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Le lion (Panthera leo) est un quadrupède mammifère carnivore, c'est le deuxième plus grand félin. Le mâle est aisément reconnaissable à sa crinière. Il vit, contrairement aux autres félins, en bandes. Sa masse corporelle est d'environ . Il vit à l'état sauvage actuellement dans la savane africaine et au Gir Forest National Park en Inde.

Description[modifier | modifier le code]

Lion mâle adulte

Le lion est le deuxième plus grand félidé, après le tigre et ainsi le plus grand carnivore d'Afrique. Un mâle fait 170 à 250 centimètres de long (hors queue), une taille (à l'épaule) d'environ 120 centimètres et une queue d'en moyenne un mètre. Les mâles atteignent une masse corporelle comprise entre 150 et 225 kilogrammes à l'âge adulte. Les femelles adultes ont, quant à elles, une longueur corporelle de 140 à 175 centimètres (hors queue), une taille (à l'épaule) d'environ 100 centimètres, une queue mesurant 85 centimètres, plus fine que celle des mâles et pèse entre 120 et 150 kilogrammes. En moyenne les lions ont une taille (à l'épaule) plus importante que celle des tigres, mais sont moins longs. Les plus grands lions vivent au sud de l'Afrique, les plus petits en Asie. Dans les zoos et cirques, certains mâles captifs peuvent atteindre, par une nourriture importante, une masse supérieure à 300 kilogrammes.

Lion au pelage clair

Leur pelage, court est de couleur sable, jaune-or voire ocre foncé. La face intérieur des pattes est toujours plus clair ; tout comme le ventre, chamoisé chez le mâle, presque blanc chez la femelle. Les mâles possèdent une longue crinière, le plus souvent brun foncé, mais également dans certains cas, noire, brun clair ou brun-rouge. Cette crinière s'étend des joues jusqu'au-dessus des épaules, quelques-fois sur le ventre et sur la poitrine. La forme et la couleur des mâles peuvent varier pas seulement entre les individus, mais également chez un même individu au cours de sa vie en fonction de sa constitution physique.

Une crinière longue et foncée, en particulier, est un indicateur d'une bonne constitution et d'une grande force de combat, car le statut hormonal et la nutrition ont des conséquences sur l'épaisseur ainsi que sur la longueur de la crinière. Des examens expérimentaux avec des crinières épaillées ont montrés, que les femelles réagissent positivement aux modèles avec une crinière longue et sombre, alors que les mâles évitent les modèles aux crinières prononcées. En pratique, la crinière pourrait être une protection contre les coups de griffes lors de combats avec des mâles rivaux. En effet, les dernières recherches ont également prouvées, que la température a également un effet important sur la longueur de la crinière, et les mâles de régions plus froides, même indépendants de leur sous-espèce, forment une crinière plus importante que ceux vivant dans des régions très chaudes. Ainsi les individus mâles des zoos de régions au climat plus continental forment le plus souvent une crinière bien plus importante que celle de leur congénères restés dans des pays plus chauds.

Chez les lions d'Asie, la crinière est clairement moins prononcée que chez leurs cousins d'Afrique. Les jeunes mâles n'en ont pas du tout. Cela dure près de cinq ans jusqu'à ce qu'un mâle ait une crinière complète.

Les lions ont des yeux ambres ou jaunes et une truffe noire. Leurs oreilles sont arrondies et portent une tache noire au revers.

Le plus étonnant chez les lions est leur queue se terminant par un pinceau de poils noirs, dans laquelle se trouve une vertèbre non-développée.

Les jeunes lions ont des taches sombres sur le corps, mais qui disparaissent déjà durant la première année. Dans des cas très rares, ces taches reste encore visibles à l'âge adulte, mais demeurent insignifiantes, n'étant visibles que de près.

