de la petite communauté chrétienne.

En vérité, nul ne sait qui est Sainte Sara, ni comment son culte s'instaura aux Saintes Maries de la Mer. Ce qui est certain, c'est que la dévotion à Sara commença dans cette église bien avant que les Gitans la fassent leur.

email reçu de saintsdeprovence.com[modifier le code]

http://www.saintsdeprovence.com

- Il s'est passé plusieurs années entre le martyre d'Etienne (entre 33 et 36?) et celui de l'apôtre Jacques le Majeur (vers 42/43) qui a effectivement déclenché le départ de nombreux chrétiens. - Il n'est pas sûr que Sara ait fait la traversée. Il se peut qu'elle se soit mise au service des Saintes Marie après leur arrivée en Provence. - Marie Salomé était mère de Jacques le Majeur et de Jean. Marie Jacobé était mère de Jacques le Mineur, premier évêque de Jérusalem et mis à mort en 62. Elles étaient effectivement proches parentes de la Vierge Marie. - L'aveugle de Jéricho, c'est Bartimée. Sidoine, c'est celui qui fut guéri à Jérusalem et alla se purifier à Siloë et qui accompagna la famille de Béthanie. - Trophime fut envoyé à Arles par Saint Pierre.

L'essentiel de que nous pensons pouvoir dire aujourd'hui et que notre association cherche à transmettre se trouve résumé dans notre site. Il est évident qu'il nous reste beaucoup à découvrir et que nous remercions tous ceux qui ont des éléments à nous apporter. N'hésitez donc pas si vous faites des trouvailles.

Rabanus Maurus (AD 766-856), Archbishop of Mayence states in Life of Mary Magdalene that Joseph of Arimathea was sent to Britain, and he goes on to detail who travelled with him as far as France, claiming that he was accompanied by;

   the two Bethany sisters, Mary and Martha, Lazarus (who was raised from the dead), St. Eutropius, St. Salome, St. Cleon Cléon Saturnin Saint Saturnis, St. Saturnius, St. Mary Magdalen, Marcella (the maid of the Bethany sisters), Sainte Maxime Saint Maxime Maxime Maximin Saint Maximin 

Sainte-Maxime Saint-Maxime Maxime Maximin Saint-Maximin MaximSt. Maxium or Maximin, St. Martial, and St. Trophimus or Restitutus.

An authentic copy of the Maurus text is housed in the Bodleian Library of Oxford University. Lazare, Marie de Béthanie et Marthe de Béthanie, Marie-Madeleine, Saint Martial, Marcelle Marie Jacobée Marie Salomé Marie Marie-Jacobée Marie-Salomé Salomé Jacobée Marie-Jacobé Marie Jacobé Vierge Marie Ixidoine Saint Ixidoine Saint-Ixidoine

Marie-Jacobé (soeur de la Vierge) et de Marie-Salomé, mère des apôtres Jacques et Jean. étaient avec elles ; Sara, leur servante noire a rattrapé la barque en marchant sur l'eau, car elle était elle aussi une grande sainte. Sidoine Saint Sidoine

Lazare accompagné de Marie Madeleine, Marie Jacobé, Marie Salomé, Sarah leur servante, Marthe, Marcelle, Sidoine, Maximin, Ruf, Cléone et Joseph d’Arimathie étaient jetés dans une barque sans gouvernail. Après un long voyage au gré des vents et des courants, ils sont arrivés à l’embouchure du Rhône.

Marcelle suivante de Marthe et Maximin, l'un des soixante-douze disciples. Un vieux cantique énumère en outre : Cléon, Trophime, Saturnin, Eutrope, Martial, Sidoine, Joseph d'Arimathie et Sara l'Egyptienne Saint-Eutrope Saint Eutrope Martial

