Étainhus

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 24 décembre 2021 à 15:00 et modifiée en dernier par Roland45-Bot (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Étainhus
Étainhus
L'église Saint-Jacques.
Blason de Étainhus
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Le Havre Seine Métropole
Maire
Mandat
Rémi Malo
2020-2026
Code postal 76430
Code commune 76250
Démographie
Gentilé Stainhusiens
Population
municipale
1 210 hab. (2021 en augmentation de 11,52 % par rapport à 2015)
Densité 147 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 05″ nord, 0° 18′ 49″ est
Altitude Min. 87 m
Max. 126 m
Superficie 8,22 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Romain-de-Colbosc
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Étainhus
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Étainhus
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Voir sur la carte topographique de la Seine-Maritime
Étainhus
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Étainhus

Étainhus [etɛ̃.y] est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie

La commune s'étend sur 8,2 km2 et compte 1 072 habitants depuis le dernier recensement de la population c'est-à-dire en 2009. La densité de population est de 130,4 habitants par km2 sur la commune.

Étainhus est située à 2 km de Sainneville ou de Graimbouville, à 5 km de Saint-Romain-de-Colbosc et à 18 km du Havre.

La gare d'Étainhus - Saint-Romain, située sur la commune, est sur la ligne de Paris-Saint-Lazare au Havre[1].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,7 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 986 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 109,7 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 67 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 11 °C pour 1991-2020[14].

Urbanisme

Typologie

Étainhus est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,1 %), zones agricoles hétérogènes (9,8 %), prairies (5,4 %), zones urbanisées (4,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[20].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

Toponymie

Attestations anciennes

Le nom de la localité est attesté sous les formes tardives :

  • Esteinhues fin XIIe siècle[22],[23];
  • Esteinhus en 1222, 1228, vers 1240, en 1249, 1252[22] / au XIIIe siècle[24];
  • Steinhus en 1270;
  • [Notre-Dame de] Esteinhus en 1316;
  • Estainhus en 1319, 1337;
  • Estainhurs en 1340 (Archives de la Seine-Maritime, 18 H);
  • Estainhus en 1472;
  • Etainhus en 1503 (Beaucousin 275, vicomté de Montivilliers, sergenterie de Saint Romain);
  • Estainhus en 1668;
  • Etainhus en 1715 (Frémont)
  • Etainhus en 1757 (Cassini)
  • Etainhus en 1953 (Nom.)[22].

Étymologie

Albert Dauzat et Charles Rostaing avancent la thèse d'une origine germanique, toponyme formé des éléments steen « pierre » et hus « maison »[24]. Il faut sans doute comprendre « germanique continental » ou « germanique occidental », bien que cette formulation vague de « germanique » puisse englober également l'anglo-saxon ou l'ancien norrois. De manière paradoxale, ils considèrent que Lihus en Picardie contient le vieux norrois hús « maison ».

François de Beaurepaire leur préfère le vieux norrois steinn « pierre » et hús « maison »[23]. Cette hypothèse est confortée par la localisation d'Étainhus dans le pays de Caux au cœur de l'aire de diffusion maximale de la toponymie scandinave en Seine-Maritime, ainsi que par les nombreuses occurrences de steinn en Normandie en combinaison avec des appellatifs toponymiques qui ne peuvent s'expliquer que par l'ancien scandinave. Il s'agit par exemple en Seine Maritime d'Étalondes (Stanelonde 1059, Stenelunda 1119); Etaintot à Saint-Wandrille-Rançon (Staintot 1074, Esteintot 1142) et à Mautheville (Esteintot 1198, 1222); Etennemare à Limésy (Esteinemare, sans date) et à Saint-Valery-en-Caux (Esteinmare en 1252) (voir aussi Tennemare et Étienne Mare); Taintal (Extendala pour *Estendala 1025 (?), Esteindale 1268, Stendala fin XIIe siècle, Steindale 1314); Etennebosc (La Gaillarde, Estemebusch Esteinebusc au XIIIe siècle, s'est conservé dans le nom de famille Boutrolle d'Estaimbuc)[25]. Le second élément de tous ces toponymes est en effet identifié comme scandinave par les auteurs, à savoir londe (< lundr), -tot (< topt, toft), mare (< marr) et -dal(le) (< dalr)[26]. L'élément -hus se retrouverait par ailleurs dans Sahurs (Salhus vers 1024)[27]. À noter également les parallèles Étainhus / Étaintot avec Stenhus / Stentoft (Danemark) et Steinhus, nom d’une ferme norvégienne située à Kvam dans le comté de Hordaland[28].

