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Pièce en or

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Une pièce en or ou pièce d'or est une pièce de monnaie composée partiellement ou entièrement d'or.

Les premières pièces d'or, que l'on ne doit pas, entre autres, confondre avec des lingots d'or, apparaissent en tant que moyen de paiement, à la fin du VIIe siècle av. J.-C. en Lydie. De nos jours, les pièces d'or sont destinées au marché des collectionneurs, à des placements financiers, et comme réserve et dépôt de garantie pour une institution bancaire centrale[1].

Contexte historique

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L’or a été utilisé comme moyen d'échange, en plus d’autres métaux précieux comme l'argent métal, depuis le développement du commerce au Proche-Orient ancien, au moment de l’Âge du bronze. Cependant, l'or n'est ici qu'un moyen pour faciliter les échanges dans un contexte où ce métal est regardé comme tel : de nombreuses civilisations n'ont pas considéré l'or ainsi. Quatre conditions ont été nécessaires (mais non suffisantes) à une culture ou un système socio-économique pour aboutir à l'invention du concept de l'or sous forme de pièce : la présence de mine d'or ou de dépôts aurifères accessibles, la faculté de développer une métallurgie (extraction et/ou fonte), l'orfèvrerie (martelage, gravure sur métal) et l'établissement d'un barème ou d'une métrologie (pesée, poids, étalon).

Statère en electrum dit à la tête de lion, frappé sous Alyatte II (vers - 620 à - 564).

Hérodote mentionnait déjà, vers 430 av. J.-C., les Lydiens comme « le premier peuple dont nous savons qu’il frappa des pièces d’or et d’argent ». En effet, entre 610 - 560 av. J.-C., une nouvelle forme de monnaie lydienne fait son apparition sous le règne du roi Alyatte II. Selon le consensus scientifique en vigueur, les premières émissions de pièces d’or de masse (il s'agit d’électrum, un mélange naturel d’or et d’argent) firent leur apparition en Anatolie, sous le règne de Crésus, dernier roi de Lydie (environ 560-547 av. J.-C.) bien que la Chronique de Paros mentionne Pheidon d’Argos[2]. Ces pièces se sont progressivement répandues en dehors du palais afin de servir dans les transactions particulières et ont permis le développement du commerce de détail[3]. En 546, à la capture du roi Crésus par les Achéménides, l’usage de la « monnaie or » se répandit ensuite largement en Perse (la darique du roi perse Darius) à partir de 546 av. J.-C. Puis en Grèce centrale, puis à l’ensemble du monde antique[4].

Mode de production

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À l’aide d’un marteau et d’un poinçon, on enfonçait un morceau de métal, appelé le coin, dans la matrice inférieure, si bien que l'inscription ou le motif apparaissaient en relief : le bout de métal est dit alors frappé, et le résultat s'appelle un estampage. Le poinçon, qui devait être gravé en négatif, laissait au revers une marque très profonde en positif. Les premières pièces d'or sont unifaces, estampées d'un seul côté, et comportaient au verso une marque caractéristique dite incuse, celle de la matrice inférieure[5]. Toutefois, avec les premières frappes en électrum, les proportions d’argent et d’or n’étaient pas fixes, la valeur intrinsèque de chaque pièce pouvait varier sensiblement. La monnaie d’électrum ne pouvait donc pas être aisément acceptée en dehors de la région même où elle était produite. C’est pourquoi elle fut rapidement abandonnée au bénéfice de l’or pur. Obtenir de l'or pur n'a été possible qu'en maîtrisant l'affinage.

Deux mille ans d'histoire

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« Napoléon », pièce d'or de 20 francs (1857) à l'effigie de Napoléon III. Diamètre 21 mm, poids 6,45 g, titre 900 .

Le mode d'usage de la pièce d'or se répand au IVe siècle av. J.-C., dans le Bassin méditerranéen à travers les commerçants liés à la Grande Grèce, et en Asie mineure par le biais des Perses, et jusqu'en Inde. Les conquêtes d'Alexandre le Grand impose le statère d'or au sein de son empire. Avec l'Empire romain, l'aureus devient la monnaie ayant le plus fort pouvoir d'achat jusqu'à la fin du IIIe siècle. Dès cette époque, de grandes civilisations comme la Chine impériale développe de leurs côtés un système où la pièce d'or n'existe pas comme moyen de paiement — ce qui n'exclue pas l'or comme étalon[6].

Au Moyen Âge, la production la plus massive de pièces en or prend place en Italie : la république de Venise, vers 1250, est sans doute la plus grande émettrice en termes de volume, suivie par celle de Florence.

La production d'or explose à partir du début du XVIe siècle : le métal vient du « Nouveau Monde », convoyé vers l'Europe par l'Empire portugais et espagnol, sous forme de lingots et aussi de pièces frappées directement sur place. Au XVIIe siècle, commence à s'imposer la frappe au balancier, permettant de produire des pièces en or de plus belle qualité et plus difficilement imitables.