Comme chez les tigres, il existe chez les lions des cas occasionnels de leucistisme ; particularité génétique due à un gène récessif, qui donne une couleur blanche au pelage. Le leucistisme est différent de l’albinisme, les yeux restent de leur couleur normale et cela ne pose aucun problème direct de la physiologie (des conséquences indirectes, comme d'être plus vulnérables dans la nature du fait de la visibilité de leur pelage, se posent toujours). Il y a aussi des bruits sur l'existence de cas de mélanisme, c'est-à-dire des lions entièrement noirs, mais il n'existe aucune preuve tangible de leur existence.

Répartition géographique et habitat[modifier | modifier le code]

Répartition géographique du lion en Afrique

Jadis, le lion possédait la répartition géographique la plus étalée de tous les mammifère terrestre. Le lion d'Amérique (Panthera leo atrox) était présent du Pérou à l'Alaska pendant tout le pléistocène supérieur, tandis que des cousins occupaient la Sibérie et l'Europe centrale, et d'autres encore étaient répartient entre l'Inde et l'Afrique du Sud. L'étendue de la répartition perdit toutefois de son importance à la fin de l'ère de glaciation. La répartition historique du lion n'a pas seulement couvert les grandes parties de l'Afrique, mais aussi l'Europe du Sud ainsi que le Proche-Orient et l'Inde. Jusqu'à l'Antiquité, des lions vivaient encore dans les Balkans, en effet de nombreux savants contemporains en font rapport (Hérodote et Aristote, entre autres). On suppose qu'en Europe, le lion ait disparu du fait de l'Homme au Ier siècle apr. J.-C.. Aujourd'hui, sa diffusion est largement limitée à l'Afrique subsaharienne. Néanmoins, l'extrême sud de l'Afrique, ne compte plus de lions depuis les années 1860, époque de l'extinction du lion du Cap (Panthera leo melanochaita). En Afrique du Nord, le lion de l'Atlas (Panthera leo leo) s'est éteint dans les années 1940, de la même manière, les populations de lion d'Asie (Panthera leo persica) ont en quasi-intégralité disparus au XXe siècle. Un dernier groupe de survivants s'est toutefois réfugié dans le parc national de la forêt de Gir dans l'état de Gujarat, en Inde.

Les lions ont une grande capacité d'adaptation et ont de nombreux habitats différents. L'habitat naturel préféré du lion est la Savane, mais il figure aussi dans les forêts sèches et les demi-déserts. On ne le trouve toutefois jamais dans les forêts denses et humides ou les déserts arides. Par conséquent, l'espèce manque naturellement dans les forêts tropicales humides centrafricaines et les déserts les plus secs de l'Afrique du Nord et du Proche-Orient. La désignation « roi du désert » est ainsi, en réalité, fausse.

Survie[modifier | modifier le code]

Comme pour presque tous les grands animaux d'Afrique, le principal prédateur du lion est l'homme au travers de la chasse. Cette dernière a toutefois légèrement diminué au cours des dernières années, et ce, concernant toutes les espèces.

Les maladies représentent un autre problème, surtout dans le Parc national Kruger en Afrique du Sud. Depuis qu'en 1995, pour la première fois, un cas mortel de tuberculose est apparu là chez les lions, des études approfondies ont été menées dans le parc. Le résultat fut que dans le secteur sud du parc, plus de 90 % des animaux ont été contaminés par les bactéries mortelles. L'infection venait des buffles chassés par les lions qui, par contact avec des bovins domestiques, ont introduit la maladie dans le parc et contaminés les lions. Environ 70 % des bovins souffrent d'une tuberculose pulmonaire (phtisie), chez les lions la maladie se manifeste surtout dans le système digestif. Les animaux deviennent plus faibles, maigrissent énormément et meurent en quelques années. À côté de la tuberculose, il existe encore une seconde maladie. Environ 60 à 70 % des lions du parc sont contaminés par le virus de l'immunodéficience féline (en anglais Feline Immunodeficiency Virus), qui « paralyse » le système immunitaire de l'animal et ouvre ainsi la voie à la tuberculose. Contre les deux virus exterminateurs, il n'existe aucune vaccination.

