« Christian Perronne » : différence entre les versions

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== Biographie ==
== Biographie ==
Christian Perronne fait des [[études de médecine]].
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Christian Perronne fait des études de médecine et soutient une thèse en 1985 sur le ''traitement par la coumermycine A1 de l'endocardite expérimentale à staphylococcus aureus du rat'' à l'université Paris-VII<ref name=Perronne_1985">{{ouvrage|langue=fr|titre=Traitement par la coumermycine A1 de l'endocardite expérimentale à staphylococcus aureus du rat|sudoc=042924987|nature ouvrage=thèse de doctorat|auteur=Christian Perronne|lieu=[[université Paris Diderot]]|id=Perronne|date=1985|oclc=490506923}}</ref>. Il soutient en 1992 une thèse de science médicale, intitulée ''Étude physiopathologique et thérapeutique d'infections opportunistes du sida dues à des micro-organismes à développement intracellulaire'', à l'[[université Paris-Diderot]], sous la direction de Jean-Jacques Pocidalo<ref>{{Lien web |prénom1=Christian |nom1=Perronne |titre=Étude physiopathologique et thérapeutique d'infections opportunistes du sida dues à des micro-organismes à développement intracellulaire|éditeur=Paris 7 |date=1992-01-01 |année=1992| lire en ligne=http://www.theses.fr/1992PA077150 |consulté le=2020-04-22|id=perronne|libellé=thèse}}.</ref>.


en [[1985]] Il soutient une thèse sur le ''traitement par la coumermycine A1 de l'[[endocardite]] expérimentale à [[staphylococcus aureus]] du rat'' à l'université Paris-VII<ref name=Perronne_1985">{{ouvrage|langue=fr|titre=Traitement par la coumermycine A1 de l'endocardite expérimentale à staphylococcus aureus du rat|sudoc=042924987|nature ouvrage=thèse de doctorat|auteur=Christian Perronne|lieu=[[université Paris Diderot]]|id=Perronne|date=1985|oclc=490506923}}</ref>.
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Professeur de [[maladie infectieuse émergente|maladies infectieuses]] et [[maladie tropicale|tropicales]] à l’[[université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines]], il est également chef du service des maladies infectieuses à l’[[hôpital Raymond-Poincaré]] de [[Garches]]<ref name="Demorand">{{article |auteur=[[Nicolas Demorand]], producteur ; Eric Lainé, réalisateur ; Amélie Stadelmann, chargée de programmes |titre=La maladie de Lyme : un diagnostic compliqué et un traitement aléatoire |périodique=[[Le téléphone sonne]] |éditeur=[[France Inter]] |date=10/01/2017 |lire en ligne=https://www.franceinter.fr/emissions/le-telephone-sonne/le-telephone-sonne-10-janvier-2017 |url texte=https://www.franceinter.fr/emissions/le-telephone-sonne/le-telephone-sonne-10-janvier-2017 |format=aud }}


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En [[1992]], il soutient une thèse de science médicale, intitulée ''Étude physiopathologique et thérapeutique d'infections opportunistes du sida dues à des micro-organismes à développement intracellulaire'', à l'[[université Paris-Diderot]], sous la direction de Jean-Jacques Pocidalo<ref>{{Lien web |prénom1=Christian |nom1=Perronne |titre=Étude physiopathologique et thérapeutique d'infections opportunistes du sida dues à des micro-organismes à développement intracellulaire|éditeur=Paris 7 |date=1992-01-01 |année=1992| lire en ligne=http://www.theses.fr/1992PA077150 |consulté le=2020-04-22|id=perronne|libellé=thèse}}.</ref>.
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: Invités : {{Prof.}} Christian Perronne, chef de service en infectiologie à l’[[hôpital Raymond-Poincaré]] de [[Garches]] ; {{Prof.}} [[François Bricaire]], chef du service des maladies infectieuses de l’[[Groupe hospitalier de la Pitié-Salpêtrière - Charles-Foix|hôpital de la Pitié-Salpêtrière]] ; Véronique Julia, journaliste.</ref>{{,}}<ref name="Enquête_débat">{{article |langue=fr |auteur=[[Marina Carrère d'Encausse]], [[Michel Cymes]], [[Benoît Thévenet]] |titre=Maladie de Lyme : épidémie ou psychose ? : le débat |périodique=[[Enquête de santé]] |éditeur=[[France 5]] |date=31/5/2017 |format=vid }} {{commentaire biblio|Participants au débat : {{Prof.}} Christian Perronne, chef de service en infectiologie, [[hôpital Raymond-Poincaré]] (AP-HP) ; {{Prof.}} Christian Rabaud, chef de service des maladies infectieuses, [[Centre hospitalier régional et universitaire de Nancy|CHRU de Nancy]] ; Agnès Gaubert-Picca, secrétaire adjointe de l'Association France Lyme ; {{Dr}} Louis Teulières, immunologiste et infectiologue ; Sophie Benarrosh, témoin}}</ref>{{,}}<ref name="Morandini">{{article |langue=fr |auteur=[[Jean-Marc Morandini]], [[Jean-Michel Cohen]] |titre=Professeur Perronne : ''"Des malades auraient pu être sauvés s’ils avaient pris de la chloroquine. J’hallucine et je ne comprends pas le manque de décision politique !"'' |périodique=[[Morandini Live]] |titre volume=Exclu – Coronavirus : édition spéciale |éditeur=[[CNews]] |date=15/04/2020 |url texte=https://www.jeanmarcmorandini.com/article-421978-exclu-coronavirus-professeur-perronne-des-malades-auraient-pu-etre-sauves-s-ils-avaient-pris-de-la-chloroquine-j-hallucine-et-je-ne-comprends-pas-le-manque-de-decision-politique-video.html |format=vid }}


