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Opera

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Opera
Description de l'image Opera 2015 icon.svg.

Informations
Développé par Opera Software
Première version 1.0 (MultiTorg Opera) ()
Dernière version 114.0.5282.185 (Microsoft Windows, macOS, Linux, )[1]Voir et modifier les données sur Wikidata
État du projet Supporté
Écrit en C++Voir et modifier les données sur Wikidata
Système d'exploitation Microsoft Windows, macOS, Linux, iOS, Android et ChromeOSVoir et modifier les données sur Wikidata
Environnement AndroidVoir et modifier les données sur Wikidata
Formats lus Opera Hotlist (v2.0) / bookmark (d), Opera Widget (d) et MIME Encapsulation of Aggregate Documents, such as HTMLVoir et modifier les données sur Wikidata
Formats écrits Opera Hotlist (v2.0) / bookmark (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Langues Multilingue
Type Navigateur web
Politique de distribution Gratuiciel
Licence Propriétaire avec des composants Open source[2]
Site web www.opera.com/fr

Opera est un navigateur web gratuit développé initialement par la société norvégienne Opera Software et détenu depuis 2016 par le consortium chinois Golden Brick. Le navigateur est disponible sur PC (Windows, Linux, MacOS) et mobiles (Android et IOS).

Opera totalise environ 1,9 % de parts de marché des navigateurs web, et environ 2,3 % sur les mobiles en mars 2021. Depuis sa version 15 en 2013, Opera est basé sur Chromium[a].

Le navigateur est ou a été disponible pour de nombreuses architectures et plates-formes, de Windows à OS/2, en passant par Linux, FreeBSD, Solaris et macOS, tant sur les architectures x86 que SPARC et sur les matériels Twin de l'opérateur ADSL Neuf, la Nintendo DS, la Wii, Wii U et le Nokia N800.

Il existe aussi des dérivés comme : Opera GX, Opera crypto (actuellement non disponible) et Opera mini. Il existe aussi des versions bêta comme : Opera bêta et Opera mini bêta.

Plates-formes

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Opera est disponible sur PC pour Windows, Linux, MacOS.

Opera est disponible sur Android et iOS. Des versions alternatives Opera Mini, Opera GX, Opera Mobile et Opéra Touch sont également disponibles.

Les débuts

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En 1992, Jon Stephenson von Tetzchner et Geir Ivarsøy étaient membres d'un groupe de recherche à Televerket, la compagnie publique norvégienne de télécommunications (désormais nommée Telenor). Le groupe prit part au développement de ODA, un système basé sur des standards pour le stockage et la recherche de documents, d'images et d'autres contenus numériques. Le système ODA ne fut jamais utilisé à grande échelle malgré son efficacité et fut abandonné. Le groupe de recherche créa également le premier serveur Internet norvégien et leurs premières pages personnelles en 1993.

Les membres du groupe pensaient toutefois que le navigateur NCSA Mosaic avait une structure trop « plate » pour être efficace dans la navigation sur le Web. Sur la base de ces constatations, le groupe s'intéressa au principe de développer un nouveau navigateur de documents en partant de rien. Inspirés par le projet ODA, ils virent le potentiel du développement d'un navigateur plus adapté aux multiples facettes de la structure du Web. Leur compagnie mère Televerket leur donna le feu vert et fin 1993, le premier prototype était réalisé et fonctionnel.

En 1994, Televerket devint une société anonyme où l'État était actionnaire majoritaire, et von Tetzchner et Ivarsøy furent autorisés à continuer le développement par eux-mêmes dans les locaux de Televerket.

Fin 1995, Televerket changea de nom pour Telenor, et l'entreprise Opera Software fut alors créée dans les mêmes locaux qu'auparavant. Leur produit était initialement connu sous le nom de MultiTorg Opera et fut rapidement reconnu par la communauté des internautes pour son interface multidocuments (MDI) et sa « hotlist » (barre latérale) qui facilitait la consultation de plusieurs pages à la fois.

Toutefois, Televerket se trouvait face à un dilemme : une dérégulation totale du marché norvégien des télécommunications était prévue pour l'année 1998, ce qui signifiait qu'elle devait se préparer à la concurrence. Il n'était pas sûr que le navigateur correspondrait à son cœur de métier.

