Famille Berlier de Vauplane (Provence)

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Famille Berlier de Vauplane
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Armes

Blasonnement D'azur à un bélier d'argent, au chef de gueules chargé de trois besants d'or[1]
Devise Pretium non vile laborum
Branches Tourtour
Période XVe siècle - aujourd'hui
Pays ou province d’origine Drapeau de la Provence Provence
Fiefs tenus Tourtour
Vauplane
Charges Juge-mage,
consuls, etc.
Fonctions militaires Officiers supérieurs, officiers, aide de camp
Fonctions ecclésiastiques Chanoine
Récompenses civiles Officiers de la Légion d'honneur
Récompenses militaires Ordre royal et militaire de Saint-Louis, ordre national de la Légion d'honneur

La famille Berlier de Vauplane est une famille subsistante d'ancienne bourgeoisie française, originaire de Barcelonnette en Provence.

Connue depuis la fin du XVe siècle elle a formé une branche de Berlier-Tourtour.

Cette famille compte parmi ses membres des avocats, des hommes politiques dont des maires de Draguignan et de Tourtour, des officiers, un magistrat et d'autres personnalités.

Histoire[modifier | modifier le code]

La famille Berlier est une famille provençale connue à partir de la fin du XVe siècle, originaire de Barcelonnette (Alpes-de-Haute-Provence). Balthazard Berlier (1489-1560), le premier ancêtre connu[2], était juge-mage[3]. Au siècle suivant un membre de cette famille s'établit à Tourtour, puis à Draguignan (Var) au XVIe siècle, où plusieurs de ses descendants furent consuls ou maires de ces deux localités[4].

Au XVIIe siècle César Berlier (1659-1734)[5], conseiller du roi, fait inscrire son blason à l'Armorial général de France de 1696[6].

Le nom de la seigneurie de Vauplane est venu à la suite du mariage de Marc-Antoine Berlier avec Marguerite d'Arnoux de Vauplane[7] et d'une convention passée en 1773 entre celui-ci et sa belle-mère Anne-Thérèse Circlot, veuve de Guillaume d'Arnoux[3]. Un décret du ratifie l'usage établi depuis la fin de l'Ancien Régime par la famille Berlier de joindre à son nom celui de Vauplane[8]. Les Berlier de Vauplane s'installent à Marseille au début XIXe siècle, puis à Paris au milieu du XXe siècle. Cette branche comprend plusieurs avocats dont Honoré Berlier (1522-1592), Blaise Berlier (1730-1793), avocat puis juge de paix à Draguignan, maire de Draguignan, guillotiné le 11 décembre 1793 pour conspiration fédéraliste, Polyeucte Berlier de Vauplane (1846-1920), magistrat puis avocat, bâtonnier du barreau de Tours, défenseur de nombreuses congrégations religieuses après la loi de 1880 d'expulsion des congrégations religieuses, défenseur du comte de Sabran de Pontevès devant la Haute Cour de Justice, président du comité royaliste de Tours, commandeur de l’ordre de Saint Grégoire, président de la conférence Olivaint, Henri Berlier de Vauplane (1853-1937), avocat au barreau de Marseille, professeur de droit à la Faculté de droit libre de Marseille, critique musical sous le pseudonyme Eklektik dans Le soleil du Midi, quotidien marseillais, président et fondateur de la Société de Musique de chambre de Marseille, spécialiste de Richard Wagner, chevalier de l'ordre du Libérateur (Venezuela), chevalier de l'ordre du Médjidié (Empire Ottoman), Hubert Berlier de Vauplane, docteur en droit, avocat, membre de l'Académie catholique de France. Des gens d'église dont François Berlier de Vauplane (1883-1939), jésuite, aumônier militaire dans l'infanterie coloniale pendant la guerre de 1914-1918, puis de la 8e division coloniale pendant l'occupation de la Sarre, directeur du lycée privé Saint-Louis de Gonzague à Paris, recteur du Lycée privé Sainte-Geneviève à Versailles de 1937 à 1939, officier de la Légion d'honneur et croix de guerre 1914-1918. Également des officiers, des élèves de grandes écoles. Un de leurs représentants actuels est membre de la Société des Cincinnati et du Jockey Club. Elle est membre de l'association des Vieux noms français subsistants (VNFS).

