Béhéricourt

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Béhéricourt
Béhéricourt
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Céline Champagne
2020-2026
Code postal 60400
Code commune 60059
Démographie
Gentilé Béhéricourtois, Béhéricourtoises
Population
municipale
198 hab. (2021 en diminution de 6,16 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 35′ 49″ nord, 3° 03′ 58″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 178 m
Superficie 5,3 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Noyon
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Béhéricourt
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Béhéricourt
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Béhéricourt
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Béhéricourt

Béhéricourt est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie

Description

Entrée du village.

Béhéricourt est un village rural picard du Noyonnais située à 5 km à l'est de Noyon, 31 km au nord-ouest de Soissons et au sud-ouest de Saint-Quentin et 65 km au sud-est d'Amiens.

Elle est desservie par l'ancienne route nationale 32 (actuelle RD 932), et traversée par la ligne de Creil à Jeumont dont la station la plus proche, la gare de Noyon, est desservie par des trains TER Hauts-de-France.

Une passerelle édifiée en 2017 donne accès à l'EuroVelo 3 ou « Véloroute des pèlerins » ou « Scandibérique » dans sa partie française[1].

Louis Graves indiquait au milieu du XIXe siècle que « le territoire de Behéricourt occupe une superficie assez considérable dans les bois montueux qui couronnent au nord la vallée de l'Oise; il s'étend de là vers le sud, et s'avance par un appendice étranglé vers le lit de la rivière[2] ».

Communes limitrophes

Rose des vents Crisolles Grandrû Rose des vents
N
O    Béhéricourt    E
S
Salency Babœuf
Panorama du village blotti au pied du Bois d'Autrecourt.

Hydrographie

Le territoire communal est limité au sud par le Canal latéral à l'Oise et par un méandre de l'Oise (rivière), l'un des affluents principaux de la Seine.

Le nord du territoire communal est constitué par le lit du Grand Rû.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,5 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 743 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chauny », sur la commune de Chauny, mise en service en 1988[9] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 724,4 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 26 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,3 °C pour 1981-2010[14], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[15].

Urbanisme

Typologie

Béhéricourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,9 %), terres arables (25,9 %), zones urbanisées (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (6 %), prairies (0,7 %)[21].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 109, alors qu'il était de 105 en 2013 et de 103 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 82,6 % étaient des résidences principales, 8,2 % des résidences secondaires et 9,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Béhéricourt en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8,2 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 80,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,7 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Béhéricourt en 2018.
Typologie Béhéricourt[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 82,6 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 8,2 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 9,2 7,1 8,2

Toponymie

La localité a été désignée comme Bericourt en 1331 Behericurtis , Behireicurtis, Beericurtis , Beemcurtis)[2]

Histoire

Louis Graves indiquait « Behéricourt est un, des lieux anciens du Noyonnais. Selon la tradition locale, il y avait sur le plateau une église matrice, surnommée la chapelle des Trois-Monts, de laquelle dépendaient les territoires d'Apilly, de Babeuf et de Behéricourt. Cette église a disparu depuis des siècles, mais on a trouvé des sarcophages autour de l'emplacement qu'on lui assigne. On ne sait point à quelle époque les trois lieux furent érigés en paroisses distinctes[2] »

Des carrières de calcaire et de grès ont été exploitées au moins depuis le Moyen Âge à Béhéricourt[23].

Au milieu du XIXe siècle subsistaient près de l'église les ruines du château fort, qui appartenait autrefois à la maison de Hautefort. Il ne restait alors plus guère que le mur d'enceinte, d'un bel appareil, à périmètre polygone. L'entrée était une ogive resserrée entre deux contreforts carrés, et surmontée d'une fenêtre qu'on pouvait dater du quatorzième siècle[2].

Dès 1851, le conseil municipal décide que l'instruction primaire serait désormais totalement gratuite[24]. À cette époque, la commune disposait donc d'une école, ainsi qu'une fontaine dite de Saint-Martin et un jeu d'arc. On y trouvait deux moulins à vent et une partie de la population était employée à la fabrication de balais[2].

