Méry-sur-Seine

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Bataille de Méry-sur-Seine)

Méry-sur-Seine
Méry-sur-Seine
Statue célébrant les victoires révolutionnaires de Valmy et de Jemappes.
Blason de Méry-sur-Seine
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Aube
Arrondissement Nogent-sur-Seine
Intercommunalité Communauté de communes Seine et Aube
(siège)
Maire
Mandat
Carmen Labille
2020-2026
Code postal 10170
Code commune 10233
Démographie
Gentilé Mérycien
Population
municipale
1 465 hab. (2021 en diminution de 2,27 % par rapport à 2015)
Densité 118 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 30′ 41″ nord, 3° 53′ 25″ est
Superficie 12,42 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Troyes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Creney-près-Troyes
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Méry-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Méry-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : Aube
Voir sur la carte topographique de l'Aube
Méry-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Méry-sur-Seine
Liens
Site web mery-sur-seine.fr

Méry-sur-Seine est une commune française, située dans le département de l'Aube en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Au nord-ouest du département de l'Aube, entre la route Troyes-Paris et Anglure, sur la route de Sézanne, dans une dépression de la plaine champenoise, Méry-sur-Seine est essentiellement construite sur la rive droite du fleuve Seine, à 82 mètres d'altitude. Le bourg de Méry-sur-Seine est bordé, au nord, par le canal de la Haute-Seine qui reliait initialement la rivière Aube, près de Marcilly-sur-Seine, au cœur de la ville de Troyes. Dans Méry-sur-Seine, la rivière Seine reçoit la petite rivière du Moulin.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 679 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Romilly », sur la commune de Romilly-sur-Seine à 12 km à vol d'oiseau[3], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 619,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −25,2 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Méry-sur-Seine est une commune rurale[Note 2],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Troyes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,2 %), forêts (21,9 %), zones agricoles hétérogènes (12,6 %), zones urbanisées (8,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,7 %), eaux continentales[Note 4] (2,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

En 451, possiblement à Méry, mais plus probablement au lieu-dit de Moirey, un site localisé au sein de la commune de Dierrey-Saint-Julien, le général romain, Aetius, Théodoric Ier le roi des Wisigoths et Mérovée, le roi des Francs s'unirent pour combattre et vaincre Attila[14],[15]. Après la levée du siège d'Orléans, Attila fait retraite sur la Seine et la Marne. Les deux armées se rencontrent une nouvelle fois au passage du fleuve à Méry ou plus de 30 000 hommes restèrent sur le champ de bataille. Attila put néanmoins passer la Seine et prit position aux Champs Catalauniques[16].

Elle fait partie de la province de Champagne.

Le , pendant la campagne de France, eut lieu la bataille de Méry-sur-Seine entre les armées de l'Empire commandées par le général Antoine Gruyer et les troupes russes. Le général Joseph Boyer de Rebeval s'y distingua par sa bravoure.

Champigny[modifier | modifier le code]

Ancien hameau qui appartenait au fief de Méry et se trouve tant territoire Méry que de Saint-Oulph ; les habitants des deux communautés avaient un droit d'usage sur dix arpents de terres.

Hôtel-Dieu[modifier | modifier le code]

Il en existait une en 1220 sans pouvoir dire si c'est le même qui est cité comme étant fondé par les habitants en 1323 et existant toujours en 1775. Il possédait un moulin à Beauregard, l'étang de Bury, une ferme à Viâpre et une à Jouy.

Bailliage royal[modifier | modifier le code]

Méry était le siège d'un bailliage, les officiers étaient à la nomination du chapitre de la Sainte-Chapelle de Vincennes. Les sièges de Pouan et Bessy en dépendaient. Il avait un bailli de robe longue, un lieutenant, un greffier, un procureur et un avocat du roi.

Prieuré[modifier | modifier le code]

Sous le vocable de l'Assomption-de-la-Vierge, il est en la chapelle castrale dès 1104 par don de Philippe de Pont à l'abbaye de Molesme. La chapelle est transférée hors les murs vers 1128, puis brûlée lors de la guerre de Cent Ans. Reconstruite, elle fut vendue comme bien national et démolie avec son cimetière en 1800.

Prieurs :

  • 1177 : Gaucher,
  • 1260 : André,
  • 1317 : Jean le Vilain,

...

  • 1747 - 1753 : Jean l'Empereur aussi de Péas,
  • 1755 - 1778 : Philippe Pierre Bourdon,
  • 1780 - 1787 : l'abbé de Bonneval.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[17],[18]
Période Identité Étiquette Qualité
5 mai 1953   Maurice Parez Radical - Rad.ind. Ingénieur TPE
18 mars 1959   Maurice Parez Radical - Rad.ind. Ingénieur TPE
4 juin 1963   Georges Flizot    
28 mars 1965   Georges Flizot    
26 mars 1971   Jean Monet    
20 mars 1977   Jean Monet    
19 mars 1983   Jean Colas    
17 mars 1989   Jean Flizot    
30 novembre 1993   René Marie SE Ancien officier de l'armée de l'air
16 juin 1995   René Marie SE Ancien officier de l'armée de l'air
23 mars 2001   René Marie SE Ancien officier de l'armée de l'air
21 mars 2008   René Marie SE Ancien officier de l'armée de l'air
30 mars 2014 décembre 2015 Serge Legras SE  
décembre 2015 mars 2020 Stéphanie Besnard SE Assistante RH
15 mars 2020 En cours Carmen Labille[19] SE Directrice d'exploitation retraitée
Les données manquantes sont à compléter.