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Professeur de [[maladie infectieuse émergente|maladies infectieuses]] et [[maladie tropicale|tropicales]] à l’[[université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines]], il est également chef du service des maladies infectieuses à l’[[hôpital Raymond-Poincaré]] de [[Garches]]<ref name="Demorand">{{article |auteur=[[Nicolas Demorand]], producteur ; Eric Lainé, réalisateur ; Amélie Stadelmann, chargée de programmes |titre=La maladie de Lyme : un diagnostic compliqué et un traitement aléatoire |périodique=[[Le téléphone sonne]] |éditeur=[[France Inter]] |date=10/01/2017 |lire en ligne=https://www.franceinter.fr/emissions/le-telephone-sonne/le-telephone-sonne-10-janvier-2017 |url texte=https://www.franceinter.fr/emissions/le-telephone-sonne/le-telephone-sonne-10-janvier-2017 |format=aud }}
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:{{Prof.}} Christian Perronne, chef de service d’infectiologie – [[hôpital Raymond-Poincaré]] (92)</ref> et président de la commission des [[maladie transmissible|maladies transmissibles]] du [[Haut Conseil de la santé publique]]<ref>[[Assistance publique - Hôpitaux de Paris]], ''[https://www.aphp.fr/offre-de-soin/medecin/554570/068/27 {{Pr}} Christian Perronne - Maladies infectieuses et tropicales]'', consulté le 05/04/2020</ref>{{,}}<ref name="Marianne">{{article|langue=fr|périodique=[[Marianne (magazine)|Marianne]]|url texte=https://www.marianne.net/societe/christian-perronne-les-tirs-de-barrage-recus-par-didier-raoult-sont-aussi-lies-des-querelles|titre=Christian Perronne : ''"Les tirs de barrage reçus par Didier Raoult sont aussi liés à des querelles d'égos"''|auteur=Étienne Campion|date=02/04/2020}}</ref>.
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: Invités : {{Prof.}} Christian Perronne, chef de service en infectiologie à l’[[hôpital Raymond-Poincaré]] de [[Garches]] ; {{Prof.}} [[François Bricaire]], chef du service des maladies infectieuses de l’[[Groupe hospitalier de la Pitié-Salpêtrière - Charles-Foix|hôpital de la Pitié-Salpêtrière]] ; Véronique Julia, journaliste.</ref>{{,}}<ref name="Enquête_débat">{{article |langue=fr |auteur=[[Marina Carrère d'Encausse]], [[Michel Cymes]], [[Benoît Thévenet]] |titre=Maladie de Lyme : épidémie ou psychose ? : le débat |périodique=[[Enquête de santé]] |éditeur=[[France 5]] |date=31/5/2017 |format=vid }} {{commentaire biblio|Participants au débat : {{Prof.}} Christian Perronne, chef de service en infectiologie, [[hôpital Raymond-Poincaré]] (AP-HP) ; {{Prof.}} Christian Rabaud, chef de service des maladies infectieuses, [[Centre hospitalier régional et universitaire de Nancy|CHRU de Nancy]] ; Agnès Gaubert-Picca, secrétaire adjointe de l'Association France Lyme ; {{Dr}} Louis Teulières, immunologiste et infectiologue ; Sophie Benarrosh, témoin}}</ref>{{,}}<ref name="Morandini">{{article |langue=fr |auteur=[[Jean-Marc Morandini]], [[Jean-Michel Cohen]] |titre=Professeur Perronne : ''"Des malades auraient pu être sauvés s’ils avaient pris de la chloroquine. J’hallucine et je ne comprends pas le manque de décision politique !"'' |périodique=[[Morandini Live]] |titre volume=Exclu – Coronavirus : édition spéciale |éditeur=[[CNews]] |date=15/04/2020 |url texte=https://www.jeanmarcmorandini.com/article-421978-exclu-coronavirus-professeur-perronne-des-malades-auraient-pu-etre-sauves-s-ils-avaient-pris-de-la-chloroquine-j-hallucine-et-je-ne-comprends-pas-le-manque-de-decision-politique-video.html |format=vid }}
:{{Prof.}} Christian Perronne, chef de service d’infectiologie – [[hôpital Raymond-Poincaré]] (92)</ref>.

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Il préside la Commission des [[maladie transmissible|maladies transmissibles]] du [[Haut Conseil de la santé publique]]<ref>[[Assistance publique - Hôpitaux de Paris]], ''[https://www.aphp.fr/offre-de-soin/medecin/554570/068/27 {{Pr}} Christian Perronne - Maladies infectieuses et tropicales]'', consulté le 05/04/2020</ref>{{,}}<ref name="Marianne">{{article|langue=fr|périodique=[[Marianne (magazine)|Marianne]]|url texte=https://www.marianne.net/societe/christian-perronne-les-tirs-de-barrage-recus-par-didier-raoult-sont-aussi-lies-des-querelles|titre=Christian Perronne : ''"Les tirs de barrage reçus par Didier Raoult sont aussi liés à des querelles d'égos"''|auteur=Étienne Campion|date=02/04/2020}}</ref>.


