Église Sainte-Catherine de Montaut

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Église Sainte-Catherine de Montaut
Clocher de l'église Sainte-Catherine
Clocher de l'église Sainte-Catherine
Présentation
Culte Catholique romain
Type Église
Rattachement Paroisse Notre-Dame-du-Mont-Carmel
Diocèse d'Aire et Dax
Début de la construction XIVe siècle
Fin des travaux XVIIe siècle
Style dominant Architecture gothique
Protection Logo monument historique Inscrit MH (1970)
Géographie
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Commune Montaut
Adresse 227, rue Henri II
Coordonnées 43° 44′ 26″ nord, 0° 39′ 34″ ouest

Carte

L'église Sainte-Catherine se situe sur la commune de Montaut, dans le département français des Landes. Elle est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [1].

Situation[modifier | modifier le code]

L'église Sainte-Catherine est située au 227, rue Henri II[2] (côté nord de la rue). Son chevet est tourné vers le nord[3],[4].

Historique[modifier | modifier le code]

XIVe siècle : première construction[modifier | modifier le code]

La première construction de l'église Sainte-Catherine remonterait au XIVe siècle. Elle n'est alors qu'une simple chapelle de bourg[3] : le chef-lieu de la paroisse est Brocas « depuis un temps immémorial », avant que le simple hameau de Montaut ne se développe en bourg fortifié au gré des rivalités seigneuriales et des conflits de la féodalité[5].

Son portail est déjà sur la même façade que maintenant, côté sud (actuelle rue Henri II). Mais elle est construite sur l'une des portes d'enceinte à l'extrémité ouest de la rue principale du village ; son clocher (construit à la fin du siècle) chevauche cette rue et sert toujours de porte à celle-ci[3].

Elle est à l'origine constituée d'une salle unique terminée en hémicycle vers le nord[3], d'architecture romane, éclairée par des fenêtres dont il ne subsiste qu'une ouverture trilobée et bouchée située sur l'arc qui donne accès à la chapelle de la Vierge dans le mur Est (à droite depuis l'entrée de l'église).[réf. nécessaire] Lors de son édification, le chœur est séparé de la nef par un arc, dont il ne reste aujourd'hui que le départ des ogives détruites, à l'entrée de l'ancien chœur[3]. La nef est initialement divisée en trois travées[réf. nécessaire] dont il reste les colonnettes[3], six chapiteaux ornés de feuillages ou de personnages[6] et les voûtes où demeure une belle clef historiée[3]. L'accès à l'église se faisait au travers d'une ouverture en plein cintre située à droite de l'entrée actuelle.[réf. nécessaire]

Vers la fin du siècle, le chevet est surélevé[3] d'une partie polygonale[réf. nécessaire] et épaulé par des contreforts. Et une tour-clocher est construite sur la porte du village, accolée à l'angle ouest de l'église[3] ; son accès est aménagé dans la nef au travers d'une porte située à l'étage donnant dans une tourelle d'escalier bâtie en encorbellement.

XVe siècle : agrandissements[modifier | modifier le code]

Aux alentours de 1500, l'église est considérablement agrandie par l'ajout sur le côté ouest (partie gauche de l'église) d'un collatéral de même dimension que le vaisseau principal (l'église Saint-Pierre de Brocas reçoit elle aussi un collatéral)[3].

L'autel du collatéral est originellement dédié à saint Jean-Baptiste[n 1].

XVIe siècle : les guerres de religion[modifier | modifier le code]

« Les guerres de religion » – poursuit le général Constans – « furent pour Montaut une époque de désolation. En 1569, les troupes de Montgomery ravagèrent le bourg dont la population se montrait fidèle à la religion catholique. Les soldats du capitaine Thoiras incendièrent le clocher, l'église fut pillée et les cloches enlevées. La démolition de l'édifice fut entreprise par Gabriel et Étienne de Muret. Les ornements, joyaux, vases sacrés furent enlevés. »
« La reconstruction du bourg fut entreprise dès la fin du XVIe siècle. Pierre de Claverie, ancien régent du collège de Bordeaux et curé de la paroisse, entama la reconstruction de l'église[7]… ».