Après l'ascension du christ, Marie-Madeleine, Marthe sa soeur, Lazare son frère, Marie Jacobé, soeur de la Vierge, Marie Salomé, mère des apôtres Jacques et Jean, Maximin, l'un des 72 disciples, Marcelle, Sidoine, et d'autres encore, quittèrent Jérusalem à cause des persécutions que les chrétiens subissaient. Mais à Joppé, ils furent capturés par les infidèles et jetés dans un bateau sans voile, ni rames. Avec l'aide de Dieu, le navire traversa sans dommage la Méditerranée et s'échoua en Camargue. Sur la plage, ils élevèrent un autel en terre pétrie pour y célébrer leurs mystères, puis après quelques temps, ils se dispersèrent. Maximin se dirigea vers Aix ; Marie-Madeleine se retira à la Sainte Baume ; Lazare se rendit à Marseille, Marthe à Tarascon. Marie Salomé et Marie Jacobé restèrent sur cette plage avec leur servante Sara.

Lazare accompagné de Marie Madeleine, Marie Jacobé, Marie Salomé, Sarah leur servante, Marthe, Marcelle, Sidoine, Maximin, Ruf, Cléone et Joseph d’Arimathie étaient jetés dans une barque sans gouvernail. Après un long voyage au gré des vents et des courants, ils sont arrivés à l’embouchure du Rhône.

Saint Trophime à Arles, de Saint Martial à Limoges, de Saint Saturnin à Toulouse, de Saint Eutrope à Orange, de Saint Maximin à Aix... A Tarascon Sainte Marthe dompte la tarasqu

Lazare alla jusqu’à Marseille où il s’établit dans les grottes qui dominaient la rive Sud de ce qui deviendra le vieux port.

La relique de son corps fut transportée en France, sous Charlemagne, dans l'abbaye de Moyen-Moutiers, au diocèse de Toul.

, par Fortunat, patriarche de Grade, qui fuyait la persécution des idolâtres, et qui fut, depuis, abbé du même monastère, fondé par saint Rydulphe, archevêque de Trêves. Il y a des auteurs qui croient que les Juifs ne cessèrent point de persécuter ce généreux disciple, et que, pour le bannir de leurs terres, ils l'exposèrent sans voiles et sans rames, avec sainte Marthe, sainte Madeleine, saint Lazare leur frère, et saint Maximin; mais que le vaisseau, par un effet de la divine Providence, étant arrivé heureusement au port de Marseille, en Provence, Joseph d'Arimathie traversa toute la France et passa jusqu'à la Grande-Bretagne, y prêcha Jésus-Christ et y mourut en paix; et c'est apparemment pour cela que les Anglais le reconnaissent pour leur premier Apôtre.

Dubourg ne constitue pas une référence reconnue sur le sujet, surtout s'il ne fait que dire quelque chose reconnu par tout le monde. Il faut donc réferencer avec une source académique l'interprétation de "après la mort". Hadrien (causer) 1 septembre 2007 à 17:26 (CEST)[répondre]

Arimathie / Parasha / Dubourg[modifier le code]