Approximativement 16 000 à 30 000 lions vivent encore en liberté. L'UICN est parti en 2004 du principe que le nombre de lions a diminué dans le monde entier au cours des vingt dernières années de 30 à 50 %. Les raisons de ce recul sont encore recherchées, mais sont toutefois grandement énigmatiques. L'avenir de ces gros chats semble toutefois sûr dans quelques grandes réserves d'Afrique du Sud et de l'Est.

Mode de vie[modifier | modifier le code]

Comportement social[modifier | modifier le code]

Une lionne à la recherche d'un gibier

Contrairement aux autres fauves, plutôt solitaires, les lions vivent en bandes. Une telle bande se compose principalement de femelles parentes. La dimension du territoire et le nombre de proies déterminent la dimension du groupe variant de 3 à 30 individus. Il y a habituellement dans la bande un à trois mâles en pleine croissance qui, dans la hiérarchie, se situent juste au-dessus des femelles. Le territoire d'un troupeau de lion couvre 20 à 400 km². Leurs frontières sont délimitées par leurs crottes et leur urine, le puissant rugissement (audible à un très grande distance) est également une « revendication » des propriétaires.

Les jeunes mâles restent environ deux à trois ans dans la bande, jusqu'à ce qu'ils aient atteint leur maturité sexuelle ; ils sont chassés. C'est pourquoi les mâles changent de troupeau tous les deux à trois ans.

Quand un mâle a été chassé, il erre parfois pendant des années et se joint le plus souvent un à autre mâle nomade et forme une « coalition ». Ce lien entre deux lions parents ou aussi étrangers peut devenir très fort. Les deux mâles parcourent ensemble des distances très importantes, ne respectent pas les frontières des territoires, mais ne fondent aussi pas leur propre territoire. Puisqu'un mâle solitaire n'a souvent que très peu de succès à la chasse, il se nourrit surtout de charognes.

Si un tel nomade trouve une bande avec un mâle vieux ou faible à sa tête, il attaque le chef de bande. Toutefois, cela n'est pas toujours une réussite. De telles luttes de hiérarchie sont généralement sanglantes, et il n'est pas rare qu'elles s'achèvent mortellement. Si le vieux chef de bande perd la lutte, il est chassé et conduit alors de son côté une vie en tant que solitaire. Souvent, il meurt des conséquences de ses blessures.

Si le nouveau venu gagne, ce dernier en vient fréquemment à l'infanticide, c'est-à-dire qu'il tue que les petits de son prédécesseur. L'utilisation biologique que l'on pourrait y voir, c'est que les femelles n'aient ainsi plus à s'occuper de leurs petits et retrouvent ainsi après un temps court un œstrus leur permettant à nouveau de s'accoupler, le nouveau mâle désirant ainsi étendre ses gènes à la nouvelle génération. Il arrive fréquemment que les femelles contre-attaquent le mâle assassin.[1] Contrairement aux mâles, les femelles passent généralement toute leur vie dans la même bande, celle dans laquelle elles ont été mise au monde.

En général, seul le dos du nez est nettoyé. Il n'y a des soins de fourrure mutuels que lors de salissures grossières, comme par exemple par le sang des proies.

Reproduction[modifier | modifier le code]

Un couple de lions s'accouplant

Les lions atteignent leur maturité sexuelle sociale à l'âge de deux ou trois ans, leur physiologique à 18 mois. Pour vérifier la fécondabilité d'une femelle, le mâle utilise l'organe de Jacobson, se situant sur le palais, sous la surface intérieure du nez. Pour ce faire, le lion relève la lèvre supérieure et ouvre la gueule. Ce processus est qualifié de flehmen.

Même si un mâle arrive au sommet de la hiérarchie, il ne peut s'accoupler avec une femelle qu'avec son consentement. Pour cela la lionne se met sur le ventre et permet au mâle de la monter. Pendant l'accouplement, le lion garde la nuque de la femelle dans sa gueule. Cela la garde instinctivement calme. Si une lionne accepte la copulation, ils s'accoupleront toutes les 15 minutes et ce, environ 40 fois le jour, auquel cas chaque rapport dure environ 30 secondes, jusqu'à ce que l'œstrus de la femelle soit terminé, environ cinq jours plus tard.