C'est à cette époque aussi que les voûtes qui s'étaient effondrées au cours des guerres de religion ont été refaites en briques, à la toulousaine[n 2].[réf. nécessaire]

La conséquence la plus notable des guerres de religion est le développement du bourg de Montaut en une petite ville fortifiée, avantagée par sa position sur une hauteur (d'où le nom de « Mont haut ») - contrairement à Brocas[5].

XVIIe siècle : la chapelle de la Vierge[modifier | modifier le code]

Jusque là, l'espace utilisé comme sacristie est « un appentis[8] » contre le mur est, à droite de la nef centrale[9], « ouvert par un arceau taillé dans la muraille en plein cintre, sans moulure et sans harmonie avec l'ensemble ». L'actuelle sacristie est bâtie pendant ce siècle et l' « appentis » transformé en « chapelle ogivale de la Vierge »[8]. Cette chapelle est originellement dédiée à l'Annonciation, puis au Rosaire en 1834[9]. Elle est voûtée d'ogives[3]. L'arc en plein cintre, qui relie la chapelle à la nef centrale, a remplacé une fenêtre aujourd'hui réemployée dans son mur méridional.[réf. nécessaire]

La chapelle, qui fait saillie à l'extérieur, forme un angle avec le chœur ; plus tard, une sacristie vient combler cet angle[3]. Au-dessus de sa porte, un tympan trilobé portant en caractères gothiques le monogramme IHS a été réutilisé là.[réf. nécessaire]

Le retable est du XVIIe siècle. Il est l'un des plus anciens retables conservés dans le département[réf. nécessaire] - le doyen étant probablement le retable en pierre du chœur de l'église Notre-Dame d'Audignon, daté du début du XVe siècle[10].


À l'approche du XVIIIe siècle, la population du bourg est devenue prédominante sur celle du siège de paroisse Brocas. Le premier curé à quitter Brocas pour habiter à Montaut est Christophe Lafaurie, qui appartient à la famille des seigneurs de Montaut ; d'abord curé d'Ourses (canton d'Arjuzanx), il obtient la cure de Montaut[5] à la fin du siècle (il est en place au plus tard en 1699)[11] et s'installe d'emblée près de la place du bourg, dans la maison de Loubes[5].

XVIIIe siècle : le sol restauré[modifier | modifier le code]

Une cloche de 600 kg[12] est installée en 1760[9] (en remplacement ou en ajout ?).

En 1786 le sol de l'église est restauré en pierre de Bidache par Antoine Mazzetti[3] (facture du  ?), ces travaux ayant préalablement fait l'objet d'une décision de justice.[réf. nécessaire]

En 1793 la Révolution fait perdre ses plus belles cloches à l'église qui ne conserve qu'une cloche, celle fondue en 1760, pendant plus de quarante ans[12].

Les curés de ce siècle sont :

  • Christophe Lafaurie[11].
  • M. d'Abadie-Saint-Germain : il s'établit sur la place de Montaut dans une maison encore appelée la cure en 1864 bien qu'elle soit alors habitée par un médecin[11].
  • M. Lagarde de Cazères[11].
  • M. Duhart de Nogaro (1746-1788, 42 ans de cure), qui fait des difficultés pour trouver une maison à son goût pour finalement s'installer dans la maison de Lataste. en 1788 il résigne la cure en faveur de M. Bergoignan, vicaire à Souprosse puis à Montaut. Duhart vit 5 ans de plus, est dispensé du serment constitutionnel grâce à son grand âge, et meurt à 91 ans ; il est enterré dans la Plaçotte en dehors et à gauche de la sacristie de Sainte-Catherine)[11].
  • Bergoignan a l'honneur douteux d'être curé quand la Révolution éclate[11]. Mais à cette époque, Brocas est desservie par un vicaire nommé Baffoigne[13], qui a pratiqué une cachette dans une maison voisine de la sienne à Taluchet[n 3] pour y dissimuler le prêtre officiant et déjouer les recherches de la maréchaussée[14].