  • Plusieurs choses. D'abord, il serait sans doute bon, dans la partie "village de Ha-Ramathaïm", de dire qu'en I Sam. 1 : 19 le nom change et passe au singulier, et surtout de signaler que la racine RMT signifie simplement "colline" ou "hauteur". (Cf. Jos. 19 : 8 et Jos. 19 : 21.) Soit dit en passant, il a dû exister un certain nombre de localités nommées Ramat ou Remet...
  • Il serait bon aussi de rappeler que aharé mot apparaît en effet au tout début de Josué et des Juges. (C'est ce que je voudrais faire, au moyen d'un tout petit passage étymologique, mais pas avant 2-3 jours.) Là où l'on risque peut-être de créer une confusion dans une question qui n'est déjà pas très simple, c'est si on signale qu'il s'agit du titre de la Parasha du bouc émissaire : ici, on sort du contexte chrétien - et pourquoi pas ? - mais surtout on introduit le thème, la signification du bouc émissaire, qui est hors sujet. Que aharé mot soit le titre de la Parasha n'induit pas de sens, puisque toute Parasha, c'est-à-dire toute section du Tanakh, mais aussi tout livre du Tanakh, est désignée en hébreu par son ou ses tout premiers mots. Les "titres" en hébreu ne portent pas de "sens" ; ils sont simplement le début du texte. La notion de titre, c'est-à-dire de désignation du contenu sous une forme plus ou moins résumée, en tout cas thématique, n'apparaît qu'au moment de la Septante, quand on "intitule" à la manière grecque les cinq Livres de Moïse.
  • Par ailleurs, en ce qui concerne Bernard Dubourg, il pourrait réapparaître parmi les chercheurs qui ont soutenu la thèse Arimathie = aharé mot, mais pas avant que ceux-ci soient dûment sourcés et répertoriés. L'idéal serait de trouver qui a formulé cette thèse en premier. Pas facile. Addacat 1 septembre 2007 à 23:17 (CEST)[répondre]
Bonsoir. La référence à la Parasha était là, non pour faire sens, mais parce qu'elle a son article dans Wikipedia, grâce à Inyan. J'attends donc votre "petit passage étymologique", on n'est pas à deux jours près... Quant à Rama, il faudrait aussi expliquer ce qu'elle vient faire en Matthieu 2, 17, dans le Massacre des Innocents. En toute sympathie. MLL 2 septembre 2007 à 00:24 (CEST)[répondre]
Oui. Rama, en Mt 2, citant Jérémie. Toujours la racine RMH ou RMT : "hauteur", "colline". Ville de Samuel, en principe. Est-ce que cela vous semble bizarre ? (Dans 2-3 jours, je serai moins débordée.) En toute sympathie. Addacat 2 septembre 2007 à 01:29 (CEST)[répondre]
Bizarre n'est pas le mot. C'est infiniment fécond. RM veut dire en effet "haut", mais cela a d'innombrables conséquences, pas seulement les noms de "villes hautes", Rama, Ramla ou Ramallah, mais aussi celui de Rome, la ville "hautaine" aux sept collines et aussi le nom de Jérémie, "YHWH élève". AB-RM, Abram, c'est "Père haut", c'est surtout "Père élevé". "Élever" un enfant, c'est la même métaphore. A suivre, certainement ! MLL 2 septembre 2007 à 11:51 (CEST)[répondre]

Quelques infos[modifier le code]

trouvées dans Jésus contre Jésus de Mordillat et Prieur (p.124) : En grec Arimathie peut s'interpréter comme un néologisme poétique pour un homme très savant (ce qui ne me semble pas en contradiction avec d'auttres éléments sur ce Joseph). Daniel Massé dans Jésus ce juif sans nom y voyait en hébreu har'm-mathais : l'enclos des morts. Hadrien (causer) 2 septembre 2007 à 19:37 (CEST)[répondre]

Cela prouve que Daniel Massé ne parlait pas hébreu. Daniel Massé, n'est-ce pas ce mythiste aux théories particulièrement fantaisistes ? Je viens de le voir réapparaître sous la plume d'une IP. Soupir. Addacat (d) 27 décembre 2009 à 20:28 (CET)[répondre]

Question (bouc émissaire, arimathée et le sanskrit rama qui veut dire bouc émissaire)[modifier le code]

Je reporte ici la question que l'IP avait écrite directement à la fin de l'article: Michel Abada (d) 25 mai 2014 à 08:09 (CEST)[répondre]
Bonjour, prenant connaissance de la discussion sur Joseph d'Arimathie et l'étymologie de son nom, ramathaïm, j'ai mis en parallèle le récit évangélique du massacre des innocents auquel échappe le Christ avec celui des enfants de Devaki auquel échappent Balarama et son frère Krishna, l'incarnation divine hindoue. il se trouve que l'auteur du Vishnou Purana serait Parashara, un rishi, voyant védique plusieurs millénaires (?) avant Jésus-Christ, et la Parasha hébraïque - section d'exposé - de rama a trait au "bouc émissaire", dont le Christ, qui prit sur lui tous les pêchés de son peuple pour être sacrifié, comme dans la tragédie grecque ( sacrifice du bouc ) est un exemple. Sources: wikipedia La discussion sur Joseph d'Arimathie a-t-elle avancé sur ce point? Merci, — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 78.122.118.88 (discuter), le 25/05/2014

Christianisation progressive de Joseph d'Arimathie par les évangélistes ?[modifier le code]

