Dissay-sous-Courcillon

Dissay-sous-Courcillon
Dissay-sous-Courcillon
Moulin et château de Courcillon.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Sarthe
Arrondissement La Flèche
Intercommunalité Communauté de communes Loir-Lucé-Bercé
Maire
Mandat
Gérard Richard
2020-2026
Code postal 72500
Code commune 72115
Démographie
Population
municipale
918 hab. (2021 en diminution de 3,47 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 39′ 55″ nord, 0° 28′ 24″ est
Altitude Min. 43 m
Max. 132 m
Superficie 34,92 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montval-sur-Loir
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montval-sur-Loir
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Dissay-sous-Courcillon
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Dissay-sous-Courcillon
Géolocalisation sur la carte : Sarthe
Voir sur la carte topographique de la Sarthe
Dissay-sous-Courcillon
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Dissay-sous-Courcillon

Dissay-sous-Courcillon est une commune française, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de 918 habitants[Note 1].

La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Haut-Maine.

Géographie[edit | edit source]

Dissay-sous-Courcillon est une commune du sud de la Sarthe, située à 35 km au nord de Tours et 45 km au sud du Mans au confluent du Long et du Gravot.

Communes limitrophes[edit | edit source]

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 718 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Christophe-sur-le-Nais à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 682,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Dissay-sous-Courcillon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montval-sur-Loir, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,1 %), prairies (20,3 %), zones agricoles hétérogènes (15,2 %), forêts (11 %), zones urbanisées (2,5 %), eaux continentales[Note 4] (2,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[edit | edit source]

D'après les études toponymiques de A. Dauzat et C. Rostaing, le nom de lieu "Dissay" est à rapprocher du nom d'homme latin Dissius avec le suffixe Suffixe -acum. On retrouve en effet la forme Disiacum au XIe siècle dans un document de l'évêché du Mans mentionnant leur bien sur ce territoire. La forme Dicé apparaît également au XIVe siècle[14]. Courcillon est le nom de la famille du même dont l'existence est attestée dès le VIIe siècle en tant que puissante famille sous une orthographe se rapprochant de "Cuercelone".

Histoire[edit | edit source]

La plus ancienne présence de vie attestée sur le territoire de la commune est symbolisée par l'existence de trois menhirs appelés Haute-Crane, de Pierre Evouze (ou Serpinière) et Pierre Levée. Ces menhirs témoignent probablement d'une présence de vie sédentaire au Néolithique sur le territoire de Dissay et plus largement de la vallée du Loir. Ces trois monuments mégalithes se regroupent sur une partie du territoire de la commune appelée la lande de Moirons. Ce plateau domine le Loir et s'étend sur les communes de Marçon et de Beaumont-sur Dême. On retrouve encore aujourd'hui dans plusieurs endroits du plateau, de nombreuses roches de tailles considérables, géologiquement semblables aux trois mégalithes connus.

L'aménagement de l'autoroute A28 sur la commune de Dissay au début des années , a permis la mise au jour de vestiges archéologiques de l'époque Gauloise datant de La Tène moyenne ou finale (entre -300 av. J-C jusqu'à la conquête romaine)[15].

Le château de Courcillon est bâti au XIe siècle sur le coteau de la rive du Long en surplomb du hameau, la forteresse en mauvais état est restaurée au XIVe siècle. Le village est construit autour de l'ensemble religieux que constituent l'église et le prieuré. L'église révèle une composition surprenante. La partie la plus ancienne et la plus remarquable est le chœur roman du XIIe siècle. Le reste de l'édifice est constitué de deux corps de nefs de datation différentes. L'existence d'une propriété religieuse est prouvée depuis le Xe siècle (voir la section étymologie). Le bâtiment actuel est une composition de différentes époques du XIIe, XVIIe et XXe siècles.

On peut encore observer en plusieurs points du territoire, des édifices remarquables datant d'entre le XVe et le XVIIIe siècle.

Par décret du 18 août 1807, Dissay qui comptait 1 314 habitants absorbe la commune de Bannes d'environ 450 habitants.

Quarante-sept hommes de Dissay-sous-Courcillon périrent lors des combats de la Première Guerre mondiale. Le monument aux morts de la commune fut érigé en présence du commandant de la IVe légion.

