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L’''Aïd el-Kebir'' est nommé la ''Tabaski'' au [[Sénégal]]<ref>[http://www.jeuneafrique.com/Article/LIN23015dovieiksaba0/actualite-afriqued-ou-vient-le-mot-tabaski.html D'où vient le mot Tabaski ?], sur [[Jeuneafrique.com]]</ref>(mot [[sérère (langue)|sérère]], ancienne fête [[Religion sérère|religieuse sérère]]<ref> Diouf, Niokhobaye , « Chronique du royaume du Sine, suivie de Notes sur les traditions orales et les sources écrites concernant le royaume du Sine par Charles Becker et Victor Martin (1972)», . (1972). Bulletin de l'IFAN, tome 34, série B, no 4, 1972, {{p.|706-7}} ({{p.|4-5}}), {{p.|713-14}} ({{p.|9-10}})</ref>) et dans les autres pays d'Afrique de l'Ouest francophone ([[Guinée]], [[Mali]], [[Côte d'Ivoire]], [[Bénin]], [[Burkina Faso]], [[Togo]], [[Niger]], [[Cameroun]]) et par exemple au [[Nigeria]]. En [[Afrique du Nord]], il est appelé ''Tafaska'' chez les maghrébins de tradition [[Berbères|Amazigh]] tandis que les autres Berbères, arabophones, utilisent le nom arabe. En [[Turquie]], il est appelé ''{{langue|tr|Kurban Bayramı}}''<ref>[[turc]] : Kurban Bayramı, ''Fête du Sacrifice''</ref> et dans les [[Balkans]], Kurban Bajram. En [[Éthiopie]], il est appelé ''Arefa''.
L’''Aïd el-Kebir'' est nommé la ''Tabaski'' ou ''Tobaski'' au [[Sénégal]]<ref>[http://www.jeuneafrique.com/Article/LIN23015dovieiksaba0/actualite-afriqued-ou-vient-le-mot-tabaski.html D'où vient le mot Tabaski ?], sur [[Jeuneafrique.com]]</ref> et en [[Gambie]]<ref name="cosaan"/> (mot [[sérère (langue)|sérère]], ancienne fête [[Religion sérère|religieuse sérère]]<ref>Diouf, Niokhobaye , « Chronique du royaume du Sine »'', suivie de Notes sur les traditions orales et les sources écrites concernant le royaume du Sine par Charles Becker et Victor Martin (1972), (1972) Bulletin de l'IFAN, tome 34, série B, no 4, 1972, {{p.|706-7}} ({{p.|4-5}}), {{p.|713-14}} ({{p.|9-10}}</ref>{{,}}<ref name="cosaan">« Cosaani Sénégambie » (« L’Histoire de la Sénégambie ») : 1ere Partie relatée par Macoura Mboub du Sénégal. 2eme Partie relatée par Jebal Samba de la Gambie [in] programme de Radio Gambie: ''« Chosaani Senegambia »''. Présentée par: Alhaji Mansour Njie. Directeur de programme: [[Alhaji Alieu Ebrima Cham Joof]]. Enregistré a la fin des années 1970, au début des années 1980 au studio de Radio Gambie, Bakau, en Gambie (2eme partie) et au Sénégal (1ere partie) [in] onegambia.com [in] The Seereer Resource Centre (SRC) (« le Centre de Resource Seereer ») : URL: www.seereer.com. Traduit et transcrit par The Seereer Resource Centre : Juillet 2014 [http://www.seereer.com/The-Seereer-Resource-Centre-French-Transcript-of-Cosaani-Senegambia-part1-Sohna-Chenaba-Saar-part2-History-Saluum.pdf] {{p.|30}}</ref>{{,}}<ref>Brisebarre, Anne-Marie; Kuczynski, Liliane, ''« La Tabaski au Sénégal: une fête musulmane en milieu urbain »'', KARTHALA Editions (2009), {{p.|86-7}}, {{ISBN|9782811102449}} [https://books.google.co.uk/books?id=IgUKmYP_AsQC&pg=PA86#v=onepage&q&f=false]</ref>{{,}}<ref>Becker, Charles; Martin, Victor; Ndène, Aloyse, ''« Traditions villageoises du Siin »'', (Révision et édition par Charles Becker) (2014), {{p.|41}}</ref>) et dans les autres pays d'Afrique de l'Ouest francophone ([[Guinée]], [[Mali]], [[Côte d'Ivoire]], [[Bénin]], [[Burkina Faso]], [[Togo]], [[Niger]], [[Cameroun]]) et par exemple au [[Nigeria]]. En [[Afrique du Nord]], il est appelé ''Tafaska'' chez les maghrébins de tradition [[Berbères|Amazigh]] tandis que les autres Berbères, arabophones, utilisent le nom arabe. En [[Turquie]], il est appelé ''{{langue|tr|Kurban Bayramı}}''<ref>[[turc]] : Kurban Bayramı, ''Fête du Sacrifice''</ref> et dans les [[Balkans]], Kurban Bajram. En [[Éthiopie]], il est appelé ''Arefa''.


