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Liste des édifices religieux d'Autun[modifier | modifier le code]

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4080725/f33.image.r=%C3%A9glise%20saint%20l%C3%A9ger%20couhard?rk=42918;4

Grivot 1967 : jusqu'à p.282
Fontenay tome I
 Muguet 1897 tout (p.490)

Catholicisme[modifier | modifier le code]

Cathédrales[modifier | modifier le code]

Liste exhaustive des cathédrales d'Autun
Nom Emplacement Construction Disparition Notes Protection Illustration
Cathédrale Saint-Lazare Place du Terreau XIIe siècle[1] - Logo monument historique Classé MH[1]
Cathédrale disparue
Cathédrale Saint-Nazaire sur l'emplacement de la place Saint-Louis attesté en 542[2] effondrement de la voûte en 1640[3]
démolition en 1783[4]
Renfermait en son sous-sol l'église Saint-Jean-de-la-Grotte[5]. -

Églises[modifier | modifier le code]

à déplacer dans la biblio : Benoît Rivière (dir.), Sylvie Balcon-Berry (dir.), Jacques Madignier (dir.), Christian Sapin (dir.) et André Strasberg (dir.), Autun, la grâce d'une cathédrale, Paris, Éditions Place des Victoires, coll. « La grâce d'une cathédrale », , 441 p. (ISBN 978-2-8099-1882-3).

Liste des églises d'Autun
Nom Emplacement Construction Disparition Notes Protection Illustration
Ancienne église Saint-Pierre-l'Estrier Saint-Pierre-l'Estrier : rue de l'Hermitage XIe siècle - Ancienne église paroissiale de Saint-Pierre. Supprimée à la Révolution pour celle de Saint-Pantaléon[6]. Sur l'emplacement d'une nécropole paléochrétienne. Logo monument historique Classé MH[7]
Église Saint-Léger Couhard : rue de Filhouse XIIe siècle[8] -
Église Saint-Jean-Baptiste 1850[9] - Logo monument historique Inscrit MH partiellement[10]
Église Notre-Dame-de-l'Assomption Place du Champ-de-Mars[11] 1763[12] - Chapelle du collège jésuite jusqu'à la Révolution puis église paroissiale[13] Logo monument historique Classé MH[14] Façade de l'église Notre-Dame dans un style jésuite.
Église du Sacré-Cœur Fragny, route de la Forêt-de-Planoise XIXe siècle[15] -
Église Saint-Symphorien Saint-Pantaléon : avenue de la République XIXe siècle[16] - Ancienne église paroissiale de Saint-Pantaléon, puis aussi de Saint-Vincent et de Saint-Pierre[16]. L'église Saint-Symphorien.
-
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Églises disparues
Église Sainte-Croix avant le 1er quart du VIIIe siècle[17] IXe siècle Attestée par un diplôme de Charles le Chauve de 853[18], qui mentionne une restauration nécessaire. Longeont le côté de sud de l'évêché[17], elle était située entre la voie publique et les murs de la cité, contiguë à des champs, sans que l'on puisse déterminer si elle était à l'intérieur à ou en dehors de la ville[19]. -
Église Saint-Jean-l'Évangéliste emplacement du 16, avenue Général-de-Gaulle IXe siècle[20] Révolution[20] Église paroissiale du quartier Marchaux. -
Église Saint-Pancracre (vulgairement Saint-Branchet)[21] attestée en 936[22] 1791[23] Annexe de Saint-Jean-de-la-Grottte[23]. -
Église de l'abbaye Saint-Andoche 1re : attestée en 1119[24]
2de : vers 1480[25]
XIVe siècle[24]
XVIIIe siècle[26]
Des travées de la seconde église, connue en détail, ont servis pour la chapelle qui lui a succédé[27]. -
Église Saint-Pantaléon Saint-Pantaléon attestée au XIIe siècle[16] XIXe siècle[16] Église paroissiale de Saint-Pantaléon, puis de Saint-Vincent et Saint-Pierre. Détruite et remplacée par l'église Saint-Symphorien car trop petite[16]. -
Église Saint-Jean-de-la-Grotte attestée au XIIIe siècle[28] 1783[29] Crypte de la cathédrale Saint-Nazaire[28]. -
Église Saint-Quentin emplacement de la rue Saint-Quentin[30] époque carolingienne ? attestée en 1132[17] 1793[30] -
Église Saint-Pierre-Saint-Andoche emplacement de la rue Saint-Pierre attestée au XIIIe siècle[31] 1875[32] Englobée en 1875 dans les bâtiments de l'institution du Saint-Sacrement[32]. -
Église Saint-Jean-le-Grand attestée au XIIIe siècle[33] Révolution[9] Église d'abord commune à l'abbaye Saint-Jean-le-Grand et à la paroisse puis exclusivement paroissiale[9]. -
Église Notre-Dame-du-Châtel emplacement de la place Saint-Louis[34] attestée au XIIIe siècle[35] 1794[36] Érigée en collégiale et transformée au XVe siècle[35]. - Lithographie représentant l'église Notre-Dame-du-Châtel.
Église Saint-André - au plus tard XIIIe siècle[37] 1793, du à la Révolution[38] Dans une tour de flanquement de la porte antique Saint-André, qui lui doit son nom[37]. -
Église Saint-Louis ou des Cordeliers jouxtait le couvent des Cordeliers, place du Champ-de-Mars[39] 1501[40] Révolution[39] En 1791, elle devient l'un des deux seuls sièges de paroisses à Autun. Délabrée, elle finit par être détruite[41]. L'église représentée sur une carte de 1575, en retrait de la place du Champ-de-Mars.
Église Saint-Vincent Près de l'abbaye de Saint-Symphorien[42]. Supprimée à la Révolution pour celle de Saint-Pantaléon[6]. -
-