Résistance[edit | edit source]

Le 23 mars 1943, trois hommes des services secrets britanniques sont parachutés sur la lande des Moirons. Un d'entre eux est blessé et est recueilli par le châtelain de Courcillon qui prévient le docteur Goude de Château-du-Loir. Dans la nuit du 16 au 17, des armes sont parachutées sur la lande suivant le message codés : « le rouge-gorge a chanté ». De nouveaux parachutages d'armes ont lieu dans la nuit du 12 au 13 juillet, le 12 août et le dernier du 8 au 9 septembre 1943. Trois autres hommes des services secrets sont parachutés le 3 septembre et recueillis par le docteur Goude. Monsieur Branchu, de Chahaignes, aida le groupe à cacher des armes. Parmi les résistants du groupe, les Morand, ils réussirent à cacher l'agent secret canadien Gabriel Chartrand et le sergent américain David Butcher. Son avion B17 n°42-3235 forteresse Lakanuki a été abattu le 4 juillet 1943 à Poillé, neuf soldats américains furent tués. David Butcher décède en 2004. Renée Danielo participe également à des opérations de Résistance à Dissay en cachant un poste émetteur ainsi que les armes parachutées[16].

Parmi les membres des parachutages de 1943, sont arrêtés le matin du 9 septembre et morts en déportation :

  • le docteur Goude,
  • Monsieur et madame de Monéris,
  • Mademoiselle David agent de liaison,
  • Marcel Morand,
  • Marcel Tavaux,
  • Madame Maux,
  • Monsieur Branchu,
  • Louis Guy.

Des parachutages d'armes reprennent en 1944, toujours sur les Moirons. Ces parachutages ont lieu en mai, juin, juillet et août 1944. D'autres officiers américains et britanniques sont parachutés. Le dernier parachutage a lieu le 9 août 1944. Dissay-sous-Courcillon est libéré le 11 août 1944 par les Américains arrivés du Lude et de Château-du-Loir.

Politique et administration[edit | edit source]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1967 ? Daniel Bernard UNR Garagiste mécanicien
mars 2001 Gérard Chasseguet RPR Député honoraire
mars 2008 Guy Hennequin   Lieutenant honoraire, médaillé militaire
mars 2014 Gérard Chasseguet UMP-RPR Député honoraire
2020 Jacques Lauze[17]   Retraité de l'Éducation nationale
2020 En cours Gérard Richard   Ancien cadre
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

En 2021, la commune comptait 918 habitants[Note 5], en diminution de 3,47 % par rapport à 2015 (Sarthe : −0,42 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Dissay-sous-Courcillon a compté jusqu'à 1 739 habitants en 1821.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0911 1411 3141 7391 6031 5821 4771 4541 454
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4301 4071 4121 3891 3831 3601 3751 3461 290
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2931 3021 2261 1261 0951 1281 0771 0911 133
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0661 029949952910900972992960
2018 2021 - - - - - - -
923918-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[edit | edit source]

Industrie[edit | edit source]

Lieux et monuments[edit | edit source]

Châteaux et manoirs[edit | edit source]

  • Château de Courcillon des XIe, XIVe, XIIe et XIXe siècles qui jusqu'au XIXe siècle conservait ses quatre rondes et grosses tours ses murs d'enceinte contreforts fossés et pont-levis. Dans la cour, un escalier mène au souterrain qui dessert les différentes tours. La salle des gardes conserve ses poutres et solives et sa cheminée du XVe siècle. Au cours du XIVe siècle les seigneurs de Bueil restaurent le château. Ces éléments défensifs furent démolis vers 1840. Le premier seigneur de Courcillon est Hato de Curcellon en 1071. Louis XI y serait resté plusieurs mois.
  • Vestiges du château de Vernay du XIIIe siècle. Première mention en 1250, une grande partie démolie en 1804. La famille de Rancher est propriétaire du château du XVIe au XVIIIe siècle. M. Graslin, consul de France en Espagne rachète la demeure au début du XIXe siècle.
Seigneurie de Vernay.
  • Manoir de Bonlieu construit à l'emplacement de l'abbaye.
  • Manoir de la Joliverie construit en 1834.
  • Maison de la Cour de justice construit vers 1480.