De jeunes lionceaux

Après une gestation d'environ quatre mois, la lionne, cachée loin du groupe, met au monde un à quatre petits lionceaux aveugles d'environ 1,5 kg et de 50 cm de haut. Durant six à huit semaines, ils ne seront qu'allaiter par la mère dans la cache. Si cette dernière est assez éloignée du groupe, la mère ira seule à la chasse. Il peut arriver que les petits restent jusqu'à 48 heures seuls dans la cache. Cela est très dangereux, particulièrement à cause des hyènes et bien d'autres prédateurs. Après maximum huit semaines, la lionne amène ses petits parmi le groupe. Il y a rarement des problèmes d'acceptation.

À partir de ce moment, les jeunes lions tètent non seulement leur mère, mais également les autres lionnes, de sorte que l'éducation incombe à toutes les femelles du groupes. Vers l'âge de six mois, les lionceaux sont sevrage (alimentation)sevrés, ils restent encore environ deux ans auprès de leur mère.

La durée de vie d'un lion s'élève de quatorze à vingt ans. Toutefois seule les femelles atteignent un tel âge. Les mâles sont généralement tués par un plus jeune concurrent ou après un longue errance ne trouvent plus plus de groupe et meurent de faim. Ils atteignent donc la plupart du temps sept à douze ans. Quelques lions ont toutefois vécu dans en zoo jusqu'à l'âge de 34 ans.

Alimentation[modifier | modifier le code]

Bataille pour la proie

Des lions chassent généralement dans l'obscurité ou aux heures fraîches du matin. Parmi les proies, certaines antilopes, phacochères, gnous, buffles und zèbres, mais aussi lapins, oiseaux et quelques fois, poissons. Dans certaines régions, des lions se spécialisent même pour un type de proie précis. Ainsi des groupes importants de lions, d'environ 30 individus, attaquent régulièrement des éléphants adultes à Savuti et à Linyanti des hippopotames (tous deux au parc national de Chobe au Botswana). Vers l'âge de deux ans, les lionceaux apprennent l'« art de la chasse », pour partir à trois ans avec leur mère chasser une première fois. Comme les lions ne sont pas des coureurs endurants, leur vitesse de pointe d'environ 60 km/h ne peut être maintenue que peut de temps. Ils doivent cependant en temps normal se jeter à quelques mètres sur la proie.

Les lionnes encerclent la proie et rampent à plat ventre souvent sur plusieurs centaines de mètres jusqu'à leur proie, auquel cas l'environnement est utilisé le plus intelligemment possible pour se camoufler. Plus elles s'approchent de la proie, plus elles ont été vigilante quant au camouflage. Lorsqu'une distance d'environ 30 mètres est atteinte, alors la proie est chargée successivement. Chaque saut fait environ 6 mètres. La proie est alors tuée par une forte morsure au cou de façon à atteindre la veine jugulaire ou la carotide.

Comme ils chassent dans des espaces ouverts, la chasse commune augmente la chance de frapper avec succès une proie. Ils se renvoient aussi la proie entre eux. En outre, la proie dans le groupe peut être défendue plus facilement contre des voleurs comme les lycaon et les hyènes. Seul 20% de tentative de chasse est couronnée par un succès.

Éléphant et lions à Savuti

Les mâles du groupe ne participent qu'exceptionnellement à la chasse, par exemple si des proies très grandes sont attaquées comme des buffles. Après un succès, la hiérarchie du groupe entre en application. Le mâle peut manger en premier, suivent ensuite les femelles haut-placées, enfin les petits. Il y a rarement, auprès du cadavre, des luttes de rang où les membres du groupe se prennent d'importantes blessures.

