Jean-Louis Murat

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Jean-Louis Murat
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Jean-Louis Murat, Villiers-sur-Marne, octobre 2010
Informations générales
Nom de naissance Jean-Louis Bergheaud
Naissance (72 ans)
Chamalières
Activité principale auteur-compositeur-interprète
Genre musical Pop, rock, new wave
Années actives Depuis 1981
Labels PIAS, Virgin Records
Site officiel www.jlmurat.com

Jean-Louis Bergheaud, dit Jean-Louis Murat est un auteur-compositeur-interprète et acteur français, né le à Chamalières (Puy-de-Dôme).

Biographie

Jean-Louis Bergheaud est né le à Chamalières (Puy-de-Dôme)[N 1],[1],[2],[3] d'un père charpentier-menuisier, par ailleurs musicien amateur, et d'une mère couturière. Son prénom lui vient d'un ancêtre caporal mort pour la France le lors de la Première Guerre mondiale[4]. Il passe la plupart de son temps dans la ferme isolée de ses grands-parents à Murat-le-Quaire, village surplombant la ville thermale de La Bourboule[5].

Solitaire et introverti, dès son plus jeune âge, le futur Jean-Louis Murat présente certains dons pour la musique et pour beaucoup d'instruments. Cela le mènera à 7 ans à l'harmonie municipale dont s'occupe son père. Avec la fanfare il joue du tambour puis du cornet à piston. Il apprend le saxophone dans la classe de cuivre du conservatoire[Lequel ?] où il développe également son goût pour le chant. À 9 ans on lui offre un dictionnaire Larousse pour Noël, à l'aide duquel il écrit des poèmes.

Au collège en 1962 un professeur d'anglais d'origine arménienne, M. Houlouhodjian, lui fait découvrir les musiques soul et jazz. Il les avait lui-même découvertes après vingt ans passés dans le sud des États-Unis où il aurait rencontré plusieurs artistes dont Louis Armstrong avec qui il aurait lié amitié[réf. nécessaire]. Il l'emmène à l'opéra de Clermont-Ferrand et dans les MJC à la rencontre de plusieurs artistes de blues tels que John Lee Hooker et T-Bone Walker avec lequel le jeune Murat est pris en photo (des clichés hélas perdus)[réf. nécessaire]. Grâce à ce même professeur et contre l'avis de son père qui souhaitait qu'il devienne plombier[6], il intègre le lycée Blaise Pascal de Clermont-Ferrand.

En 1966 l'exploitation de la ferme est abandonnée. Ses parents divorcent et son père quitte le foyer peu après la naissance de sa petite sœur. En 1967, son grand-père décède. Murat est en première et passe son baccalauréat en candidat libre. Féru de poésie et de littérature romantique et tourmentée comme celles, entre autres, d'Oscar Wilde, d'André Gide, de D. H. Lawrence et de Vladimir Nabokov, il est le premier de sa famille à être titulaire du baccalauréat[3].

Marié à l'âge de 17 ans, il s'inscrit pour une courte durée à l'université de Clermont-Ferrand. En 1970 il part au festival de l'île de Wight en stop. Père d'un garçon à 19 ans, il divorce et quitte tout pour voyager et vivre de petits boulots en France et en Europe, seul à la manière de Jack Kerouac. Il occupe quelques emplois entre Paris, où il s'essaye au journalisme[7], et plusieurs villes de vacances (moniteur de ski à Avoriaz ou plagiste à Saint-Tropez) et retourne finalement dans son village en 1977 à 25 ans pour se consacrer à la musique.

Des débuts difficiles

Il fonde alors avec des amis clermontois le groupe de rock Clara dont il est chanteur-auteur-compositeur et joue du saxophone et de la guitare. William Sheller les remarque et les invite à faire quelques-unes de ses premières parties puis les emploie comme musiciens durant un temps. Le groupe se sépare et grâce à Sheller, Murat enregistre à 28 ans (sous le nom de Jean-Louis Murat) un maxi 45 T de trois titres en 1981, Suicidez-vous le Peuple est Mort, chez Pathé Marconi EMI (avec le directeur artistique Claude Dejacques[8]), avec une photo de Jean-Baptiste Mondino pour la pochette ; la critique le remarque en partie grâce au titre mais les ventes ne décollent pas, la station de radio Europe1 censure le morceau qui pourrait, d'après eux, pousser au suicide certains jeunes auditeurs sensibles[N 2]. Le choix de son pseudonyme « Murat » est aussi bien lié au village dans lequel il a vécu qu'au maréchal Joachim Murat, sous Napoléon Ier[9]. Suivent en 1982 un mini-album homonyme de six titres sous le nom de Murat (enregistré avec Michel Zacha[10], ingénieur du son de nombreux artistes et groupes rock de l'époque comme Starshooter et Higelin) et un album en 1984 Passions privées ; mais les ventes sont toujours au plus bas (quelque 2000 exemplaires) et après une tournée avec Charlélie Couture, sa maison de disques ne poursuit pas l'aventure, il a alors la trentaine.