Des Berlier de Vauplane est issue la branche Berlier-Tourtour qui prend au début du XVIIIe siècle le nom de la seigneurie qu'elle possédait à Tourtour[a],[9] et le rameau cadet de celle-ci ajoute le nom de la terre de La Rémolle à la fin du XVIIIe siècle[5]. Cette branche comprend parmi ses membres Étienne de Berlier-Tourtour (1743-1827), maire de Draguignan (an III et 1813), conseiller général du Var (1800-1807), président du conseil général du Var (1806), lieutenant-colonel, se retire de l'armée au début de la Révolution, chevalier de Saint-Louis. Également François-Augustin de Berlier-Tourtour de La Rémolle (1748-1832), capitaine dans le régiment d'Auxonne pendant la guerre d'indépendance des États-Unis, organisateur de l’Arsenal de Lyon, s'est retiré de la vie militaire comme colonel au début de la Révolution, rejoint Bonaparte comme commandant de l'artillerie à Antibes lors du siège de Toulon (1793), avant d'être écarté pour sympathies monarchistes, chevalier de Saint Louis, maire d'Eygières (1817-1830). Cette branche s'est éteinte avec Félicien de Berlier-Tourtour (1899).

Filiation[modifier | modifier le code]

  • Balthazard Berlier (1489-1560), dont :
    • Honoré Berlier (1522-1592), avocat à Draguignan, aida le comte de Suze, gouverneur de Provence, en levant une troupe de quatre cents hommes à ses frais, lors des troubles de 1578-1579 qui accompagnèrent en Provence la formation de la Ligue[10],[5]. Selon les auteurs du nobiliaire du département des Bouches-du-Rhône[10], à la suite de cet évènement, celui-ci aurait reçu des lettres d’anoblissement en 1569, confirmées en 1694, sans toutefois que des traces n'en soient gardées[3].
      • Honoré Berlier (1552-1609)
        • César Berlier (1590-1670), conseiller-auditeur des comptes[3] à Draguignan, seigneur de Tourtour, auteur des branches de Berlier-Tourtour et de la branche de Toulon ci-dessous
          • Joseph Berlier (1620-1699), avocat à Draguignan, receveur des vigueries et des tailles.
            • César Berlier (1653-1734), maire de Draguignan, avocat, conseiller du roi à la sénéchaussée de Draguignan[3],[11], maître de la compagnie du Saint-Sacrement.
              • François Berlier (1686 - 1718), lieutenant au régiment de Vieille-Marine.
              • Joseph Berlier (1672-1749), avocat à Draguignan.
                • Marc-Antoine Berlier (1709-1793), capitaine dans les milices de Provence, participe à la Guerre de Succession d'Autriche, maire de Draguignan (1756), chevalier de Saint-Louis [3].
                • Jean Berlier (1710 - 1793), capucin à Draguignan.
                • César Berlier (1711 - 1793), capucin à Draguignan.
                  • François Berlier de Vauplane (1771-1860), propriétaire à Draguignan
                    • Hippolyte Henri Berlier de Vauplane (1799 - 1895), propriétaire à Mascara, Algérie
                      • Louis-Edmond Berlier de Vauplane (1858 - )
                        • Marcel Berlier de Vauplane (1891 - 1949)
                    • Eugène Polieucte Berlier de Vauplane (1811 - 1831), élève officier à Saint-Cyr.
                    • Adolphe Berlier de Vauplane (1807-1875), avocat, rentier.
            • Blaise Berlier (1667 - 1739), avocat à Draguignan
        • Blaise Berlier (1631-1697), auteur de la branche de Tourtour, qui suit.
    • Jean Berlier ( - ), notaire royal à Tourtour en 1531
      • Gaspard Berlier ( - ), notaire royal à Tourtour[17], 1er consul de Tourtour (1586 - 1587 et 1602 - 1603).

Branche Berlier-Tourtour[modifier | modifier le code]

Autres branches[modifier | modifier le code]

La souche de la famille Berlier a formé par ailleurs une branche mentionnée à Toulon qui fut l'aînée de cette famille provençale. Et une branche à Dijon mais dont le rattachement reste à confirmer.

Branche Berlier (Toulon)[modifier | modifier le code]

À la fin du XVIe siècle la branche aînée de la famille Berlier s'installe à Toulon et donne de nombreux chirurgiens de la marine ainsi que des officiers du génie qui ont participé à l'épopée napoléonienne François Toussaint Berlier (1767-1849) et Jean-Charles Berlier (1788-1837).

