Bouzincourt

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Bouzincourt
Bouzincourt
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC du Pays du Coquelicot
Maire
Mandat
Michel Letesse
2020-2026
Code postal 80300
Code commune 80129
Démographie
Gentilé Bouzincourtois
Population
municipale
536 hab. (2021 en diminution de 3,42 % par rapport à 2015)
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 01′ 38″ nord, 2° 36′ 45″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 134 m
Superficie 8,11 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Albert
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Bouzincourt
Liens
Site web https://bouzincourt.fr

Bouzincourt est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune se trouve au nord-ouest d'Albert (Somme), sur l'ancien tracé de la route nationale 338 (actuelle RD 938) et sur le plateau surplombant la vallée de l'Ancre (rivière).

Une entrée de la commune.

Localisation[modifier | modifier le code]

Position de la commune de Bouzincourt sur une carte vierge de la Somme.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Bouzincourt
Englebelmer Mesnil-Martinsart
Senlis-le-Sec Bouzincourt
Millencourt Albert

Bien que la départementale D 20 relie directement Bouzincourt et Aveluy, les territoires de ces deux communes ne se touchent pas : ils sont séparés par ceux de Mesnil-Martinsart et d'Albert qui se rejoignent de part et d'autre de la D 20.

Nature du sol et du sous-sol[modifier | modifier le code]

Le sol de la commune est argileux et calcaire. Au sud, sur les coteaux, la craie est recouverte de limon composé de sable et d'argile[1].

Relief, paysage, végétation[modifier | modifier le code]

Bouzincourt est située sur une hauteur dominant à 110 m de haut[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Aucun cours d'eau ne traverse la commune. La nappe phréatique est située entre 25 et 30 m de profondeur[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 803 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Méaulte à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Habitat[modifier | modifier le code]

En 2007, il y a 219 habitations à Bouzincourt, dont 204 sont des résidences principales, 2 résidences secondaires, et 14 maisons vides. Parmi les résidences principales, 167 sont habitées par leurs propriétaires et 32 en location[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bouzincourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,3 %), zones urbanisées (6,7 %), forêts (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un habitat groupé en une seule agglomération détruite pendant la Grande Guerre et reconstruite pendant l'entre-deux-guerres.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Bouzincourt est située sur la route de Doullens à Péronne.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Bouzincourt est une formation médiévale en -court (issu du bas latin cortem) et signifiant « domaine rural ». Cet appellatif toponymique est la plupart du temps précédé d'un nom de personne germanique, le propriétaire, ce qui semble se confirmer ici.

Albert Dauzat[15] y voit le nom de personne germanique Boso, fréquemment attesté dans le nord de la France et également contenu dans Bossancourt (Bosonis curtis 854), Bouzancourt et Bézancourt (Bosencort, Buesencort fin XIIe siècle), mais pour Ernest Nègre[16], ce nom de lieu est analogue à Bouzencourt, hameau de la Somme, (Bosincourt 1153) qui contient plutôt l'anthroponyme Businus, hypocoristique du précédent.

Malheureusement, l'un et l'autre ne mentionnent pas d'attestations anciennes et les formes citées par un érudit du XIXe siècle, l'abbé Paul Decagny[17] sont hélas trop récentes et peu caractérisées, et elles vont à la fois dans le sens de l'explication d'A. Dauzat et dans celle d'E. Nègre : Bozencourt en 1300 et Boisincourt en 1347.

L'anthroponyme Boso est ici au cas régime, comme la plupart du temps dans les noms en -court, contrairement à une partie des noms en -ville, plus tardifs. Cet ancien prénom se perpétue sous la forme des patronymes Bozon, Boson et Bouzon.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La première mention de Bouzincourt date de 1178. Lambert, seigneur de Bouzincourt fut cosignataire de la charte communale d'Encre.

En 1300, selon le Père Daire, Bouzincourt possédait un mayeur du nom de Raoul.

En 1362, Jean, chevalier, sire de Bouzincourt, était châtelain de la forteresse d'Encre.

En 1415, le seigneur de Bouzincourt mourut à la bataille d'Azincourt[18].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Au XVIe siècle, la seigneurie de Bouzincourt passa à la Maison d'Humières[18].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1870, après la bataille de l'Hallue, Bouzincourt fut occupée brièvement par les Prussiens[1].

La fin du XIXe siècle fut, pour la commune, marqué par l'exode des jeunes gens qui partirent à la ville chercher un travail dans l'industrie[1].

La commune fut le lieu de combats durant la bataille de la Somme et en particulier en 1916.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, des habitants de la commune participèrent à la Résistance. Une famille du village hébergea deux enfants juifs, les soustrayant aux rafles, à la déportation et à l'extermination. Les noms des membres de cette famille sont inscrits sur le « mur des Justes » du Mémorial de la Shoah, à Paris.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1977 Robert Gosselin    
1977 1983 Charles Allassonnière    
1983 mars 2008 Michel Thorelle    
mars 2008[19] En cours
(au 28 mai 2020)
Michel Letesse   Réélu pour le mandat 2020-2026[20],[21]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants s’appellent des Bouzincourtois(es)[22]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

En 2021, la commune comptait 536 habitants[Note 3], en diminution de 3,42 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
593622734809820817808818800
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
774743715683613610551535516
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
522504478362407413421479498
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
543564537580535511505499534
2014 2019 2021 - - - - - -
552541536------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Le regroupement pédagogique intercommunal des Cinq-Tilleuls scolarise les enfants du village. Cinq communes sont regroupées au sein de cette entité de six classes qui dispose d'une cantine scolaire et où on attend 120 élèves à la rentrée 2018[27].

