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Hérisson (Allier)

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Hérisson
Hérisson (Allier)
Le château et une portion du bourg d'Hérisson.
Blason de Hérisson
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Allier
Arrondissement Montluçon
Intercommunalité CC du Pays de Tronçais
Maire
Mandat
Stéphanie Cusin-Panit
2020-2026
Code postal 03190
Code commune 03127
Démographie
Gentilé Hérissonnais, Hérissonnaises [1]
Population
municipale
583 hab. (2021 en évolution de −7,9 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 30′ 34″ nord, 2° 42′ 44″ est
Altitude Min. 177 m
Max. 327 m
Superficie 32,57 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Huriel
Législatives 2e circonscription de l'Allier
Localisation
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Hérisson
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Hérisson
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Hérisson
Liens
Site web https://www.mairie-herisson.fr/

Hérisson est une commune française, située dans le département de l'Allier en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Description

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Hérisson est un village médiéval du Nord de l’Allier, niché dans une cuvette, avec son château au sommet d'une colline qui domine l'Aumance, rivière qui traverse le village.

Une partie de son territoire est concerné par la protection Natura 2000 des "Gîtes à chauves-souris de Hérisson"[2],[3].

Le territoire communal est traversé par les routes départementales 3 (reliant Montluçon au sud-ouest et Cérilly au nord-est), 11 (reliant Vallon-en-Sully à l'ouest et Cosne-d'Allier à l'est), ainsi que les RD 157 (vers Meaulne-Vitray) et 251 (vers Louroux-Bourbonnais)[4].

Vue panoramique de Hérisson.

Communes limitrophes

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Ses communes limitrophes sont[4] :

Hydrographie

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L'Aumance à Hérisson.

L'Aumance draine la commune, située dans un méandre de la rivière à une quinzaine de kilomètres de son confluent avec le Cher. C'est donc un sous-affluent de la Loire.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 743 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tortezais_sapc », sur la commune de Tortezais à 13 km à vol d'oiseau[7], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Au , Hérisson est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,9 %), zones agricoles hétérogènes (23,9 %), forêts (17,1 %), terres arables (8 %), zones urbanisées (1,1 %)[15].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

La commune est la première commune de bourbonnais d'oïl. Elle se situe juste au dessus de l'extrême-nord du Croissant, zone où les parlers occitans (ici le marchois) et de langue d'oïl se mélangent[16]. Le nom local est « Eiriçon ».

Les populations de l'âge du Bronze puis de l'âge du fer s'installent quasi exclusivement dans les zones basses. La proximité des gués semble particulièrement appréciée. Ces installations légères aménagées dans les abris rocheux constituent de rares et précieux témoignage d'un mode de vie fondé sur la cueillette, la pêche, la chasse aux chevaux, aux rennes mais aussi aux marmottes. Les populations demeurent itinérantes, et leurs implantations varient sur de longues distances, au gré des déplacements de la faune sauvage. L'Homo sapiens couvre des distances incroyables à cette époque, la forêt de Tronçais et Hérisson n'échappent pas cette transhumance[17].

Á l'époque de la Gaule indépendante, le territoire sur lequel Hérisson verra plus tard le jour appartient au peuple des Bituriges Cubes. La capitale de cet ensemble est Avaricum (Bourges), considérée comme la plus belle ville de Gaule à l'époque de César. Une vingtaine de places fortes ou oppida sont mentionnées sur ce territoire, au nombre desquelles on compte l'oppidum de Cordes, à mille cinq cent mètres au nord-ouest du lieu où naîtra et se développera Hérisson[18].

La légende raconte que les habitants de la ville antique de Cordes vinrent s'installer à Hérisson pour se protéger des invasions barbares. Hérisson est au Moyen Âge l'une des dix-sept châtellenies du Bourbonnais et elle a en plus le rôle de défendre la frontière avec l'Aquitaine. Un premier château est construit par les sires de Bourbon pour contrôler les passages sur l'Aumance vers le Xe siècle. Durant la guerre de Cent Ans, les Anglais, qui possèdent l'Aquitaine, menacent directement le Bourbonnais et assiègent le château d'Hérisson qui résiste. Après la Fronde, le cardinal Mazarin, qui régit la France avec Anne d'Autriche durant la minorité de Louis XIV, fait démanteler le château d'Hérisson. Il sert ensuite de carrière de pierres.