Chapelles[modifier | modifier le code]

eglise du couvent des Ursulines, rue dufraigne F1889 p.395+ t.II p.129 + [43] 14 rue de Rivault[43]
chapelle disparue rue dufraigne F1889 p.394+ t.II p.383/385
Liste des chapelles d'Autun
Nom Emplacement Construction Disparition Notes Protection Illustration
Chapelle de la caserne Changarnier[44] Faubourg d'Arroux -
Ancienne chapelle Saint-Nicolas Quartier Marchaux[45]
rue Saint-Nicolas
XIIe siècle[45] - Intégrée au musée lapidaire Saint-Nicolas[45]. Logo monument historique Classé MH[46]
Chapelle du Sacré-Cœur de la maison Saint-Antoine[47] 10 rue Saint-Antoine[43] - Chapelle successivement d'un petit, grand séminaire, caserne, grand séminaire et maison de retraite depuis les années 1960. Les murs sont du XVIIe siècle et la chapelle a été réaménagée en 1933[43].
Chapelle Sainte-Anne[47] ruelle Saint-Anne[43] - Ancien hospice des Petites Sœurs des Pauvres construit entre 1875 et 1877, devenu un établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes Sainte-Anne dans les années 1990[43],[48]. Chapelle Saint-Anne devant la résidence Saint-Anne.
Chapelle Saint-Gabriel allée Colette - Chapelle de l'hôpital Saint-Gabriel[49].
Ancienne chapelle du lycée militaire 3 rue des Enfants-de-Troupe - Chapelle du grand séminaire du XVIIe siècle, quartier Gangloff. Siège du Musée national des Enfants de troupe[50],[51].
Chapelle Notre-Dame-de-la-Compassion rue Chaffaut - Chapelle du couvent des Bénédictines[52].
Chapelle Saint-Aubin[47] 9 place du Terreau[43] - https://www.biennale-autun.com/les-lieux-d-exposition
Chapelle Saint-Georges 3 rue des Enfants-de-Troupe[53] - Chapelle du lycée militaire[54].
Chapelle du-Saint-Sacrement - Chapelle de l'ensemble scolaire du-Saint-Sacrement[55].
Ancienne chapelle de la Visitation[47],[56] Rue de Rivault[57] 1841[57] - Chapelle de l'ancien couvent de la Visitation, transformée en hôtel en 1974[58],[59].
Chapelle du Saint-Sacrement[60] rue Saint-Germain 1872[61] - Chapelle de l'Institution Saint-Lazare Saint-Sacrement[62]. Bâtie sur l'ancienne église abbatiale du XVe siècle par Jean Roidot-Houdaille[61].
Chapelle Notre-Dame-des-Bonnes-Œuvres-et-des-Sept-Dormants 7 place Sainte-Barbe[43] - Ancien réfectoire du Chapitre, le lieu est transformé en chapelle en 1873[63]. Désacralisée, la chapelle accueille un centre culturel[64]. Logo monument historique Classé MH[65]
Chapelles disparues
Chapelle Saint-Flocel La Châtaigneraie[66] XVIIe siècle[66] accueille une léproserie (attestée au XIIIe siècle)[66]
Chapelle Notre-Dame-d'Arroux Porte d'Arroux[67] attestée au XVIe siècle 1780[67][68] Adossée au pilier centrale de la porte antique d'Arroux. Paroisse de Saint-Jean-le-Grand. Le culte est attesté en 1509[68] et est encore pratiqué au milieu du XIXe siècle[67]. - Les traces de la chapelle se distinguent encore sur le pilier central de la porte d'Arroux.
