Buswiller

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Buswiller
Buswiller
La cour de la ferme Jacob en 1904.
Blason de Buswiller
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Saverne
Intercommunalité Communauté de communes de Hanau-La Petite Pierre
Maire
Mandat
Daniel Etter
2020-2026
Code postal 67350
Code commune 67068
Démographie
Gentilé Buswillerois[1]
Population
municipale
286 hab. (2021 en augmentation de 8,33 % par rapport à 2015)
Densité 124 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 14″ nord, 7° 33′ 36″ est
Altitude Min. 199 m
Max. 275 m
Superficie 2,3 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Strasbourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bouxwiller
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Buswiller
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Buswiller
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Buswiller

Buswiller (prononcé [bysvilɛr]) est une commune française de la plaine d'Alsace située à 29,9 km au nord-ouest de Strasbourg, dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

En 2013, la population légale est de 235 habitants. Village de milieu rural, Buswiller est intégrée dans la communauté de communes de Hanau-La Petite Pierre.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Buswiller est située à 29,9 km au nord-ouest de Strasbourg, non loin de Bouxwiller (5,6 km)[2] dans la plaine d'Alsace.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau traversant la commune :

  • Le village est situé à 200 mètres de la source du lieu-dit Eiler, dont l'eau s'écoule dans le Almendgraben ou Landgraben qui rejoint la Zorn près de Brumath.
  • Ruisseau le Minversheimerbach[3].

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone 3 de sismicité modérée[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 843 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 10,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Uhrwiller_sapc », sur la commune de Uhrwiller à 7 km à vol d'oiseau[7], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Buswiller est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,2 %), cultures permanentes (7,7 %), forêts (1,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

  • Autoroute A4, aussi appelée autoroute de l’Est : Échangeurs Hochfelden, Saverne, Vendenheim.
  • Autoroute A340 : Sorties Brumath - Mommenheim, Haguenau, Wahlenheim.
  • Autoroute A35 : Échangeur Hoerdt.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Gare d'Obermodern.

Lignes SNCF[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Buxwilari et Buussouuilare en 784, Buszwilre au IXe siècle, Busswilre en 1438, Bliswiler en 1440, Buoswiler en 1468, Bueswiller au XVIIe siècle, Buesweiller au XVIIIe siècle[18], Bonesweiler en 1793, Bueswiler en 1801, Buswiller en 1961[19].

D'un nom d'homme germanique Buso et du latin villare (ferme), Selon Albert Dauzat et Charles Rostaing. Mais les attestations anciennes jusqu'au milieu du XVe siècle prouvent que ce nom signifiait le « Hameau du Buis »[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

La première mention du village date de 784 où il apparaît dans un document de l'abbaye de Wissembourg sous le nom de "Buusso vilare". Par la suite le village porta les noms de Busselwilre, Bussenwiller, Bossweiler, Büsweiler.

À partir de 1698, Buswiller appartient pour moitié aux Gayling von Altheim. L'autre moitié appartenant depuis 1453 aux Lichtenberg puis aux Hanau-Lichtenberg en 1480. Mais cette part fut achetée par les Gayling au début du XVIIIe siècle. Aussi jusqu'à la Révolution furent-ils les seuls maîtres de Buswiller.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Buswiller

Les armes de Buswiller se blasonnent ainsi :
« D'azur à saint Sixte, pape, nimbé, tenant dans sa dextre une bourse et de sa senestre une croix papale, le tout d'or. »[20].

Description de Buswiller en 1702[modifier | modifier le code]

Bueswiller est un petit lieu situé sur une hauteur dont l'église a un clocher voûté, son cimetière renfermé d'une muraille de 6 à 7 pieds avec quelques créneaux en bon état.
Source : rapport de l'ingénieur militaire Guillin.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 ? Jean Staath    
2001 2008 Robert Dutt    
mars 2008 En cours
(au 31 mai 2020)
Daniel Etter[21],[22]
Réélu pour le mandat 2020-2026
   

Budget et fiscalité 2022[modifier | modifier le code]

Buswiller, École (XIXe), ancienne mairie-école.

En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[23] :

  • total des produits de fonctionnement : 141 000 , soit 499  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 102 000 , soit 362  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 41 000 , soit 146  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 36 000 , soit 129  par habitant ;
  • endettement : 0 , soit 1  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 10,26 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 26,20 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 49,78 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 25 520 [24].

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses[25].
  • Culture de légumes, de melons, de racines et de tubercules.
  • Culture et élevage associés.
  • Reproduction de plantes.
  • Élevage de volailles.
  • Élevage d'autres animaux.