À la Révolution, Hérisson devient chef-lieu de canton, mais sa situation en cuvette, donc loin des axes routiers, ne favorise pas son développement. C'est la ville voisine de Cosne-d'Allier, qui avec la ligne de train Montluçon-Moulins, va se développer beaucoup plus qu'Hérisson. La ville d'Hérisson est aujourd'hui essentiellement touristique grâce à un patrimoine riche, en plus de l'administration locale en tant que chef-lieu de canton.

Politique et administration

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La commune, instituée par la Révolution française, absorbe entre 1790 et 1794 celle du Lacq, puis, entre 1801 et 1806, celle de Châteloy[19].

Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montluçon du département de l'Allier.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Hérisson[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Huriel

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Allier.

Intercommunalité

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Hérisson est membre de la communauté de communes du Pays de Tronçais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Jean Gilbert Tardy[20]
(1772-1835)
  Ancien officier (chef de bataillon d'infanterie de ligne)
Conseiller général de Hérisson (1833 → 1835)
Chevalier de la Légion d'honneur
1835   Gilbert Victor
Deschamps de Verneix
Droite Propriétaire et juge de paix à Hérisson
Conseiller général de Hérisson (1835 →1868)
1862 1870 Arthur Deschamps de Verneix Droite Fils du précédent[21]
Propriétaire
Conseiller hé,éral de Hérisson (1868 → 1880)
    François Simonnet[22]
(1824-1894)
Gauche radicale Officier de santé
Conseiller général de Hérisson (1880 → 1894)
Député de l'Allier (1881 → 1889)
    Victor Collin
(1880-1952)
  Nommé conseiller départemental en 1942 par le Gouvernement de Vichy[23]
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 juillet 2020[24] Bernard Faureau DVD Vétérinaire
Conseiller général de Hérisson (1984 → 1993)
Vice-président de la CC du Pays de Tronçais (2015 → 2020)
juillet 2020[25] En cours
(au 2 décembre 2020)
Stéphanie Cusin-Panit SE Directrice d'une école élémentaire à Cosne-d'Allier
Vice-président de la CC du Pays de Tronçais (2020 → )

Distinctions et labels

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Hérisson bénéficie du label Petite cité de caractère depuis le 10 décembre 2018[26].

Hérisson concourt en 2021 pour être labellisé Village préféré des Français[27]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 583 habitants[Note 1], en évolution de −7,9 % par rapport à 2015 (Allier : −1,97 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7605661 1091 3701 4071 4561 3821 5051 494
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4931 3961 4931 5511 6161 7691 9531 9341 740
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6801 6081 5421 3531 2741 1911 1941 1191 165
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 1701 043979872801709679634627
2021 - - - - - - - -
583--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Hérisson dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal avec la commune de Venas et l'ancienne commune de Louroux-Hodement[31].

Les élèves de maternelle et de cours préparatoire (CP) vont à Hérisson, ceux de cours élémentaire 1re et 2e année à Venas, ceux de cours moyen 1re et 2e année à Louroux-Hodement[31].

Ils poursuivent leur scolarité au collège de Cosne-d'Allier[32] puis dans les lycées de Montluçon[33]

Le Footsbarn Theatre est une compagnie d'origine anglaise, créée en Cornouailles en 1971. Après une période d'itinérance, elle fait en 1991 l'acquisition d'un corps de ferme au lieu-dit La Chaussée, dépendant du village voisin de Maillet, à la limite sud-ouest d'Hérisson. Les bâtiments sont restaurés et deviennent le siège de la compagnie[34].