  • César Berlier (1590 - 1670), co-seigneur de Tourtour.
    • Joseph Berlier (1620-1699) : auteur de la branche Vauplane qui précède.
    • Balthazar Berlier (1617 - 1701), premier consul de Draguignan.
      • Antoine Berlier (1675 - 1746)
        • Grégoire Berlier (1697 - 1742)
          • Augustin Berlier ( - )
            • François Toussaint Berlier (1767 - 1849), lieutenant-colonel du génie, a participé à la plupart des campagnes napoléoniennes avec l’armée d’Italie, l’armée du Rhin, la Grande armée, l’armée d’Espagne, officier de la légion d’honneur[26],[27].
              • Jean-Charles Berlier (1788 - 1837), chef d’escadron au corps royal d’état-major ; a participé à de nombreuses campagne napoléoniennes dans l’armée d’Italie, dans l’armée d’Espagne, dans la Grande armée[26], officier de la légion d'honneur[28].

Branche Berlier (Dijon)[modifier | modifier le code]

Une autre branche est mentionnée comme faisant partie de la famille Berlier originaire de Provence mais le point de jonction avec les autres est à confirmer. Xavier de Montclos pour sa part indique que les Berlier de Dijon sont une branche de cette famille mais il ne donne toutefois pas une indication sur un ancêtre commun[29],[30],[b].

Cette branche fut illustrée par Théophile Berlier (1761-1844), député de la Côte d'Or à la Convention nationale, vote la mort du roi, président de la Convention nationale, membre du Comité de salut public, député et président du Conseil des Cinq-Cents, président du Conseil des Prises, conseiller d'État, comte d'Empire, l'un des principaux rédacteurs du code civil, du code pénal, et du code d'instruction criminelle.

Également par Pierre-André-Hercule Berlier (1769-1821), général de brigade (infanterie) sous la Révolution et l’Empire, baron d’Empire, officier de la Légion d'honneur, chevalier de Saint-Louis.

Cette branche aujourd'hui éteinte avec Raymond Berlier (1958) serait aussi liée aux Berlier établis dans le Forez, comme en attesterait un litige successoral[31].

  • Claude Berlier (-)
    • Mathieu Berlier (- 1700)
      • Guillaume Berlier (1699 - 1765)
        • Antoine Berlier (1731 - 1777)
        • Théophile (1733 - 1794) : conseiller du roi, puis garde marteau Chatillon-sur-Seine, guillotiné à Dijon le 20 mai 1794.
        • Antoine (cadet) (1754 - 1826), avocat, puis notaire à Dijon.
      • Louis-Guillaume Berlier (1740 - )
        • Pierre-André-Hercule Berlier (1769-1821), général de brigade (infanterie) sous la Révolution et l’Empire, baron d’Empire, officier de la Légion d'honneur, chevalier de Saint-Louis.
          • Hercule Berlier (1818 - 1875), colonel de zouaves.


Armes et titres[modifier | modifier le code]

Armes de Théophile Berlier, comte d'Empire

Figure Blasonnement
Parti : au 1, de sable, au bélier d'argent ; au 2, d'argent, à un mât de pourpre ; franc-quartier de comte conseiller d'État.[33]

Armes de Pierre-André-Hercule Berlier, baron d’Empire

Figure Blasonnement
Blason de Pierre-André-Hercule Berlier Écartelé : aux I et IV, d'argent à trois lionceaux de sable ; au II, de gueules à une épée d'argent qui est des barons militaires ; au III, de gueules à une lance d'argent.

Possessions[modifier | modifier le code]

Alliances[modifier | modifier le code]

La famille Berlier s'est notamment alliée aux familles Clemens (1551), Boyer (1588), d'Audiffret (1659), Brunel de Vilepeys (1679), Brun de Boadès (en) (1684), Bœuf de Villepey (1686), de Raimondis (1688), Tressemanes de Brunet (1705), Muraire (1707), de Lenfant (1707), Renom de La Baume (1742), d'Arnoux (1759), de Leuze du Cheyla (1794), de Chieusse de Combaud (1796), de Paul de Châteaudouble (1828), de Gabrielli de Gubbio (1853), de Ribbe (1855), d'Estienne (1865), Vialète d'Aignan de Mortarieu (1872), Pighetti de Rivasso (1884), de Régis de Gâtimel (1888), Jaubert d'Aubry de Puymorin (1899), de Courrèges (1907), Pérouse de Montclos (1909), Bouvet de La Maisonneuve (1946), Rostand (1952), Richebé (1978), Abbo (1982), Odart de Rilly d'Oysonville (1984), Rioufol (1984), Robert de Lézardière (2012), Barbier de Préville (2014), Lemaistre (2017), Thierry d'Argenlieu (2018), Gaubert (2018), de Hercé (2023).