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Hébergements et restauration à Schalkendorf, Ringendorf, Ettendorf, Kirrwiller[26].

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Commerces et services de proximité à Val-de-Moder, Ingwiller, Bouxwiller, Ettendorf[27].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 286 habitants[Note 4], en augmentation de 8,33 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
270346394302423399392386369
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
351319331318322331315294293
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
273260252232237224207207207
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
210201170169189170200201189
2014 2019 2021 - - - - - -
258280286------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établisements d'enseignements[31] :

  • Écoles maternelles et primaires.
  • Collèges à Val-de-Moder, Bouxwiller, Hochfelden, Ingwiller, Dettwiller.
  • Lycées à Bouxwiller, Haguenau.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[32] :

  • Médecins à Alteckendorf, Pfaffenhoffen, La Walck, Dauendorf.
  • Pharmacies à La Walck, Pfaffenhoffen, Hochfelden, Schwindratzheim, Ingwiller.
  • Hôpitaux à Ingwiller, Brumath, Niederbronn-les-Bains, Haguenau.

Cultes[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'ancien château de la famille Gayling

Aujourd'hui disparu, ce bâtiment en pierre de taille construit en 1740 était encore en bon état en 1790. Avant sa destruction en 1793, le château fut estimé à 7 200 livres par les révolutionnaires.
Le rez-de-chaussée comprenait 1 salle, 3 chambres, 1 cheminée, et 2 fourneaux.
Au premier étage se trouvaient 1 salle et 5 cabinets.
Sous les mansardes se trouvaient 7 chambres.
En plus de ce château, cette famille possédait 203 arpents de terrain sur le ban communal, soit un peu moins de la moitié des terres du finage de Buswiller[35].

La synagogue disparue

Ce lieu de culte fut inauguré le 14 septembre 1874 en remplacement d'un bâtiment du XVIIIe siècle. Le financement de sa construction se monta à 5 000 francs. Ce lieu de culte disparut avec la communauté juive à la fin du XIXe ou au début du XXe siècle[36],[37].

L'église protestante fortifiée[38]

Son orgue de Gebrüder Link, 1908[39].
Elle a conservé son corps de garde ainsi que les épitaphes des Gayling von Altheim.

Monuments de Commémoration

Cimetière communal[40],[41].
Monuments aux morts[42].
Monuments funéraires dans l'église paroissiale Saint-Sixte, église protestante[43].

Patrimoine architectural rural recensé par le service régional de l'Inventaire général du patrimoine culturel

Fermes, Maisons et fermes[44].

La ferme Jacob

Le logis est daté de 1599 sur un poteau cornier. Les dépendances sont datées de 1731 et 1836. Les façades et les toitures des bâtiments sont inscrites au registre des monuments historiques depuis le 22 décembre 1981.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Bas-Rhin », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. L.I.O.N. Site de localisation interactive Orthodromie et Navigo
  3. Ruisseau le Minversheimerbach
  4. Informations sur les risques naturels et technologiques
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Buswiller et Uhrwiller », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Uhrwiller_sapc », sur la commune de Uhrwiller - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Uhrwiller_sapc », sur la commune de Uhrwiller - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b Alfred Richert - "Le buis dans la toponymie alsacienne" - page 116.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur labanquedublason2.com (consulté le ).
  21. [PDF] Liste des maires au 1 avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
  22. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  23. Les comptes de la commune
  24. [ Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet]
  25. Annuaire Agriculture, sylviculture et pêche
  26. Hébergements et restauration
  27. Le cadre de vie des Territoires
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Établisements d'enseignements
  32. Professionnels et établissements de santé
  33. Paroisse de Bouxwiller (Niedersoultzbach, Riedheim, Uttwiller)
  34. Communauté de paroisses du Bastberg et du Pays de La Petite Pierre
  35. « Château, ferme », notice no IA67009706, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  36. L'ancienne synagogue de Bueswiller
  37. La Synagogue disparue
  38. « Église paroissiale Saint-Sixte, église protestante », notice no IA67009703, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. Orgue de Gebrüder Link
  40. Cimetière communal
  41. « Cimetière R. D. 235 », notice no IA67009704, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  42. Déports, militaires & Malgré-nous
  43. Notice no IM67013708, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Ensemble de 6 monuments funéraires
  44. « Maisons et fermes de Buswiller », notice no PA00081562, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  45. Les possessions en Alsace avant la Guerre de Trente Ans. 3.2 L'ordre de la chevalerie impériale du Bas-Rhin (unterelsässische Reichsritterschaft)