Manifestations culturelles et festivités

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Le comédien Olivier Perrier, natif d'Hérisson, crée en 1976, avec Jean-Louis Hourdin et Jean-Paul Wenzel, les Rencontres théâtrales d'Hérisson. En 1979, leur groupe prend le nom de Fédérés[Note 2]. Cette expérience donne naissance en 1981 à Montluçon à un centre de création théâtrale, qui dispose à partir de 1985 d'une nouvelle salle, le théâtre des Ilets, et qui est reconnu en 1993 comme Centre dramatique national[35]. En 1989 ouvre à Hérisson un studio de production, Le Cube[Note 3]. En 2003, le duo passe la main[37].Le village de Hérisson reste au cœur d'une activité théâtrale dynamique[38].

L'église romane Saint-Pierre de Châteloy est le siège d'un festival annuel de musique de chambre fondé en 1966, le Festival de Musique en Bourbonnais. Chaque été, cinq ou six concerts sont donnés dans l'église[39].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Château d'Hérisson des Xe et XIVe siècles, sur un rocher dominant l'Aumance et la cité médiévale. Traces d'un donjon roman dans une enceinte, flanquée de tours rondes édifiées au XIIIe siècle, et profondément remaniée au XIVe siècle par Louis de Bourbon[40]. M.H.
  • Château de la Roche-Othon à 3 km au nord-ouest du bourg, sur un monticule dominant l'Aumance. Reste du XIVe siècle très remanié[41].
  • Église Saint-Pierre de Châteloy du XIIe siècle (romane). M.H.
  • Clocher Saint-Sauveur du XIIe siècle. M.H. (1927). Seul vestige[Note 4] de l'ancienne collégiale Saint-Sauveur. Un escalier à vis, dans une tourelle accolée au clocher, permet d'accéder à la chambre des cloches. La restauration du monument a été achevée en 2011[42][réf. non conforme]. La flèche a été couverte de tavaillons (tuiles en bois, faites ici d'acacia).
  • Église Notre-Dame du XIXe siècle.
  • Chapelle Saint-Étienne du XIVe siècle. M.H. (1986).
  • Chapelle du Calvaire du XIVe siècle, récemment restaurée.
  • Cité médiévale des XIe et XIIe siècles. M.H.
  • Tours-portes des XIe et XIIe siècles. La porte de Varenne et la porte de la Rivière sont des monuments historiques.
  • Maison La Synagogue, maison du début du XIVe siècle remarquable par ses peintures murales et sa charpente, située 3, rue de l'Abbé-Aury. M.H.
  • Mur gaulois de fortification entourant la ville de Châteloy[43].
  • Jeu de neutrou sur la place[44].

Personnalités liées à la commune

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Hérisson dans les arts

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Le film de René Allio Un médecin des Lumières (1988) se déroule à Hérisson[45].

Héraldique

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Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

D'azur à un hérisson d'or.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Camille Grégoire, L'ancien canton d'Hérisson : Hérisson, Cosnes, Louroux-Hodement, Louroux-Bourbonnais, Maillet, Saint-Caprais et Venas, Moulins, H. Durond, Librairie historique du Bourbonnais, 1894, 110 p., ill.
  • Jean-Claude Renon, Hérisson en Bourbonnais. De Châteloy à Hérisson, vingt siècles d'histoire au pied du château, Charroux, Cahiers bourbonnais, 2009, 222 p., ill. (ISBN 978-2-85370-211-9)
  • Térence Le Deschault de Monredon, « Hérisson. Les peintures murales du début du XIVe siècle de la maison dite « la Synagogue » existent toujours », Bulletin monumental, t. 178, no 4,‎ , p. 503-506 (ISBN 978-2-901837-85-5)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  2. Jean-Louis Hourdin s'en sépare en 1981.
  3. Depuis 2011, le Cube est géré par la compagnie La Belle Meunière, de Pierre Meunier[36].
  4. Le reste de l'édifice, en trop mauvais état, a été détruit.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