L'année 2000 marque le lancement de la version Opera 4.0[3].

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Des versions 4 à 6, Opera utilisa le moteur de rendu HTML Elektra et changea de moteur lors de la sortie d'Opera 7, le .

Le moteur de rendu HTML Presto permet d'améliorer la gestion des feuilles de style CSS, de l'interpréteur JavaScript et du support de DOM. Le support de ce dernier, couplé à JavaScript permet de rendre l'interprétation des pages dynamiques. Ainsi, certains éléments se voient réinterprétés et le contenu peut bouger en réagissant à toutes sortes d'événements dictés par l'utilisateur ou définis par le concepteur de la page Web. Le passage à Presto a également permis la correction de nombreux bugs.

Opera Software a décidé de vendre des licences d'utilisation de son moteur Presto à plusieurs entreprises ; c'est ainsi qu'il est utilisé par Adobe Dreamweaver MX et Adobe Creative Suite 2 et suivant[4].

Avec l'arrivée de Opera 15 en 2013, WebKit, puis Blink, remplacent Presto.

Vers le grand public

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En débuta une phase restreinte de tests préliminaires de Opera 7.6. Cette version proposa un support plus abouti des standards, et introduisit le support de la voix pour Opera, et le support de Voice XML. Opera annonça également un nouveau navigateur pour la télévision numérique, lequel incluait l'option Fit to Width (« ajustement à la largeur ») créée pour Opera 8. C'est une technologie propriétaire qui combine la puissance du CSS, avec la technologie interne d'Opera. Les pages sont redimensionnées de manière dynamique, en diminuant la taille des images ou du texte et même en supprimant les images de taille spécifique, pour l'ajuster à la largeur de n'importe quel écran, améliorant ainsi grandement son utilisation sur de petits écrans. Opera 7.6 ne fut jamais distribuée en tant que version finale.

Le , sortie de la version 8.0. En plus du support de SVG Tiny, des fonctionnalités multimodales et de User JavaScript (scripts JavaScript créés par l'utilisateur), l'interface utilisateur fut nettoyée et simplifiée. La page de démarrage par défaut est un portail de recherche amélioré. Cela suggère que le navigateur vise une cible commerciale plus générale, plutôt que des utilisateurs expérimentés. Ceci, toutefois, n'a pas été bien accueilli par certains des utilisateurs, car quelques paramètres avancés sont désormais cachés. Le , la version de démonstration technologique d'Opera 8.02 inclut, pour la première fois, un client BitTorrent simple qui fut introduit dans la version 9.0 d'Opera.

Le marque un tournant dans la stratégie d'Opera Software avec la version 8.5. Aucune nouvelle fonctionnalité n'apparaît dans cette version, mais le navigateur devient un produit gratuit. Auparavant, Opera se déclinait en deux versions : une version payante au prix de 34  et une version gratuite qui incluait une bannière de publicité. Toutefois, le logiciel reste payant pour certaines plates-formes (Opera pour Windows Mobile, par exemple).

Maintenant, la société Opera tire ses revenus des versions pour appareils mobiles (comme les assistants personnels et les téléphones mobiles) du navigateur, les autres versions (pour Windows, Linux et Mac OS) servant de vitrines technologiques.

Le , Opera et Nintendo annoncent leur partenariat pour l'intégration du navigateur sur la console de jeu portable DS, illustrant l'orientation de plus en plus marquée d'Opera vers les systèmes embarqués. Le , Nintendo a également annoncé qu'Opera serait le navigateur qui équiperait la Wii, leur nouvelle console de salon, navigateur qui est maintenant disponible dans sa version finale.

Le , Opera lance officiellement la version 9.0 de son navigateur. Cette version intègre les téléchargements par fichiers BitTorrent. Elle intègre également des widgets permettant de personnaliser le navigateur (en y ajoutant une calculatrice, une horloge...) fournis par la communauté.

Cette nouvelle version accepte de faire apparaître les éditeurs WYSIWYG disponibles sur différents sites Web. Elle passe avec succès le test Acid2, qui vise à tester la qualité de l'implémentation de certaines fonctionnalités de CSS 2 et d'autres standards du Web du moteur de rendu.

