Monthoiron

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Monthoiron
Monthoiron
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Châtellerault
Maire
Mandat
Patrice Azile
2020-2026
Code postal 86210
Code commune 86164
Démographie
Population
municipale
673 hab. (2021 en augmentation de 1,36 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 44′ 03″ nord, 0° 37′ 16″ est
Altitude Min. 63 m
Max. 141 m
Superficie 16,66 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châtellerault
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chauvigny
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Monthoiron

Monthoiron est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La région de Monthoiron présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose[1] :

  • sur les collines calcaires d'aubues ou de champagne (ce sont des sols gris clair, argilo-limoneux, sur craie et donc calcaires) pour 30 % ;
  • sur les plateaux du seuil du Poitou :
    • de Terres fortes pour 28 %,
    • de bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse) pour 30 % ;
  • sur les collines et les dépressions sableuses des bordures du bassin parisien, de calcaire sableux pour 5 % ;
  • dans les vallées et les terrasses alluviales, de calcaire pour 7 %.

En 2006, 59,5 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 38,5 % par des forêts et des milieux semi-naturels et 2 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[2]. La présence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiés sur le territoire communal permet d’offrir des conditions favorables à l’accueil de nombreuses espèces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, déplacement, refuge). Forêts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides… constituent ainsi des cœurs de biodiversité et/ou de véritables corridors biologiques.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par 6,8 km de cours d'eau dont les principaux sont L'Ozon sur une longueur de 5,4 km et L'Ozon de Chenevelles sur une longueur de 1,4 km.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 697 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lésigny à 16,93 km à vol d'oiseau[6], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 743,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Monthoiron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chatellerault dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,7 %), terres arables (24,4 %), zones agricoles hétérogènes (24,4 %), prairies (9,7 %), zones urbanisées (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Monthoiron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Ozon et l'Ozon de Chenevelles. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010[18],[16].

Monthoiron est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[19]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 3],[20], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [21],[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Monthoiron.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[23]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[24]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[25]. 63,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[26].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1995, 2003, 2005, 2011 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village a plusieurs origines possibles. Il pourrait provenir du latin Mons Dodranni qui signifie La colline de Dodrannus, Dodrannus étant un anthroponyme d'origine germanique. L'ancien nom du bourg était au XIe siècle, Monte Oram qui signifierait également La Colline d'Oran, du nom du seigneur local[27].

Histoire[modifier | modifier le code]

Nous trouvons la trace d'un oppidum à Monte Aurea dès le XIe siècle. La seigneurie de Monthoiron prend une dimension régionale importante lorsque les Turpin de Crissé en prenne une première possession avec Gui V Turpin de Crissé pendant la guerre de cent ans Jacques Turpin de Crissé complète la possession de Monthoiron grâce à son mariage avec Louise de Blanchefort le qui apporte Monthoiron-Lezay.

C'est Jacques II Turpin de Crissé, le chevalier de Marignan, qui va revenir d'Italie et initier la construction de la tour-forteresse de Monthoiron à côté du logis seigneurial, sur un concept que Léonard de Vinci lui aurait présenté.

Le , les troupes nazis stationnent avec le 33e régiment au château de Monthoiron. Trois graffitis de soldat dans la tour-forteresse confirment cette présence. La Kommandatur s'y installe.

En 1944, pour fêter la Libération et le retour de la République, un arbre de la liberté est planté sur la place de l’église (un if), qui est toujours en bonne santé en 1988[28].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 réélu en 2008[29] Alain Guimard    

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 673 habitants[Note 5], en augmentation de 1,36 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
271258229686712811784776727
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
695657663568606564571541542
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
529537487435459454440426427
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
452393366564609588598603679
2015 2020 2021 - - - - - -
664667673------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 39 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Économie[modifier | modifier le code]

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[34], il n'y a plus que 7 exploitations agricoles en 2010 contre 12 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont très légèrement diminué et sont passées de 373 hectares en 2000 à 370 hectares en 2010. 39 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement pour 80 % de la surface céréalière mais aussi de l'orge), 20 % pour le fourrage et 23 % reste en herbes. En 2000 comme en 2010, un hectare est consacré à la vigne[34].

