Idrac-Respaillès

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Idrac-Respaillès
Idrac-Respaillès
Mairie d'Idrac-Respaillès
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Astarac Arros en Gascogne
Maire
Mandat
Nicole Laberenne
2020-2026
Code postal 32300
Code commune 32156
Démographie
Gentilé Idracais
Population
municipale
215 hab. (2021 en augmentation de 0,94 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 31′ 31″ nord, 0° 27′ 30″ est
Altitude Min. 155 m
Max. 266 m
Superficie 13,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Auch
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mirande-Astarac
Législatives Première circonscription
Localisation
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Idrac-Respaillès
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Idrac-Respaillès
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Idrac-Respaillès

Idrac-Respaillès (Idrac e Hrespalhers en gascon) est une commune française située dans le sud du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Baïse et par divers autres petits cours d'eau.

Idrac-Respaillès est une commune rurale qui compte 215 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 526 habitants en 1856. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Auch. Ses habitants sont appelés les Idracais ou Idracaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune de Gascogne située dans l'Astarac. Le chef-lieu de canton, Mirande, se trouve à 6 km à l'ouest.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Labéjan, Loubersan, Miramont-d'Astarac, Mirande et Saint-Médard.

Communes limitrophes d’Idrac-Respaillès[1]
Miramont-d'Astarac
Mirande Idrac-Respaillès Labéjan
Saint-Médard Loubersan

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude moyenne de la commune est 250 m.

Idrac-Respaillès se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Idrac-Respaillès.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Baïse, la Barrousse, le ruisseau de Nein, le ruisseau d'en Traouère, le ruisseau de Puységur, le ruisseau de Vidaillan et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 23 km de longueur totale[4],[Carte 1].

La Baïse, d'une longueur totale de 187,6 km, prend sa source dans la commune de Capvern et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Léger, après avoir traversé 52 communes[5].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 808 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mirande à 4 km à vol d'oiseau[8], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 818,5 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[12],[13],[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Idrac-Respaillès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[15],[I 1],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auch, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,6 %), zones agricoles hétérogènes (38 %), prairies (4,5 %), forêts (3,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Idrac-Respaillès est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Idrac-Respaillès.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 103 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 103 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2009 et 2015. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1993 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Idrac-Respaillès possédait une abbaye, dépendant, à partir du XIIe siècle, du chapitre de Sainte-Marie-d'Auch. Occupée par les protestants au XVIe siècle, elle fut reprise par le maréchal de Matignon, qui la détruisit.

Les 6 et , Idrac-Respaillès a accueilli le second forum départemental « Changements climatiques - maîtrisons notre énergie »[22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2006 André Lafforgue    
2006 En cours Nicole Laberenne[23] DVG Fonctionnaire
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25]. En 2021, la commune comptait 215 habitants[Note 3], en augmentation de 0,94 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
166163176169481454478525526
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
508506426436412414418405379
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
335302257257241244238216227
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
195182188186201206212214215
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Par sa population, Idrac-Respaillès arrive au 877e rang des 3 020 municipalités de la région Midi-Pyrénées. Au recensement de 2006, la commune comptait 206 habitants, dont 52,4 % d'hommes (48,3 % en 1999) et 47,6 % de femmes (51,7 % en 1999).

Les couples mariés représentent 49,7 % de la population, les célibataires 33,7 %, les veufs 10,3 % et les divorcés 6,3 %.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 82 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 211 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 160 [I 4] (20 820  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 6,4 % 4,6 % 4,5 %
Département[I 7] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 134 personnes, parmi lesquelles on compte 79,7 % d'actifs (75,2 % ayant un emploi et 4,5 % de chômeurs) et 20,3 % d'inactifs[Note 5],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Auch, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 78 emplois en 2018, contre 70 en 2013 et 47 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 101, soit un indicateur de concentration d'emploi de 77,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,2 %[I 10].

Sur ces 101 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 30 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 80 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 17 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

Seize établissements[Note 6] sont implantés à Idrac-Respaillès au [I 13].

Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (quatre sur les seize entreprises implantées à Idrac-Respaillès), contre 12,3 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Idrac-Respaillès est une commune agricole, dont les principales ressources sont la culture des céréales, de la vigne et des fruits, ainsi que l'élevage bovin et porcin.