== Activités scientifiques et institutionnelles ==
== Activités scientifiques et institutionnelles ==
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: L’interview commence au minutage → [https://www.youtube.com/watch?v=5qzcd1DDtCQ#t=165 02:45]
: L’interview commence au minutage → [https://www.youtube.com/watch?v=5qzcd1DDtCQ#t=165 02:45]
: Évocation du Conseil de l’Ordre des médecins au minutage → [https://www.youtube.com/watch?v=5qzcd1DDtCQ#t=336 05:36]</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|auteur1=|titre=Maladie de Lyme : exagération ou sous-estimation ? - Ép. 4/5 - Les défis de la médecine : une passion partagée|url=https://www.franceculture.fr/emissions/matieres-a-penser/matieres-a-penser-emission-du-jeudi-12-mars-2020|site=France Culture|périodique=|date=12/03/2020|consulté le=2020-04-22}}</ref> et présenté comme la figure de proue des {{Citation|Lyme doctors}}<ref name=":02">{{Article |langue=fr-FR |titre=« Et si c’était une maladie de Lyme ? » |périodique=La Croix |date=2019-02-05 |issn=0242-6056 |lire en ligne=https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sciences-et-ethique/cetait-maladie-Lyme-2019-02-05-1201000295 |consulté le=2020-04-22 }}</ref>. Il est l'un des rares membres de sa communauté à remettre en cause le diagnostic et la prise en charge de la [[borréliose]] de Lyme, et à demander la reconnaissance d'une forme distincte de la maladie : le {{Citation|syndrome persistant polymorphe après une possible morsure de tique<ref name="Poussart">{{article|auteur=Alexandre Poussart|langue=fr|titre=Maladie de lyme : quelle stratégie thérapeutique adopter ?|périodique=Les matins du Sénat|éditeur=[[Public Sénat]]|date=27/03/2019|url texte=https://www.youtube.com/watch?v=7Av7YeSvgK4|format=vid}}
: Évocation du Conseil de l’Ordre des médecins au minutage → [https://www.youtube.com/watch?v=5qzcd1DDtCQ#t=336 05:36]</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|auteur1=|titre=Maladie de Lyme : exagération ou sous-estimation ? - Ép. 4/5 - Les défis de la médecine : une passion partagée|url=https://www.franceculture.fr/emissions/matieres-a-penser/matieres-a-penser-emission-du-jeudi-12-mars-2020|site=France Culture|périodique=|date=12/03/2020|consulté le=2020-04-22}}</ref> et présenté comme la figure de proue des {{Citation|Lyme doctors}}<ref name=":02">{{Article |langue=fr-FR |titre=« Et si c’était une maladie de Lyme ? » |périodique=La Croix |date=2019-02-05 |issn=0242-6056 |lire en ligne=https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sciences-et-ethique/cetait-maladie-Lyme-2019-02-05-1201000295 |consulté le=2020-04-22 }}</ref>.
Il est en France l'un des rares membres de sa communauté à remettre en cause la fiabilité des tests de [[diagnostic médical]] (Elisa, Western Blot) pour les borrélioses, et leur capacité à identifier tous les types de borrélies potentiellement en cause dans la maladie de Lyme.
Il remet aussi en cause la prise en charge thérapeutique des patients développant des formes chroniques de la [[borréliose]] de Lyme. Il a notamment demandé la reconnaissance d'un {{Citation|syndrome persistant polymorphe après une possible morsure de tique}}<ref name="Poussart">{{article|auteur=Alexandre Poussart|langue=fr|titre=Maladie de lyme : quelle stratégie thérapeutique adopter ?|périodique=Les matins du Sénat|éditeur=[[Public Sénat]]|date=27/03/2019|url texte=https://www.youtube.com/watch?v=7Av7YeSvgK4|format=vid}}
: Exposé liminaire par Christian Perronne, cf. minutage → [https://www.youtube.com/watch?v=7Av7YeSvgK4#t=47 00:47 à 13:38], avec interventions ponctuelles de plusieurs intervenants dont, notamment, Raouf Ghozzi, médecin [[interniste]], président de la fédération française des maladies vectorielles à tiques, puis [[Élisabeth Doineau]], [[sénatrice]] (UC) de la Mayenne, cf. minutage → [https://www.youtube.com/watch?v=7Av7YeSvgK4#t=1282 21:22 à 23:18]. Réponse par Christian Perronne aux diverses questions soulevées à partir du minutage → [https://www.youtube.com/watch?v=7Av7YeSvgK4#t=1410 23:30]. Commentaires de Dominique Le Dulucec, présidente de la [[Haute Autorité de santé]] (HAS). Allocution de [[Jérôme Salomon]], [[direction générale de la Santé|directeur général de la Santé]], à partir du minutage → [https://www.youtube.com/watch?v=7Av7YeSvgK4#t=2696 44:56].