En [[langue française]], s'utilise également le terme {{refsou|''fête du sacrifice"}}.
En [[langue française]], s'utilise également le terme {{refsou|''fête du sacrifice"}}.

Version du 29 septembre 2015 à 21:19

Modèle:Unicode arabe

Aïd al-Adha
Sur une enluminure ottomane, Gabriel arrête le bras d'Ibrahim prêt à sacrifier son fils que la tradition islamique apparente à Ismaël.
Sur une enluminure ottomane, Gabriel arrête le bras d'Ibrahim prêt à sacrifier son fils que la tradition islamique apparente à Ismaël.

Nom officiel arabe : عيد الأضحى (`Aïd al-Adhâ, Fête du sacrifice)
Autre(s) nom(s) `Aid el-Kebir (La Grande Fête)
Observé par Le sunnisme et le chiisme
Type Coranique et tradition islamique (historique/religieux)
Signification Marque la fin du Hajj et commémore la volonté d'Ibrahim de sacrifier son fils Ismaël ainsi que l'acception d'Ismaël à ce commandement.
Commence Le 10 dhou al-hijja
Finit Le 13 dhou al-hijja
Célébrations Une prière particulière a lieu le matin.
Observances La prière, le sacrifice d'un animal, le plus souvent un mouton, dont un tiers doit être donné en charité à des nécessiteux.
Lié à Hajj (Pèlerinage à la Mecque)

L'Aïd al-Adha (en arabe عيد الأضحى, « fête du sacrifice ») ou Aīd al-Kabīr (العيد الكبير « la grande fête » par opposition avec l'Aïd el-Fitr appelé aïd as-saghir, ou petit aïd), est la fête la plus importante de l'islam. Elle est appelée Tabaski dans les pays d'Afrique de l'Ouest et d'Afrique Centrale (Tchad, Cameroun) ayant une importante communauté musulmane. Elle a lieu le 10 du mois de dhou al-hijja, le dernier mois du calendrier musulman, après waqfat Arafa, ou station sur le mont Arafat et marque chaque année la fin du hajj.

Appellations

L’Aïd el-Kebir est nommé la Tabaski ou Tobaski au Sénégal[1] et en Gambie[2] (mot sérère, ancienne fête religieuse sérère[3],[2],[4],[5]) et dans les autres pays d'Afrique de l'Ouest francophone (Guinée, Mali, Côte d'Ivoire, Bénin, Burkina Faso, Togo, Niger, Cameroun) et par exemple au Nigeria. En Afrique du Nord, il est appelé Tafaska chez les maghrébins de tradition Amazigh tandis que les autres Berbères, arabophones, utilisent le nom arabe. En Turquie, il est appelé Kurban Bayramı[6] et dans les Balkans, Kurban Bajram. En Éthiopie, il est appelé Arefa.

En langue française, s'utilise également le terme fête du sacrifice"[réf. souhaitée].

Origines historiques du rite

Avant l'Islam

Dans le Coran

Cette tradition s'appuie en partie sur la sourate « Le Pèlerinage de La Mecque », XXII, 27–30.