Le , la version 9.10 d'Opera est lancée. Elle propose notamment un filtre anti-hameçonnage fourni par GeoTrust ou encore PhishTank.

Le , la version 9.20 est publiée. Celle-ci corrige quelques bogues et apporte plusieurs nouvelles fonctionnalités dont l'appel rapide, qui consiste à afficher une miniature de 9 sites, choisis par l'utilisateur, lorsque celui-ci ouvre un onglet vierge. Il peut ainsi accéder rapidement et visuellement à ses sites favoris en deux clics.

En , Opera annonce, en même temps que WebKit, atteindre deux des trois objectifs du test Acid3, à savoir le score de 99/100[5],[6] et le rendu parfait au pixel près[7].

Le , sortie de la version 9.50 build 10063 finale. Il inclut un nouveau mode de défilement de page appelé Drag to Scroll. Cette fonction, à l'aide d'un raccourcis clavier (Control+Alt) et d'un clic gauche permet « d'empoigner » une page (ou une zone de la page s'il s'agit d'une zone de texte ou d'une frame/iframe) de manière plus rapide et précise, à l'instar de l'outil « main » que l'on retrouve dans de nombreux logiciels de traitement d'images. Opera propose la synchronisation des signets et des notes en ligne, avec le site communautaire My Opera.

Le , sortie de la version 9.6 build 10447.

Le , Opera présente et sort par la même occasion une fonctionnalité innovante : Opera Unite[8].

Le , Opera sort la version 10.00. Voici quelques-unes de ses nouveautés :

  • Opera Turbo, qui accélère par 2 ou plus les connexions les plus lentes mais réduit la qualité des images ;
  • le Speed Dial, renommé « Accès rapide » par la suite, qui est une liste — sous la forme d'une grille de miniatures — de sites web choisis par l'utilisateur et affichés lors de l'ouverture d'un nouvel onglet ;
  • la refonte du style du logiciel ;
  • les onglets peuvent afficher une miniature des sites.

Le , Opera sort la version 10.10. Elle inclut la version finale d'Opera Unite.

En 2010 sort la version finale d'Opera 11. Cette version ajoute le support des extensions du navigateur, à la manière de Google Chrome ou Mozilla Firefox.

Le , Opera sort la version 11.10. Cette nouvelle version du navigateur apporte la mise à jour du moteur de rendu Presto en 2.8, la prise en charge du format d'image WebP développé par Google, l'installation silencieuse des plugins externes et la mise en place du SpeedDial 2.0

Le , Opera lance son nouveau channel de développement : Opera Next[9] et propose dans la foulée une version alpha de Opera 11.50 baptisée Swordfish.

Le , Opera publie la version beta d'Opera 11.50 (Swordfish)[10] sur son channel de développement Opera Next. Cette version beta propose des extensions dans le speed dial, une amélioration notable d'Opera Link pour le transfert des données personnelles et enfin un meilleur support du HTML5 et du format SVG. Peu après sort la version d'Opera 11.50.

Le , Jon Stephenson von Tetzchner, fondateur d'Opera annonce son départ de la société dans un courriel adressé aux employés.

Transition vers Chromium

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Le , Opera annonce sa transition vers Chromium, le moteur de rendu HTML passant alors de Presto à WebKit[11],[12], puis de facto Blink[13].

Rachat par Golden Brick

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En , Opera fait l'objet d'une offre d'acquisition par un groupe d'investisseurs chinois pour un montant de 1,2 milliard de dollars, offre qui est approuvée par la direction de l'entreprise[14]. L'offre échoue par la non-validation de l'opération par les autorités de la concurrence américaine. À la place de cette offre, le consortium chinois propose de n'acquérir qu'une partie des activités d'Opera, pour 600 millions de dollars, dans le but d'avoir l'approbation de l'autorité de la concurrence américaine [15].

En novembre 2016, la vente du navigateur et de la marque Opera est finalisée pour 575 millions de dollars[16].

Critiques sur la vie privée

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En , est révélé que Google Chrome intègre une API qui permet aux sites et services de Google d'accéder aux informations tels que le processeur, le processeur graphique, la mémoire vive et aux journaux de visite des internautes sur les domaines Google. Cette API est intégrée à l'extension hangout services ne peut être désactivée, bien que cela soit contraire à la législation européenne sur les marchés numériques (DMA). Cette API a été trouvée sur les navigateurs utilisant Chrome comme base, tels que Microsoft Edge, Opera et Brave[17].