Au XIXe siècle s'impose l'idée d'un monométallisme-or, ou d'un étalon-or, pour asseoir chaque système monétaire et faciliter les échanges commerciaux. Ce siècle est aussi l'endroit de plusieurs grosses découvertes de gisements aurifères : cette nouvelle arrivée d'or provoquent la Grande Dépression (1873-1896), mais aussi l'invention d'un système bancaire moderne où le crédit se développe et les moyens de paiement se diversifient, permettant l'émergence d'une seconde révolution industrielle, marquées par de nouvelles industries et techniques (chemin de fer, automobile, chimie du pétrole, acier, etc.) et la production de biens de consommation courants plus abondants.

Après août 1914, et l'entrée dans la Première Guerre mondiale, les grandes monnaies européennes (livre sterling, franc français, mark allemand) entrent dans une période d'instabilité, car elles reposent sur des économies lourdement endettées ; de fait, les pièces d'or sont bien entendu thésaurisées. En 1935, après le décret exécutif 6102, le dollar américain devient la seule monnaie de référence basée sur une once d'or à 35 dollars. Après cette date, on peut considérer qu'aucune transaction courante ou quotidienne n'est plus possible avec des pièces en or : aux États-Unis, cette pratique est même interdite. Cette situation est confirmée par les accords de Bretton Woods juste avant la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le dollar n'est ensuite plus connecté à l'or à partir du 15 août 1971, le fixing de 35 dollars l'once est abandonné et l'inconvertibilité décrétée[7]. Les accords de la Jamaïque en 1976 séparent définitivement la monnaie de l'or, dans le cadre des règlements du Système monétaire international[8].

Les premiers dinars Omeyyades et les sequins de Venise étaient produits avec un aloi proche de 92 % d'or.

La plupart des pièces d'or frappées depuis 1800 contiennent 90 à 92 % d'or (22 carats), tandis que la plupart des pièces d'or frappées de nos jours sont composées d'or pur, comme la Britannia, la Canadian Maple Leaf et le Buffalo américain. Les pièces d'or alliées, comme l'American Gold Eagle et le Krugerrand sud-africain, contiennent généralement 91,7 % d'or en poids, le reste étant de l'argent et du cuivre. Ces pièces d'or sont principalement produites pour les investisseurs et aussi en tant que pièces commémoratives pour les collectionneurs. Bien que certaines pièces d'or modernes ont en principe cours légal (comme par exemple les émissions françaises d'euro en or, mais seulement en France), elles ne sont pas acceptées dans le cadre de transactions financières quotidiennes, car la valeur du métal dépasse normalement la valeur nominale. Par exemple, l'émission moderne d'un American Gold Eagle, affichant sur son flanc une valeur nominale de 50 USD, a une valeur en métal beaucoup plus élevée, qui dépend du cours quotidien de l'or sur le marché.

Parmi les plus petites pièces d'or frappées au monde, figure la ⅛e d'unité d'or produite sous le règne d'Aphilas dans le royaume d'Aksoum vers 305-315, pesant 0,33 g[9].

Archéologie, historiographie et numismatique

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En archéologie, les pièces en or, parce qu'elles se conservent bien à travers le temps, permettent parfois la datation d'un champ de fouille, et révèlent, par leurs inscriptions, leurs compositions, de nombreuses informations utiles sur le plan historique. La découverte d'un trésor monétaire peut éclairer la recherche sur l'évolution du commerce, des échanges, des zones d'extraction, etc.

De nombreux facteurs déterminent la valeur d’une pièce d’or, comme sa rareté, son ancienneté, son état, son contexte de production, sa valeur sur le plan historique, etc.

En juillet 2002, une pièce d’or Double Eagle de 20 dollars américain datée de 1933 s’est vendue pour un montant record de plus de 7,59 millions de dollars chez Sotheby's, ce qui en fait à cette date la pièce la plus chère vendue aux enchères. Au début de 1933, plus de 445 000 pièces Double Eagle ont été frappées par l'US Mint, mais la plupart d’entre elles ont été retirées de la circulation[10].

En 2007, la Monnaie royale canadienne a produit une pièce d’or d'un poids de 100 kg et d’une valeur nominale de 1 million de dollars canadiens, bien que la teneur en or ait une valeur de plus de 2 millions de dollars à l’époque, si l'on tient compte du prix de l'or sur le marché. La pièce mesure 50 cm de diamètre et mesure 3 cm d’épaisseur. Il s’agissait d’une frappe unique visant à promouvoir une nouvelle série de pièces de monnaie de type Canadian Gold Maple Leaf et mettre en avant les prouesses de l'institution canadienne[11]. En 2012, la Monnaie royale canadienne a produit la première pièce d’or au monde incluant un diamant (0,11 à 0,14 ct). La pièce dite du jubilé de diamant d'Élisabeth II a été frappée en or pur à 99,999 % et affichait une valeur nominale de 300 dollars canadiens[12].