Rites et traditions islamiques

Tabaski à Kounkané (Sénégal)

Cette fête commémore la soumission d'Ibrahim (Abraham dans la tradition juive) à son Dieu, symbolisée par l'épisode où il accepte d'égorger, sur l'ordre de Dieu, son unique fils Ismaël[7],[8] (dans le judaïsme, le fils à sacrifier est Isaac). Après son acceptation de l'ordre divin,Dieu envoie l'archange Gabriel (Jibrīl) qui substitue au dernier moment l'enfant par un mouton qui servira d'offrande sacrificielle. En souvenir[9],[10] de cette soumission totale d'Ibrahim à son Dieu, les familles musulmanes sacrifient un animal (le mouton qui a un an ou la chèvre qui a deux ans ou le bovin qui a deux ans et qui est entré dans la troisième année lunaire ou le chameau qui a complété cinq ans[11]) selon les règles en vigueur. Notamment, le musulman doit se comporter au mieux avec l'animal, le prophète Mohammed ayant dit : « Certes Allah a prescrit l'excellence dans toute chose. Ainsi lorsque vous tuez, tuez de manière parfaite et si vous égorgez, égorgez de manière parfaite. Que l'un de vous aiguise son couteau et qu'il apaise la bête qu'il égorge[12] » . Il faut manger de la viande du sacrifice, en garder et en offrir aux pauvres[13], proches, voisins, collègues, etc.

Le jour de Aïd el-Kebir constitue un jour de célébration dans la tradition prophétique musulmane. En effet, dès l'annonce de la vision de la nouvelle lune, les musulmans glorifient la grandeur de Dieu par le takbir.

Il est également fortement recommandé de multiplier les aumônes et les cadeaux ce jour-là.

Dates dans le calendrier grégorien

Les dates du calendrier musulman varient en fonction des phases de la lune observées localement, le jour de la célébration de l'Aïd el-Kebir varie donc géographiquement en fonction du moment où la nouvelle lune est observée.

Année hégirienne Date grégorienne
1425 21 janvier 2004
1426 10 janvier 2005
1427 30 ou
1428
1429
1430
1431
1432
1433
1434
1435
1436
1437 12 septembre 2016
1438 2 septembre 2017
1439
1440
1441

Aspects socioculturels

La pratique de ce sacrifice à domicile est controversée dans certains pays occidentaux. Cependant, certains pays européens (Belgique, France…) essaient d'organiser des abattages dans des abattoirs ou des abattoirs mobiles afin de permettre d'assurer les meilleures conditions sanitaires d'abattage[14].

En Belgique, durant 2007, l’agence Bruxelles-Propreté a ainsi édité un fascicule distribué dans les communes et les mosquées de la région bruxelloise. Publié en quatre langues (français, arabe, turc et néerlandais), il indique les coordonnées de quatre abattoirs communaux et quatre abattoirs privés de la région de Bruxelles[15]. La France publie chaque année une liste des sites autorisés disponible via les services des directions départementales de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP) et des préfectures [16].

Substitution ou pas

Selon le juriste musulman Ibn Qayyim al-Jawziyya : « L’immolation au moment approprié vaut mieux que l’offre en aumône du prix de l’animal à sacrifier ou même de plus d'argent. Ceci s’applique aux sacrifices prévus dans le pèlerinage et à celui de la fête du Sacrifice. Car l’effusion de sang est visée puisqu’elle constitue un acte de rapprochement à Allah lié à la prière, comme on le voit dans ces propos du Très Haut : « Accomplis la prière pour ton Seigneur et sacrifie pour lui. » (Coran, sourate 108 ; verset 2)[17].

Deux fatwas de la Commission Permanente des Recherches Scientifiques Islamiques et de l'Iftâ[18] confirment que le don d'argent ou l'achat de viande ne remplace pas le sacrifice.