Malgré la transition de Google Chrome vers le framework Manifest V3, qui rend certaines extensions inutilisables, Opera annonce sa volonté de continuer de supporter sur son navigateur web les extensions Manifest V2 (telles qu'UBlock Origin) et d'offrir sa fonction intégrée de blocage de publicités[18].

Historique des sorties

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Versions pré-Chromium (1996-2012)

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La dernière version de cette série est la 12.18 pour Windows[19] ou 12.16 pour Mac OS X et Linux[20].

  • Ancienne version
  • Version actuelle
  • Version avancée

Versions basées sur Chromium (depuis 2013)

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La version actuelle de cette série est la 114.0.5282.185, 115.0.5322.36 et 116.0.5341.0[21].

  • Ancienne version
  • Version actuelle
  • Version avancée
Moteur

JavaScript

Moteur

de rendu

Version Basé sur

Chromium

Date de lancement Changements significatifs
V8 Blink 15.0 28 Nouvelle interface, barre d'adresse et de recherche unifiée.
16.0 29 Géolocalisation, meilleure intégration à Windows 7 et Windows 8, mode présentation pour Mac OS X.
17.0 30 Favoris, onglets épinglés.
18.0 31 Barre d'accès rapide aux favoris, thèmes, déplacement des onglets entre fenêtres.
19.0 32 Barre d'onglets, création de thèmes, paramètres avancés.
20.0 33 Onglets glissables, nouvelles options pour le speed dial.
21.0 34 Utilisation de la technologie aura, meilleure complétion d'URL, nouveaux badges pour le HTTPS.
22.0 35 Ajout de thèmes par défaut.
23.0 36 Blocage des contenus non sécurisés dans une session sécurisée, nouveau menu de mise en favori.
24.0 37 Prise en charge du HiDPI (hautes résolutions) sur Windows, prévisualisation des onglets.
25.0 38 Nouvelle gestion des favoris, support des notifications web, lecteur de PDF intégré.
26.0 39 Partage et synchronisation des favoris, import des paramètres d'autres navigateurs, aperçu avant impression.
27.0 40 Menu des onglets, nouvelle page de démarrage, meilleur support de PPAPI.
28.0 41 Synchronisation des favoris entre les différents supports, amélioration du gestionnaire de favoris.
29.0 42 Synchronisation du Speed Dial et des onglets ouverts, personnalisation des raccourcis claviers, indicateur audio sur les onglets.
30.0 43 Support des barres latérales pour les extensions, support des Encrypted Media Extensions.
31.0 44 Support du DRM Widevine (utilisé entre autres par Netflix), synchronisation de l'historique de navigation.
32.0 45 Synchronisation des mots de passe, thèmes animés, amélioration de la gestion des favoris.
33.0 46 Compression Turbo 2 améliorée, fin du support NPAPI
34.0 47 Fin de support des NPAPI (y compris plugin Silverlight)
35.0 48 Permet de couper le son d'un l'onglet
36.0 49 Nouvelle page de démarrage, support du tactile sous Windows 10
37.0 50 Intégration native du blocage des publicités, possibilité d'afficher une vidéo de manière flottante au-dessus des autres fenêtres
38.0 51 Économiseur de batterie
39.0 52 Lecteur de flux intégré
40.0 53 Intégration native d'un VPN, support de Chromecast
41.0 54 Amélioration de la vitesse de chargement au démarrage, accélération matérielle pour la vidéoconférence
42.0 55 Intégration d'un convertisseur de devises
43.0 56 Profile Guided Optimization (PGO) pour Windows
44.0 57 Prise en charge de la Touch Bar sur le MacBook Pro
45.0 58 Nouveau design et ajout de Facebook Messenger dans la barre lattérale
46.0 59 Amélioration du design et du VPN intégré
47.0 61 Amélioration du lecteur vidéo intégré
48.0 62 -
49.0 63 Support de la réalité virtuelle
50.0 63 Première version à protéger l'extration des crypto-monnaies
51.0 64 Plus performants et 38% plus rapide que Firefox 58
indice[21] - - -