Histoire

Politique et administration

Liste des maires successifs[29]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790 1795 Mellon Decaen    
1795 1800 Étienne Hanouet    
1800 1816 Nicolas Ricouard    
1816 1824 M. Guérin    
1824 1826 Pierre Soyer    
1826 1831 Guillaume Le Breton    
1831 1875 Auguste Le Quesne    
1875 1891 Daniel Blondel    
1891 1904 Alfred Vatin    
1904 1906 Émile Lair    
1906 1935 Paul Guillard    
1935 1935 Léon Petre    
1935 1940 Paul Haquet    
1940 1943 Pierre Morisse    
1943 1944 Paul Guillard    
1944 1945 Lionel Lecoq    
1945 1949 Paul Haquet    
1949 1965 Paul Guillard    
1965 1977 Eugène Champion    
1977 2000 Michel Boulay[Note 8]    
2000 mai 2020 Didier Sanson DVD Retraité
Président de la CC Caux Estuaire (2008 → 2018)
Vice-président de la CU Le Havre Seine Métropole (2019 → 2020)
mai 2020[30],[31] En cours
(au 10 août 2020)
Rémi Malo   Agriculteur

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

En 2021, la commune comptait 1 210 habitants[Note 9], en augmentation de 11,52 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
360400403347550458442456492
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
494491483474524515537526502
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
489470450445425406418553514
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
5295315426099261 0071 0431 0571 089
2018 2021 - - - - - - -
1 1971 210-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Église Saint-Jacques.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Armes d'Étainhus

Les armes de la commune d'Étainhus se blasonnent ainsi :

De gueules au chevron d'or, maçonné de sable, accompagné en chef de deux coquilles d'or, et en pointe de deux clefs d'argent passées en sautoir; au chef d'or chargé d'un drakkar contourné de sable.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

Notes

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Le complexe sportif de la commune porte le nom de ce maire
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. Site SNCF TER Haute Normandie : Gare d'Étainhus-Saint-Romain (consulté le 26 avril 2014)
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  8. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Étainhus et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Étainhus et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Le Havre », sur insee.fr (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  22. a b et c Charles de Robillard de Beaurepaire et Dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique de la Seine-Maritime, 2 t., Paris, 1982 - 1984 (réédition), p. 352 (lire en ligne sur DicoTopo) [1]
  23. a et b François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 75.
  24. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 275a.
  25. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie, OREP éditions 2009
  26. F. de Beaurepaire, op. cit., p. 12 - 13.
  27. F. de Beaurepaire, op. cit., p. 132.
  28. [2]
  29. Site etainhus.fr Histoire : liste des maires de la Commune (consulté le 26 avril 2014).
  30. « Municipales 2020 à Étainhus, le maire passe le témoin à son premier adjoint : Premier adjoint sortant, Rémi Malo brigue le fauteuil de maire en lieu et place de Didier Sanson qui ne souhaite pas se représenter. Ce dernier sera néanmoins sur la liste du candidat, « Bien vivre à Étainhus » », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « De son côté, Rémi Malo affiche un investissement de plus de trente ans au sein de la municipalité, dont deux mandats de conseiller, deux en tant que 3e adjoint et le dernier mandat comme 1er adjoint ».
  31. « Étainhus. Didier Sanson a remis son échappe de maire à Rémi Malo : C'est un livre entier qui s'est refermé à Etainhus ce mercredi 27 mai. Didier Sanson, maire depuis une vingtaine d'années, a officiellement laissé son siège. C'est désormais l'ex-adjoint Rémi Malo qui siégera à la mairie d'Etainhus pour les six prochaines années », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.