</ref>{{,}}<ref name="Lacout">{{article|langue=en|périodique={{lien|langue=en|Journal of Global Infectious Diseases}}|éditeur={{lien|langue=en|Medknow Publications}}|issn=0974-8245|date=juillet-septembre 2018|volume=10|numéro=3|page=pp. 170–171|doi= 10.4103/jgid.jgid_152_17|traduction titre=Maladie de Lyme persistante : ''"Véritable maladie de Lyme chronique"'' plutôt que ''"Syndrome de Lyme persistant en dépit du traitement"''|pmcid=PMC6100330|pmid=30166820|titre=The Persistent Lyme Disease: “True Chronic Lyme Disease” rather than “Post-treatment Lyme Disease Syndrome”|auteur=Alexis Lacout, Mostafa El Hajjam, Pierre-Yves Marcy, Christian Perronne|lieu=Medical Imaging Unit, Boulogne-Billancourt, Ollioules, France ; Medical Imaging Center, Polyclinique Les Fleurs, Elsan, Ollioules, France ; Infectious Diseases Unit, University, Hospital Raymond Poincaré, APHP Versailles Saint Quentin University Garches, France}}</ref>}}. Il soutient en cela des associations de patients<ref name=":1" />{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|nom1=BAUDAIS|prénom1=Pierrick|titre=Maladie de Lyme. Les patients n'en peuvent plus des polémiques entre experts|url=https://www.ouest-france.fr/sante/maladie-de-lyme-la-polemique-entre-experts-exaspere-les-patients-6300918|site=Ouest-France.fr|date=2019-04-09|consulté le=2020-04-22}}</ref>{{,}}<ref name=":2">{{Lien web|langue=fr|auteur1=|titre=Electrophotonique et pseudo-traitements : le scandale de la maladie de Lyme|url=https://www.sciencesetavenir.fr/sante/electrophotonique-et-pseudo-traitements-le-scandale-de-la-maladie-de-lyme_112781|site=Sciences et Avenir|périodique=|date=10/05/2017|consulté le=2020-04-22}}</ref>, et est cofondateur et vice-président de la Fédération française contre les [[maladies vectorielles à tiques]] et président de son conseil scientifique<ref name="ABES">{{ouvrage|langue=fr|libellé=086096664|titre=Perronne, Christian|éditeur=IdRef : Identifiants et Référentiels pour l'enseignement supérieur et la recherche, ABES : [[Agence bibliographique de l'enseignement supérieur]], SUDOC : [[Système universitaire de documentation]]|date=14/04/2020|lire en ligne=https://www.idref.fr/086096664}}.</ref>. En 2015, il supervise au CHU de Garches une étude controversée du traitement {{citation|électrophotonique}} de la maladie<ref name=":2" />. En 2019, il affirme recevoir des patients {{Citation|de la France entière et même de l’étranger}}, et en guérir environ 80 %<ref name=":02" />, par un traitement antibiotique de longue durée<ref name=":2" /> que ses confères jugent pourtant risqué<ref name=":02" /> ou inutile<ref>{{Lien web|langue=fr|nom1=Mahler|prénom1=Thomas|titre=« Il n'y a aucune raison d'alimenter une angoisse autour de Lyme »|url=https://www.lepoint.fr/sante/il-n-y-a-aucune-raison-d-alimenter-une-angoisse-autour-de-lyme-28-05-2018-2221957_40.php|site=Le Point|date=2018-05-28|consulté le=2020-04-22}}</ref>. Selon ''[[La Croix]]'', ses prétendus résultats {{Citation|laisse[nt] sceptique l’immense majorité de ses confrères infectiologues}}, qui attribuent la guérison à un [[effet placebo]] ou à un diagnostic erroné<ref name=":02" />{{,}}<ref>{{Lien web|langue=|auteur1=|titre=Audition commune sur la stratégie thérapeutique
: Exposé liminaire par Christian Perronne, cf. minutage → [https://www.youtube.com/watch?v=7Av7YeSvgK4#t=47 00:47 à 13:38], avec interventions ponctuelles de plusieurs intervenants dont, notamment, Raouf Ghozzi, médecin [[interniste]], président de la fédération française des maladies vectorielles à tiques, puis [[Élisabeth Doineau]], [[sénatrice]] (UC) de la Mayenne, cf. minutage → [https://www.youtube.com/watch?v=7Av7YeSvgK4#t=1282 21:22 à 23:18]. Réponse par Christian Perronne aux diverses questions soulevées à partir du minutage → [https://www.youtube.com/watch?v=7Av7YeSvgK4#t=1410 23:30]. Commentaires de Dominique Le Dulucec, présidente de la [[Haute Autorité de santé]] (HAS). Allocution de [[Jérôme Salomon]], [[direction générale de la Santé|directeur général de la Santé]], à partir du minutage → [https://www.youtube.com/watch?v=7Av7YeSvgK4#t=2696 44:56].</ref>{{,}}<ref name="Lacout">{{article|langue=en|périodique={{lien|langue=en|Journal of Global Infectious Diseases}}|éditeur={{lien|langue=en|Medknow Publications}}|issn=0974-8245|date=juillet-septembre 2018|volume=10|numéro=3|page=pp. 170–171|doi= 10.4103/jgid.jgid_152_17|traduction titre=Maladie de Lyme persistante : ''"Véritable maladie de Lyme chronique"'' plutôt que ''"Syndrome de Lyme persistant en dépit du traitement"''|pmcid=PMC6100330|pmid=30166820|titre=The Persistent Lyme Disease: “True Chronic Lyme Disease” rather than “Post-treatment Lyme Disease Syndrome”|auteur=Alexis Lacout, Mostafa El Hajjam, Pierre-Yves Marcy, Christian Perronne|lieu=Medical Imaging Unit, Boulogne-Billancourt, Ollioules, France ; Medical Imaging Center, Polyclinique Les Fleurs, Elsan, Ollioules, France ; Infectious Diseases Unit, University, Hospital Raymond Poincaré, APHP Versailles Saint Quentin University Garches, France}}</ref>, dénomination retenue par la [[Haute autorité de santé]] (HAS) dans sa Recommandation officielle de [[bonne pratique]] de juin[[2018]] notamment établie dans le cadre l’axe stratégique 3 du ''Plan national de lutte contre la maladie de Lyme et les maladies transmissibles par les tiques''.