Souvent, les lions mangent des charognes. Les lions mâles qui ont chassés d'un troupeau, sont contraint de se nourrir exclusivement de telles alimentations. Cela les rend assez furieux d'avoir à chasser d'autres animaux charognards comme les léopards ou les guépards de leur butin. Souvent, le lion a-t-il aussi à chasser les hyènes tachetées de sa proie, et pas inversement, comme on le croyait autrefois. Cela va même si loin dans quelques secteurs de l'Afrique orientale que les hyènes se font voler 70% de leur butin de chasse par les lions.

Externe Systematik[modifier | modifier le code]

Der Löwe zählt zu den Großkatzen und innerhalb derer zur Gattung Panthera, die durch ein nicht ganz verknöchertes Zungenbein charakterisiert ist. Dieser Umstand erlaubt es diesen Katzen zu brüllen, aber dafür sind sie nicht in der Lage auch beim Einatmen zu schnurren, wie eine Hauskatze. Der Löwe schnurrt, wie andere Großkatzen auch, nur beim Ausatmen. Das Schnurren klingt dabei nicht so wie bei einer Kleinkatze, sondern eher wie ein Knurren oder Brummen.

Phylogénie[modifier | modifier le code]

Le plus ancien fossile de lion a été découvert à Laetoli en Tanzanie ; d'après les datations, il aurait probablement 3,5 millions d'années. Vor etwa 700.000 Jahren taucht Panthera leo mit dem Mosbacher Löwen (Panthera leo fossilis) am italienischen Fundort von Isernia zum ersten Mal in Europa auf. Ein 1,75 Millionen Jahre alter Löwen-Unterkiefer aus der Olduvai-Schlucht in Kenia zeigt eine frappierende Ähnlichkeit mit den Mosbacher Löwen. Diese gelten als die größten Löwen Europas und jagten während der Cromer-Warmzeit vor mehr als 500.000 Jahren bei Wiesbaden in Hessen und bei Heidelberg in Baden-Württemberg. Einige Exemplare waren fast so lang wie die größten Löwen der Erdgeschichte, die Amerikanischen Löwen (Panthera leo atrox), aus Kalifornien, die eine Rekordlänge von maximal 3,60 Meter (Kopfrumpflänge: ca. 2,40 Meter, Schwanzlänge: ca. 1,20 Meter) erreichten.

Die meisten Löwenfunde in Europa stammen von eiszeitlichen Höhlenlöwen (Panthera leo spelaea), der sich aus dem Mosbacher Löwen entwickelt hat. In Nordostasien und Beringia lebte mit dem Beringia-Höhlenlöwen (Panthera leo vereshchagini) eine weitere Unterart. In Mitteleuropa, Nordasien und Amerika sind Löwen bis zum Ende des Pleistozän ein häufiges Element der Fauna, sterben dort aber am Ende der letzten Eiszeit aus.

Unterarten[modifier | modifier le code]