Trois exploitations en 2010 (contre quatre en 2000) abritent un élevage de bovins (286 têtes en 2010 contre 197 têtes en 2000)[34].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • La tour-forteresse du XVIe siècle - qui semble n'avoir jamais été rattachée au logis du château - est classée comme monument historique dès le après sa découverte par l'historien et professeur d'université Nicolas Faucherre. Le , une cinquantaine d'experts internationaux de Léonard de Vinci signent l'appel de Romorantin, stipulant que la Tour-Forteresse « correspond à un concept du maître, et peut constituer une œuvre inédite de Léonard de Vinci » et appelant à sa sauvegarde et à sa mise en valeur.
  • Le domaine du château dont une tour du XVIe siècle accolée au logis seigneurial est simplement inscrite comme monument historique le .
  • Le moulin de Monthoiron est construit le long de l’Ozon. Le chapitre de Saint-Hilaire de Poitiers le mentionne en 1475. L’ancien moulin à farine, a subi comme tous les moulins du Poitou une transformation pour devenir un moulin à huile.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La commune abrite deux sites qui sont classés comme zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[35]. Elles couvrent 16 % de la surface communale. Il s'agit des lieux dénommés :

  • Les Meulieres ;
  • Les bois de la Foye.

De plus, Les Meulieres et les Brandes de la Dispute bénéficient d'une protection par maîtrise foncière et sont protégés au titre des espaces naturels sensibles (ENS). Ces espaces couvrent 16 % de la surface communale.

Arbres remarquables[modifier | modifier le code]

Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[36], il y a un arbre remarquable sur la commune qui est un sapin d'Espagne situé au lieudit le Clos du Prieuré.

Le bois de la Foye et les brandes de la Dispute[modifier | modifier le code]

Le bois de la Foye et les brandes de la Dispute se situent au sein des bois de Chitré qui constituent un vaste massif boisé s’étendant sur un plateau de la rive droite de la Vienne, au cœur du seuil du Poitou, entre Châtellerault et Chauvigny. C’est un site classé zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[35].

Les sols dominant sur les plateaux sont des bornais, c’est-à-dire des sols acides, plus ou moins imperméables et hydromorphes. Par contraste, sur les pentes et dans le vallon de l’Hordin, les sols argilo-calcaires dominent. Ce contexte explique la grande diversité d’habitats rencontrés sur le site et l’originalité de certains d’entre eux : chênaie calcifuge atlantique et landes sur le plateau, chênaie-charmaie sur les pentes et, surtout, la tourbière alcaline de la Fontaine aux Vaches qui occupe près d’un hectare.

La flore et la faune y sont donc très diversifiées, parmi lesquelles les oiseaux, les amphibiens et les plantes à fleurs représentent les éléments les plus intéressants.

Sur le plan botanique, la zone la plus intéressante est la tourbière de la Fontaine aux Vaches, un type de milieu rare et très localisé au sein de la région Poitou-Charentes. On y trouve des plantes rares comme l’orchis élevé et l’épipactis des marais, la gentiane peumonanthe (représentante isolée dans ces plaines atlantiques d’un genre emblématique des pelouses alpines), des laîches typiques de ces milieux asphyxiants (comme la laîche puce). On pourra aussi découvrir :

Les amphibiens sont bien représentés :le sonneur à ventre jaune qui est petit crapaud que l’on trouve dans les ornières forestières (en forte régression partout en Europe de l’Ouest et on connait, en 2008, moins de 10 stations dans le département de la Vienne),la grenouille de Lesson,le triton marbré, le crapaud calamite et la rainette verte. Ces espèces sont protégées en France.

Quant à l’avifaune, elle se singularise par la présence d’un riche cortège d’oiseaux nicheurs propres au biotope constitué par les landes et les boisements ouverts, tels que l’engoulevent d’Europe, la fauvette pitchou, le busard Saint-Martin, busard cendré, faucon hobereau la bécasse des bois.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Jacques II Turpin de Crissé : c'est lui qui initie la construction de la tour-forteresse de Monthoiron en 1517 qui se finalise dix ans plus tard.

Nicolas de Pérusse des Cars : à la fin du XVIIIe siècle il accueille (rémunéré par le roi ) sur ses terres des réfugiés acadiens dont beaucoup repartiront pour la Louisiane.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles de Wikipédia[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Sources[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
  2. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Monthoiron et Lésigny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lesigny » (commune de Lésigny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Lesigny » (commune de Lésigny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châtellerault », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Monthoiron », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  20. « Arrêté relatif aux obligations de débroussaillement - Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  21. « Règlement permanent de l'emploi du feu et du brûlage des déchets verts », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Monthoiron », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  27. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Édition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
  28. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 223.
  29. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. a b et c Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  35. a et b Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes, 2011
  36. Poitou-Charentes Nature, 2000