Associations locales[modifier | modifier le code]

L'association de sauvegarde du patrimoine de Bouzincourt organise la visite des muches pour environ 500 personnes annuellement[28].

Économie[modifier | modifier le code]

Activités économiques et de services[modifier | modifier le code]

L'agriculture, l'industrie, l'artisanat et le commerce sont les activités dominantes de la commune.

Sur 536 habitants en 2009, 324 sont en âge de travailler, 247 sont actifs et 77 sont retraités, 37 étudiants ou inactifs (20).

Dix-neuf entreprises sont installées sur la commune[29], et 16 fermes occupant un total de 962 hectares[30]. Les entreprises sont :

  • 4 fabriques d'équipement électrique ;
  • 7 fabriques d'autres équipements industriels (en particulier des vérins pneumatiques et associés) ;
  • un coiffeur ;
  • un restaurant ;
  • un hébergement ;
  • un charpentier ;
  • un réparateur automobile ou agricole ;
  • une société de financements ;
  • une entreprise de construction ;
  • une entreprise dont l'activité n'est pas précisée.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Honoré[31][modifier | modifier le code]

L'église.

Détruite totalement pendant la Première Guerre mondiale, l'église Saint-Honoré de Bouzincourt fut reconstruite en 1920 en forme d'obus[32]. Son sommet culmine à 36 m.

Muches[modifier | modifier le code]

Les muches, du picard se mucher, se cacher, sont des tunnels souterrains dans lesquels les populations se réfugiaient en cas de guerre. Celles du village, creusées vers 1550, comptent plus de 1000 inscriptions de soldats canadiens, gravées lors de la Première Guerre mondiale (2 100 au total) ; la plus vieille date du XVIIIe siècle (1711)[33]. En août 2018, trois ingénieurs de l'Institut national des sciences appliquées (INSA) modélisent en trois dimensions les inscriptions laissées sur les parois par les soldats de la Première Guerre mondiale. Il devrait ensuite être possible de visiter devant un écran cet aspect des galeries creusées à partir du XVIe siècle[34].

L'entrée se fait dans l'église, des visites sont organisées pendant les journées du patrimoine[28].

Chapelle Notre-Dame-de-la-Paix[modifier | modifier le code]

Construite en 1938, avec deux fenêtres ornées de vitraux[35].

Cimetière militaire britannique[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Bouzincourt dans les arts[modifier | modifier le code]

Citons le sketch d'Anne Roumanoff : « Une année à Bouzincourt ».

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne ou recherche sur les villes, bourgs et hameaux qui le composent, 1844, réédition Paris, Rassorts Lorisse, 1999, (ISBN 2 - 87 760 - 937 - 5)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Notice géographique et historique sur la commune de Bouzincourt, rédigée par A. Demarcy, instituteur, 189?, Archives départementales de la Somme, Amiens.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Bouzincourt et Méaulte », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. insee Logement, 1968-2007.
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Larousse 1968.
  16. Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Dalloz 1990.
  17. L'arrondissement de Péronne, 1833.
  18. a et b Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne ou recherche sur les villes, bourgs et hameaux qui le composent, 1844, réédition Paris, Rassorts Lorisse, 1999, (ISBN 2 - 87 760 - 937 - 5).
  19. « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  20. Vincent Hery, « Le divorce est consommé entre le maire de Bouzincourt et son premier adjoint », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Les mauvaises relations entre les deux élus s’inscrivent dans le contexte de préparation des élections municipales de 2020. Jean-Baptiste Rouvillain, 30 ans, fils du désormais ex-premier adjoint, a présenté sa candidature au fauteuil de maire dans nos colonnes fin septembre. Il indiquait alors que son papa l’a assuré de son soutien « plein et entier » ».
  21. « Michel Letesse réélu maire de Bouzincourt », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. habitants.fr, « Somme > Bouzincourt (80300) » (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Courrier picard, « Bouzincourt, contre la suppression d'un poste à l'école », édition Picardie maritime, , p. 17.
  28. a et b Adeline Collet (Inscriptions des villageois, gravures, dessins de soldats, mais aussi fusils ou objets du quotidien... les muches renferment la mémoire de Bouzincourt depuis 1711), « Dans les entrailles des muches », Courrier picard,‎ , p. 15.
  29. Créations et stock d'établissements par commune en 2009.
  30. Exploitations agricoles.
  31. clochers.org, « Église Saint-Honoré » (consulté le ).
  32. « Page sur Bouzincourt sur le site de la communauté de communes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur paysducoquelicot.com.
  33. E. B., le Courrier picard, « Bouzincourt, deux associations pour valoriser le patrimoine », , p. 15.
  34. Courrier picard, « Les muches en trois dimensions », édition Picardie maritime, , p. 2.
  35. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 228 (ASIN B000WR15W8).