Chapelle Notre-Dame-de-la-Bondue Rue de la Bondue[69] attestée au XVIe siècle ; reconstruite vers 1646[70] Après la Révolution Paroisse de Saint-Jean-l'Évangéliste[71]. Chapelle de la maison seigneuriale de la Bondue (dont il reste la tour de la Bondue)[68],[69], attestée sur un plan en 1575. Reconstruite par les habitants de Marchaux après 1646. Vendue à la Révolution[70]. -
Chapelle des Pénitents Petite rue Chauchien[72] 1739[72] 1797[72] Chapelle de la confrérie des Pénitents noirs, construite puis bénie par l'évêque d'Autun en 1739. Fermée en 1791, elle est en 1793 et partagée en 1797[72]. -
Chapelle Sainte-Anne Ruelle Sainte-Anne[73] Située à la pointe nord-est du cimetière Saint-Pancrace[73], adossée au rempart romain. En 1883, Harold de Fontenay estime que les plus anciennes constructions remontent au XVe siècle[74]. Elle dépendait de la paroisse Saint-Pancrace[23]. Transformée en habitation au XIXe siècle[73]. -
Chapelle jésuite Place du Champ-de-Mars XVIIe siècle XVIIIe siècle Supprimée pour être remplacée par la nouvelle chapelle du collège jésuite, future église Notre-Dame. -
Chapelle Sainte-Anastasie puis Saint-Blaise Rue du Faubourg-Saint-Blaise[75] attestée au XIIIe siècle[76] Dépendait de la paroisse Saint-Quentin[76]. Le vocable évolue au XVe siècle[77]. Transformée en habitation au XIXe siècle[75]. -
Chapelle Saint-Martin Cimetière de Saint-Jean-le-Grand[78] attestée en 1581[78] 1780[78] Dépendait de la paroisse Saint-Jean[78]. -
Chapelle Saint-Martin Saint-Pantaléon, emplacement du parc Robert-Schumann 1854[79] ? Subsiste un vestige du tympan[80]. -
Chapelle Saint-Georges-du-Bois Fragny ? Révolution[81] Originellement chapelle de prieuré, elle subsiste après sa fermeture en 1422 pendant quatre siècles[81]. -
-

Abbaye[modifier | modifier le code]

Prieurés[modifier | modifier le code]

Prieuré St-Symphorien, église associée
Liste des chapelles d'Autun
Nom Emplacement Construction Disparition Notes Protection Illustration
Prieurés disparus
Prieuré Saint-Racho-lez-Autun information -
Prieuré Saint-Georges-des-Bois Fragny attesté en 1233[81]
  • 1422 : fermeture[81]
  • Révolution : destruction de la chapelle[81]
Dépendant du prieuré de Saint-Julien-sur-Dheune. La chapelle, sous la paroisse de Saint-Jean-de-la-Grotte, subsiste jusqu'à la Révolution[82]. -

Couvents[modifier | modifier le code]

Fontenay tome II Vérifier qu'il s'agit bien d'un édifice
* Couvent et chapelle des Jacobines, Font1889 p.339-341

La ville d'Autun a aussi accueilli les religieuses du prieuré de Saint-Julien-sur-Dheune entre 1655 et 1673, dans le futur hôtel Saint-Louis et de la Poste[83],[84]. Les religieuses du Tiers-Ordre carmélite sont installées au 3, impasse de la Maîtrise en 1856, puis au 10, rue Notre-Dame à partir de 1864 et enfin au 11, rue Blanche en 1874[63],[85].