<ref>HAS, [https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2018-06/fiche_rbp_4_sppt-v1-180618.pdf Recommandation de bonne pratique – Borréliose de Lyme et autres maladies vectorielles à tiques ; Symptomatologie/Syndrome persistant(e) polymorphe après une possible piqûre de tique (SPPT)]</ref>, comme proche du ''syndrome post-traitement de la maladie de Lyme''<ref>{{Article |prénom1=Alison W. |nom1=Rebman |prénom2=Kathleen T. |nom2=Bechtold |prénom3=Ting |nom3=Yang |prénom4=Erica A. |nom4=Mihm |titre=The Clinical, Symptom, and Quality-of-Life Characterization of a Well-Defined Group of Patients with Posttreatment Lyme Disease Syndrome |périodique=Frontiers in Medicine |volume=4 |date=2017-12-14 |issn=2296-858X |pmid=29312942 |pmcid=PMC5735370 |doi=10.3389/fmed.2017.00224 |lire en ligne=http://journal.frontiersin.org/article/10.3389/fmed.2017.00224/full |consulté le=2020-04-22 |pages=224}}</ref>. C'était aussi une demande des associations de patients<ref name=":1" />{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|nom1=BAUDAIS|prénom1=Pierrick|titre=Maladie de Lyme. Les patients n'en peuvent plus des polémiques entre experts|url=https://www.ouest-france.fr/sante/maladie-de-lyme-la-polemique-entre-experts-exaspere-les-patients-6300918|site=Ouest-France.fr|date=2019-04-09|consulté le=2020-04-22}}</ref>{{,}}<ref name=":2">{{Lien web|langue=fr|auteur1=|titre=Electrophotonique et pseudo-traitements : le scandale de la maladie de Lyme|url=https://www.sciencesetavenir.fr/sante/electrophotonique-et-pseudo-traitements-le-scandale-de-la-maladie-de-lyme_112781|site=Sciences et Avenir|périodique=|date=10/05/2017|consulté le=2020-04-22}}</ref>
Il est cofondateur et vice-président de la Fédération française contre les [[maladies vectorielles à tiques]] et président de son conseil scientifique<ref name="ABES">{{ouvrage|langue=fr|libellé=086096664|titre=Perronne, Christian|éditeur=IdRef : Identifiants et Référentiels pour l'enseignement supérieur et la recherche, ABES : [[Agence bibliographique de l'enseignement supérieur]], SUDOC : [[Système universitaire de documentation]]|date=14/04/2020|lire en ligne=https://www.idref.fr/086096664}}.</ref>.
En [[2015]], il supervise au CHU de Garches une étude controversée du traitement {{citation|électrophotonique}} de la maladie<ref name=":2" />.
En [[2019]], il affirme recevoir des patients {{Citation|de la France entière et même de l’étranger}}, et en guérir environ 80 %<ref name=":02" />, par un traitement antibiotique de longue durée<ref name=":2" /> que ses confères jugent pourtant risqué<ref name=":02" /> ou inutile<ref>{{Lien web|langue=fr|nom1=Mahler|prénom1=Thomas|titre=« Il n'y a aucune raison d'alimenter une angoisse autour de Lyme »|url=https://www.lepoint.fr/sante/il-n-y-a-aucune-raison-d-alimenter-une-angoisse-autour-de-lyme-28-05-2018-2221957_40.php|site=Le Point|date=2018-05-28|consulté le=2020-04-22}}</ref>. Selon ''[[La Croix]]'', ses prétendus résultats {{Citation|laisse[nt] sceptique l’immense majorité de ses confrères infectiologues}}, qui attribuent la guérison à un [[effet placebo]] ou à un diagnostic erroné<ref name=":02" />{{,}}<ref>{{Lien web|langue=|auteur1=|titre=Audition commune sur la stratégie thérapeutique
face à la borréliose de Lyme|url=http://www.senat.fr/rap/r18-453/r18-4533.html|site=www.senat.fr|périodique=|date=date inconnue|consulté le=2020-04-22}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|auteur1=|titre=La vérité sur la maladie de Lyme / Afis Science - Association française pour l’information scientifique|url=https://www.afis.org/La-verite-sur-la-maladie-de-Lyme|site=Afis Science - Association française pour l’information scientifique|périodique=|date=16 octobre 2017|consulté le=2020-04-22}}</ref>. Son ouvrage ''{{Citation|La vérité sur la maladie de Lyme}}''{{sfn|id=vérité|texte=Perronne, 2019}} est {{Citation|controversé dans le milieu médical}} selon Jean-Yves Nau de ''[[Slate (magazine)|Slate]]''<ref name=":1">{{Lien web|langue=fr|nom1=Nau|prénom1=Jean-Yves|titre=La maladie de Lyme, cas d'école de la rupture entre médecins et malades|url=http://www.slate.fr/story/178002/sante-medecine-maladie-lyme-polemique-sppt-surdiagnostic|site=Slate.fr|date=2019-06-06|consulté le=2020-04-22}}</ref>.
face à la borréliose de Lyme|url=http://www.senat.fr/rap/r18-453/r18-4533.html|site=www.senat.fr|périodique=|date=date inconnue|consulté le=2020-04-22}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|auteur1=|titre=La vérité sur la maladie de Lyme / Afis Science - Association française pour l’information scientifique|url=https://www.afis.org/La-verite-sur-la-maladie-de-Lyme|site=Afis Science - Association française pour l’information scientifique|périodique=|date=16 octobre 2017|consulté le=2020-04-22}}</ref>. Son ouvrage ''{{Citation|La vérité sur la maladie de Lyme}}''{{sfn|id=vérité|texte=Perronne, 2019}} est {{Citation|controversé dans le milieu médical}} selon Jean-Yves Nau de ''[[Slate (magazine)|Slate]]''<ref name=":1">{{Lien web|langue=fr|nom1=Nau|prénom1=Jean-Yves|titre=La maladie de Lyme, cas d'école de la rupture entre médecins et malades|url=http://www.slate.fr/story/178002/sante-medecine-maladie-lyme-polemique-sppt-surdiagnostic|site=Slate.fr|date=2019-06-06|consulté le=2020-04-22}}</ref>.


