Vritz

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Vritz
Vritz
Entrée sud de Vritz
Blason de Vritz
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Commune Vallons-de-l'Erdre
Intercommunalité Communauté de communes du pays d'Ancenis
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Sophie Gillot
2018-2020
Code postal 44540
Code commune 44219
Démographie
Gentilé Vritziens
Population 804 hab. (2015 en augmentation de 9,84 % par rapport à 2009)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 34′ 57″ nord, 1° 04′ 07″ ouest
Altitude Min. 35 m
Max. 92 m
Superficie 32,89 km2
Élections
Départementales Ancenis
Localisation
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Vritz
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Vritz
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Vritz

Vritz (prononcer [vri]) est une ancienne commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire, devenue le , une commune déléguée de la commune nouvelle de Vallons-de-l'Erdre.

Faisant partie des marches de Bretagne, presque une enclave en Maine-et-Loire, la commune a une histoire liée à la Bretagne et à l'Anjou. Vritz est issue d'une paroisse fondée par des moines angevins, et a longtemps gardé le code postal du canton de Candé. La vocation agricole de cette commune rurale perdure au XXIe siècle, même si des carrières y sont exploitées. Éloignée des grands centres urbains, Vritz connaît un déclin démographique depuis la fin du XIXe siècle.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Situation de la commune de Vritz dans le département de la Loire-Atlantique.

Vritz est située à 4 km au nord-ouest de Candé, à 30 km au sud-est de Châteaubriant, à 30 km au nord-est d'Ancenis, à 41 km au nord-ouest d'Angers, à 54 km au nord-est de Nantes, à 59 km au sud-ouest de Laval et à 74 km au sud-est de Rennes[1], dans une indentation du département de la Loire-Atlantique en Maine-et-Loire. Les communes limitrophes sont des communes déléguées de la commune nouvelle de Vallons-de-l'Erdre : Le Pin et Freigné en Loire-Atlantique, ainsi Candé, Angrie et Challain-la-Potherie en Maine-et-Loire.

Communes limitrophes de Vritz
Challain-la-Potherie (Maine-et-Loire)
Le Pin Vritz Angrie (Maine-et-Loire)
Freigné (Vallons-de-l'Erdre) Candé (Maine-et-Loire)

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est vallonné, parcouru de quelques ruisseaux, affluents pour la plupart de l'Erdre[2]. Le sol est schisteux, des carrières d'ardoise ont d'ailleurs été exploitées jusqu'au XXe siècle.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Passant tout près du bourg, le ruisseau de la Gicquelais coule dans un axe nord-ouest - sud-est, et se jette dans le ruisseau du Mandit (ou Mandy) au sud, affluent de l'Erdre. Au nord et à l'est le ruisseau du pont Trion décrit une boucle qui sert de délimitation départementale entre la Loire-Atlantique et le Maine-et-Loire. Le petit Don prend sa source au nord-est de la commune, et coule vers l'ouest pour se jeter plus loin à l'ouest dans le Don au niveau de la commune du Petit-Auverné[2].

Climat[modifier | modifier le code]

Avec sa façade océanique orientée vers l'Ouest et un relief peu accentué, le climat de la Loire-Atlantique est de type tempéré océanique. Les hivers y sont doux (°C en moyenne), les étés faiblement chauds (18 °C en moyenne). Les précipitations sont fréquentes (surtout en hiver et au printemps) mais rarement violentes.

Vritz est proche de la région angevine. Le tableau suivant recense les données climatiques d'Angers, distante de 40 kilomètres à vol d'oiseau.

