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Chamberaud

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Chamberaud
Chamberaud
Mairie et monument aux morts de Chamberaud.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté de communes Creuse Sud-Ouest
Maire
Mandat
Gérard Magoutier
2020-2026
Code postal 23480
Code commune 23043
Démographie
Population
municipale
97 hab. (2021 en évolution de −3,96 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 03′ 00″ nord, 2° 02′ 47″ est
Altitude Min. 392 m
Max. 586 m
Superficie 7,44 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Guéret
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ahun
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Chamberaud
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Chamberaud
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Chamberaud

Chamberaud est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Communes limitrophes de Chamberaud
Ahun
Le Donzeil Chamberaud
Fransèches
Carte de la commune.

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 063 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aubusson à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 939,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Chamberaud est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guéret, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,6 %), prairies (35,6 %), zones agricoles hétérogènes (8,9 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Chamberaud est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chamberaud.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 24,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 98 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 34 sont en aléa moyen ou fort, soit 35 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Chamberaud est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[17].

Le toponymiste Ernest Nègre, dit : Chambereau (1229), de cambarello, de l'occitan « qui a de longue jambes »[18].

Les Templiers et les Hospitaliers

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Peut-être fondée en 1193[19], une commanderie templière se dressait sur le promontoire naturel du bourg actuel. La plus ancienne date avérée relative à l'existence de la maison du Temple de Chamberaud remonte aux environs de 1258[20],[21]. Par ailleurs, un accord de 1282 entre l'évêque de Limoges et le maître de la province templière du Limousin donne la chapelle de Chamberaud comme étant démembrée de la paroisse de Fransèches[22],[23]. La commanderie est citée plusieurs fois dans les interrogatoires au cours du procès de l'ordre du Temple[20]. Les annexes de Chamberaud à l'époque des Templiers étaient Fransèches, La Pouge, Lépinas et Montbut (commune de La Brionne, anct. Saint-Sulpice-le-Guérétois)[24].

En 1312, l'ordre du Temple est dissous : comme tous les biens des Templiers, la commanderie de Chamberaud est dévolue à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Durant la période hospitalière qui s'ensuit, cette commanderie fait partie du grand prieuré d'Auvergne, elle a sept moulins[25] et deux membres qui sont Sous-Parsat et La Pouge[26]. Il semblerait que la commanderie connaisse un fort déclin au cours du XVe et du XVIe siècle[27]. Deux terriers indiquent que les bâtiments commencent à tomber en ruines entre 1556 et 1617. Les pierres de ceux-ci sont largement réutilisées dans la construction du Bourg, comme en témoignent quelques sculptures et blasons intégrés aux bâtiments. La commanderie tombe lentement en ruines. Seule subsiste la chapelle et une tour carrée au bout de celle-ci, transformée en clocher en 1877[28]. Malgré tout, elle se dégrade. Elle est définitivement restaurée vers 1990.

Politique et administration

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À l'issue de nouvelles élections (à la suite du décès de son ancien maire Mr André Roudier), Michel Giron a été élu maire de la commune.

En 2014, les nouvelles élections municipales reconduisent Michel Giron en tant que Maire de la commune. À la suite de réformes nationales, le conseil municipal passe de 11 à 7 conseillers.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
.... .... André Roudier    
.... En cours Michel Giron SE Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 97 habitants[Note 2], en évolution de −3,96 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
400414527522420446437428452
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
457429404412369431412393401
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
403408402307308310302222153
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1481299612511312111496102
2021 - - - - - - - -
97--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église paroissiale de Chamberaud.
L'église paroissiale de Chamberaud.
  • Dans le bourg subsiste la chapelle de la commanderie. Devenue l'église de la commune, le clocher est une modification de 1877 sur une tour carrée préexistante. L'ensemble a conservé une église remarquable dont les voûtes d'ogives sont en chêne XVIIIe siècle. Quelques vestiges sont réutilisés dans les murs du bâtiment : cadrans solaires et clés de voûte. L’église Saint-Blaise est classée au titre des monuments historiques en 1991[33].
  • Sur la route de Saint-Sulpice-les-Champs, un étang au cadre verdoyant de 16 ha est réservé aux pêcheurs.