XIXe siècle : statut paroissial, cimetière, cloches et vitraux[modifier | modifier le code]

1806 : les paroissiens du bourg, "fatigués de porter leurs morts à Brocas" (ancien siège de la paroisse), obligent la municipalité à faire choix d’un terrain pour un nouveau cimetière à Montaut. Mais celui-ci « ne convient pas du tout, inspire le dégoût, tout le monde se plaint ». Le conseil municipal tergiverse[15] jusqu’entre 1847 et 1855[16], quand le maire Sylvain Labastugue prend l’affaire en mains avec son nouveau conseil. On joint au terrain acquis en 1806 un emplacement mitoyen "pour faire un beau et immense cimetière"[15].

1808 : le titre de siège paroissial, réservé à l'église de Brocas jusqu'en 1685, passe officiellement à Sainte-Catherine et Brocas devient une succursale[17].

Pédemagnon de Bétrac, curé à Montaut (1834-1839), commande en 1836 une seconde cloche de 350 kg. Mais celle-ci se casse en 1840[12]. Le curé Lamarque la fait refondre par Delestan, fondeur à Dax[18] ; elle pèse alors 420 kg. Elle cesse de fonctionner en 1853. Le fondeur Tourmeau fils, de Mont-de-Marsan, la refond[12] et porte son poids à 458 kg[18] (la même année il refond une autre cloche pour l'église de Brocas[19]), mais cette nouvelle cloche de Sainte-Catherine ne fonctionne que deux ans et Tourmeau fils doit donc la refondre à ses frais en 1855[18] (elle pèse 449 kg). En 1877 elle est de nouveau refondue et agrandie pour 350 francs[12].

En 1889, deux petites cloches par Émile Vauthier de Saint-Émilion sont ajoutées aux deux grosses pour un coût de 1 200 francs[n 4],[12],[9].

La collection de vitraux qui ornent l'ensemble de l'église est datée de 1882. Ils représentent, à droite, sainte Catherine, la patronne de l'église ; à gauche, saint Pierre, le patron de la paroisse ; et au-dessus de la galerie, Notre-Dame de Buglose.[réf. nécessaire]



Le curé Pédemagnon réaffecte l'autel (dédié à saint Jean-Baptiste) du collatéral au culte du Sacré-Cœur le 24 juillet 1835[20]. Subséquemment à cette réaffectation, en 1855-1856 l'autel est remplacé par la maison Daux de Bordeaux et le tableau par une œuvre du peintre parisien Didelin[9].

Vers 1850 la clôture de sanctuaire est renouvelée par les fonderies du Val d'Osne[9].

En 1860 le curé Barbe fait construire une tribune au-dessus du tambour entourant l'entrée de l'église. On y accède par l'escalier dissimulé dans une tour arrondie en demi hors d’œuvre (elle saille à l'extérieur) bâtie contre le mur est près de la façade sud[21]. La tribune est remplacée par le menuisier local Pierre Sarres (ou Sarrez) en avril 1898 grâce au legs Burguerieu[3].

En 1874, la fabrique toulousaine Virebent fournit une nouvelle chaire à prêcher. Une cloche est installée en 1877. Les lustres sont changés en 1887[9].

En 1899, une tornade met à mal toute la Chalosse. Elle emporta le toit pointu du clocher avec sa flèche de 28 mètres en ardoise. L'ancienne toiture du clocher est remplacée, en 1936, par l'actuelle terrasse crénelée[3]. Ce qui est apparu comme une aberration architecturale en béton armé est devenu le symbole de Montaut.