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  1. « Allier », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Natura 2000 - Les chauves-souris de Hérisson », Conservatoire d'espaces naturels de l'Allier (consulté le ).
  3. « Document d’objectif Natura 2000 Gîtes de Hérisson Natura 2000 « FR 830 2021 » » [PDF], sur webissimo.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  4. a et b Carte de Hérisson sur le site Géoportail de l'IGN (consulté le 9 juillet 2019).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Hérisson et Tortezais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Tortezais_sapc », sur la commune de Tortezais - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Tortezais_sapc », sur la commune de Tortezais - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  12. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « Atlas sonore des langues régionales de France - Zone du Croissant », sur atlas.limsi.fr ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, .
  17. Laurent Wauquier et Yannick Faure, La Haute-Loire, de ses origines à nos jours, Le Puy-en-Velay (Haute-Loire), éditions Jeanne-d'Arc, , 262 p. (ISBN 978-2-362-62008-9), p. 25
  18. Jean-Claude Renon, Hérisson en Bourbonnais, de Châteloy à Hérisson, vingt siècles d'histoire au pied du château, Charroux-en-Bourbonnais, éditions des Cahiers Bourbonnais, , 224 p. (ISBN 2-85370-211-1), p. 13
  19. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. « Jean Gilbert Tardy », base Léonore, ministère français de la Culture
  21. « Généalogie de Arthur des CHAMPS de VERNEIX », sur Geneanet (consulté le ).
  22. « Marcellin, François Simonnet (1824-1894) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  23. « Journal officiel de la République française. Lois et décrets » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
  24. Fabrice Redon, « Le maire d'Hérisson Bernard Faureau pense qu'il a perdu l'élection au premier tour : Bernard Faureau ne fera pas de cinquième mandat à la tête de la commune d'Hérisson. Alors qu'il ne manquait qu'un siège à sa liste pour obtenir la majorité, elle a fait chou blanc, ce dimanche, lors du deuxième tour des municipales », La montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire depuis 1995, Bernard Faureau, 71 ans, ne fera pas de cinquième mandat à la tête de la commune ».
  25. Fabrice Redon, « Stéphanie Cusin-Panit, élue maire d'Hérisson (Allier) : Stéphanie Cusin-Panit est le nouveau maire d'Hérisson (Allier). Elle succède à Bernard Faureau qui occupait ce poste depuis 1995. Elle veut mettre les habitants au coeur de son projet », La montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Battu dimanche soir lors du deuxième tour des élections municipales, le maire sortant Bernard Faureau, en poste depuis 1995, a laissé la place à une nouvelle équipe conduite par Stéphanie Cusin-Panit ».
  26. Fabrice Redon, Antoine Delacou et Adrien Maridet, « Hérisson, Bourbon et Ébreuil : ces trois communes de l'Allier viennent de décrocher le label Petites cités de caractère », sur lamontagne.fr, (consulté le ).
  27. « Pourquoi Hérisson dans l’Allier pourrait devenir le Village préféré des Français : Dans l’Allier, le petit village de Hérisson représentera la région Auvergne-Rhône-Alpes au concours du Village préféré des Français, sur France 3. Les votes sont ouverts jusqu’au 25 mars pour désigner la commune qui succèdera à Hunspach, en Alsace », France 3 Auvergne-Rhône-Alpes,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. a et b « Ecoles de la commune d'Hérisson » (consulté le ).
  32. « Sectorisation des collèges du département de l'Allier » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale de l'Allier, (consulté le ).
  33. « Sectorisation des lycées - 2GT - Allier » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale de l'Allier, (consulté le ).
  34. Footsbarn Theatre.
  35. Le Centre dramatique national de Montluçon.
  36. Le Cube, studio théâtre d'Hérisson.
  37. « Hérisson tourne une page », sur L'Express, .
  38. « Hérisson : vie artistique », sur villageherisson.fr, (consulté le ).
  39. Site du festival.
  40. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 46 (cf. Hérisson).
  41. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 52 (cf. Roche-Othon (la)).
  42. La Semaine de l'Allier, 11 août 2011, p. 25.
  43. François Savatier, « Un mur gaulois dégagé à Hérisson », Pour la Science,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. Fabien Granier, « Election déprimante. Heureusement reste le neutrou »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Rue 89, .
  45. « Un médecin des lumières », sur cinematheque.fr (consulté le ).