Lors de la Première Guerre mondiale, le village est occupé par l'armée allemande dès le et les hommes en âge de se battre demeurés sur place sont faits prisonniers et déportés en Allemagne.Il n'est libéré que le suite au repli allemand "Alberich" et les civils déplacés à l'arrière. La commune redevient française pendant une année mais demeure en zone avancée sous contrôle militaire strict. Plusieurs régiments français y cantonnent notamment le 407e RI dont les hommes laissent des graffitis sur les murs du château et les arbres du parc. Le , trois jours après l'offensive allemande provenant de Saint-Quentin, la commune est de nouveau envahie mais ses habitants ont eu le temps de fuir sur ordre de l'armée française et dans la crainte de vivre une nouvelle occupation. La commune est finalement libérée le [25].

Le village est considéré comme détruit à la fin de la Première Guerre mondiale[26] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [27].

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Noyon[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Noyon

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité

Béhéricourt était membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Robert de Devise
Mort en 1905[29]
   
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 mars 2001 Robert Ortiz    
mars 2001[30] mai 2020 Éric Longa[31] DVD Enseignant
mai 2020[32] En cours
(au 2 décembre 2020)
Céline Champagne DVG Employée en cabinet comptable

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

En 2021, la commune comptait 198 habitants[Note 8], en diminution de 6,16 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
441448503464483482452452395
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
395380336326319313301267256
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
223195177142158144140148156
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
158164159179192208222218211
2021 - - - - - - - -
198--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 105 hommes pour 102 femmes, soit un taux de 50,72 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
1,0 
9,3 
75-89 ans
9,6 
21,5 
60-74 ans
24,0 
21,5 
45-59 ans
18,3 
16,8 
30-44 ans
21,2 
12,1 
15-29 ans
8,7 
17,8 
0-14 ans
17,3 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Église Saint-Martin, édifice complexe dont les parties les plus anciennes remontent au XIIe siècle (chœur à chevet plat percé d’un triplet de fenêtres en plein cintre avec moulure biseautée). Les bas-côtés de la nef datent de 1733 et deux chapelles formant croisillons flanquent le chœur au nord et au sud et paraissent dater du XVe ou du XVIe siècle. Le clocher actuel a été construit en 1839-1840 en style néo-classique.
    L'église a été très restauré après les destructions de la Première Guerre mondiale[23]

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Personnalités liées à la commune

Voir aussi

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Bibliographie

  • A/ Ponthieux, « Une page de Jeanne d'Arc : Louis de Coustes dit Minguet, Seigneur de Pimprez, Béhéricourt et Grandrû », Bulletin de la Société historique de Compiègne, t. XX,‎ , p. 105-122 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.

Articles connexes

Liens externes

  • « Béhéricourt », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
  • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références

Notes

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

Site de l'Insee

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Béhéricourt » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Béhéricourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Béhéricourt - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

  1. Alexis Bisson, « Dans le Noyonnais, Salency et Béhéricourt enfin reliés à la Trans’Oise : Depuis ce jeudi, les deux communes ont officiellement accès à la voie verte qui longe les bords de l’Oise, grâce à la pose d’une passerelle. », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. a b c d e et f Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Noyon, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 232 p. (lire en ligne), p. 57-58, sur Google Books.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
  9. « Station Météo-France Chauny - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Béhéricourt et Chauny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France Chauny - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Béhéricourt et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  23. a et b Dominique Vermand, « Béhéricourt, église Saint-Martin : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
  24. « Variétés », Le Mémorial des instituteurs, maires, adjoints, conseillers municipaux, secrétaires de mairies, répartiteurs, membres de conseils de fabrique, de bureaux de bienfaisance, de comités locaux, gardes nationaux et gardes-champêtres, no 17,‎ , p. 270 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
  25. « Béhéricourt dans la Grande Guerre », Livre mémorial des communes de l'Oise, Mémorial 1914 / 1918 des victimes civiles de l'Oise (consulté le ).
  26. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  27. Journal officiel du 18 février 1921, p. 2098.
  28. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. « Coucy-le-Château - Obsèques », Le Réveil de l'Aisne,‎ (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
  30. L.G., « Le maire souhaite une année plus sereine », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Béhéricourt », Cartes de France (consulté le ).
  32. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Béhéricourt (60059) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).