XXe siècle[modifier | modifier le code]

En avril-mai 1900, le peintre saint-severin Raphaël Peyruquéou peint les murs et voûtes de l'église de peintures décoratives. Ce décor est supprimé lors d'une restauration intérieure de l'édifice au tournant du XXIe siècle[3].

Les meubles de sacristies, fauteuils et tabourets de célébrant sont renouvelés par la maison L. André d'Angers en 1927 ; et les fonts baptismaux en 1930[9].

En 1928, l'église possède la grosse cloche de 1760, fêlée à l'occasion du tocsin sonné pour la Victoire en novembre 1918. Cette année-là, la cloche fêlée est remplacée par la Marie-Louise[n 5], fondue en 1928 par le fondeur tarbais André Darricau.
L'église possède aussi une cloche de taille moyenne, et deux petites au sujet desquelles curé Lafitte écrit que « la plus petite pouvait être levée à bras par un seul homme et l'autre la suivait de près, on ne les utilisait que pour les obsèques des petits enfants »[12]. Ce sont les deux cloches d'Émile Vauthier de la fin du XIXe siècle[9]. Comme la collecte pour la grosse cloche a été fructueuse, ces deux petites cloches sont elles aussi refondues par Darricau en 1928 pour en fabriquer une plus grande[n 6] ; et la Marie-Louise et la moyenne conservée) sont dotées d'un contrepoids[12].

En 1954 Marcel Fourcade refond la cloche installée en 1877[9].

Description[modifier | modifier le code]

L'entrée est formée de trois arcatures ogivales encadrant un portail en bois de chêne du XVIIe siècle. Sur le tympan admirablement sculpté, deux petits personnages ailés présentent les clefs pontificales et la tiare de Saint-Pierre, patron de la cité.

Dans le collatéral, les nervures, ogives, liernes et tiercerons se rejoignent à droite dans une bague à collerette et à gauche, dans une colonne, avec une grande finesse.

La clef qui se tient à l'entrée, représente Sainte-Catherine avec une grande précision. La sainte porte la palme ainsi que la roue dentée et brisée de son martyre. Elle est d'une grande beauté. Sa taille mince est prise dans une robe qui retombe à terre en une cascade de plis. Elle est couronnée et piétine l'empereur Maximilien qui tient à la main l'épée du persécuteur. La scène est encadrée par un enroulement de tiges souples.

De la toute première nef du XIVe siècle, restent six des chapiteaux originels[6], que S. Thouin a situés sur un plan en 2006[21]. Ces chapiteaux sont sculptés de représentations originales à la signification énigmatique.

Le mobilier[modifier | modifier le code]

Retable du maître-autel[modifier | modifier le code]

Le retable du maître-autel est en bois doré. Il se compose de trois corps nettement séparés les uns des autres par des colonnes en partie cannelées. Il est splendide et grandiose. Son installation a même nécessité de remplacer les voûtes trop basses du chœur par un plafond plus élevé. Son couronnement central est en effet très élevé et très développé. Dieu le Père y est représenté en buste, les bras largement ouverts, sous une guirlande et à l'intérieur d'une architecture ornée de rayons. Au-dessous, sur des entablements, des angelots entourés de pots à feu viennent couronner la sainte patronne Catherine, qui est figurée sur la toile centrale, attachée au poteau de son supplice. Les niches latérales, décorées de guirlandes, abritent de grandes statues de saint Pierre et de saint Paul et, de part et d'autre, deux tableaux datés et signés "F. Gudin, Pau, 1836" qui représentent respectivement saint François de Sales et saint Charles Borromée. À la base du retable, le tabernacle illustre deux scènes de l'Annonciation surmontées du triangle de la Sainte Trinité et une scène de l'Épiphanie. Au-dessus du crucifix, un ange en bois doré tient d'une main un écusson avec le monogramme de Jésus et de l'autre, une trompe céleste.


La chapelle de la Vierge[modifier | modifier le code]

Le retable de la chapelle dédiée à la Vierge est encadré de colonnes torses décorées de pampres et de grappes de raisin. Il se termine de chaque côté par une grande volute. Au centre, une toile signée "E.D. Filippy, 1833" représente la Vierge à l'Enfant avec saint Dominique et saint Simon Stock.