Selon le théologien contemporain Cheikh Ibn Uthaymin, il est déconseillé de faire sacrifier pour soi une bête à l'étranger : « Le fait de donner de l'argent pour que l'on pratique le sacrifice pour la personne dans un autre pays est certes contraire à la sunna. En effet la sunna est que la personne pratique le sacrifice dans sa maison pour lui et sa famille, ils en profitent alors, ils mangent de sa viande et remercient Allah pour ce bienfait. Par contre, le fait de déplacer le sacrifice vers d'autres pays fait perdre beaucoup de bienfaits, parmi eux : le fait que les rites apparents de l'islam ne sont plus présents dans le pays ; la personne ne prononcera pas le nom d'Allah lorsqu'elle va égorger sa bête, or ceci fait partie des meilleures actions ; la personne ne pourra pas manger de la viande issue du sacrifice, alors que ceci est très important ; la personne ne peut pas être sure que la viande de son sacrifice a été bien distribuée ; la personne ne peut pas savoir si son sacrifice a bien été pratiqué dans le temps qui lui est imparti ; la personne ne sait pas précisément quand sa bête sera sacrifiée et donc il ne peut pas savoir à quel moment il lui est possible de nouveau de couper ses ongles et ses poils ; etc. [19]»

Tariq Ramadan a toutefois estimé qu'au sacrifice du mouton pouvait être substitué un don financier aux pauvres car, selon lui, « depuis bien longtemps des savants musulmans ont rappelé que l’on pouvait offrir l’équivalent du sacrifice en don d’argent ou de nourriture pour les pauvres. »[20].

C'est aussi l'avis de l'ancien grand mufti de Marseille, Soheib Bencheikh, considérant que l'Aïd al-Adha « n'est ni un pilier de l'islam, ni une obligation (...) comparable à la prière ou le jeûne du Ramadan » et que le droit musulman permet de le substituer par « un don fait dans un pays où les habitants ne mangent pas à leur faim, ce qui est plus conforme à l'esprit de partage que comporte cette pratique »[21][source insuffisante].

Des musulmans soufis, comme Rabia al Adawiyya, Hassan al-Basri, le groupe des philosophes chiites ismaéliens nommé les Ikhwan al-Safa (« Frères Purs ») – ainsi que le poète à la fois hindou vishnouïte et soufi Sant Kabir, préconisèrent non seulement la substitution de dons à tout rituel sanglant lors de l'Aïd al-Adha, mais le végétarisme dans la vie quotidienne [21].


Druzes

Les Druzes interprètent l'Aïd al-Adha comme la révélation de la foi unitaire en 1017 dans la mosquée Al-Hâkim (en) du Caire devant une assemblée multiconfessionnelle[22].

Ils pratiquent en général le jeûne pendant les dix jours qui précèdent l'Aïd al-Adha[23]. Le respect du jeûne est strict puisqu'il n'autorise qu'un repas léger en soirée[23].