Liste des couvents d'Autun
Nom Emplacement Construction Notes Protection Illustration
Couvent des Capucins 1606[86] Fermé en 1791, accueille à partir de 1819 les Sœurs de la retraite chrétienne[86]
Ancien couvent des Cordeliers Place du Champ-de-Mars Transférés du 6, rue des Cordeliers au Champ-de-Mars en 1479[87],[88]. Après la Révolution, le batiment est transformé en gendarmerie, prison, hospice et enfin en immeuble d'habitation[89].
Ancien couvent des Frères de la Doctrine chrétienne 3 rue Chaffaut Fondé en 1817, actif jusqu'en 1887[90],[85].
Ancien carmel 1 rue Chaffaut[91] Communauté féminine de carmélites présente de 1838[92] à 2000[93].
Couvent Notre-Dame-de-la-Compassion Communauté de bénédictines fondé en 1974 à Azé, installée à partir de 2000 à Autun[93].
Ancien couvent des Ursulines rue de Rivault ancienne forteresse[94] Après trente ans rue Dufraigne, elles fondent le couvent en 1647, il est désaffecté à la Révolution[94].
Ancien couvent de la Visitation d'Autun 14 rue aux Raz[95] Fondé en 1626, il est désaffecté à la Révolution, donné à la ville, puis attribué à l'institution Saint-Lazare au XIXe siècle. Il subit des modifications importantes[95]. Logo monument historique Inscrit MH[95] L'ancien couvent vu depuis la rue.
rue Rivault[58] XVe siècle Ancien siège de la justice seigneuriale de Montjeu remanié au XVIIe siècle, les Visitandines s'y installent en 1836. Elles y ajoutent trois corps de bâtiments ainsi qu'une chapelle en 1841[58]. Elles font édifier une statue de la Vierge au sommet de la tour des Ursulines en 1862[94]. Elles quittent Autun en 1964 ; les bâtiments sont vendus, transformés en appartements et en hôtel[58]. Vue de la tour des Ursulines et des bâtiments adjacents.

Évêché[modifier | modifier le code]

Les évêques d'Autun s'installent probablement dans la ville haute au Ve siècle. Acquis par la mairie après 1905, le palais épiscopal est restitué à l'évêque en 1942[96],[97].

Islam[modifier | modifier le code]

Liste des mosquées d'Autun
Nom Emplacement Construction Notes Protection Illustration
Mosquée 2 rue de Parpas[98] années 2010[98] Mosquée érigée par l'Association culturelle franco-turque[98].

Une mosquée du Morvan est en cours de construction par l'Association culturelle des musulmans d'Autun afin de remplacer un local de 35 m2 occupé rue Jean-Mermoz[99].

Protestantisme[modifier | modifier le code]

Liste des temples d'Autun
Nom Emplacement Construction Notes Protection Illustration
Temple de la porte Saint-André[47] 11 rue de Gaillon[100] 1966[101] Temple de l'Église protestante unie de France[102] situé dans une tour de flanquement de la porte antique Saint-André[101]. Logo monument historique Classé MH[103] Le temple et la porte Saint-André.

Évangélisme[modifier | modifier le code]

Liste des églises évangéliques d'Autun
Dénomination Emplacement Construction Notes Protection Illustration
Assemblées de Dieu 9 grande rue Marchaux[104]

Témoins de Jéhovah[modifier | modifier le code]

Salle du royaume des témoins de Jéhovah, 21 route d'Arnay.


Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Cathédrale Saint-Lazare », notice no PA00113073, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. de Fontenay 1883, p. 119.
  3. de Fontenay 1889, p. 391.
  4. de Fontenay 1883, p. 126.
  5. de Fontenay 1883, p. 130.
  6. a et b Muguet 1897, p. 542.
  7. « Eglise Saint-Pierre-l'Estrier (ancienne) », notice no PA00113076, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  8. Anne Pasquet et Irène Verpiot, Le Guide Autun, ville d'art et d'histoire : Musées, architectures, paysages, Paris, Éditions du patrimoine, Centre des monuments nationaux, , 152 p. (ISBN 978-2-7577-0333-5), p. 66.
  9. a b et c de Fontenay 1889, p. 454.
  10. « Église Saint-Jean », notice no PA00113075, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  11. de Fontenay 1889, p. 451.
  12. Anne Pasquet et Irène Verpiot, Le Guide Autun, ville d'art et d'histoire : Musées, architectures, paysages, Paris, Éditions du patrimoine, Centre des monuments nationaux, , 152 p. (ISBN 978-2-7577-0333-5), p. 58.
  13. de Fontenay 1889, p. 453.
  14. « Ancien collège des jésuites, aujourd'hui Lycée Bonaparte », notice no PA00113150, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  15. Claude Chermain, « Autun. L'abbé Vitteault s'est battu pour Fragny », sur Le Journal de Saône-et-Loire, (consulté le ).
  16. a b c d et e Roland Niaux, « L'ancienne église de Saint-Pantaléon », sur Histoire et Archéologie en Morvan et Bourgogne, ca. 2000 (publication électronique : avril 2006) (consulté le ).
  17. a b et c Rivière et al. 2020, p. Sylvie Balcon-Berry, Walter Berry et Christian Sapin, « La cathédrale primitive Saint-Nazaire et le premier groupe épiscopal, IVe – XVIe siècles », p.  41-47.
  18. de Fontenay 1889, p. 141.
  19. de Fontenay 1889, LXIX, précis historique d'Anatole de Charmasse.
  20. a et b de Fontenay 1889, p. 311.
  21. de Fontenay 1883, p. 153.
  22. de Fontenay 1889, p. 370.
  23. a b et c de Fontenay 1889, p. 371.
  24. a et b Charles Oursel, L'Art roman de Bourgogne, 1928, Bibliothèque de l'école des chartes, vol. 91, 1930, p. 207, texte de Léon-Honoré Labande.
  25. de Fontenay 1886, p. 22.
  26. de Fontenay 1886, p. 26.
  27. de Fontenay 1886, p. 27.
  28. a et b de Fontenay 1889, p. 389.
  29. Grivot 1967, p. 279.
  30. a et b de Fontenay 1889, p. 402.
  31. de Fontenay 1883, p. 230.
  32. a et b de Fontenay 1889, p. 506.
  33. de Fontenay 1883, p. 290.
  34. de Fontenay 1889, p. 386.
  35. a et b de Fontenay 1889, p. 387.
  36. de Fontenay 1889, p. 388.
  37. a et b Barrière 2012, p. 472.
  38. Barrière 2012, p. 476.
  39. a et b de Fontenay 1889, p. 335.
  40. de Fontennay 1889, p. 335.
  41. de Fontenay 1889, p. 335-336.
  42. G. Valat, « Nicolas Rolin, chancelier de Bourgogne, 13..-1461 », Mémoires de la Société éduenne,‎ , p. 73-145 (lire en ligne), p. 118.
  43. a b c d e f g et h https://www.biennale-autun.com/les-lieux-d-exposition
  44. « Chapelle de la caserne Changarnier », sur Observatoire du patrimoine religieux (consulté le ).
  45. a b et c Fontenay 1889, p. 480.
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  48. « Chapelle Sainte-Anne de l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes Sainte-Anne », sur Clochers de France (consulté le ).
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  50. CPT Ducher, « Musée des Enfants de troupe », sur Ministère des Armées, Armée de terre, (consulté le ).