Le collatéral[modifier | modifier le code]

Le retable du collatéral (vaisseau ouest de l'église) se compose d'un ensemble de panneaux polychromes, terminé au sommet par des fleurons en relief. Une frise souligne l'entablement qui est surmonté d'une gloire formée de rayons et de nuages encadrant un triangle où se trouve un cœur enflammé. L'ensemble est couronné d'un baldaquin constitué de quatre branches et s'accompagne de pots à feu[22]. Le tableau, peint en 1856 par Didelin, représente l'Apparition du Christ à Marguerite-Marie Alacoque[23],[n 8].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes
  1. Autel du collatéral originellement dédié à saint Jean-Baptiste : cette dédicace est attestée par le verbal de la visite pastorale de l'évêque Sarret de Gaujac en 1755. Voir « Ensemble de l'autel du Sacré-Cœur », sur inventaire.nouvelle-aquitaine.fr
  2. Les voûtes ont été de nouveau restaurées en 1973.
  3. Taluchet est un petit hameau à environ 1 km au sud-est de Brocas.
  4. Les deux petites cloches de 1889 par Émile Vauthier ont pour marraines Coralie Burguerieu et Mme Darrieutort et pour parrain Martial Labastuque, tous trois donateurs. Voir Cloche (n° 1) dite Mathilde Louise, sur inventaire.nouvelle-aquitaine.fr.
  5. Marie-Louise a pour marraine Mathilde Darrieutort, et pour parrain Louis Moringlane. Voir Cloche (n° 1) dite Mathilde Louise, sur inventaire.nouvelle-aquitaine.fr.
  6. La cloche fondue par Darricau en 1928 à partir des deux petites cloches préexistantes, a pour marraine Mme Lapeyre et pour parrain Julien Man. Voir Cloche (n° 1) dite Mathilde Louise, sur inventaire.nouvelle-aquitaine.fr.
  7. a b c et d Le chapiteau n° 3 est celui du pilier entre les 2e et 3e travées, côté ouest de la nef c'est-à-dire sur la rangée centrale de piliers qui sépare la nef à l'est et le collatéral à l'ouest.
    Le chapiteau n° 5 est celui du pilier entre les 1re et 2e travées, côté ouest de la nef.
    Les numéros correspondent au plan de disposition des dix chapiteaux fait par Stéphane Thouin (A.C.M.C.) en octobre 2006 Voir Plan de localisation des six chapiteaux, d'après Stéphane Thouin.
  8. Le tableau de l'Apparition du Christ à Marguerite-Marie Alacoque est la copie d'un tableau de Paulin Guérin (1783-1855) exécuté pour la cathédrale de Lisieux. Les églises d'Orist (canton de Peyrehorade) et de Bascons (canton de Grenade-sur-l'Adour) possèdent deux autres copies de la même œuvre, qui a aussi inspiré de nombreux peintres-verriers. Voir Tableau : Apparition du Sacré-Cœur à Marguerite-Marie Alacoque, sur inventaire.nouvelle-aquitaine.fr.
Références
  1. « Église de Sainte-Catherine (Montaut) », notice no PA00083984, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 14 avril 2011
  2. Église de Sainte-Catherine, sur monumentum.fr.
  3. a b c d e f g h i j k l m n o et p Église paroissiale Sainte-Catherine, sur inventaire.nouvelle-aquitaine.fr.
  4. « L'église Sainte-Catherine dans la rue Henri II à Montaut, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
  5. a b c et d Sébie 1864, p. 212.
  6. a et b « Ensemble de 6 chapiteaux », sur inventaire.nouvelle-aquitaine.fr (consulté en ).
  7. Chabas 1968, p. 246.
  8. a et b Sébie 1864, p. 225.
  9. a b c d e f g h i et j « Mobilier de l'église paroissiale Sainte-Catherine », sur inventaire.nouvelle-aquitaine.fr (consulté en ).