Mois Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Année
Températures maximales moyennes (°C) 7,9 9,2 12,6 15,3 19 22,6 24,9 24,7 21,8 17 11,4 8,4 16,2
Températures minimales moyennes (°C) 2,1 2,2 3,9 5,6 8,9 11,8 13,6 13,4 11,3 8,4 4,6 2,8 7,4
Températures moyennes (°C) 5 5,7 8,2 10.4 13,9 16,2 19,2 19,1 16,5 12,7 8 5,6 11,8
Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 62,1 50,8 51,7 44,6 54,4 41,2 43,8 44,9 52,2 59,6 64,5 63,4 633,4
Durée mensuelle d'ensoleillement (heures/mois) 70 92 141 179 201 234 248 237 191 129 89 65 1877
Source : Climatologie de 1947 à 2008 - Angers, France

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Veris en 1130; Veriz en 1243; Vrix en 1287; Uris (lire Vris) en 1731[3],[4]. Albert Dauzat et Ernest Nègre n'ont pas analysé ce toponyme, montrant par là qu'il existe un problème. Il est cependant listé dans les toponymes brittoniques de Haute-Bretagne[3]. Son étymologie est obscure.

Vritz possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale, écrit Veriz selon l'écriture ELG et Vri selon l'écriture MOGA. En gallo, le nom de la commune se prononce [vri] comme en français[5],[6]. Le nom de la commune a été traduit Gwerid en breton[4], mais cette langue n'y a jamais été parlée, l'extension maximale de la frontière linguistique bretonne s'étant fixée à Blain, à 60 km à l'ouest, au IXe siècle.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le site de Vritz a été probablement occupé pendant la Préhistoire puisque des outils en pierre ont été découverts dans les environs. Le territoire fait partie de la gaule celtique, puis d'une province gallo-romaine, avant d'être englobé dans le duché de Bretagne jusqu'à l'union avec le royaume de France en 1532.

Au XIe siècle, Vritz devient châtellenie. En 1133, un prieuré augustinien est fondé par l'abbaye de Toussaint d'Angers. Un des premiers seigneurs de Vritz, Olivier de Veris, laisse une trace écrite lors de ses donations à l'abbaye de Melleray[7]. Au siècle suivant, la châtellenie est la propriété de la famille de Vritz, qui possède plus tard Saint-Mars-la-Jaille.

En 1650, alors que son seigneur est François de l'Esperonnière de Vris, grand chambellan de Gaston d'Orléans, Vritz devient une baronnie et dix ans plus tard est construite l'église paroissiale. Il y avait aussi à l'époque une chapelle à la Grée et une autre à Préfouré[7].

Les carrières d'ardoise furent exploitées du XVIIe siècle jusqu'au début du XXe siècle. La production est exportée jusqu'aux États-Unis[8]. Cette industrie, suffisamment florissante au moment de la Révolution pour que Vritz soit promu chef-lieu de canton, a laissé place, après son extinction, à l'économie agricole qui existe depuis l'origine du village[7]. Vritz est incluse dans la Loire-Atlantique plutôt qu'en Maine-et-Loire qui l'entoure presque entièrement. La commune a longtemps gardé le code postal du canton de Candé, en Maine-et-Loire.

La commune, essentiellement rurale, est sujette à un déclin démographique depuis la fin du XIXe siècle.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Vritz est situé dans le canton de Saint-Mars-la-Jaille, arrondissement d'Ancenis, dans le département de la Loire-Atlantique (région Pays de la Loire)[9]. Comme pour toutes les communes françaises comptant entre 500 et 1 500 habitants, le conseil municipal est constitué de quinze membres en 2011[10].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1983 mars 2001 Yvette Coquereau    
mars 2001 mars 2014 Michel Jeanneau[Note 1]    
mars 2014 En cours Sophie Gillot SE Commerciale en granulats
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Vritz est membre de la communauté de communes du pays d'Ancenis, qui est constituée de vingt-neuf communes regroupées autour d'Ancenis. La commune est représentée au conseil intercommunal par le maire et deux élus communautaires[11].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Selon le classement établi par l'Insee en 1999, Vritz était une commune rurale non polarisée[12].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[14].