Moulins[edit | edit source]

  • Moulin de Vernay probablement du Moyen Âge. Agrandi en 1870. Doté dans les années 1920 d'une unité de production électrique.
  • Moulin du Prieuré construit en 1844 sur un site occupé dès 1817 par un moulin. L'emplacement même du moulin remonte à une originé très ancienne (probablement à l'implantation du prieuré).
  • Moulin de Courcillon construit en 1827 et agrandi en 1855. Le site du moulin est occupé dès 1817 et au regard de son implantation directe en contrebas du château, l'implantation est ancienne.
  • Moulin de Longèvre, dépendant autrefois de l'abbaye de Bonlieu.
  • Moulin de Couard.
  • Moulin Saint-Jacques aujourd'hui en ruine. Ancienne usine à coton aux XXe et XIXe siècles.
  • Moulin de Bannes.

Patrimoine religieux[edit | edit source]

  • Abbaye de Bonlieu fondée par Guillaume des Roches en 1219 où il fut inhumé. L'abbaye fut démolie durant la Révolution.
  • Prieuré du XIIe siècle, inscrit au titre des monuments historiques en 1984[22]. Dès le IXe siècle, les évêques du Mans possèdent déjà une maison épiscopale Villam quam Disiacum nominant ultra fluvium Ledum dedit. Prieuré-cure dépendant de Beaulieu, les curés de Dissay sont des chanoines réguliers de l'ordre de Saint-Augustin. Le prieuré doit vraisemblablement sa construction aux seigneurs de Courcillon. L'un d'eux fit don de la chapelle Saint-Jean bâtie sous le château de Courcillon, en redevance : Les prieurs doivent donner tous les ans aux seigneurs de Courcillon et de présenter la veille de la Saint-Jean, douze chandelles de cire ou faire chaque semaine trois messes basses. Le premier prieur connu est Fr. Jean de Feninen 1404. Après la séparation de l'Église et de l'État, le prieuré est repris par la commune et le revient en 1926 à M. Paillier puis à M. Prouty, américain.
  • Église Saint-Jean, du XIIe siècle ; vers 971, l'ancienne église est donnée par Sigefroy à Foulques, comte d'Anjou, en remerciement de l'aide pour l'acquisition de l'évêché du Mans. L'église Saint-Jean est à l'origine celle du prieuré dépendant de l'abbaye de Beaulieu au Mans. Les ouvertures datent du XIIe au XXe siècle. La nef datant des XIIIe et XIVe siècles est entièrement refaite au début du XXe siècle. Le chœur remarquable en pierre de taille est la partie la plus ancienne de l'église du XIIe siècle. L'église est partiellement inscrite au titre des monuments historiques en 1927[23].

Autres lieux et monuments[edit | edit source]

Activité et manifestations[edit | edit source]

  • Courses de trotteurs tous les ans au manoir de Bonlieu.

Sports[edit | edit source]

  • Elan sportif Dissayens.

Personnalités liées à la commune[edit | edit source]

Voir aussi[edit | edit source]

Notes et références[edit | edit source]

Notes[edit | edit source]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[edit | edit source]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

Altitudes, superficie : répertoire géographique des communes[27].
  1. Abbé Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules de la France, vol. 2, Dessaint et Saillant, , p. 654.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Dissay-sous-Courcillon et Saint-Christophe-sur-le-Nais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Christophe-sur-le-Nais », sur la commune de Saint-Christophe-sur-le-Nais - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Saint-Christophe-sur-le-Nais », sur la commune de Saint-Christophe-sur-le-Nais - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montval-sur-Loir », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Larousse, Paris 1963, p. 245
  15. Sandrine Barbeau, Commune de Dissay-sous-Courcillon (sarthe), Beauregard : A 28 Section Le Mans - Tours : rapport de diagnostic, Inrap GO, coll. « A 28 », (lire en ligne).
  16. « Hommage à une femme résistante », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne).
  17. « Les nouveaux maires et adjoints élus », Le Maine libre, (consulté le ).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. « Prieuré (ancien) », notice no PA00109739, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  23. « Église », notice no PA00109735, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  24. « Menhir dit de la Pierre levée », notice no PA00109738, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. « Menhir », notice no PA00109738, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. « Menhir », notice no PA00109737, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. Site de l'IGN.
  • Julien-Rémy Pesche, Dictionnaire statistique et historique de la Sarthe, Tome second, CHE-LUD, 1830-1831.
  • Le Patrimoine des communes de la Sarthe, Éditions Flohic

Liens externes[edit | edit source]

Sur les autres projets Wikimedia :