Lion asiatique au parc zoologique de Bristol
  • Le lion asiatique (Panthera leo persica) est très semblable au lion africain. D'après les recherches biomoléculaires, il se sépara il y a 50 000 à 100 000 ans de son cousin africain. Il possède une crinière moins importante et un pli au milieu du ventre. Vient encore une pilosité beaucoup plus importante au niveau du coude. Le lion asiatique est en général plus petit que l'africain. Un mâle adulte a une masse corporelle comprise entre 160 et 190 kilogrammes, une femelle entre 110 et 120 kilogrammes. Il s'étendait autrefois sur l'ensemble du sous-continent indien. La taille du groupe est en moyenne moins importante que celle de son homologue africain. Parmi ses proies favorites, nous pouvons citer le cerf axis, le sambar, le sanglier, l'antilope Nilgaut, la gazelle indienne et l'antilope tétracère. Le lion semblait alors destiné à disparaitre. Entre temps, il n'y avait plus qu'une vingtaine d'individus. Au parc national de la forêt de Gir la population put à nouveau augmenter à hauteur de 300 animaux, qui toutefois sont menacés par un fort croisement d'animaux apparentés, qui a mené à la perte de la diversité génétique de ces lions.
  • Le lion de l'Atlas (Panthera leo leo) vivait en Afrique du Nord et avait manifestement une crinière particulièrement importante. Die exzessive Nachstellung führte im Jahre 1922 zum Tod des letzten Vertreters dieser Unterart in Freiheit, die sich bis dahin im Atlas-Gebirge gehalten hatten. Ob die europäischen Löwen zu dieser Unterart gehörten, ist nicht bekannt. Einige Privatleute und Zoos, zum Beispiel in Wien und Dortmund züchten Löwen, die den Berberlöwen äußerlich weitgehend ähneln und wohl noch Berberlöwenblut in sich tragen. Ob es sich dabei aber um reine Berberlöwen, oder um Löwen mit einem gewissen Berberlöwen-Anteil handelt, war bisher kaum zu ermitteln. Es werden jedoch zur Zeit genetische Untersuchungen durchgeführt, um dies zu klären. Die Löwen stammen von Tieren ab, die über mehrere Generationen in Gefangenschaft gehalten wurden und über deren genaue Herkunft nichts wirklich Stichhaltiges zu ermitteln ist. Da Löwen in Gefangenschaft relativ leicht zu züchten sind, ist es durchaus möglich, dass es sich um Berberlöwen handelt.
  • Der Kaplöwe (Panthera leo melanochaitus) Südafrikas ist sicher ausgestorben; diese größte Löwen-Unterart fiel im 19. Jahrhundert den Großwildjägern zum Opfer.
  • Der Transvaal-Löwe (Panthera leo krugeri) Südafrikas ist eine eigene Unterart und noch im Krüger-Nationalpark anzutreffen.
Angola-Löwe (Panthera leo bleyenberghi) Matadi im Leipziger Zoo
  • Der Massai-Löwe (Panthera leo massaicus) in Äthiopien, Kenia, Tanzania bis nach Mosambique
  • Der Senegal-Löwe (Panthera leo senegalensis) ist im Westen zu finden, von Senegal bis Nigeria
  • Der Angola-Löwe (Panthera leo bleyenberghi) ist noch in Katanga (Kongo) anzutreffen
  • Le lion européen (Panthera leo) s'étendait durant l'Antiquité jusqu'au sud de l'Europe occidentale comme au Moyen et Proche-Orient.

spelea-Gruppe[modifier | modifier le code]

Die ausgestorbenen, prähistorischen Löwen Amerikas und Nordeurasiens bilden eine eigene Rassengruppe (spelea-Gruppe), die sich genetisch von den Löwen Afrikas und Südasiens (leo-Gruppe) unterscheidet. Dazu zählen:

Kryptozoologische Art[modifier | modifier le code]

Die Kryptozoologie beschäftigt sich mit dem Marozi, einem angeblich gefleckten Löwen mit kurzer Mähne, der im Hochland von Kenia leben soll. Das Fell eines derartigen Löwen wird noch heute im Naturhistorischen Museum in London aufbewahrt. Seit Ende der 1930er Jahre gab es keine Sichtung mehr. Behauptungen, solche Löwen seien Hybride aus Löwen und Leoparden, sind mehr als unwahrscheinlich, da sich diese Tiere in der Natur normalerweise feindlich gesinnt sind. In Gefangenschaft konnten dagegen schon mehrfach Hybriden aus Löwen und Leoparden dokumentiert werden, allerdings weist deren Fell ein anderes Muster als das vermeintliche Marozi-Fell in London auf.

Löwen und Menschen[modifier | modifier le code]

Löwen gehören zu den bekanntesten Tieren und zählen zu den „Big Five“, den fünf prominenten Großwildarten Afrikas.

Lions dans la religion et la mythologie[modifier | modifier le code]

Fichier:Lion man.jpg
L'homme lion
Sphinx de Gizeh

Les chasseurs du Paléolithique supérieur (Aurignacien) représentaient déjà le lion il y a plus de 30 000 ans. L'homme lion, sculpture d'ivoire de mammouth de près de 30 centimètres de haut, représentant le corps d'un homme surmonté d'une tête de lion des cavernes, compte parmi les œuvres d'art les plus impressionnantes de cette époque, mais également parmi les plus anciennes de toute l'histoire de l'humanité. Elle incarnait peut-être une divinité.