  51. « Chapelle du Quartier B. Gangloff (Lycée militaire) », sur Observatoire du patrimoine religieux (consulté le ).
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  53. « Chapelle Saint-Georges du quartier Gangloff (Lycée militaire d'Autun) - 71400 Autun », sur Messes.info (consulté le ).
  54. « Chapelle Saint-Georges du lycée militaire », sur Clochers de France (consulté le ).
  55. « Chapelle du-Saint-Sacrement [ensemble scolaire d'Autun] », sur Clochers de France (consulté le ).
  56. « Ancienne chapelle des Visitandines », sur Clochers de France (consulté le ).
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  64. J.-François Clanet, « Patrimoine. Inauguration de la chapelle Notre-Dame des bonnes œuvres », sur Le Journal de Saône-et-Loire, (consulté le ).
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  67. a b et c de Fontenay 1889, p. 40.
  68. a b et c Harold de Fontenay, « Épigraphie autunoise, moyen âge et temps modernes (suite) », Mémoires de la Société éduenne, Société éduenne, t. X,‎ , p. 361-430 (lire en ligne).
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  72. a b c et d de Fontenay 1889, p. 350.
  73. a b et c de Fontenay 1889, p. 368.
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  77. de Fontenay 1883, p. 227.
  78. a b c et d de Fontenay 1883, p. 298.
  79. de Fontenay 1883, p. 383.
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  82. Anatole de Charmasse, « Le prieuré de Champchanoux, de l'ordre de saint Benoît », Mémoires de la Société éduenne, Société éduenne, t. VI,‎ , p. 83-100 (lire en ligne).
  83. Grivot 1967, p. 260.
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  87. Chevaux et Loriot 2006, p. 43.
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  93. a et b David Pipponiau, « Pour se lever du bon pied. Des millions d’hosties fabriquées chaque année à Autun par les Bénédictines », sur Le Journal de Saône-et-Loire, (consulté le ).
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  98. a b et c « Visite la mosquée d'Autun (Saône-et-Loire) », sur Trouve ta mosquée, (consulté le ).
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  102. « Temple de l'Église protestante unie de France [ayant pour clocher la porte romaine Saint-André] », sur Clochers de France (consulté le ).
  103. « Porte Saint-André », notice no PA00113094, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  104. « Accès », sur Église Évangélique d'Autun, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Harold de Fontenay, Épigraphie autunoise : inscriptions du moyen âge et des temps modernes, pour servir à l'histoire d'Autun, Autun, Dejussieu Père et fils (BNF 34096702, lire en ligne). Deux volumes publiés en 1883 et 1886 : tome I sur Gallica, 424 p. et tome II sur Gallica, 415 p. 
  • Harold de Fontenay (préf. Anatole de Charmasse), Autun et ses monuments, Autun, Dejussieu père et fils, , 541 p. (lire en ligne).
  • abbé Paul Muguet, Recherches historiques sur la persécution religieuse dans le département de Saône-et-Loire pendant la Révolution (1789-1803), t. II : L'arrondissement d'Autun, Chalon-sur-Saône, (lire en ligne), « Chapitre huitième : Les communautés et congrégations religieuses de la ville d'Autun », p. 469-524.
  • Denis Grivot, Autun, Lyon, Lescuyer, , 326 p. (BNF 33032299).
  • Vivien Barrière, Les portes de l'enceinte antique d'Autun et leurs modèles (Gaule, Italie, provinces occidentales de l'Empire romain), Université de Bourgogne, , 649 p. (lire en ligne [PDF]).

