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Châtel-Moron

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Châtel-Moron
Châtel-Moron
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Chalon-sur-Saône
Intercommunalité Communauté de communes Sud Côte Chalonnaise
Maire
Mandat
Audrey Vollot
2020-2026
Code postal 71510
Code commune 71115
Démographie
Gentilé Castelmoronnais
Population
municipale
86 hab. (2021 en évolution de −9,47 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 47′ 39″ nord, 4° 38′ 52″ est
Altitude Min. 294 m
Max. 497 m
Superficie 6,54 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Chalon-sur-Saône
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Givry
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Châtel-Moron
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Châtel-Moron
Liens
Site web https://www.chatel-moron.fr/

Châtel-Moron est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie

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Située en Saône-et-Loire, dans le Chalonnais (canton de Givry).

Communes limitrophes

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Accès et transports

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Géologie et relief

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Cette petite commune est située en haut de la Vallée des Vaux.

Hydrographie

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L'Orbise prend sa source dans ce village.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 928 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St-Maurice-lès-Couches_sapc », sur la commune de Saint-Maurice-lès-Couches à 10 km à vol d'oiseau[3], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 803,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,7 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Châtel-Moron est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 109 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (78,8 %), forêts (21,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Châtel-Moron

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Le nom propre Châtel-Moron a pour racine latine les mots « castellum » qui désigne un château ou un petit ouvrage de fortification isolé et « mons rotundus » qui signifie montagne ou mont rond[13]. Son orthographe a été modifié en raison des évolutions de la langue française[14] :

  • 1134 - Castro Morono
  • 1213 - Castrum Moronis
  • 1557 - Chastel Mouron
  • 1621 - Chatelmoron
  • 1746 - Chateaumoron
  • 1801 - Châtel-Moron

Les origines

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L’existence de Châtel-Moron remonte peut-être à la période de l'Antiquité car un fragment de stèle gallo-romaine a été encastré au-dessus de la porte principale de l’église Saint-Martin.

Au Moyen Âge, une motte castrale de forme ovale a été construite sur le point le plus élevé de la commune[15]. Ce type d’ouvrage défensif était très répandu à cette époque. Elle symbolisait le pouvoir d’un « seigneur » et mais assurait aussi une fonction défensive de la communauté. Ensuite, une tour en pierre a probablement été édifiée à son emplacement.

En 1642, il est précisé dans un acte de la chambre des comptes de Bourgogne que la seigneurie consiste en un « viel chatel en ruine où il n'y a apparence que de quelques fondemens de murailles »[16].

Ancien Régime

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Les seigneurs de Châtel-Moron[16]

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Au cours de l’histoire moderne, la seigneurie de Châtel-Moron a été détenue par un ou plusieurs seigneurs en fonction des héritages, des donations et des achats effectués.

Époque moderne
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  • En 1600, Claude Gentil, seigneur de Sainte-Hélène, pour une partie de la seigneurie.
  • En 1621, Daniel Bricard, seigneur de Serney à Morey, pour une partie de la seigneurie.
  • De 1642 à 1745, reprise de la seigneurie par Jean de la Menue, écuyer et seigneur de la Tour Bandin à Montagny-les-Buxy. Ses héritiers Georges de Lamenue et Louis de la Menue vécurent à Châtel-Moron.
  • En 1745, Claude de Thésut, seigneur d’Aumont puis ses héritiers, pour une partie de la seigneurie.
  • En 1766, la marquise de la Madeleine de Ragny, pour une partie de la seigneurie
  • En 1772, le comte Louis Morel de Corberon, pour une partie de la seigneurie.
  • De 1773 à 1778, François de Chargère, chanoine de la cathédrale et comte de Saint-Claude puis son frère Pierre de Chargère Dubreuil de la Motte Marcilly, pour une partie de la seigneurie.

Période Révolutionnaire

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Les maires de la Première République (1792-1804)

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Moron-la-Montagne

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En 1793, la Convention nationale invite les communes dont les noms peuvent rappeler la royauté, la féodalité ou la religion catholique à les changer. Le mot « Châtel » (château) est une référence à l’ancien régime[17]. Châtel-Moron devient donc Moron-la-Montagne. Il est à noter que dans les registres d’état civil de la commune on ne relève qu'un nombre très limité d'actes avec cette nouvelle appellation.

La vente des biens nationaux

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De 1791 à 1796, les biens du clergé et la noblesse situés à Châtel-Moron sont vendus aux enchères au chef lieu du district à Chalon-sur-Saône conformément à deux décrets législatifs. L'objectif est d'augmenter les recettes financières de l'État.

Les biens du Clergé[18]
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- Des prés, des terres et des vignes appartenant à la cure et au conseil paroissial.
- Des prés et des terres dépendants de l’abbaye de La Ferté de Saint-Ambreuil situées en la Tâche.
- Le presbytère est vendu en 1796.

