Belmont (Bas-Rhin)

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Belmont
Belmont (Bas-Rhin)
Vue plongeante sur le centre.
Blason de Belmont
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Molsheim
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de la Bruche
Maire
Mandat
Guy Hazemann
2020-2026
Code postal 67130
Code commune 67027
Démographie
Gentilé Belmontois [1]
Population
municipale
173 hab. (2021 en augmentation de 2,37 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 24′ 38″ nord, 7° 14′ 07″ est
Altitude Min. 566 m
Max. 1 084 m
Superficie 10,34 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Mutzig
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Belmont
Géolocalisation sur la carte : France
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Belmont
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Belmont
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Belmont
Liens
Site web www.lechampdufeu.com/belmont/

Belmont est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace. En 1974, elle fusionne avec Bellefosse et Waldersbach, puis, en 1975, avec Fouday pour former la commune du Ban-de-la-Roche. Belmont est rétablie le 1er janvier 1992.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Belmont est accrochée dans la pente ouest du Champ du Feu, sur un léger replat dominant la rive Nord de la Chirgoutte, ou Chergoutte (affluent de la Bruche). Belmont fait partie du canton de Schirmeck et de l'arrondissement de Molsheim. Les habitants sont nommés les Belmontois.

Communes limitrophes de Belmont
Neuviller-la-Roche
Waldersbach Belmont Le Hohwald
Bellefosse

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Belmont accroché au flanc du Champ du Feu, domine la vallée de la Schirrgoutte, ainsi que la haute vallée de la bruche. C´est le plus haut village du Bas-Rhin[2].

Rocher de Rathsamhausen (1 025 m).

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion de l’Aquifère rhénan, par le BRGM :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 7,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 393 mm, avec 14,1 jours de précipitations en janvier et 12 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 7,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 341,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 30,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −20,3 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Statistiques 1991-2020 et records BELMONT (67) - alt : 1065m, lat : 48°24'22"N, lon : 7°16'01"E
Records établis sur la période du 01-07-2006 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −3,2 −3,3 −0,5 3,5 6,4 9,9 11,8 11,7 8,6 5,2 1,4 −1,7 4,2
Température moyenne (°C) −1 −1 2,2 6,9 9,8 13,3 15,3 15 11,6 7,8 3,7 0,4 7
Température maximale moyenne (°C) 1,1 1,2 4,9 10,3 13,2 16,8 18,8 18,3 14,7 10,3 6 2,6 9,9
Record de froid (°C)
date du record
−13,7
26.01.07
−19
03.02.12
−12,5
07.03.10
−8
06.04.21
−3,2
04.05.19
1,3
05.06.12
4,3
24.07.11
3,9
30.08.10
0,3
17.09.08
−8,3
29.10.12
−9,8
30.11.10
−20,3
20.12.09
−20,3
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
12,3
01.01.22
16,9
27.02.19
19,4
31.03.21
22,4
28.04.12
25,7
25.05.09
28,9
09.06.14
30,9
05.07.15
30,5
07.08.15
25,8
15.09.20
23,4
02.10.23
18,4
01.11.14
14,8
17.12.23
30,9
2015
Précipitations (mm) 138,6 107,4 106,3 65,2 125,7 114,5 101,5 116,2 85,8 115,3 118,2 147,2 1 341,9
Source : « Fiche 67027001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
1,1
−3,2
138,6
 
 
 
1,2
−3,3
107,4
 
 
 
4,9
−0,5
106,3
 
 
 
10,3
3,5
65,2
 
 
 
13,2
6,4
125,7
 
 
 
16,8
9,9
114,5
 
 
 
18,8
11,8
101,5
 
 
 
18,3
11,7
116,2
 
 
 
14,7
8,6
85,8
 
 
 
10,3
5,2
115,3
 
 
 
6
1,4
118,2
 
 
 
2,6
−1,7
147,2
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone 3 de sismicité modérée[9].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau traversant la commune :

  • Ruisseau de la Chergoutte[10].
  • Ruisseau la Serva[11].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

  • A35, , aussi appelée autoroute des cigognes ou l'Alsacienne : Échangeurs Barr, Goxwiller - Valff, Ebersheim.
  • A352 : Échangeur Molsheim - Obernai.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

SNCF[modifier | modifier le code]
Gare de Fouday.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Commune membre de la Communauté de communes de la Vallée de la Bruche.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Belmont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,1 %), prairies (11,3 %), zones urbanisées (5,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Belmont (1837).