Dans de nombreuses culture, le lion a endossé le statut de « roi des animaux ». Cette appelation remonte au Physiologos, bestiaire antique, traitant en particulier de la symbolique des animaux, qui a grandement influencé la culture occidentale.

La fascination des hommes par cet animal devient claire de par la multiplicité d'écussons sur lesquels il est illustré. Ainsi, on le retrouve, par exemple, sur les écussons de Hesse, de Zurich, de l'Aquitaine et du Monténégro (voir Lion (héraldique)). Qu'il s'est fait connaitre des Européens, remonte au temps où il s'étendait autour de la Méditerranée. Dans la mythologie grecque, les lions apparaissent dans diverses fonctions : Le lion de Némée, représenté comme une bête mangeuse d'hommes à la peau impénétrable, fut tué par Héraclès, durant ses douze travaux. Dans l'histoire d'Androclès, une des fables d'Ésope, le héros, un esclave échappé, retire une épine de la patte d'un lion ; quand plus tard, pour le punir de son évasion, il fut jeté par son maitre au lion pour être dévorer, l'animal le reconnu et refusa de tuer l'homme.

Dans de nombreuses cultures antiques, le lion jouait un rôle. En Égypte, les Pharaons furent représentés par des sphinx, lions à la tête humaine. La plus célèbre de ces représentations est le Sphinx de Gizeh. À côté du corps de lion du Pharaon, Sekhmet fut vénérée en tant que déesse au corps humain et à tête de lion. De plus, la mythologie égyptienne fait également état du dieu Dédoun, le « Seigneur de Nubie ».

Dans le firmament de l'hémisphère nord, il existe deux constellations nommées par cet animal : le Lion et le Petit Lion. La première, comme toutes les constellations du Zodiaque, tire ses origines de la Grèce antique. Ainsi, elle fut mentionné par Ptolémée dans son Almageste et correspondrait au lion de Némée tué par Hercule. La seconde, situé juste au-dessus, a été quant à elle introduite au XVIIe siècle.

Que le lion ait l'image d'un animal puissant et fort, s'explique par le fait que jusqu'il y a peu, des hommes étaient surnommés par son nom. Le seigneur de guerre afghan, Ahmed Chah Massoud par exemple était appelé par ses adeptes le « lion du Panshir », l'empereur éthiopien Hailé Sélassié se fit appeler le « lion conquérant de la tribu de Juda ».

Menschenfressende Löwen[modifier | modifier le code]

In Afrika fallen weitaus mehr Menschen dem Flusspferd zum Opfer als dem Löwen. Auch der Leopard steht in dem Ruf, Menschen gefährlicher zu sein als diese Großkatzenart. Trotzdem sind einige Fälle von Löwen überliefert, die gezielt Jagd auf Menschen machten. Zu den bekanntesten Fällen gehören zwei Löwen, die im Jahr 1898 im damaligen Britisch-Ostafrika, dem heutigen Kenia, zahlreiche indische und afrikanische Arbeiter töteten, die mit dem Bau einer Eisenbahnbrücke über den Tsavo-Fluss beschäftigt waren. Diesen zwei Löwen werden zwischen 14 und 135 Opfer zugeschrieben, bei der Suche nach den Ursachen tun sich Forscher bis heute schwer[2]: „Warum entwickeln manche Löwen Appetit auf Zweibeiner? Forscher haben den Fall zweier berühmter Bestien untersucht: Bei der Umstellung ihres Speiseplans, so das Ergebnis, haben Menschen kräftig geholfen. ... Nachlässige Begräbnispraktiken während eines schweren Pockenausbruchs und einer nachfolgenden Hungersnot taten ein Übriges, um die Raubkatzen an den Geschmack von Menschenfleisch zu gewöhnen.[3]