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== Notes et références ==
== Notes et références ==
{{Références}}
{{Références nombreuses|taille=30}}


== Voir aussi ==
== Voir aussi ==

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Christian Perronne
Fonctions
Vice-président
Fédération française contre les maladies vectorielles à tiques (d)
jusqu'en
Vice-président
BonSens.org (d)
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (69 ans)
AngersVoir et modifier les données sur Wikidata
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Les raisons cachées du désordre mondial Tome II (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

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Christian Perronne est un médecin et PU-PH français, spécialisé dans le domaine des pathologies tropicales et des maladies infectieuses émergentes, notamment la maladie de Lyme.

Biographie

Christian Perronne fait des études de médecine.

en 1985 Il soutient une thèse sur le traitement par la coumermycine A1 de l'endocardite expérimentale à staphylococcus aureus du rat à l'université Paris-VII[1].

En 1992, il soutient une thèse de science médicale, intitulée Étude physiopathologique et thérapeutique d'infections opportunistes du sida dues à des micro-organismes à développement intracellulaire, à l'université Paris-Diderot, sous la direction de Jean-Jacques Pocidalo[2].

Professeur de maladies infectieuses et tropicales à l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, il est également chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches[3],[4],[5].

Il préside la Commission des maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique[6],[7].

Activités scientifiques et institutionnelles

Christian Perrone est spécialiste de la maladie de Lyme[8],[9],[10],[11],[12],[13],[14] et présenté comme la figure de proue des « Lyme doctors »[15].

Il est en France l'un des rares membres de sa communauté à remettre en cause la fiabilité des tests de diagnostic médical (Elisa, Western Blot) pour les borrélioses, et leur capacité à identifier tous les types de borrélies potentiellement en cause dans la maladie de Lyme.

Il remet aussi en cause la prise en charge thérapeutique des patients développant des formes chroniques de la borréliose de Lyme. Il a notamment demandé la reconnaissance d'un « syndrome persistant polymorphe après une possible morsure de tique »[16],[17], dénomination retenue par la Haute autorité de santé (HAS) dans sa Recommandation officielle de bonne pratique de juin2018 notamment établie dans le cadre l’axe stratégique 3 du Plan national de lutte contre la maladie de Lyme et les maladies transmissibles par les tiques.[18], comme proche du syndrome post-traitement de la maladie de Lyme[19]. C'était aussi une demande des associations de patients[20],[21],[22]

Il est cofondateur et vice-président de la Fédération française contre les maladies vectorielles à tiques et président de son conseil scientifique[23].

En 2015, il supervise au CHU de Garches une étude controversée du traitement « électrophotonique » de la maladie[22].

En 2019, il affirme recevoir des patients « de la France entière et même de l’étranger », et en guérir environ 80 %[15], par un traitement antibiotique de longue durée[22] que ses confères jugent pourtant risqué[15] ou inutile[24]. Selon La Croix, ses prétendus résultats « laisse[nt] sceptique l’immense majorité de ses confrères infectiologues », qui attribuent la guérison à un effet placebo ou à un diagnostic erroné[15],[25],[26]. Son ouvrage « La vérité sur la maladie de Lyme »[27] est « controversé dans le milieu médical » selon Jean-Yves Nau de Slate[20].

Il a été vice-président du groupe European Advisory Group of Experts on Immunisation (ETAGE), qui conseillait la politique vaccinale européenne de l’Organisation mondiale de la santé[28],[29],[30].

Polémiques liées à la prescription de traitements à base d'hydroxychloroquine

Début avril 2020, pendant la pandémie de Covid-19, Christian Perronne prône l'utilisation du traitement combinant hydroxychloroquine et azithromycine proposé par Didier Raoult et le prescrit,[5],[31],[32], bien que les preuves expérimentales de l'efficacité de ce traitement soient « imparfaites et principalement non-publiées » selon lui, et « insuffisantes » selon le magazine Science[32].