En 2015, la commune comptait 804 habitants[Note 2], en augmentation de 9,84 % par rapport à 2009 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 9011 5091 3641 7111 7061 8531 7171 6541 725
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7081 6951 7471 7281 7741 7411 7411 6641 541
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5011 4561 4111 1171 1721 0141 071957959
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
956904843828813803760748783
2015 - - - - - - - -
804--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[16].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

Les données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (24 %) est en effet supérieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[17],[18],[19]. Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (52,9 % contre 48,4 % au niveau national et 48,7 % au niveau départemental)[17],[18],[19].

Pyramide des âges à Vritz en 2013 en pourcentage[17]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ans ou +
0,5 
7,5 
75 à 89 ans
10,3 
14,3 
60 à 74 ans
15,2 
23,9 
45 à 59 ans
25,7 
17,9 
30 à 44 ans
17,3 
16,9 
15 à 29 ans
14,6 
19,1 
0 à 14 ans
16,3 
Pyramide des âges de la Loire-Atlantique en 2013 en pourcentage[18]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ans ou +
1,3 
5,8 
75 à 89 ans
9,1 
13,5 
60 à 74 ans
14,6 
19,6 
45 à 59 ans
19,2 
20,8 
30 à 44 ans
19,6 
19,4 
15 à 29 ans
17,7 
20,5 
0 à 14 ans
18,5 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Vritz dépend de l'académie de Nantes. La commune gère une grande école (à la fois maternelle et primaire) : l'école primaire du Dauphin[20]. Le collège public le proche se trouve à Saint-Mars-la-Jaille, et les lycées publics se situent à Châteaubriant, Ancenis et Segré[21].

Santé[modifier | modifier le code]

Il n'y a pas de médecin ni d'infirmiers à Vritz, les plus proches sont situés à Candé[22]. Des centres hospitaliers sont installés à Ancenis et Châteaubriant[23]. Est présent depuis la Fédération des Secouristes Animaliers (FSA) avec son ambulance animalière agréée DDPP (Direction départementale de la protection de la population)[24].

Sports[modifier | modifier le code]

Vritz possède un club de football avec Le Pin, commune proche avec laquelle il a fusionné en 2001. Petit club amateur, l'équipe première des seniors joue en 2e division du District de la Loire-Atlantique. Le Football Club Le Pin-Vritz possède aussi des équipes en catégorie jeune. Couleurs : maillot rouge, short bleu marine, chaussettes rouges.

Cultes[modifier | modifier le code]

Pour le culte catholique, Vritz, bien que dépendante du diocèse de Nantes, fait partie de la paroisse Saint-Pierre-sur-Erdre, dans la zone pastorale du Haut-Anjou[25].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 15 043 , ce qui plaçait Vritz au 26 260e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[26].

Emploi, entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Carrière.

La société Orbello granulats Loire exploite depuis 1995 une carrière sur le territoire de la commune, à la Répennelais. Les produits vendus sont certifiés issus d'une roche alluvionnaire silicieuse, dont la classe granulaire est 0/2 mm (norme NF XP P 18-545 article 10 code A)[27]. Cette industrie représentait 12 des 79 emplois salariés recensés sur la commune au [28].

L'agriculture est un secteur économique important de Vritz. Si, selon l'Insee, le nombre d'exploitations a diminué entre 1988 et 2000, passant de 88 à 51, la surface exploitée est restée stable (de 2 746 à 2 660 hectares) sur cette période. L'élevage bovin a légèrement régressé (3 533 bêtes en 1988, 3 373 en 2000), tandis que le nombre de volailles a fortement progressé, passant de 19 986 à 48 981[28].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Église Saint-Gervais-et-Saint-Protais.

L'église Saint-Gervais-et-Saint-Protais, construite en 1887, remplace l'ancienne église de 1660. Elle possède trois nefs et six travées, et dispose d'un clocher-porche. Ses vitraux sont réalisés par Bordereau, maitre verrier angevin, à la fin du XIXe siècle. Ceux du chœur représentent saint Gervais et saint Protais, patrons de la paroisse, ainsi que saint Édouard. Les autres représentent des scènes de la vie du Christ[29].