Les biens de la Noblesse[18]
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- Un domaine avec ses dépendances, plusieurs bâtiments avec cour et jardin, des terres, des prés, des vignes et des bois, une grange avec une écurie et un pressoir dont le propriétaire est Jean Le Mulier de Bressey émigré en 1791.
- Plusieurs bâtiments avec cour et jardin, des terres, des prés et des bois appartenant à Marie Bénigne Ferréol Xavier Chifflet d'Orchamps émigré en 1792.

Époque contemporaine

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Châtel-Moron disposa durant toute la première moitié du XIXe siècle de l'une des onze stations (ou postes télégraphiques aériens) du télégraphe Chappe implantées en Saône-et-Loire (le long de la ligne Paris-Toulon), installation mise en service en 1807 et qui cessa de fonctionner en 1853, remplacée par la télégraphie électrique[19].

Une carte d'état-major[20] éditée au XIXe siècle situe le poste télégraphique de forme carrée sur la côte 494 entre les Renais et le Regain. Initialement, le mat du télégraphe était installé sur une tour en bois de forme carrée avec un toit à quatre pentes pour abriter l’opérateur. L’étude du recensement communal pour la période de 1836 à 1851 a permis d’identifier un seul opérateur en 1851 ; Joseph Jordery (35 ans) domicilié au hameau de l’Abergement.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 2020 en cours Audrey Vollot[21]   Secrétaire de mairie
mars 2008 mai 2020 Pascal Galland UMP-LR Garagiste
juin 1995 mars 2008 Jacques Philippon    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 86 habitants[Note 3], en évolution de −9,47 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
209238233216222245261222222
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
249265272253257244265263234
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
198236185177167155125138107
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
967866496459697386
2015 2020 2021 - - - - - -
958786------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Il y a une école qui est en regroupement pédagogique intercommunal pour de l'enseignement en maternelle et primaire avec les communes de Sainte-Hélène et Villeneuve-en-Montagne.

Édifice religieux

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L'église de Châtel-Moron a été placée sous le vocable de saint Martin, évêque de Tours, qui aurait évangélisé la région. En Saône-et-Loire, 78 églises ont été dédiées à saint Martin.

Son architecture romane date du XIIe siècle notamment pour son clocher et sa travée ainsi que son abside. Des modifications ont été effectuées sur l'édifice au XVIe siècle[26].

Les curés desservants sous l'Ancien Régime[27]

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La paroisse

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Aujourd’hui, l’église Saint-Martin fait partie de la paroisse Saint-Pierre et Saint-Paul du diocèse d’Autun, Chalon et Mâcon.

Associations

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  • L'association Châtel Loisirs organise les principales manifestations de la commune[28].
  • L’association du Beffroi castelmoronnais a été créée en 2019 en vue d’une réinstallation de la cloche de l’église[29].

Écologie et recyclage

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église.

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Châtel-Moron et Saint-Maurice-lès-Couches », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « St-Maurice-lès-Couches_sapc », sur la commune de Saint-Maurice-lès-Couches - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « St-Maurice-lès-Couches_sapc », sur la commune de Saint-Maurice-lès-Couches - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Châtel-Moron ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Dictionnaire latin-français, Félix Gaffiot, pages 271 et 993.
  14. Dictionnaire topographique du département de Saône-et-Loire, Jean Rigault, 2008, page 170
  15. L’habitat médiéval fortifié en Chalonnais, Gilles Auloy, 1995, pages 19 et 47.
  16. a et b Archives départementales de la Côte-d'Or, Inventaire de la Chambre des comptes de Bourgogne, Jean-Baptiste Peincedé, XVIIIe siècle, volumes 10, 11, 17 et 28.
  17. Décret de la Convention Nationale du 25 Vendémiaire de l'an II de la République.
  18. a et b Archives départementales de la Saône-et-Loire, Biens nationaux en ligne, Châtel-Moron.
  19. « Le télégraphe Chappe en Saône-et-Loire (1799-1853) », article de Pierre Laffont paru dans la revue Images de Saône-et-Loire n° 84 (hiver 1990-1991), pages 17 à 24.
  20. Site web : https://www.geoportail.gouv.fr/
  21. Le Journal de Saône-et-Loire, 25 mai 2020, Actu Saône-et-Loire et Région, Conseils Municipaux élus (Châtel-Moron) : Audrey Vollot, première femme maire de Châtel-Moron, p.  11
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Site web https://bourgognemedievale.com, fiche Châtel-Moron
  27. Archives départementales de la Saône-et-Loire, cahiers paroissiaux de Châtel-Moron, périodes de 1628 à 1792.
  28. Site web : https://www.chatel-moron.fr/association-chatel-loisirs
  29. Site web : https://www.chatel-moron.fr/association-du-beffroi-castelmoronnais