Amorce de reconnaissance

En 1985, Jean-Louis Murat fait quelques enregistrements avec CBS mais aucun disque n'est publié, puis l'année suivante il saisit l’opportunité d’enregistrer chez Virgin et fin 1987 paraît le 45 tours Si je devais manquer de toi[11]. Celui-ci rencontre alors un certain succès auprès du public français, permettant au chanteur de connaître enfin, à plus de trente-cinq ans, un début de reconnaissance. Succès confirmé par les ventes de son nouvel album studio paru en 89, intitulé Cheyenne Autumn[12], enregistré à Londres et qui contient d'autres titres appelés à connaître eux aussi un certain écho (L'Ange déchu, Te garder près de moi) même si aucun n'atteint encore le Top 50.
Ce début de notoriété lui vaut d'être remarqué par le milieu du cinéma, Murat apparaît ainsi en 1990 en tant qu'acteur dans un film de Jacques Doillon qui lui offre un rôle dans La Vengeance d'une femme, auprès d'Isabelle Huppert et de Béatrice Dalle[13].

Confirmation du succès

Mais c'est le single Regrets (un duo avec Mylène Farmer) qui le fait réellement et définitivement connaître auprès d'un plus large public fin 1991 alors qu'il est à l'aube de la quarantaine (3e au Top 50[14] et plus de 300 000 copies vendues, et même 2e en Belgique francophone où le chanteur acquiert une renommée durable[15]). À cette même époque, paraît son nouvel album studio, Le Manteau de Pluie. Ses extraits Col de la Croix-Morand et Sentiment nouveau remportent un succès important ; Sentiment nouveau entrant même dans le Top 50 au printemps 1992[16], une première pour l'artiste en tant que chanteur solo. Depuis cette période, ses albums intègrent régulièrement le Top 20 français[17] ainsi que les classements en Belgique francophone.

Viscéralement attaché à l'Auvergne où il réside, il puise dans la nature et la campagne son inspiration poétique. Très prolifique, guitariste et chanteur au timbre caractéristique, Jean-Louis Murat écrit, produit et édite plus d'un album par an, dont Vénus en 1993, Dolorès en 1996 ou Mustango en 1999, la plupart de ses albums sont suivis par de longues tournées caractérisées par un travail musical intéressant, aucune tournée n'ayant ressemblé à la précédente. Celles-ci donneront souvent des albums live comme Murat live en 1995, Live in Dolorès en 1996 ou Muragostang en 2000. Pour l'aider dans cette tâche de créativité et coordonner l'ensemble des déplacements, il aime s'entourer de proches et de sa famille. Côté cinéma, il est à nouveau à l'affiche d'un film en 1996, Mademoiselle personne, aux côtés notamment d'Élodie Bouchez et de Romain Duris[18] ; il est en fait à l'origine de ce long-métrage (dont la diffusion restera cependant limitée) qui se présente comme un film musical (réalisé par Pascale Bailly), dont il composera la bande originale[19].

En 2011, Grand Lièvre est un peu boudé par certains critiques, mais le journal Le Soir lui attribue le titre de « personnalité de l'année » pour ce disque[20]. C'est le début d'un nouveau cycle d'écriture pour Murat plus centré sur l'histoire, la mémoire, et la transmission (il dit être soucieux de ce que ses enfants vont entendre), même si l'amour et la sexualité restent présents[21].

En , sort son album Toboggan[22].

Murat, qui s'intéresse au bouddhisme, s'est engagé pour la cause tibétaine[23],[24].

En , paraît son nouvel album Babel enregistré en compagnie du groupe auvergnat de folk-rock The Delano Orchestra[25]. C'est un succès critique et public avec plus de 20 000 albums vendus[N 3].