édifices religieux d'Autun * Autun

BTY[modifier | modifier le code]

#BalanceTonYoutubeur est un mouvement social visant à encourager la prise de paroles des femmes victimes d'agressions de la part de vidéastes web, apparu sur le Twitter français en 2018, basé sur le mouvement #BalanceTonPorc débuté l'année précédente

Contexte[modifier | modifier le code]

accusations sur les stars musicales sur leurs fans[1]
ITP : https://www.neonmag.fr/balancetonyoutubeur-514251.html

En 2018, une accusation de viol visant le youtubeur InThePanda est publiée sur le réseau, conduisant celui-ci à réagir. La première utilisation du hashatg BalanceTonYoutubeur remonte au , alors qu'une nouvelle accusation envers Norman Thavaud de profiter de sa notoriété pour inviter des jeunes filles dans sa loge après ses spectacles, dans la continuité vieille de quelques années, est été partagée de nouveau, provoquant la réaction d'une internaute victime d'un fait similaire, avec un vidéaste anonymisé[1].

Déroulement[modifier | modifier le code]

Première vague[modifier | modifier le code]

Le , le youtubeur Squeezie, très populaire avec plus de cinq millions d'abonnés sur Twitter, écrit sur le réseau social : « Les YouTubers (y compris ceux qui crient sur tous les toits qu'ils sont féministes) qui profitent de la vulnérabilité psychologique de jeunes abonnées pour obtenir des rapports sexuels on vous voit. La vérité finit toujours par éclater[a]. » Son message totalise 50 000 partages, 4 600 témoignages et plus de 120 000 j'aime[2]. Rapidement, des femmes créés le hashtag « #BalanceTonYoutubeur » sur le modèle de #BalanceTonPorc, sur lequel elles témoignent d'agressions qu'elles ont subies. Elles mettent en cause des vidéastes, certaines totalisant plusieurs centaines de milliers d'abonnés, les accusant de profiter de leur notoriété[1] et de détournement de mineurs[3],[1].

En quelques heures, le hashtag est entré dans le top cinq de tendances en France, avec plus de 15 000 tweets[4]. Le tweet de Squeezie est salué sur le réseau[5], mais ce dernier tempère précise son message[4] : « Je ne vais pas porter d"accusations précipitées mais les concernés ne sont pas forcément ceux auxquels vous pensez. Je voulais dans un 1er temps mettre un doigt sur ces pratiques et inciter les concernés à vite arrêter. Traiter ce sujet est complexe et nécessite du temps[a]... »

L'une de premières personnes mises en cause est Norman Thavaud, l'un des mastodontes de YouTube, au moyen de captures d'écran d'échanges privés postés par des comptes anonymes[4].

Le Parisien[6]

Une confusion est provoquée entre les vrais et les faux témoignages, certains internautes fabriquant de fausses preuves pour le buzz[1],[4], les rumeurs[4], les commentaires cherchant à décrédibiliser la parole des victimes, ainsi que les trolls et les tweets humoristiques[1].

Le mouvement s'essouffle après quelques jours, sans qu'aucune plainte n'est été déposée[4] ni aucun youtubeur n'ayant avoué[2].

plusieurs faux témoignages aient été partagés, et en l'absence de poursuites judiciaires, le mouvement s'éteint de lui-même[6].

Deuxième vague[modifier | modifier le code]

BalanceTonYoutubeur réapparaît à la au cours du mois de , après que le vidéaste TheKairi présente sa relation avec une adolescente âgée de 16 ans, alors qui lui en a 33, soit plus du double[6].

Témoignages[modifier | modifier le code]

La plupart des témoignages s'appuient sur des conversations privées tenues. Les conversations poursuivent un schéma classique, où le vidéaste aborde une jeune fan, surprise et heureuse de le voir parler avec elle, avant qu'il ne dévie la discussion sur la sexualité, ayant comme but une relation sexuelle[1].

Les accusations portées se confondent[1], sur des faits illégaux[4], entre détournement de mineur, manipulation, harcèlement sexuel, viol[1], attouchements subis en convention et drague lourde et insistante[4].

Certains témoignages sont corroborées par d'autres victimes, parfois par échanges privées avec les personnes s'étant exprimées publiquement[4].

Certaines femmes témoignent sans donner le nom du vidéaste incriminé, afin d'éviter tout harcèlement sexiste de la part de sa communauté[5].
Comme BalanceTonPorc, BalanceTonYoutubeur est produit sur Twitter, mais touche aux communautés d'internautes venant de YouTube. Les victimes s'exposent ainsi aux communautés propres aux vidéastes et à ce que, poussées par lui ou de façon indépendante, elles viennent les harceler[2].

La véracité est difficile à établir, la création de fausses captures d'écran étant aisée[4].

Les raisons de témoigner sont  alerter afin d'éviter d'autres agressions dans le futur[1]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h i et j Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées NM_07082020
  2. a b et c « #BalanceTonYoutubeur : soupçons en chaîne », sur Libération, (consulté le ).
  3. « #BalanceTonYoutubeur : Cyprien répond à la polémique lancée par Squeezie », sur Le Figaro, (consulté le ).
  4. a b c d e f g h i et j Camille Laffont, « #BalanceTonYoutubeur, affaire sans suite? », sur L'Express, (consulté le ).
  5. a et b Menelas Kosadinos, « #BalanceTonYoutubeur : de quoi parle-t-on vraiment ? », sur Neon, (consulté le ).
  6. a b et c Valentin Hamon-Beugin, « #BalancetonYoutubeur : des personnalités de la plateforme accusées d'abus sexuels », sur Le Figaro, (consulté le ).


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