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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  • Jean-Marie Allard, « Templiers et Hospitaliers dans la Creuse: Une esquisse historique dans Les commanderies de la Creuse au Moyen Âge. Aperçu historique et architectural », Mémoires de la Société des sciences naturelles, archéologiques et historiques de la Creuse, t. 50,‎ , p. 127-168 (lire en ligne)
  • Louis-Christian Gautier, Les Templiers en Creuse, Naves, Librairie-Edition Guénégaud, 1999.
  • C. Laborde, « L'Affaire des Templiers : Un Grand procès », Mémoires de la société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, t. XXXIII,‎ , p. 128-175, lire en ligne sur Gallica
  • André Lecler, Dictionnaire topographique, archéologique et historique de la Creuse, Limoges, Imprimerie-librairie-papeterie-reliure Ve H. Ducourtieux, (réimpr. Laffitte reprints, Marseille, 1994)
  • Louis-Augustin Vayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges », Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze,‎ , p. 90-..., lire en ligne sur Gallica

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Chamberaud et Aubusson », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Aubusson_sapc » (commune d'Aubusson) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Aubusson_sapc » (commune d'Aubusson) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Guéret », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Chamberaud », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Chamberaud », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  18. Toponymie générale de la France: Tome 3, Formations dialectales
  19. D'après divers sites internet sur les templiers, entre autres « www.templiers.net » sans précision quant à la source primaire ou à l'auteur et l'ouvrage à l'origine de cette assertion.
  20. a et b Amédée-Louis-Alexandre Trudon des Ormes, « Liste des maisons et de quelques dignitaires de l'ordre du Temple, en Syrie, en Chypre et en France », dans Charles-Jean-Melchior de Vogüé, Revue de l'Orient latin, vol. VII., Paris, Ernest Leroux, (réimpr. 1964) (ISSN 2017-716X, lire en ligne), p. 540-542, lire en ligne sur Gallica
    Frère Géraud de Saint-Martial, commandeur de Charrières, interrogé en 1308 et qui indique avoir été reçu dans l'ordre il y a environ 50 ans en la commanderie de Chamberaud par le maître de la province du Limousin.
    .
  21. (la + de) Konrad Schottmüller, Der untergang des Templer-Ordens : mit urkundlichen und kritischen beïtragen, vol. II, Ernst Siefried Mittler & Sohn, (lire en ligne), p. 64-65
    c.1258: « domo dicti Templi, que vocatur Chamberel ».
    .
  22. Michel Aubrun, L'ancien diocèse de Limoges des origines au milieu du XIe siècle, Presses Universitaires Blaise Pascal, , 468 p. (ISBN 978-2-8774-1020-5, présentation en ligne), p. 390.
  23. Jean-Marie Allard, « Templiers et Hospitaliers en Limousin au Moyen Âge. État de la recherche et nouvelles considérations. », Revue Mabillon, no 14,‎ , p. 67 (note 68), 73 (lire en ligne)
    « cappella de Cambarello deppendeat a matrice ecclesia de Franceschas »
    .
  24. Laborde 1957, p. 150.
  25. Mentionnés dans le terrier de 1556.
  26. Vayssière 1884, p. 92-93.
  27. Comme en témoigne le terrier de 1617, mais aussi l'apparition du château de Massenon, deuxième moitié du XVe siècle, à proximité immédiate.
  28. La date est inscrite sur une poutre dans le clocher. L'inscription complète est : « Ce clocher a été fait en 1877 sous la direction de Mr Louis Roudier, charpentier, maire de la commune de Chamberaud ».
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Église Saint-Blaise », notice no PA00100028, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.