Cette commune, comme celles de Bellefosse, de Waldersbach, de Solbach, de Fouday, de Rothau, de Wildersbach et de Neuviller-la-Roche, se rattache à l'histoire de la seigneurie du Ban de la Roche, aussi appelée Zum Stein, administrée par l'une des cinq familles de la branche des Rathsamhausen[18]. Le nom de Zum Stein (ou de la Roche) provient du château de la Roche situé au-dessus de Bellefosse dont l'origine n'est pas claire. Ce château aurait été construit au XIIIe siècle par les Rathsamhausen.

Entre 1127 et 1227, nous trouvons une famille de Lapide ou de Rupe (du latin lapis = pierre ; rupes = rocher), mais celle-ci ne réside pas au château de Bellefosse mais au château de Dreistein dont elle prit le nom. La Réforme est introduite par Georges-Jean de Veldenz dès 1584.

Entre 1795 et 1871, Belmont, ainsi que Bellefosse, Solbach et Fouday est rattaché à l'arrondissement de Sélestat alors qu'une majorité de communes voisines sont rattachées au département des Vosges. En 1871, Belmont est rattachée à l'Alsace-Lorraine par le traité de Francfort, ainsi que tous les villages de la vallée de la Bruche. En 1919, le village retourne au département du Bas-Rhin.

Toponymie[modifier | modifier le code]

  • 1584 : Schönenberg ; 1789 : Schoenberg ; 1793 : Belmont.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Belmont

Les armes de Belmont se blasonnent ainsi :
« D’azur au mont de trois coupeaux d’argent surmontés d’un soleil d’or. » [19]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 En cours
(au 31 mai 2020)
Guy Hazemann[20],[21]
Réélu pour le mandat 2020-2026
   

Budget et fiscalité 2021[modifier | modifier le code]

La mairie-école.

En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[22] :

  • total des produits de fonctionnement : 234 000 , soit 1 361  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 196 000 , soit 1 138  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 150 000 , soit 871  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 217 000 , soit 126  par habitant ;
  • endettement : 153 000 , soit 889  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 13,78 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 20,63 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 44,41 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 25 250 [23].

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses[24]
  • Élevage de chevaux et d'autres équidés.
  • Élevage d'autres bovins et de buffles.
  • Élevage d'autres animaux.

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Hébergements et restauration à Belmont, Bellefosse, Wildersbach, Natzwiller, Fouday[25].

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Commerces et services de proximité à Saint-Blaise-la-Roche, La Broque, Gertwiller, Plaine, Andlau, Natzwiller, Schirmeck[26].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 173 habitants[Note 3], en augmentation de 2,37 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
423386506577653694727655619
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
557587621634580560474447410
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
361348311254220211202216195
1962 1968 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2021
160158147156156176170177173
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[31] :

  • Écoles maternelles à Waldersbach, Natzwiller, Neuviller-la-Roche, Le Hohwald, Fouday.
  • Écoles primaires à Waldersbach, Natzwiller, Le Hohwald, Fouday, Ranrupt.
  • Collèges à La Broque, Villé, Schirmeck, Urmatt.
  • Lycées à Schirmeck, Urmatt, Barr, Obernai.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[32] :

  • Médecins à Saint-Blaise-la-Roche, Rothau, La Broque, Villé.
  • Pharmacies à Saint-Blaise-la-Roche, Rothau, La Broque, Villé.
  • Hôpitaux à Rothau, La Broque, Schirmeck.

Cultes[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église protestante[36],[37] résulte de la transformation, en 1755 et 1762, d'une chapelle de pèlerinage médiévale, dédiée au Saint-Esprit[37].
Deux anciennes colonnes romanes sculptées ont été réemployées sur le mur Nord.
L'église abrite aussi deux fragments de vitraux du XIIIe siècle enchâssés dans une fenêtre[38], ainsi qu'un tableau de Christ souffrant du XVIe siècle ornant la tribune[37].
Autel protestant[39].
Tableau Ecce Homo XVIe siècle[40].
3 estampes et leurs cadres : Luther, Calvin, Melanchton[41]
Cloche Marie-Madeleine de 1434[42].
Orgue d'Edmond Alexandre Roethinger[43].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Sara Banzet (1745-1774), première « conductrice de la tendre jeunesse », recrutée par le pasteur Oberlin en 1770
  • La famille Loux : Henri Loux, né à Sessenheim, est le créateur du décor de vaisselle dénommé « Obernai ».