Pièces en or cotées sur le marché de l'or

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Il existe seize variétés de pièces en or d'investissement.

Pièces en or cotées
Nom Années de frappe Poids (g) Tirage (ex.) Titre Graveur
10 Francs napoléon 1855 à 1860 3,2258 61 514 265 900 ‰ Désiré-Albert Barre
20 Francs Coq Marianne 1899 à 1906 et de 1907 à 1914 6,45161 117 448 888 Jules-Clément Chaplain
Pièce de 20 Francs napoléon 1861 à 1870 6,45161 85 466 540 Désiré-Albert Barre
20 Francs suisse 1883 à 1949 6,45161 58 234 255 Fritz Ulysse Landry
20 Francs tunisien 1891 à 1928 6,45161 Jean Lagrange
20 Reichsmarks 1871 à 1915 7,965
Union latine 1865 à 1923 (selon les pays) 6,45161 28 641 000 Léopold Wiener[réf. nécessaire]
Souverain (Royaume-Uni) 1817 à 1936 7,99 917 ‰ Edgar Bertram Mackennal
Souverain Élisabeth II À partir de 1957 7,99 Mary Gillick
Demi souverain 1817 à 1926 3,99 32 063 824 Edgar Bertram Mackennal
Krugerrand Depuis 1967 33,93 + de 54 millions Coert Steynberg
20 Dollars US 1850 à 1933 33,43 104 210 490 900 ‰ James Barton Longacre
10 Dollars US 1838 à 1907 16,718 24 649 309 Christian Gobrecht
5 Dollars US 1839 à 1908 8,359 27 569 600 Christian Gobrecht
50 Pesos mexicains 1921 à 1972 41,6666 12 507 654 Emilio Del Moral
10 Florins néerlandais 1875 à 1933 6,729 12 286 067 Graveurs divers

Pièces en or françaises

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La valeur d'une pièce en or dépend de sa qualité, de sa rareté et de la valeur en or qu'elle contient.