Si je comprends bien Neil Godfrey, "Joseph of Arimathea – recasting a faithless collaborator as a disciple of Jesus", 7 juin 2009, site Vridar (site mythiste, mais peu importe ici),
James McGrath, The Burial of Jesus: What Does History Have To Do With Faith?, Englewood, Col.: Patheos Press, 2011 (réédition, je suppose) et Kindle,
dit que dans l'évangile de Marc, Joseph d'Arimathie est à peine présenté comme disciple de Jésus : les mots "qui attendait, lui aussi, le royaume de Dieu" pourraient presque s'appliquer à tout juif pieux (voir en:Kingship and kingdom of God) et le fait qu'il ait enterré Jésus ne prouve pas qu'il l'ait approuvé, comme le montre ce passage de Flavius Josèphe : "the Jews used to take so much care of the burial of men, that they took down those that were condemned and crucified, and buried them before the going down of the sun." (Guerre des Juifs, 2.5.2 (2.317) )

Si on admet que l'évangile de Marc est le premier en date, il y aurait donc eu une christianisation progressive de Joseph d'Arimathie, comme on le voit en lisant les passages des quatre évangiles cités dans notre article.

Par parenthèse, je vois que, dans notre article, les évangiles sont cités dans cet ordre : Jean, Luc, Marc, Matthieu. Cela traduit-il une opinion sur la chronologie de leur composition ?

Sur James McGrath, voir cette page Amazon, selon laquelle il est de l'université Butler. L'observation de McGrath me semble intéressante, c'est pourquoi j'en ai parlé ici, mais je ne connais pas assez ces questions pour intervenir dans l'article. Marvoir (discuter) 5 janvier 2015 à 17:08 (CET)[répondre]

Problème de neutralité[modifier le code]

J'ai juste lu le RI et je trouve un énorme problème de neutralité. Il y est écrit « le personnage (de Joseph d'Arimathie) ayant vraisemblablement été introduit dans les récits canoniques dans une visée apologétique afin de justifier la découverte du tombeau vide. » Déjà, il est évident qu'une telle formulation est non-neutre car globalement le point de vue tout à fait opposé existe et sans même regarder la qualité ou la spécialité de ceux qui disent cela il faudrait au moins dire que la question est controversée.
Mais de plus, comme wikipedia est une encyclopédie, tous les livres qui parlent de Jésus ne se valent pas. Cette affirmation est sourcée et je reconnais les efforts louables pour sourcer ce qui est écrit dans ces articles. Toutefois quels sont les historiens spécialistes qui remettent en question le tombeau vide ? Personnellement je n'en connais pas (et il suffit de réfléchir un petit peu pour se rendre compte qu'une telle affirmation au regard de ce que l'on sait et des autres sources que les évangiles (notamment les sources juives et romaines), pour se rendre compte qu'une telle suggestion est hautement problématique). Mais sans rentrer dans des raisonnements et en appliquant simplement les recommandations de wikipedia : la question quels historiens spécialistes ont dit cela doit être résolue. Michel Abada (d) 14 octobre 2016 à 18:43 (CEST)[répondre]

Comme pour le sujet de la famille sacerdotale dont serait issu Jésus (en espérant que Michel Abada puisse m'expliquer la contradiction d'éminents historiens spécialistes qui ont osé se prononcer sur les récits d'enfance de Jésus alors qu'ils ne les jugent pas fiables historiquement), il me semble difficile de trouver des historiens spécialistes s'étant penchés sur ce sujet puisque leurs seules sources au niveau de Joseph d'Arimathie sont la Passion du Christ, récit des évangiles marqué par ses embellissements théologiques, et des apocryphes dont la fiabilité historique est également problématique. Je ne comprends donc pas le refus répété de Michel Abada d'utiliser des exégètes et théologiens spécialistes qui seuls se sont prononcé sur ce personnage. En ce qui concerne le problème de neutralité de la phrase du RI, je l'invite à la neutraliser par des points de vue tout à fait opposés et ainsi pouvoir faire passer la phrase problématique dans la section Historicité. Salsero35