Période récente

Jean-Louis Murat en concert à Changé (53), le 25 octobre 2019

Le , French Lynx, son nouveau single, premier titre extrait de son nouvel album Morituri, est disponible sur internet[26]. L'album paraît le [27]. Il connaît moins de succès que le précédent (même s'il entre encore dans le Top 20 que ce soit en France comme en Belgique francophone[28]) et, surtout, il n'est suivi d'aucune tournée pour la première fois depuis Vénus. Jean-Louis Murat dénonce les conditions de tournée qu'on lui proposait et crée une polémique[29]. Il évoque alors l'arrêt de sa carrière[30].
Il n'en est finalement rien et Murat publie dès l'automne 2017 un nouvel album studio intitulé Travaux sur la N89[31] qui est réalisé avec son ancien collaborateur Denis Clavaizolle. Cet album aux sonorités expérimentales, Murat a joué de la démolition - en matière de mélodies, de rythmes, du format chanson en général[32]-) désarçonne les fans mais est salué par certains critiques[33]. Il publie ensuite très rapidement Il Francese, de facture plus traditionnelle mais toujours aux sonorités électro. Murat annonce durant la promo qu'il s'agit du « deuxième étage de la fusée »[34], et qu'il s'agira donc d'une trilogie. Il ne s'agit pas pour autant d'un tournant électro pour l'artiste qui se dit marqué par les artistes américains Frank Ocean et Kendrick Lamar[35],[36]: sur scène, Jean-Louis Murat interprète en trio blues/rock ses nouvelles chansons[37]. En , Jean Louis Murat annonce la sortie d'un nouvel album Innamorato, composé de 8 titres inédits et 4 titres en live, et publie le single Autant en faire quelque chose[38], qui s'éloigne des sonorités électro de Frank Ocean, et retrouve le groove et les guitares classiques des albums Babel ou Le cours ordinaire des choses. Dans un même temps, en réponse au mouvements des Gilets Jaunes, Jean-louis Murat décide de publier sur Facebook, chaque samedi des chansons[39]. Puis un nouvel album "Baby Love" est annoncé pour le 06 mars 2020. Si les deux premiers singles "Troie" et "Si je m'attendais" ne consistent pas véritablement une rupture avec les "sonorités électro" de deux derniers albums studio et mettent en relief une ambiance plutôt pop, la construction et le format des chansons sont plus classiques.

Une personnalité peu consensuelle

Dans les médias, Jean-Louis Murat s'est souvent illustré par des propos péremptoires et peu consensuels. Pour Le Figaro, il s'agit d'« une personnalité singulière qui ne s’embarrasse pas des convenances souvent insipides du métier »[40]. Au Canada, en 2009, La Presse évoque un artiste aux « coups de gueule spectaculaires »[41]. En 2013, Un journaliste de Sud-Ouest évoque aussi les « coups de gueule sans ménagement » de la part de l'artiste[42], de même que Paris Match, qui le qualifie 2013 de « grande gueule au grand cœur »[43]. « Ça me plaît assez qu'on ne m'aime pas », déclare-t-il au Point en 2011, fustigeant au passage Les Enfoirés[44]. En 2016, n'obtenant pas de date de tournée après la sortie de son album Morituri, il déclare : « C’est la crise, les salles prennent moins de risque et préfèrent programmer des gros cons comme Renaud ou Polnareff »[45]. « L’animal peut toujours déraper », estime une journaliste de Télérama qui le rencontre en [46]. Quelques mois plus tard, son caractère impétueux se manifeste également lorsque, à l'occasion de la sortie de son allbum Innamorato, il livre une interview aux Inrockuptibles où il s'en prend au chanteur Johnny Hallyday (« À cause de lui, nous sommes passés pour des tocards pendant cinquante ans »), au groupe PNL (« Du niveau du Club Dorothée ») et à Emmanuel Macron (« un vulgaire apprenti, un faux intellectuel et un vrai méchant »)[47],[48]. Jean-Louis Murat reconnaît qu'il a « un caractère instable, contradictoire (....) et imprévisible »[49]. Même à l'égard de son public, Jean-Louis Murat fait preuve d'intransigeance : « Je préfère déstabiliser [les gens], les faire réfléchir, les enthousiasmer ou même les dégoûter. Mais certainement pas les caresser dans le sens du poil, c'est une sorte de démagogie que je n'ai jamais aimée. Souchon, c'est de la chanson démagogique »[50].