Pièces en or de 5 francs
Nom Années de frappe Tirage (ex.) Titre Graveur
5 Francs Napoléon III Petit Module 1854 à 1855 4 499 940 900 ‰ Jacques-Jean Barre
5 Francs Napoléon III Grand Module 1855 à 1860 24 182 654
5 Francs Napoléon III Lauré 1862 à 1868 18 006 784
5 Francs Cérès 1878 et 1889 130
Pièces en or de 10 francs
Nom Années de frappe Tirage (ex.) Titre Graveur
10 Francs Cérès (Deuxième République) 1850 à 1851 3 707 277 900 ‰ Louis Merley
10 Francs Napoléon III Petit Module 1854 à 1855 4 858 992 Jacques-Jean Barre
10 Francs Napoléon III Grand Module 1855 à 1860 61 514 265 Désiré-Albert Barre
10 Francs Napoléon III Lauré 1862 à 1868 31 283 627 Désiré-Albert Barre
10 Francs Cérès (Troisième République) 1879 à 1899 2 399 139 Louis Merley
10 Francs Coq Marianne 1899 à 1914 23 866 852 Jules-Clément Chaplain
Pièces en or de 20 francs
Nom Année(s) de frappe Tirage (ex.) Titre Graveur
20 Francs Bonaparte Premier Consul 1802 à 1804 1 046 506 900 ‰ Pierre-Joseph Tiolier
20 Francs Napoléon Ier Non Lauré An 12 1803 à 1804 (An 12) 428 143 Pierre-Joseph Tiolier
20 Francs Napoléon Ier Tête Nue An 13 et An 14 1804 à 1805 (An 13) 676 350 Jean-Pierre Droz
20 Francs Napoléon Ier Tête Nue 1806 à 1807 1 592 500 Jean-Pierre Droz
20 Francs Napoléon Ier (au revers République Française) 1807 à 1808 1 727 451 Jean-Pierre Droz
20 Francs Napoléon Ier (au revers Empire Français) 1809 à 1814 13 833 717 Jean-Pierre Droz
20 Francs Napoléon Ier Lauré Période des Cent-Jours 1815 463 682 Jean-Pierre Droz
20 Francs Louis XVIII Buste Habillé 1814 à 1815 5 643 979 Pierre-Joseph Tiolier
20 Francs Louis XVIII en exil 1815 Environ 871 581 Pierre-Joseph Tiolier
20 Francs Louis XVIII Buste Nu 1816 à 1824 12 743 702 Auguste-François Michaut
20 Francs Charles X 1824 à 1830 1 688 298 Auguste-François Michaut
20 Francs Louis Philippe Ier Non Lauré 1830 à 1831 2 376 202 Nicolas-Pierre Tiolier
20 Francs Louis Philippe Ier Lauré 1832 à 1848 6 868 934 Joseph-François Domard
20 Francs Génie IIe République 1848 à 1849 2 846 061 Augustin Dupré
20 Francs Cérès 1849 à 1851 16 720 353 Louis Merley
20 Francs Louis Napoléon Bonaparte 1852 10 493 758 Jacques-Jean Barre
20 Francs Napoléon III Tête Nue 1853 à 1860 85 466 540 Jacques-Jean Barre
20 Francs Napoléon III Tête Laurée 1861 à 1870 85 466 540 Désiré-Albert Barre
20 Francs Génie IIIe République 1871 à 1898 86 091 216 Augustin Dupré
20 Francs Coq Marianne 1898 à 1914 117 448 888 Jules-Clément Chaplain
Pièces en or de 40 francs
Nom Années de frappe Tirage (ex.) Titre Graveur
40 Francs Bonaparte Premier Consul 1802 à 1803 479 521 900 ‰ Pierre-Joseph Tiolier
40 Francs Napoléon Empereur An 13 et An 14 1804 à 1805 372 696 Jean-Pierre Droz
40 Francs Napoléon Ier 1806 à 1807 291 584 Jean-Pierre Droz
40 Francs Napoléon Empereur (au revers République Française) 1807 à 1808 71 866 Jean-Pierre Droz
40 Francs Napoléon Empereur (au revers Empire Français) 1809 à 1813 2 101 580 Jean-Pierre Droz
40 Francs Louis XVIII 1816 à 1824 539 486 Auguste-François Michaut
40 Francs Charles X 1824 à 1830 478 824 Auguste-François Michaut
40 Francs Louis-Philippe Ier 1831 à 1839 775 252 Joseph-François Domard
Pièces en or de 50 francs
Nom Années de frappe Tirage (ex.) Titre Graveur
50 Francs Napoléon III Tête Nue 1855 à 1859 764 385 900 ‰ Désiré-Albert Barre
50 Francs Napoléon III Tête Laurée 1862 à 1868 166 989 Désiré-Albert Barre
50 Francs Génie IIIe République 1878 à 1904 26 975 Désiré-Albert Barre d'après Augustin Dupré
Pièces en or de 100 francs
Nom Années de frappe Tirage (ex.) Titre Graveur
100 Francs Napoléon III Tête Nue 1855 à 1859 346 514 900 ‰ Désiré-Albert Barre
100 Francs Napoléon III Tête Laurée 1861 à 1870 96 950 Désiré-Albert Barre
100 Francs Génie IIIe République 1878 à 1914 438 595 Désiré-Albert Barre
100 Francs Bazor 1929 à 1936 13 791 116 Lucien Bazor

Notes et références

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  1. Pierre Jullien, « Les Secrets de l'or », sur lemonde.fr,
  2. « Littré - monnaie - définition, citations, étymologie », sur littre.org (consulté le ) : « Suivant la Chronique de Paros, la première monnaie d'argent fut frappée par ordre de Phidon, dans l'île d'Égine, l'an 895 avant l'ère vulgaire. »
  3. « Histoire et symbolique de l’Or », sur Or.fr (consulté le )
  4. « monnaie en or : Monnaies en or : les premières pièces de l'histoire », sur achat-or-et-argent.fr (consulté le )
  5. « 650 av. J.-C. à nos jours - Brève histoire de la monnaie », sur herodote.net (consulté le )
  6. (en) [PDF] Richard Van Glahn, « The changing significance of Latin America Silver in the Chinese Economy, 16th–19th Centuries », in: Journal of Iberian and Latin American Economic History, vol. 38 (3), 2019, pp. 553-585sur Cambridge University Press.
  7. Cécile Bastidon Gilles, Jacques Brasseul, Philippe Gilles, Histoire de la globalisation financière : Essor, crises et perspectives des marchés financiers internationaux, Armand Colin, , 376 p. (ISBN 978-2-200-25609-8, présentation en ligne)
  8. « Les accords de la Jamaïque ne sont guère... "honorables" », lemonde.fr, 14 mai 1977.
  9. « ⅛ Ꜹ unité - Aphilas », sur Numista.
  10. La Joconde échappe au 11 septembre et bat tous les records, article paru dans la Libre.be le 1er août 2002.
  11. Vol d’une pièce d’or de 100 kg au musée de Bode à Berlin, sur Prix-metaux.com.
  12. « 300 dollars Elizabeth II Jubilé de diamant de Elizabeth II », notice sur Numista.

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Articles connexes

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Liens externes

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