Die Bauarbeiten an der Brücke kamen zum Erliegen, als die Löwen auch in Camps eindrangen, die mit hohen Dornenwällen umfriedet worden waren und dort Menschen töteten und fraßen. Der Leiter des Bauprojektes, der britische Oberstleutnant John Henry Patterson benötigte neun Monate, um die zwei Löwen aufzuspüren und zu erlegen. Beide Löwen erwiesen sich als gesunde männliche Tiere, die mähnenlos waren und von einer ungewöhnlichen Körpergröße. Sie waren von der Schwanzspitze an 2,95 beziehungsweise 2,90 Meter lang und hatten eine Schulterhöhe von 1,20 bzw. 1,15 Meter.

Die Vorkommnisse während des Brückenbaus am Tsavo-Fluss inspirierten zwei Hollywood-Produktionen: Der erste kommerzielle 3D-Film, der im Jahre 1952 gedreht und in Deutschland unter dem Titel „Bwana, der Teufel” veröffentlichte wurde, und „Der Geist und die Dunkelheit” von 1996 griffen dieses Ereignis auf.

Die beiden erlegten Löwen sind im Field Museum of Natural History in Chicago zu bestaunen.

Literatur[modifier | modifier le code]

  • P. Caputa: Der kahle König. In: National Geographic. Deutsche Ausg. G&J, Hamburg 2002. (ISSN 0027-9358)
  • Richard Despard Estes: The behaviour guide to African mammals. Univ. of California Press, Berkeley 1991, S.369. (ISBN 0-520-05831-3)
  • Günter Kloss: Der Löwe in der Kunst in Deutschland. Skulptur vom Mittelalter bis heute. Imhof, Petersberg 2005, (ISBN 3-86568-054-2)
  • Gus Mills, Martin Harvey: African Predators. Struik Publishers, Cape Town 2001, (ISBN 1-86872-569-3)
  • Ronald M. Nowak: Walker's Mammals of the World. Vol. 1. 6. Aufl. Johns Hopkins Univ. Press, Baltimore 1999, S.832. (ISBN 0-8018-5789-9)
  • Bruce D. Patterson: The lions of Tsavo. Exploring the legacy of Africa's notorious man-eaters. McGrawHill, New York 2004, (ISBN 0-07-136333-5)
  • Alan Turner, Mauricio Anton: The Big Cats and Their Fossil Relatives. An Illustrated Guide to Their Evolution and Natural History. Columbia Univ. Press, New York 1997. (ISBN 0-231-10229-1)
  • Wighart v. Koenigswald: Lebendige Eiszeit. Theiss-Verlag, Stuttgart 2002. (ISBN 3-8062-1734-3)
  • Ernst Probst: Höhlenlöwen. Raubkatzen im Eiszeitalter. GRIN Verlag für akademische Texte, München 2009, (ISBN 3-640-27263-3)
  • Joachim Burger u. a.: Molecular phylogeny of the extinct cave lion. Panthera leo spelea. In: Molecular Phylogenetics and Evolution. Elsevier, San Diego Ca 30.2004, S.841–849 (PDF). (ISSN 1055-7903)
  • Kelum Manamendra-Arachchi, Rohan Pethiyagoda, Rajith Dissanayake, Madhava Meegaskumbura. 2005. A second extinct big cat from the late Quaternary of Sri Lanka. The Raffles Bulletin of Zoology. Supplement No. 12: 423–434. National University of Singapore. Online pfd
  • Mustafa Haikal: "Die Löwenfabrik. Lebensläufe und Legenden". Mit einem Nachwort von Jörg Junhold,Pro Leipzig, Leipzig 2006, (ISBN 3-936508-15-1)

Filmdokumentationen[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

wikilien alternatif2

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Lion.

Sources[modifier | modifier le code]

  1. (en) Informations sur les infanticides avec vidéos sur le site du Lion Reserch Center
  2. Chicago Field Museum
  3. tigerforum.de