Musiciens

Sa collaboration avec Denis Clavaizolle marque ses premiers albums d'une empreinte synthétique. Il retravaillera avec lui pour l'album sur Ferré/Baudelaire, sur travaux sur la N89 en 2017, puis sur l'album Il francese en 2018.

A partir de 2002, et Le Moujik et sa femme, Jean-Louis Murat travaille avec le bassiste Fred Jimenez (ex- A.S. Dragon, qui deviendra le bassiste de J.Hallyday) et le batteur Stéphane Reynaud. Avec eux, il enregistre aussi Lilith (2003), le DVD composé de morceaux inédits Parfum d'acacia au jardin (2004), Moscou (2005) et Taormina (2006). L'album de 2011 Grand Lièvre voit leur retour. Sur Le Moujik et sa femme, il enregistre quelques titres avec le batteur Jean Marc Butty qui a notamment travaillé avec Venus et PJ Harvey, et tournera avec lui.

En 2004, il écrit les paroles et chante en duo avec la chanteuse américaine Jennifer Charles (Elysian Fields) sur les musiques de Fred Jimenez pour l'album signé Murat, Jimenez, Charles, A Bird on a Poire. Elle a déjà collaboré à Mustango l'un de ses albums les plus populaires.

Murat a aussi accueilli des collaborateurs prestigieux sur ses disques récents, comme le trompettiste de jazz Stéphane Belmondo, l'arrangeur de cordes des Tindersticks ou la chanteuse Camille, choriste en chef sur Lilith et Parfum d'acacia. L'album Charles & Léo marque le retour aux claviers et arrangements de Denis Clavaizolle, un des principaux artisans de Dolorès (1996). Dans Tristan comme dans Toboggan, Jean-Louis Murat joue lui-même de tous les instruments.

Sur Le Cours ordinaire des choses, album enregistré à Nashville, Cherie Oakley chante sur quelques titres dont Lady of Orcival[N 4].

Ensuite, il collabore avec The Delano Orchestra, jeune groupe de Clermont-Ferrand, sur Babel. On y retrouve également Morgane Imbeaud (ex-Cocoon) présente sur plusieurs disques (Morituri, Travaux sur la N89…).

En 2015, Murat joue en tournée avec l'américain Christopher Thomas (basse) et Gael Rakotondrabe (clavier), deux musiciens ayant collaboré avec des artistes prestigieux[51] puis enregistrent avec eux l'album Morituri.

Discographie

Albums studio

Albums en public

Bibliographie

Notes et références

Notes

  1. On trouve parfois la date de 1954 dans certaines sources.
  2. JB Hebey, qui avait créé une société pour éditer Murat, dans le livre « coup de tête » (Sébastien Bataille, édition Carpentier) confirme l'anecdote : un père aurait appelé pour dire que sa fille se serait suicidée à cause de la chanson.
  3. Classement officiel SNEP/GfK CONSUMER CHOICES France : 19932 albums physiques vendus en 2014
  4. Elle s'est fait connaitre depuis, aux États-Unis, par la composition d'un titre (devenu no 1 dans les charts country) pour la chanteuse Reba McEntire et sa participation à l'émission The Voice sur NBC au côté de Christina Aguilera[1]
  5. Un faux live enregistré dans les conditions du live.