Notes et références

  1. D'où vient le mot Tabaski ?, sur Jeuneafrique.com
  2. a et b « Cosaani Sénégambie » (« L’Histoire de la Sénégambie ») : 1ere Partie relatée par Macoura Mboub du Sénégal. 2eme Partie relatée par Jebal Samba de la Gambie [in] programme de Radio Gambie: « Chosaani Senegambia ». Présentée par: Alhaji Mansour Njie. Directeur de programme: Alhaji Alieu Ebrima Cham Joof. Enregistré a la fin des années 1970, au début des années 1980 au studio de Radio Gambie, Bakau, en Gambie (2eme partie) et au Sénégal (1ere partie) [in] onegambia.com [in] The Seereer Resource Centre (SRC) (« le Centre de Resource Seereer ») : URL: www.seereer.com. Traduit et transcrit par The Seereer Resource Centre : Juillet 2014 [1] p. 30
  3. Diouf, Niokhobaye , « Chronique du royaume du Sine », suivie de Notes sur les traditions orales et les sources écrites concernant le royaume du Sine par Charles Becker et Victor Martin (1972), (1972) Bulletin de l'IFAN, tome 34, série B, no 4, 1972, p. 706-7 (p. 4-5), p. 713-14 (p. 9-10
  4. Brisebarre, Anne-Marie; Kuczynski, Liliane, « La Tabaski au Sénégal: une fête musulmane en milieu urbain », KARTHALA Editions (2009), p. 86-7, (ISBN 9782811102449) [2]
  5. Becker, Charles; Martin, Victor; Ndène, Aloyse, « Traditions villageoises du Siin », (Révision et édition par Charles Becker) (2014), p. 41
  6. turc : Kurban Bayramı, Fête du Sacrifice
  7. le Coran n'indique pas le nom du fils sacrifié. Certains musulmans comme Ibn 'Arabî ont pu y voir Isaac.
  8. Séminaire « L'enseignement du fait religieux », Le sacrifice d'Abraham et la ligature d'Isaac : lecture de ce récit dans le Coran- Le sacrifice d'Isaac, ou d'Ismaël ? par Jean-Yves L'Hôpital, directeur du département multilangues, université Rennes II
  9. Sermon de l'Aïd Adha le 4 octobre 2014 à la Grande mosquée de Bruxelles (écouter à partir de 29 minutes.)
  10. Avis du Conseil des Théologiens des Musulmans de Belgique concernant la fête du sacrifice de l’année 1436/2015 : En guise de rappel de l’essentiel auprès de chaque musulmane et musulman, il est à noter que l’immolation de la fête du sacrifice est un emblème parmi les marqueurs référentiels de l’islam, et une tradition instaurée par le patriarche Abraham, sur lui la paix. Il va de soi que Dieu a recommandé aux musulmans de valoriser cet emblème, et d’emprunter la voie de leur père Abraham, sur lui les salutations et la paix de Dieu. Il en découle ainsi que la légitimité religieuse de cette pratique est confirmée par le Coran, la tradition prophétique, ainsi que par le consensus des ulémas, juristes musulmans, en référence à la parole divine : « Accomplis l’office de la prière pour ton Seigneur, et observe le sacrifice (immolation d’un animal) », (sourate Al Kawthar CVIII - verset 2.)
  11. Le chameau et le bovin sont valables pour sept personnes (c’est-à-dire si sept personnes s’associent pour un chameau ou un bovin la sounna du sacrifice a eu lieu) ; mais le mouton pour une seule personne. Voir : Règles du Sacrifice de `Id al-‘ADHA. Fête du Sacrifice Aid el-Kebir 10 dhou l-Hijjah
  12. Rapporté par Muslim ibn al-Hajjaj dans son sahih, hadith numéro 1955
  13. Le prophète Mahomet a dit : « Mangez-en, gardez-en et donnez-en en aumône » (Rapporté par Muslim ibn al-Hajjaj dans son sahih, hadith numéro 1971)
  14. Dispositions pour l'abattage des moutons, Belgique
  15. En Belgique, les autorités organisent le sacrifice rituel de l’aïd al-kebir, sur al-kanz.org.
  16. Aïd Al Adha : où sacrifier cette année 1432H correspondant à l’an 2011 ?, Asidcom
  17. Touhfat al-mawdoud bi ahkam al-mawloud ; Ibn Qayyim al-Jawziyya ; page 164
  18. Fatwas de la Commission permanente 11 ; 440 et 11 ; 449
  19. Liqa At Al Bab Al Maftouh, rencontre numéro 92
  20. blog de Tariq Ramadan
  21. a et b Plaidoyer pour les animaux, Matthieu Ricard, éditions Allary, (ISBN 9782370730282) ; page 35.
  22. Jacques Munier, « Une ethnographie du sacré chez les Druzes » [html], sur France Culture, (consulté le )
  23. a et b Čedomir Nestorović, Marketing en environnement islamique, Paris, Dunod, , XIV-209 p., 24 × 17 cm (ISBN 978-2-10-051726-8, OCLC 495312046, BNF 42052073, présentation en ligne), p. 35 (lire en ligne [html], consulté le 4 juillet 2015)

Voir aussi

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Bibliographie

Filmographie

Articles connexes

Liens internes