Jumelages[modifier | modifier le code]

Jumelage avec Woolstock.

Comme sept autres communes du Ban de la Roche (Bellefosse, Fouday, Neuviller-la-Roche, Rothau, Solbach, Wildersbach et Waldersbach), Belmont est jumelée depuis le avec Woolstock, une petite localité américaine de l'Iowa qui a accueilli au XIXe siècle des immigrants en provenance du Ban de la Roche.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Michel Hérold, Françoise Gatouillat, Les vitraux de Lorraine et d'Alsace, Corpus vitrearum, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, CNRS Editions Inventaire général, (ISBN 2-271-05154-1)
    Recensement des vitraux anciens de la France, Volume V, Belmont, Temple protestant, page 165
  • Charles-Laurent Salch, Nouveau Dictionnaire des Châteaux Forts d'Alsace, Ittlenheim, alsatia, Conception et réalisation Lettrimage, , 384 p. (ISBN 2-7032-0193-1)
    Roche (La), pp. 267-268, Dessins de relevés et d'illustration sont de Walter Herrmann, André Lerch, Christian Rémy. Images de synthèse de Fabien Postif et Photos de Dominique Martinez
  • « Belmont », in La Haute vallée de la Bruche, Patrimoine d’Alsace, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Éditions Lieux Dits, Lyon, 2005, p. 77-80 (ISBN 978-2-914528-13-9)
  • Josette Brunissen, « Louise Constance, sage-femme de Belmont », L'Essor, no 185
  • Ad. Emig, « Les cloches en argent de Belmont », L'Essor, no 171
  • Claude Jérôme, « La foudre et le flot », L'Essor, no 140
  • René Kobloth, « Août 1914 à Belmont », L'Essor, no 141
  • Denis Leypold, « Les grands incendies de Neuviller et de Belmont au XIXe siècle », L'Essor, no 138
  • Denis Leypold, « Les éléments artistiques du temple de Belmont », L'Essor, no 178
  • Denis Leypold, « Le Christ de Belmont », L'Essor, no 188
  • Pierre Moll, « De quelques incendies », L'Essor, no 138
  • Pierre Moll, « C. Bernard, soldat de la garde de Napoléon Ier (1793-1868) », L'Essor, no 147
  • Jacques de la Roche, « Le Crawatenacker ou "le trésor du Belmontais Muller" », L'Essor, no 52
  • « Les anciens commerces disparus », L'Essor, no 200 (travail réalisé par les écoles primaires)
  • Henriette Scheppler, « Histoire de la commune de Belmont : ouvrage écrit pour l'obtention du prix de Witt-Guizot [par] Henriette Scheppler, institutrice », L'Essor, 2008, en 5 parties
  • Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
  • Inventaire national du patrimoine naturel de la commune

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le nom des habitants du 67 - Bas-Rhin - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Belmont sur le site du Champ du feu
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Belmont » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Belmont » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. Le risque sismique dans le Bas-Rhin
  10. Ruisseau de la Chergoutte
  11. Ruisseau la Serva
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Cette famille est plus connue sous le nom de Rathsamhausen Zum Stein
  19. L'Armorial des villes et villages de France, http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=5395
  20. [PDF] Liste des maires au 1 avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
  21. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  22. Les comptes de la commune
  23. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  24. Annuaires
  25. Hébergements et restauration
  26. Commerces et services de proximité
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Établissements d'enseignements
  32. Professionnels et établissements de santé
  33. Le village est une filiale de la paroisse de Waldersbach
  34. Paroisse des Hauts de Bruche
  35. paroisses catholiques
  36. « Église luthérienne », notice no IA67013069, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  37. a b et c Antoine Pfeiffer (dir.), Protestants d'Alsace et de Moselle : lieux de mémoire et de vie, SAEP, Ingersheim ; Oberlin, Strasbourg, 2006, p. 182 (ISBN 2-7372-0812-2).
  38. Église protestante de Belmont
  39. « Autel protestant », notice no IM67015269, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  40. « Tableau : Ecce Homo », notice no IM67015267, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  41. « 3 estampes et leurs cadres : Luther, Calvin, Melanchton », notice no IM67015273, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  42. « Cloche », notice no IM67015268, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  43. « Orgue », notice no IM67015270, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  44. La Tour Belvédère du Champ du Feu
  45. Cosmogonie poétique
  46. Monument aux morts