Parts de marché

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Évolution du marché des navigateurs web depuis 2008[22],[23]

Moyenne en pourcents :

  • Chrome (Google) (66,7 %)
  • Safari (Apple) (16,9 %)
  • Edge + IE (Microsoft) (4,6 %)
  • Firefox (Mozilla) (2,8 %)
  • Samsung Internet (Samsung Electronics) (2,3 %)
  • Opera (Opera Software) (1,5 %)
  • Autres (5,2 %)
Les parts de marché des navigateurs Web dans le monde,
toutes plateformes confondues (août 2024 - mettre à jour)
Source Chrome
(Google)
Safari
(Apple)
Edge + IE
(Microsoft)
Firefox
(Mozilla)
Samsung Internet
(Samsung Electronics)
Opera
(Opera Software)
Autres
StatCounter[24] 65,2 % 18,6 % 5,4 % 2,7 % 2,6 % 2,2 % 3,4 %
W3Counter[25] 68,2 % 15,2 % 3,7 % 2,8 % 2,1 % 0,9 % 7,1 %
Moyenne 66,7 % 16,9 % 4,6 % 2,8 % 2,3 % 1,5 % 5,2 %
Les parts de marché des navigateurs mobiles dans le monde (août 2024 - mettre à jour)
Source Chrome
(Google)
Safari
(Apple)
Samsung Internet
(Samsung)
UC Browser
(UCWeb)
Opera
(Opera Software)
Firefox
(Mozilla)
Autres
StatCounter[26] 66,2 % 23,3 % 4,1 % 1,8 % 2,0 % 0,6 % 2,0 %

Notes et références

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  1. Opera utilise dorénavant le moteur de rendu HTML Blink de Chromium contre Presto précédemment.

Références

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  1. Opera Team, « Opera 114.0.5282.185 Stable update », (consulté le )
  2. Partie "libre" d'opera
  3. « Affiliated Organization of Firefox and Mozilla (Overview) », sur foxkeh.com,
  4. (en) « Powered by Opera: Opera Integrated with Adobe Creative Suite 2 », Opera Software,
  5. (en) Opera and the Acid3 Test, Opera Desktop Team,
  6. (en) WebKit achieves Acid3 100/100 in public build, Surfin’ Safari,
  7. (en) Public Acid3 build,
  8. (en) Freedom,
  9. « Opera Software lance Opera Next et propose Opera 11.50 en version alpha », sur place4geek.com (consulté le )
  10. (fr) Opera 11.50 est disponible en version beta
  11. (en) Annonce officielle
  12. (fr) Opera Software : 300 millions d'utilisateurs et une migration vers WebKit et V8 Clubic
  13. (en) A First Peek at Opera 15 for Computers
  14. Opera Gets $1.2 Billion Buyout Offer From Chinese Consortium That Includes Qihoo 360, Ina Frield, Recode, 9 février 2016
  15. (en) Sine Jacobsen, Paul Carsten, « Chinese takeover of Norway's Opera fails, alternative proposed », sur reuters.com, Reuters, (consulté le )
  16. (en) « BRIEF-Opera Software says has closed $575 mln with China's Golden Brick », Reuters,‎ (lire en ligne, consulté le )
  17. Chloé Claessens, « Oui, les navigateurs fondés sur Chromium envoient vos données à Google », sur Clubic, (consulté le )
  18. William Zimmer, « Opera pourrait récupérer les utilisateurs de Chrome grâce à ce célèbre bloqueur de publicités », sur Frandroid, (consulté le ).
  19. a et b Opera 12.18 : dernière révision de sécurité et arrêt du support Nextinpact.com, publié le 17/02/2016
  20. (en) Archived Opera version history
  21. a et b « Index of /pub/opera/desktop/ », sur opera.com (consulté le ).
  22. Parts de marché des navigateurs
  23. (en) « StatCounter Global Stats - Browser, OS, Search Engine including Mobile Usage Share », sur StatCounter Global Stats (consulté le ).
  24. « Parts de marché selon StatCounter (Monde) », sur gs.statcounter.com, .
  25. « Parts de marché selon W3Counter (Monde) », sur www.w3counter.com, .
  26. Parts de marché selon StatCounter

Articles connexes

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Liens externes

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