  10. « Retable, peinture monumentale (Audignon) », notice no PM40000031, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  11. a b c d e et f Sébie 1864, p. 213.
  12. a b c d e f g et h « Cloche (n° 1) dite Mathilde Louise », sur inventaire.nouvelle-aquitaine.fr (consulté en ). Voir aussi, dans les « Annexes » de la même page, « Histoire des cloches de Sainte-Catherine de Montaut de 1836 à 1954 (d'après le registre paroissial) » (cliquer sur le titre pour ouvrir le menu déroulant).
  13. Sébie 1864, p. 217.
  14. Sébie 1864, p. 218.
  15. a et b Lafitte, Notes pour l'histoire de la paroisse, p. 41. Cité dans Le mobilier de l'église paroissiale Saint-Pierre de Brocas, sur inventaire.nouvelle-aquitaine.fr, section « Annexes » : voir « Extraits du registre paroissial de Montaut-Brocas concernant des travaux aux deux églises et des acquisitions de mobilier (1847-1951) ».
  16. « Répertoire des archives de la commune de Montaut », documents déposés aux Archives départementales des Landes sous la cote E, dépôt 191 [PDF], sur archives.landes.fr (consulté en ), p. 28 du compteur pdf.
  17. Sébie 1864, p. 224.
  18. a b et c Église paroissiale Sainte-Catherine (2), sur inventaire.nouvelle-aquitaine.fr.
  19. Linda Fascianella, « Cloche (n° 2) dite Jeanne Hélène (église paroissiale Saint-Pierre de Brocas) » [PDF], sur inventaire.nouvelle-aquitaine.fr, Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (consulté en ).
  20. « Ensemble de l'autel du Sacré-Cœur (autel, gradin d'autel, tabernacle, baldaquin, retable, croix d'autel) », sur inventaire.nouvelle-aquitaine.fr (consulté en ).
  21. a et b « Plan de localisation des six chapiteaux et de quelques autres parties de l'église, d'après un dessin de Stéphane Thouin, A.C.M.C., octobre 2006 (AC Montaut) », sur inventaire.nouvelle-aquitaine.fr (consulté en ).
  22. « Retable de l'autel du Sacré-Cœur », sur inventaire.nouvelle-aquitaine.fr (consulté en ).
  23. « Tableau : Apparition du Sacré-Cœur à Marguerite-Marie Alacoque », sur inventaire.nouvelle-aquitaine.fr (consulté en ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • [Chabas 1968] Villes et villages des Landes (préf. Yves-Bertrand Burgalas (préfet)), t. 1, Capbreton, édité à compte d'auteur, , 451 p. (présentation en ligne, lire en ligne [PDF] sur excerpts.numilog.com), p. 243-246. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • [Deloffre & Bonnefous] Raoul Deloffre & Jean Bonnefous, Églises, châteaux et fortifications des Landes méridionales, p. 96.
  • [Marsan 1972] Francis Marsan, « Un aspect méconnu de l'activité des Mazzetti : le dallage de l'église de Montaut », Bulletin de la Société de Borda, no 346,‎ 2e trim. 1972, p. 185.
  • [Sébie 1864] Abbé Sébie, « La paroisse de Montaut (Landes) pendant la Révolution française », Revue de Gascogne, t. 5,‎ , p. 209-228 (lire en ligne [sur gallica]). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • [Veaux] Monique Veaux, A la découverte de Dax et de sa région, p. 239.
  • [Cabanot, Marquette & Suau 1987] Jean Cabanot, Jean Bernard Marquette et Bernadette Suau, Églises de Chalosse (Guide pour la visite de quelques églises anciennes de Chalosse), Mont-de-Marsan, Association des Amis des églises anciennes des Landes, , 56 p. (OCLC 30969228, BNF 34992451, présentation en ligne), p. 36.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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