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers[28]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 7] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 35 20 21 15
SAU[Note 8] (ha) 954 802 885 928

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 35 lors du recensement agricole de 1988[Note 9] à 20 en 2000 puis à 21 en 2010[30] et enfin à 15 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 57 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[31],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 954 ha en 1988 à 928 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 27 à 62 ha[30].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monuments[modifier | modifier le code]

  • Site castral d'Antajan. Un castellum d’Antajan qui semble appartenir au comte d’Astarac est cité en 1200 dans le cartulaire de Berdoues : « in castello qui vocatur Antaian vel in omnibus pertinentiis ejus » (acte n°101)[32]. Le site castral est probablement localisé dans l’actuelle commune d’Idrac-Respaillès[33], sans certitude par manque de vestiges repérables en élévation.
  • Site castral d'Idrac. Un castellum d'Idrac est mentionné pour la première fois au début du XIIe siècle dans le cartulaire noir d’Auch : « Apud Idrag […], dedi Trilam, que cira vallum castelli habetur » (acte n° 86)[34] : il appartient à une famille de petits seigneurs, qu'on retrouve à plusieurs reprises dans le cartulaire noir d’Auch (« Anesancius de Idrag, miles », acte n°86)[34] et dans le cartulaire de Berdoues (« Arnaldus Ramundus d’Idrac et de Sancte Medardo », acte n°56)[32] aux XIIe et XIIIe siècles. Le site castral ne peut être localisé avec certitude par manque de vestiges repérables en élévation.
  • Site castral d'En Jouanicot. Une enceinte de plan ovale (38 mètres sur 29 mètres) est délimitée par des fossés de 8 mètres de large et de 2 mètres de profondeur : son tracé est bien visible sur le plan cadastral de 1823[35] et sur les photographies aériennes[36]. Elle aurait été créée avant la seconde moitié du XIIIe siècle, peut-être dès le XIIe siècle, pour abriter la demeure seigneuriale de la famille de Respaillès[37], dont aucun vestige n’est visible aujourd'hui en élévation. Propriété privée, ne se visite pas.
  • Château de Lasmurailles. Un seigneur de Las Murailles est cité en 1609 dans le cadastre d’Idrac : « François de Martres, sieur de Las Murailles »[38]. L’actuelle maison de Lasmurailles, sur un éperon surplombant la Petite Baïse, constitue probablement le centre d’exploitation de cette ancienne seigneurie. Une tour s’appuie à l’angle sud-est du bâtiment principal. Propriété privée, ne se visite pas.
  • Ruines d'un moulin à vent.
  • L'église Saint-Jacques, fortement remaniée, date du XIVe siècle. De l'époque gothique, elle conserve son portail, et un buste-reliquaire censé guérir les enfants.

Sites naturels[modifier | modifier le code]

Culture[modifier | modifier le code]

La fête patronale se déroule le .


Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  8. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  9. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[29].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Idrac-Respaillès » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Idrac-Respaillès » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Idrac-Respaillès » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Idrac-Respaillès » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Idrac-Respaillès » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale d'Idrac-Respaillès », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. Sandre, « la Baïse »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Idrac-Respaillès et Mirande », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  10. « Station Météo-France « Mirande » (commune de Mirande) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Idrac-Respaillès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Idrac-Respaillès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Liste des espaces protégés sur la commune d'Idrac-Respaillès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Idrac-Respaillès », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Idrac-Respaillès », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. La Dépêche du Midi, « Mirande. Mirande consacre la journée au développement durable », La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Site de la préfecture - Fiche de Idrac-Respaillès
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  29. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  30. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune d'Idrac-Respaillès - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  31. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).
  32. a et b « Cartulaire de l'abbaye de Berdoues ».
  33. Benoît Cursente, Les Castelnaux de la Gascogne médiévale, Bordeaux, Fédération historique du Sud-Ouest, , p. 121..
  34. a et b Cyprien Lacave La Plagne Barris (éd.), Cartulaires du Chapitre de l'église métropolitaine Sainte-Marie d'Auch. Cartulaire noir, publiés pour la Société historique de Gascogne, Paris, H. Champion, (lire en ligne).
  35. Archives départementales du Gers, 3P_IDRAC-RESPAILLES_10, section H, n°152-153.
  36. « Géoportail ».
  37. Nicolas Guinaudeau, Fortifications seigneuriales et résidences aristocratiques gasconnes dans l'ancien comté d'Astarac entre le Xe et le XVIe siècle, thèse d’Histoire, sous la direction de Philippe Araguas, Bordeaux, Université Michel de Montaigne - Bordeaux III, , p. 357..
  38. Archives départementales de la Haute-Garonne, 3 E 23892.