Un calvaire, au-dessus d'une grotte (XXe siècle), est situé sur une butte ardoisière surplombant le ruisseau du Mandit. Les fidèles catholiques viennent y implorer la Vierge de Lourdes[29].

Châteaux et demeures[modifier | modifier le code]

Le château de la Bouvraie, dans le village du même nom, date du XVe siècle et est bâti en schiste, a sans doute été le siège de la plus importante seigneurie locale. On trouve des traces de murs d'enceinte et de douves antérieures au XVe siècle. Les bâtiments ont été rénovés au XVIIe siècle par un armateur nantais[7].

Manoir de la Tesserie.

Le manoir de la Ramée (XVe siècle), dont la tour et d'autres parties ruinées ont été transformées, recèle un manteau de cheminée (XVe – XVIe siècle) dont les peintures d'origine ont été conservées[7]. Le manoir de la Tesserie (XVIe siècle) a été transformé en ferme. Le manoir de Richebourg a été remanié au XVIIe siècle[8].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le « Relais des forges » présente une cheminée du XVIIe siècle remplaçant une de plus grande dimension du XVe siècle, et un pigeonnier-porche. Traces de l'activité industrielle humaine, les carrières d’ardoise (XVIIe au XXe siècle) témoignent de l'activité d'extraction à Vritz[8]. Un puits du XIXe siècle en schiste, avec un toit recouvert de palis de schiste, et un treuil à bras, est très bien conservé[29].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]


Armes de Vritz

D'hermine fretté de dix pièces de gueules.

La commune a adopté le blason de la famille de Vritz (XVIIIe siècle). L'hermine évoque le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article..

  • Jean-Luc Flohic (dir.) et Gilbert Massard, Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, vol. 2, Charenton-le-pont, Flohic éditions, , 1383 p. (ISBN 978-2-84234-040-7, LCCN 00357670), p. 1137-1139. Document utilisé pour la rédaction de l’article

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Réélu en 2008.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2018, millésimée 2015, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2017, date de référence statistique : 1er janvier 2015.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Vritz », sur Localisation interactive, orthodromie et navigation (consulté le ).
  2. a et b « Carte IGN de Vritz » sur Géoportail..
  3. a et b Jean-Yves Le Moing, Les Noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Coop Breizh, 1990
  4. a et b Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis »
  5. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le )
  6. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le )
  7. a b c d et e Flohic et Massard 1999, p. 1137.
  8. a b et c Flohic et Massard 1999, p. 1138.
  9. « Fiche de la commune de Vritz », sur insee.fr (consulté le ).
  10. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  11. « Vritz », sur Communauté de communes du pays d'Ancenis (consulté le ).
  12. « Carte thématique » [archive du ], sur Insee (consulté le ) ; cheminement : sur la petite carte de France, onglet Départements, puis choisir le département, puis menu déroulant Couches d'aide à la sélection
  13. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  14. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015.
  17. a b et c « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Vritz - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
  18. a b et c « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
  19. a et b « Résultats du recensement de la population française - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
  20. « Les écoles de l'académie », sur Académie de Nantes (consulté le ).
  21. « Annuaire des établissements », sur Académie de Nantes (consulté le ).
  22. « Recherche », sur Les pages jaunes (consulté le ).
  23. « Liste des hôpitaux et cliniques de la Loire-Atlantique », sur Annuaire sanitaire et social (consulté le ).
  24. secouristes-animaliers.fr.
  25. « Saint-Pierre-sur-Erdre », sur Diocèse d'Angers Maine-et-Loire (consulté le ).
  26. « CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl », sur le site de l'Insee (consulté le )
  27. « Liste des carrières ayant des produits certifiés - Granulats », sur Afnor, (consulté le ).
  28. a et b Site de l'INSEE : www.insee.fr
  29. a b et c Flohic et Massard 1999, p. 1139.
  30. Bernard Le Nail, Dictionnaire biographique de Nantes et de la Loire-Atlantique, Pornic, Le Temps éditeur, , 414 p. (ISBN 978-2-363-12000-7).