CMJ[modifier | modifier le code]

Depuis l'année 2017 la commune de Méry-sur-Seine accueille le conseil municipal jeune qui s'occupe de projets tels que des soirées ados, des soirées jeux, mais également de quelques projets au sujet du collège et de l'école élémentaire avec l'aide de la directrice "Enfance et Jeunesse". L'année 2020 est la deuxième année de ce projet avec des mandats de 2 ans. Il y a aussi bien des CM2 que des 5e pour penser aux projets. Ils font le bonheur des petits et des grands.

Jumelage[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

En 2021, la commune comptait 1 465 habitants[Note 5], en diminution de 2,27 % par rapport à 2015 (Aube : +0,74 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1651 1941 3661 1231 3621 3161 3281 3691 347
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3171 4151 4451 4501 3561 3281 3321 3721 342
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2761 2911 2221 0199961 0081 0179701 085
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 1351 1091 1741 2541 3021 3261 3941 4621 520
2021 - - - - - - - -
1 465--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • le eut lieu la bataille de Méry-sur-Seine entre les armées de l'Empire commandées par le général Antoine Gruyer, blessé au combat, et les troupes russes.
  • Sur la place Croala est érigée une statue offerte par l'Etat, célébrant les victoires de l'Armée Révolutionnaire à Valmy et à Jemappes (1792).
  • L'église paroissiale de l'Assomption de la Vierge a été sous le vocable de Saint-Robert au XIIIe siècle. L'église est du XIIe siècle, grandement remaniée au XVIe siècle et possède comme mobilier :
    • la dalle funéraire d'Anne Corrard[25] morte en 1553 ;
    • Une Vierge de pitié[26] ;
    • Une éducation de Marie[27] ;
    • quatre chapiteaux historiés[28] morte en 1553.
    • Le clocher est surmonté de la statue de Jeanne d'Arc.
    • L'école maternelle place du
    • L'école élémentaire rue Delaître
    • Le collège Pierre Labonde rue du général Pierre Labonde

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Huon de Méry, trouvère du XIIIe siècle, originaire de Méry-sur-Seine.
  • François d'Amboise, seigneur de Mery-sur-Seine au XVIIe siècle. Il restaura le château de Mery tombé en ruine pendant les guerres de Religion.
  • Antoine Maitrejean, opticien, né en 1650 à Méry-sur-Seine.
  • Louis-Pierre, Edme et Jean-Baptiste Croala, fils de Pierre Croala et Marie Maitrejean[29]. Ces trois enfants de Méry s'engagèrent dans l'armée de la République ; l'aîné est gendarme à résidence, les deux jumeaux s'engagèrent en germinal an II, passant par l'Armée de la Moselle, firent partie des insurgés du 1er prairial an III de Paris qui tuèrent le député Féraud et furent guillotinés. Une statue de R-C Carillon leur fut élevée en 1908 sur la place Croala.
  • Claude Thomas Guerrapain, militaire, conseiller du Roi, né le à Méry-sur-Seine et mort le à Saint-Martin-ès-Vignes.
  • Adolphe Pinard, gynécologue-obstétricien, né à Méry-sur-Seine en 1844 et enterré dans la même ville en 1934.
  • Raymond Decary, scientifique français, né en 1891 à Méry-sur-Seine et mort en 1973 à Paris.
  • Paul Auguste Hariot, fils du pharmacien de Méry, Louis Hariot, il devint lui-même pharmacien et membre du Muséum national d'histoire naturelle.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Méry-sur-Seine Blason
De gueules au pont de deux arches d'argent, maçonné de sable, posé sur des ondes d'argent mouvant de la pointe, le pont sommé d'un écusson d'azur semé de fleurs de lys d'or, supporté par deux lions assis et affrontés du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Méry-sur-Seine et Romilly-sur-Seine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Romilly », sur la commune de Romilly-sur-Seine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Romilly », sur la commune de Romilly-sur-Seine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Isabelle Crété-Protin, « La christianisation de l'Antiquité tardive », dans Isabelle Crété-Protin, Église et vie chrétienne dans le diocèse de Troyes du IVe au IXe siècle., Presses Universitaires de France, coll. « Septentrion », , 446 p. (lire en ligne), p. 168.
  15. Henri d'Arbois de Jubainville, « Encore un mot sur la bataille de Mauriacus. », Bibliothèque de l'école des chartes, École nationale des chartes, t. 31,‎ , p. 211 à 216 (DOI 10.3406/bec.1870.446323, lire en ligne, consulté le ).
  16. Histoire du département de la Marne par P. Chevallier
  17. Hariot, Recherches...Méry-sur-Seine...Arcis-sur-Aube, 1863, p319.
  18. Vivre à Méry : Bulletin municipal d’informations Janvier 2014,
  19. https://reader.cafeyn.co/fr/1927222/21598566
  20. « Partnergemeinden » Site web de la commune de Bischoffen, consulté le 26 mars 2017.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « dalle funéraire », notice no IM10011994, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  26. « groupe sculpte », notice no PM10001210, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  27. « statue », notice no PM10001209, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  28. « chapiteaux », notice no IM10011993, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  29. Louis Morin, Les trois frères Croala...Volontaires sous la Première République, Arcis-sur-Aube, 1909.

Liens externes[modifier | modifier le code]