Références

  1. Ludovic Perrin et Antoine de Baecque, « « J'ai fait tout "Lilith" en lisant Proust » », Libération,‎ .
  2. Bataille 2015, p. 1.
  3. a et b « Biographie de Jean-Louis Murat », sur RFI.
  4. « Jean-Louis Bergheaud né le 7 mai 1897 à La Bourboule ».
  5. « Biographie de Jean-Louis Murat », sur France Culture.
  6. Bataille 2015
  7. « "Chanson" (volet 2): Jean-Louis Murat journaliste », sur Surjeanlouismurat.com (consulté le )
  8. « dejacques et zacha, producteurs de Murat », sur www.surjeanlouismurat.com
  9. Stéphane Davet, « « Il Francese » : Jean-Louis Murat sur de nouvelles pistes », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  10. « interview de Michel Zacha », sur www.surjeanlouismurat.com
  11. [2]
  12. [3]
  13. « La Vengeance d'une femme », sur Allociné.
  14. « Mylène Farmer & Jean-Louis Murat - Regrets (chanson) », lescharts.com, Hung Medien (consulté le )
  15. [4]
  16. « Jean-Louis Murat - Sentiment Nouveau (chanson) », lescharts.com, Hung Medien (consulté le )
  17. « Jean-Louis Murat », lescharts.com, Hung Medien (consulté le )
  18. Fiche du film sur le site Allociné
  19. [5]
  20. « murat personnalité de l'année », sur www.surjeanlouismurat.com, (consulté le )
  21. « interview pour Grand Lièvre »
  22. « Louis Murat annonce la sortie de l'album Toboggan »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ), sur musique.portail.free.fr, consulté le 3 janvier 2013
  23. Jean Louis MURAT… et le bouddhisme…
  24. « Jean-Louis Murat (2/2):«Les idéologies politiques sont prises en charge par des nullards» »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le )
  25. Jean-Louis Murat en altitude , Stéphane Davet, Le Monde, 18 septembre 2014.
  26. French Lynx, un extrait du nouvel album de Jean-Louis Murat Morituri dévoilé, sur leparisien.fr, consulté le 16 avril 2016
  27. Morituri, Jean-Louis Murat, sur telerama.fr, consulté le 16 avril 2016
  28. [6]
  29. Prisma Média, « Jean-Louis Murat privé de tournée : « Les salles préfèrent programmer des gros cons comme Renaud ou Polnareff » », Voici,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Julien Dodon, « « Morituri » : le nouvel album de Jean-Louis Murat, demain dans les bacs », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. [7]
  32. Travaux sur la N89 Digipack, Jean-Louis Murat (lire en ligne)
  33. « Jean-Louis Murat se mue en parfait artisan pour ses “Travaux sur la N89” », sur Les Inrocks (consulté le )
  34. Paris Match, « "Il Francese" : Jean-Louis Murat se refait un nom », sur parismatch.com (consulté le )
  35. « Jean-Louis Murat : "Je suis revenu à la vie grâce à Frank Ocean" », sur Les Inrocks (consulté le )
  36. « kendrick-lamar-m-donne-envie-de-refaire-de-la-musique-confie-murat », sur lavoixdunord,
  37. « live-report », sur benzinemag
  38. « Jean Louis Murat dévoile un titre inédit »
  39. « Jean-Louis Murat chronique le mouvement des Gilets jaunes avec une dernière chanson », sur les Inrockuptibles,
  40. Laurent Mereu-Boulch, « Jean-Louis Murat : « Je cours après un train que je ne veux pas prendre » », sur Evene.fr, Le Figaro, (consulté le )
  41. Alain de Repentigny, « Jean-Louis Murat : tout sauf ordinaire **** », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le )
  42. Stéphane Jonathan, « JL Murat: "Le rock sert à enculer le peuple en musique" », sur musique.blogs.sudouest.fr, (consulté le )
  43. Benjamin Locoge, « Jean-Louis Murat, grande gueule au grand cœur », sur parismatch.com, Paris Match, (consulté le )
  44. Michel Revol, « Jean-Louis Murat : "Ça me plaît assez qu'on ne m'aime pas" », sur Le Point, (consulté le )
  45. « Murat privé de tournée : "Les salles préfèrent programmer des gros cons comme Renaud ou Polnareff" », sur LCI, (consulté le )
  46. Valérie Lehoux, « Jean-Louis Murat, my love ? », sur Télérama.fr, Télérama, (consulté le )
  47. « Jean-Louis Murat : “Je ne me sens toujours pas un chanteur français” », sur Les Inrocks (consulté le )
  48. Jérôme Lachasse, « Jean-Louis Murat se paye PNL: « c’est du niveau du Club Dorothée » », sur BFMTV, (consulté le )
  49. Anne Richoux, « https://www.lanouvellerepublique.fr/loir-et-cher/jean-louis-murat-nous-fait-le-coup-du-lapin », sur lanouvellerepublique.fr, La Nouvelle République du Centre-Ouest, (consulté le )
  50. « Jean-Louis Murat, un chanteur qui fuit le "tube" », sur L'Obs, (consulté le )
  51. « musiciens de murat en 2015 », sur www.surjeanlouismurat.com, (consulté le )

Liens externes