La Ferrière-Airoux

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La Ferrière-Airoux
La Ferrière-Airoux
Église de La Ferrière-Airoux.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes du Civraisien en Poitou
Maire
Mandat
Rémy Coopman
2020-2026
Code postal 86160
Code commune 86097
Démographie
Population
municipale
331 hab. (2021 en augmentation de 1,22 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 19′ 20″ nord, 0° 23′ 36″ est
Altitude Min. 114 m
Max. 150 m
Superficie 27,22 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Civray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Ferrière-Airoux

La Ferrière-Airoux est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département de la Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Les citoyens de La Ferrière-Airoux sont nommés les Ferrierois et les Ferrieroises.

La Ferrière-Airoux est une commune rurale.

Localisation[modifier | modifier le code]

La grande ville la plus proche de la commune est Poitiers qui se trouve à 29,5 km à l'est, à vol d'oiseau.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 819 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1990 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records LA FERRIERE AIROUX_SAPC (86) - alt : 122 m 46° 19′ 12″ N, 0° 24′ 36″ E
Statistiques établies sur la période 1990-2010 - Records établis sur la période du 01-12-1990 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,1 1,8 3,7 5,3 9 12 13,5 13,5 10,4 8,5 4,6 2,3 7,3
Température moyenne (°C) 5,2 5,8 8,6 10,6 14,6 18,1 19,9 20 16,3 13 8,2 5,3 12,2
Température maximale moyenne (°C) 8,2 9,7 13,5 15,9 20,2 24,1 26,2 26,4 22,3 17,5 11,7 8,2 17
Record de froid (°C)
date du record
−12
09.01.09
−16,8
09.02.12
−10,8
01.03.05
−4,2
08.04.21
−1,4
03.05.21
3,5
03.06.06
6,5
13.07.93
3,9
30.08.93
0,3
20.09.12
−4,1
30.10.97
−8,6
22.11.93
−12
19.12.09
−16,8
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
17,1
05.01.99
23,1
27.02.19
25,3
31.03.21
29,2
30.04.05
32,9
29.05.01
37,6
30.06.15
40,2
23.07.19
39,7
07.08.20
35,6
14.09.20
30,7
02.10.11
23,6
08.11.15
19
07.12.00
40,2
2019
Précipitations (mm) 73,1 51,1 58,9 64,6 57,5 58,1 52 54,6 60,9 78,2 82,4 79,8 771,2
Source : « Fiche 86097001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Les gares les plus proches se trouvent à Anché (11,43 km), à Vivonne (15,26 km), à Blanzay (16,05 km), à Iteuil (19 km) ou à Ligugé (22,56 km).

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Ferrière-Airoux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,8 %), zones agricoles hétérogènes (12,2 %), prairies (7,4 %), forêts (2,5 %), zones urbanisées (1 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de La Ferrière-Airoux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Ferrière-Airoux.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[16]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[17]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010, par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune de la Ferrière provient du latin ferraria qui signifie mine de fer et provient de l'existence d'anciens gisements de fer. Le nom Airoux signifie aride en ancien français. Il pourrait provenir aussi du poitevin arour qui signifie temps sec ou sécheresse[19],[20]

Histoire[modifier | modifier le code]

Elle s'est formée en 1822 de la réunion des communes de La Ferrière et d'Airoux.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 en cours (2008) Rémy Coopman Droite Ingénieur, président de la communauté de communes du Pays Gencéen

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 331 habitants[Note 7], en augmentation de 1,22 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
176141167176437452500488501
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
540502550540535557588581579
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
566574588546533502494496455
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
416382321270281293315324350
2015 2020 2021 - - - - - -
327331331------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 12 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

La Ferrière-Airoux a connu une nette hausse de 20,8 % de sa population de 1999 à 2005.

Les dernières statistiques démographiques pour la commune ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 346. À cela, il faut soustraire les résidences secondaires (quatre personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 342 habitants.

La répartition de la population par sexe, selon l'Insee, est :

  • en 1999 : 51,5 % pour les hommes et 48,5 % pour les femmes.
  • en 2005 : 52,4 % pour les hommes et 47,6 % pour les femmes.

En 2005,selon l'Insee :

  • Le nombre de célibataires était de 37,1 %,
  • Les couples mariés représentaient 48,2 % de la population,
  • Les divorcés représentaient 5,6 %,
  • Le nombre de veuves et veufs était de 9,2 % de la population.

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Le taux de chômage dans la commune :

  • en 1999 était de 12,70 %.
  • en 2005 était de 11,90 %.

Le pourcentage de retraités et de pré-retraités était de :

  • 20,50 % en 1999.
  • 21,30 % en 2005.

Le taux d'activité était :

  • de 68,60 % en 1999.
  • de 78,20 % en 2005.

Agriculture[modifier | modifier le code]

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[26], le nombre d'exploitations agricoles a augmenté faiblement entre 2000 et 2010. Ce qui est exceptionnel dans le département de la Vienne. Le nombre est passé de 27 à 28.

Les surfaces agricoles utilisées ont, en revanche, diminué et sont passées de 2 677 hectares en 2000 à 2 602 hectares en 2010. 48 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orge et maïs), 24 % pour les oléagineux (3/4 en colza et 1/4 en tournesol), 22 % pour le fourrage et 1 % reste en herbes. En 2010, un hectare (2 en 2000) est consacré à la vigne[26].

9 exploitations en 2010 (contre 10 en 2000) abritent un élevage de bovins (1 423 têtes en 2010 contre 1 235 têtes en 2000). C’est un des troupeaux de bovins les plus importants de la Vienne qui rassemblent 48 000 têtes en 2011[27]. 4 exploitations en 2010 (contre 7 en 2000) abritent un élevage d'ovins (130 têtes en 2010 contre 217 têtes en 2000). L'élevage de volailles a connu une baisse: 224 têtes en 2000 répartis contre 146 têtes en 2010. L'élevage de chèvres a disparu en 2010 (650 têtes sur 5 fermes en 2000)[26].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Notre-Dame de La Ferrière-Airoux est inscrite comme Monument Historique en 1935 pour son élévation et son portail[28]. Sa façade ouest est en effet romane.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles de Wikipédia[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  7. « Fiche du Poste 86097001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de La Ferrière-Airoux », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  19. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Édition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
  20. Pierre Rossignol, Bernard Balusseau, Louis Vibrac, Le Horst, une histoire naturelle et humaine., Geste éditions, La Crèche, 2014, 165  p., (ISBN 978-2-36746-262-2).
  21. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. a b et c Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  27. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
  28. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00105455