Christian Perronne participe aux polémiques sur l'utilisation de l'hydroxychloroquine. Philippe Douste-Blazy, ancien ministre de la Santé, et lui initient une pétition en ligne, qui demande que l'hydroxychloroquine soit autorisée pour « les cas bénins dans un cadre hospitalier »[32]. Cette pétition est signée par une dizaine de personnalités françaises de la médecine[32]. Christian Perronne indique, selon la même source, que le ministre français de la Santé s'est montré « incroyablement rigide » et qu'il a « diabolisé l'hydroxychloroquine »[32]. Cependant, un certain nombre de scientifiques français se montrent, selon le magazine Science, « indignés » qu'une molécule « potentiellement nocive » soit utilisée largement « avec si peu de preuve de son efficacité »[32]. Le magazine relève que l'engouement (« fervor ») pour cette molécule rend plus difficile la réalisation de tests sur son efficacité selon un protocole « plus rigoureux »[32]. Perronne indique pour sa part son refus de participer à des essais randomisés contrôlés sur l'hydroxychloroquine, qui auraient impliqué un groupe placebo, considérant qu'il serait « non éthique d'utiliser un groupe placebo dans le cas d'une maladie mortelle »[32]. Aussi prescrit-il le traitement à tous ses patients contaminés, à l'exception des formes les plus bénignes[32].