Postérité[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. « Tourtour le village du Var dans le ciel », sur terresdeprovenceimmobilier.com (consulté le ).
  2. Hubert Berlier de Vauplane rapporte que Xavier de Montclos indique clairement que la branche de Dijon et celle de Tourtour/Draguignan sont liées mais qu'il ne donne pas ses sources. Hubert Berlier de Vauplane ajoute que selon ses propres recherches cet auteur se fonde sur les archives de la bibliothèque Paul Arbaud d'Aix où dans le dossier Berlier il est fait mention de liens entre ces deux branches via les livres de raison et les recherches effectuées par Régis de Gâtimel sur la famille Berlier. Il ajoute encore qu'il est possible aussi que Xavier de Montclos soit allé voir les archives de Draguignan dans le dossier Berlier établi par Frédéric Mireur sur les familles de Draguignan où ce lien est aussi mentionné. De même, du côté Berlier de Dijon, les archives familiales (versées aux archives de Dijon) mentionnent aussi le lien entre ces deux branches. Extraits du livre de Xavier de Montclos : "À la fin du XVIe siècle un Berlier s'installe à Lyon ; il est l'auteur des Berlier de Dijon (...)". Les deux éditions du livre de Montclos sont identiques sur ce point. Hubert Berlier de Vauplane rapporte également que les actes d'archives (archives départementales de Dijon, Saint-Étienne, Draguignan) donnent le rattachement comme suit : Balthazard Berlier (1534 - ?), fils de Balthazard (1489-1560) et frère de Gaspard (notaire à Tourtour mais pas de date de baptême : les registres paroissiaux ne sont pas tenus avant 1554 à Tourtour) quitte Tourtour pour Lyon où il se marie; d'où notamment Jaques (1588 - ?), puis Claude ( ? - ?) à Saint Étienne, d'où Mathieu (1674 - 1700 ?) à Saint Étienne, d'où Guillaume (1699-1765) à Dijon; d'où Antoine (1731-1777) et Théophile (1733-1794), conseiller du roi à Dijon puis garde marteau à Chatillon-sur-Seine guillotiné à Dijon le 20 mai 1794. Pas d'idées sur les métiers exercés pour les premiers degrés : Guillaume (1699-1765) est mentionné marchand dans son acte de mariage, Antoine (1731-1777) est mentionné selon les actes avocat puis quincailler (il reprend l'activité de son père). Hubert Berlier de Vauplane indique par ailleurs ne pas avoir le détail du dossier à la bibliothèque Paul Arbaud à Aix. Cette origine commune est donc dans l'attente d'une confirmation.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Ch. d'Hozier, Armorial général de France : dressé en vertu de l'édit de 1696, t. XXX (Provence, II) (lire en ligne), p. 1252
  2. Guy de Combaud, « Commentaires sur Famille Berlier de Vauplane », Héraldique & Généalogie,‎ , p. 449
  3. a b c d e et f Xavier de Montclos, L'ancienne bourgeoisie en France. Émergence et permanence d'un groupe social du XVIe au XXe siècle, Paris, Éditions Christian, , 358 p. (ISBN 978-2-86496-135-2, lire en ligne), p. 167-177
  4. Les maires de Draguignan
  5. a b et c Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Evreux, Maison Hérissey, 1903 - 1929, complément apporté au t.4 à la suite de la communication du baron du Roure
  6. Charles d'Hozier, Armorial général de France. Provence, 2e partie, vol. 30, p. 1252 (lire en ligne).
  7. la terre de Vauplane était tenue en fief par la famille d'Arnoux : cf. M.Z Isnard, État documentaire & féodal de la Haute-Provence, Digne, 1913, p. 437.
  8. Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. 4, p. 2 Berlier de Vauplane.
  9. Nicole et André Cabau, Tourtour, chroniques d'un village du Haut-Var, Nice, Serre, , 333 p. (ISBN 978-2-86410-125-3, lire en ligne), p. 91, 97 et suiv.
  10. a et b H. Gourdon de Genouillac et marquis de Piolenc, Nobiliaire du département des Bouches-du-Rhône, Paris, E. Dentu, , p. 45
  11. Valérie Pietri, « Une charge très honorable : service du roi et reconnaissance sociale en Provence orientale aux XVIIe et XVIIIe siècles », Annales du Midi,‎ , p. 163 - 185 (lire en ligne)
  12. [1]
  13. [2]
  14. Frédéric Mireur, « Le Tribunal révolutionnaire du Var », Bulletin de la Société d'études scientifiques et archéologiques de la ville de Draguignan, 1910,‎
  15. E. Poupé, Le tribunal révolutionnaire du Var, Draguignan, Latil Frères, , pp. 21 et 165
  16. Lettre de provision, arch. nat. V/1/483, pièce 2,
  17. Lettre de provision de Gaspard Berlier, 1554, Archives départementales du Var, 1B401, folio 57
  18. a et b Frédéric Mireur, La Sénéchaussée de Draguignan, notice historique, 1535 – 1791., Draguignan, impr. Olivier-Joulian, , p. 75
  19. a et b Nicole et André Cabau, Tourtour, chronique d'un village du Haut-Var, éditions Serre, , 333 p. (ISBN 9782402122856)
  20. a et b Frédéric Mireur, Les rues de Draguignan et leurs maisons historiques, Le Livre d'Histoire, (ISBN 978-2-84373-661-2), p. 38-39
  21. « Les ultras dans le Var : une faction sous l'Empire, un parti sous la Restauration », Rives nord-méditerranéennes,‎ , p. 69-82 (lire en ligne)
  22. basé Léonore, Dossier individuel, https://www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/ui/notice/28824
  23. Ministère des Affaires Etrangères, Les combattants français de la guerre américaine, 1778-1783 : listes établies d'après les documents authentiques déposés aux Archives Nationales et aux Archives du Ministère de la guerre, Paris, Maison Quantin, , 372 p., p. 314
  24. Correspondances de Napoléon, t. 1, no 23, 26, 33 et 34
  25. Les maires d'Eygières : https://fr.geneawiki.com/index.php/13035_-_Eygui%C3%A8res#Les_maires
  26. a et b Amis et Passionnés du Père Lachaise, « Cimetière du Père Lachaise ».
  27. base Léonore, « Notice détaillée ».
  28. Basé Léonore, « notice détaillée ».
  29. Xavier de Montclos, L'Ancienne bourgeoisie en France. Emergence et permanence d'un groupe social du XVIe au XXe siècle, Paris, Picard, , 150 p. (ISBN 9782708409392), p. 166 et 167
  30. Bibliothèque Paul Arbaud (Aix-en-Provence), dossier 525 A 1.
  31. Inventaire sommaire des archives départementales de la Côte d'Or (lire en ligne), cote E.85
  32. Leila Saada, « Les interventions de Napoléon Bonaparte au Conseil d'État sur les questions familiales », Napoleonica. La Revue, vol. 14,‎ (lire en ligne)
  33. Nicolas Roret, Nouveau manuel complet du blason ou code héraldique, archéologique et historique : avec un armorial de l'Empire, une généalogie de la dynastie impériale des Bonaparte jusqu'à nos jours, etc..., Encyclopédie Roret, , 340 p. (lire en ligne)