Publications

Notes et références

  1. ↑ Christian Perronne, Traitement par la coumermycine A1 de l'endocardite expérimentale à staphylococcus aureus du rat (thèse de doctorat), université Paris Diderot, (OCLC 490506923, SUDOC 042924987)
  2. ↑ [thèse] Christian Perronne, « Étude physiopathologique et thérapeutique d'infections opportunistes du sida dues à des micro-organismes à développement intracellulaire », Paris 7, (consulté le ).
  3. ↑ Nicolas Demorand, producteur ; Eric Lainé, réalisateur ; Amélie Stadelmann, chargée de programmes, « La maladie de Lyme : un diagnostic compliqué et un traitement aléatoire », Le téléphone sonne, France Inter,‎ (lire en ligne [audio])
    Invités : Pr Christian Perronne, chef de service en infectiologie à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches ; Pr François Bricaire, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière ; Véronique Julia, journaliste.
  4. ↑ Marina Carrère d'Encausse, Michel Cymes, Benoît Thévenet, « Maladie de Lyme : épidémie ou psychose ? : le débat », Enquête de santé, France 5,‎
    Participants au débat : Pr Christian Perronne, chef de service en infectiologie, hôpital Raymond-Poincaré (AP-HP) ; Pr Christian Rabaud, chef de service des maladies infectieuses, CHRU de Nancy ; Agnès Gaubert-Picca, secrétaire adjointe de l'Association France Lyme ; Dr Louis Teulières, immunologiste et infectiologue ; Sophie Benarrosh, témoin
  5. ↑ a et b Jean-Marc Morandini, Jean-Michel Cohen, « Professeur Perronne : "Des malades auraient pu être sauvés s’ils avaient pris de la chloroquine. J’hallucine et je ne comprends pas le manque de décision politique !" », Morandini Live, CNews « Exclu – Coronavirus : édition spéciale »,‎ (lire en ligne [vidéo])
    Pr Christian Perronne, chef de service d’infectiologie – hôpital Raymond-Poincaré (92)
  6. ↑ Assistance publique - Hôpitaux de Paris, Pr Christian Perronne - Maladies infectieuses et tropicales, consulté le 05/04/2020
  7. ↑ Étienne Campion, « Christian Perronne : "Les tirs de barrage reçus par Didier Raoult sont aussi liés à des querelles d'égos" », Marianne,‎ (lire en ligne)
  8. ↑ Jean-Jacques Bourdin, « Maladie de Lyme: "C'est un vrai scandale sanitaire !" pour le professeur Christian Perronne », Bourdin Direct, RMC,‎ (lire en ligne [vidéo])
  9. ↑ Nicolas Demorand, producteur ; Eric Lainé, réalisateur ; Amélie Stadelmann, chargée de programmes, « La maladie de Lyme : un diagnostic compliqué et un traitement aléatoire », Le téléphone sonne, France Inter,‎ (lire en ligne [audio])
    Invités : Pr Christian Perronne, chef de service en infectiologie à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches ; Pr François Bricaire, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière ; Véronique Julia, journaliste.
  10. ↑ Marina Carrère d'Encausse, Michel Cymes, Benoît Thévenet, « Maladie de Lyme : épidémie ou psychose ? : le débat », Enquête de santé, France 5,‎
    Participants au débat : Pr Christian Perronne, chef de service en infectiologie, hôpital Raymond-Poincaré (AP-HP) ; Pr Christian Rabaud, chef de service des maladies infectieuses, CHRU de Nancy ; Agnès Gaubert-Picca, secrétaire adjointe de l'Association France Lyme ; Dr Louis Teulières, immunologiste et infectiologue ; Sophie Benarrosh, témoin
  11. ↑ « Maladie de Lyme : épidémie ou psychose ? : le documentaire », Enquête de santé, France 5,‎ (lire en ligne [vidéo])
    Interventions du Pr Christian Perronne aux minutages suivants : → 13:10 à 13:32 → 13:49 à 14.13 → 20:56 à 21:33 → 34:09 à 24:58 → 50:10 à 50:30.
  12. ↑ Natacha Polony, « La terrible vérité sur la maladie de Lyme », Les Terriens du dimanche !, C8 « Zone Libre »,‎ (lire en ligne [vidéo])
    Intervention du Pr Christian Perronne à partir du minutage → 08:42.
  13. ↑ Anne-Élisabeth Lemoine, « L'enfer de la maladie de Lyme », C à Vous, France 5,‎ (lire en ligne [vidéo])
    L’interview commence au minutage → 02:45
    Évocation du Conseil de l’Ordre des médecins au minutage → 05:36
  14. ↑ « Maladie de Lyme : exagération ou sous-estimation ? - Ép. 4/5 - Les défis de la médecine : une passion partagée », sur France Culture, (consulté le )
  15. ↑ a b c et d « « Et si c’était une maladie de Lyme ? » », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  16. ↑ Alexandre Poussart, « Maladie de lyme : quelle stratégie thérapeutique adopter ? », Les matins du Sénat, Public Sénat,‎ (lire en ligne [vidéo])
    Exposé liminaire par Christian Perronne, cf. minutage → 00:47 à 13:38, avec interventions ponctuelles de plusieurs intervenants dont, notamment, Raouf Ghozzi, médecin interniste, président de la fédération française des maladies vectorielles à tiques, puis Élisabeth Doineau, sénatrice (UC) de la Mayenne, cf. minutage → 21:22 à 23:18. Réponse par Christian Perronne aux diverses questions soulevées à partir du minutage → 23:30. Commentaires de Dominique Le Dulucec, présidente de la Haute Autorité de santé (HAS). Allocution de Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, à partir du minutage → 44:56.
  17. ↑ (en) Alexis Lacout, Mostafa El Hajjam, Pierre-Yves Marcy, Christian Perronne, « The Persistent Lyme Disease: “True Chronic Lyme Disease” rather than “Post-treatment Lyme Disease Syndrome” » [« Maladie de Lyme persistante : "Véritable maladie de Lyme chronique" plutôt que "Syndrome de Lyme persistant en dépit du traitement" »], Journal of Global Infectious Diseases (en), Medical Imaging Unit, Boulogne-Billancourt, Ollioules, France ; Medical Imaging Center, Polyclinique Les Fleurs, Elsan, Ollioules, France ; Infectious Diseases Unit, University, Hospital Raymond Poincaré, APHP Versailles Saint Quentin University Garches, France, Medknow Publications (en), vol. 10, no 3,‎ , pp. 170–171 (ISSN 0974-8245, PMID 30166820, PMCID PMC6100330, DOI 10.4103/jgid.jgid_152_17)
  18. ↑ HAS, Recommandation de bonne pratique – Borréliose de Lyme et autres maladies vectorielles à tiques ; Symptomatologie/Syndrome persistant(e) polymorphe après une possible piqûre de tique (SPPT)
  19. ↑ Alison W. Rebman, Kathleen T. Bechtold, Ting Yang et Erica A. Mihm, « The Clinical, Symptom, and Quality-of-Life Characterization of a Well-Defined Group of Patients with Posttreatment Lyme Disease Syndrome », Frontiers in Medicine, vol. 4,‎ , p. 224 (ISSN 2296-858X, PMID 29312942, PMCID PMC5735370, DOI 10.3389/fmed.2017.00224, lire en ligne, consulté le )
  20. ↑ a et b Jean-Yves Nau, « La maladie de Lyme, cas d'école de la rupture entre médecins et malades », sur Slate.fr, (consulté le )
  21. ↑ Pierrick BAUDAIS, « Maladie de Lyme. Les patients n'en peuvent plus des polémiques entre experts », sur Ouest-France.fr, (consulté le )
  22. ↑ a b et c « Electrophotonique et pseudo-traitements : le scandale de la maladie de Lyme », sur Sciences et Avenir, (consulté le )
  23. ↑ [086096664] Perronne, Christian, IdRef : Identifiants et Référentiels pour l'enseignement supérieur et la recherche, ABES : Agence bibliographique de l'enseignement supérieur, SUDOC : Système universitaire de documentation, (lire en ligne).
  24. ↑ Thomas Mahler, « Il n'y a aucune raison d'alimenter une angoisse autour de Lyme », sur Le Point, (consulté le )
  25. ↑ « Audition commune sur la stratégie thérapeutique face à la borréliose de Lyme », sur www.senat.fr, date inconnue (consulté le )
  26. ↑ « La vérité sur la maladie de Lyme / Afis Science - Association française pour l’information scientifique », sur Afis Science - Association française pour l’information scientifique, (consulté le )
  27. ↑ Perronne, 2019.
  28. ↑ « Christian Perronne », The Conversation, université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines — université Paris-Saclay,‎ (lire en ligne).
  29. ↑ (en)(fr)Highlights from ISHEID 2018, Parc Chanot, Marseille, Isheid: International Symposium on HIV and Emerging Infectious Diseases, 16-18 mai 2028 (présentation en ligne, lire en ligne), « Christian Perronne »
    « [...] vice-président, depuis 2009, d’un groupe de travail sur la politique vaccinale dans la zone Europe pour l’Organisation mondiale de la santé. »
  30. ↑ Christian Perronne : biographie, actualités et émissions, France Culture (présentation en ligne), chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches, professeur de maladies infectieuses et tropicales à l’université de Versailles-Saint-Quentin et membre de l'OMS
  31. ↑ « Christian Perronne : En temps de guerre, la vision de la médecine doit s’adapter, avant qu’il ne soit trop tard », France Soir,‎ (lire en ligne, consulté le )
  32. ↑ a b c d e f g h et i (en) Yves Sciama, « Is France’s president fueling the hype over an unproven coronavirus treatment? », Science,‎ (lire en ligne, consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

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