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • H. Gourdin de Genouillac et Marquis de Piolenc, Nobiliaire du département des Bouches du Rhône, Paris, Dentu, 1863, p. 45.
  • Ernest de Rozière, État des familles de Provence dont on connait la généalogie imprimées ou manuscrites (...), Blois, Migault, 1900. Pet. in-4, notice "Berlier"
  • Ernest Flammarion, Les dictionnaires départementaux, Bouches-du-Rhône, Paris, 1901, p. 124 et 125.
  • Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. 4, Charles Hérissay impr., Evreux, 1905, p. 2 Berlier de Vauplane.
  • Tout Marseille et tout Aix, annuaire mondain, Société Anonyme de l'Indicateur Marseillais, éd. 1914, 1930, 1948, "Berlier de Vauplane" et "Vauplane"
  • Paul Masson, La Provence au XVIIIe siècle, 3 vol (860 p), Librairie Hachette, 1936, p. 241.
  • Album photographique et biographique de personnalités de Marseille, préface Emile Ripert, La correspondance méridionale, Marseille, 1936, "Berlier de Vauplane"
  • Nicole et André Cabau, Tourtour, chronique d'un village du Haut-Var, Éditions Serre, 1989, 333 p., notice "Berlier", p. 97 et suiv. (ISBN 978-2-86410-125-3 et 2-86410-125-4).
  • Frédéric Mireur, Les rues de Draguignan et leurs maisons historiques, vol. 7 et vol. 2, Le livre d’histoire, éd, 2005
  • Xavier de Montclos, L'Ancienne bourgeoisie en France, Picard, 2e éd., 2013, p. 20 à 22 et 109 à 115.
  • Hubert Berlier de Vauplane, Deux jésuites dans la grande guerre, préface Mgr. Antoine de Romanet, Jourdan éd., 2020, (ISBN 2874666114)
  • Hubert Berlier de Vauplane, Famille Berlier, une histoire provençale, préface Frédéric d'Agay, éd. Jourdan, 2022 (ISBN 2874667218).

Articles connexes[modifier | modifier le code]