Pancé

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Pancé
Pancé
La chapelle Saint-Melaine et son clocher tors.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Redon
Intercommunalité Bretagne Porte de Loire Communauté
Maire
Mandat
Jean-François Pilard
2020-2026
Code postal 35320
Code commune 35212
Démographie
Gentilé Pancéen
Population
municipale
1 184 hab. (2021 en augmentation de 2,42 % par rapport à 2015)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 52′ 56″ nord, 1° 39′ 25″ ouest
Altitude 90 m
Min. 17 m
Max. 105 m
Superficie 19,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bain-de-Bretagne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.pance.fr

Pancé est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en Région Bretagne.

Géographie[modifier | modifier le code]

Pancé compte deux sites naturels : le Tertre-Gris et le bois de la Saudrais.

Le Tertre-Gris, appelé autrefois Mont-Alahart

Son appellation provient, non pas de sa couleur, mais de sa désignation de Terre-du-Christ, puis Terre-Christ dérivé en Tertre-Gris sous le rège d'Henri IV. 20 hectares (dont 10 ha appartenant à la commune de Pancé) de pins, bruyères, asphodèles (plantes assez rares à fleurs blanches), genêts... composent ces anciennes carrières de pierres.

La source des pêcheurs ou source d'Uline située sur la commune de Pancé et non de Poligné est connue pour son eau qui serait toujours potable de nos jours[réf. nécessaire].

Le Bois de la Saudrais

La source du Bélier (le bélier : machine pour élever l'eau) à présent tarie, alimentait le bourg. Le château d'eau situé en bordure du bois, rue du Bélier, a été détruit au début des années 2000.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 802 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Noë-Blanche à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 780,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Pancé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47 %), terres arables (35,2 %), prairies (12,7 %), zones urbanisées (2,6 %), forêts (2,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Panciacum en 860, Panceio en 1158.

Le nom de la localité est identique à Pancey (Haute-Marne, Pancei 1284) et Pancy (Aisne, Penci 1114)[14].

Albert Dauzat et Charles Rostaing citent le nom de personne latin Pantius, suivi du suffixe -acum[15], d'origine gauloise -acon (celtique *-ākon) servant à localiser ou à désigner la propriété. En réalité, l'anthroponyme est plutôt gallo-romain, basé sur le mot gaulois panto- « souffrance » [?], attesté dans l'onomastique personnelle gauloise : Diopantus, Uerpantus[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Au IXe siècle, le roi breton Salomon y avait une résidence[réf. nécessaire].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

L'ancienne église[modifier | modifier le code]

Le , Thomas Langouet, recteur de Pancé, Gilles de La Filochays, notable du voisinage et Robert Thomas, notaire du prieuré de Pléchâtel, affirmèrent que M. de la Marzelière, en tant que vicomte du Fretay, était fondateur et seigneur de l'église de Pancé.

De style roman, elle était construite à l'emplacement actuel de l'ancien cimetière. Le vocable de Pancé est Saint-Martin-de-Tours. Les bras de la croix ou chapelles étaient dédiés à Saint-Sébastien et Saint-Yves. On y trouvait trois autels : Notre-Dame, la Trinité et Saint-Michel.

En 1694, la chapelle Saint-Yves devint la chapelle du Rosaire. Les prêtres de la paroisse avaient coutume de se faire inhumer devant l'autel de la Sainte-Trinité.

Plusieurs familles y possédaient leur enfeu : les seigneurs du Plessis-Godard, les seigneurs du Bois-Glaume en Poligné, les seigneurs du Fretay...

Au fur et à mesure de années, plusieurs bénédictions de cloches eurent lieu. Quelques exemples :

  • le , Laurent Rondel, recteur, béni la grosse cloche. Le parrain fut Siméon Martin (fils aîné de Gilles et de Louise de Beaulis), sieur du Plessis-Bonabry et la marraine Anne Poussin, fille de Jean et de Jeanne Guérin, sieur et dame des Saudrays;
  • le , furent baptisées la grosse cloche, Paule-Renée (parrain : écuyer Paul Martin, sieur de la Roche-Bonabry, marraine : Renée Martin) et la petite cloche, Jeanne-Louise-Françoise (parrain : Jean Du Bouëxic, seigneur du Bouëxic, marraine : Françoise Martin, dame du Plessis-Godard);
  • le , la grosse cloche fut baptisée par René Bizeul, doyen de Bain. Elle fut nommée Perrine-Renée-Elisabeth (parrain René Martin, sieur des Renardières et Elisabeth Martin, demoiselle du Plessis-Godard);
  • le fut bénite Françoise-Renée (parrain : écuyer Olivier Drouet : seigneur du Boisglaume, marraine : haute et puissante dame Françoise Renée Couesquen, comtesse de Mornay, marquise de la Marzelière, baronne de Poligné).

L'ancien presbytère[modifier | modifier le code]

Il est situé au coin du nord-est du cimetière. Dans les années 1689, le recteur Pierre Clouard le fit reconstruire et y fit établir un puits et un four. En 1711, le recteur Mathurin Chereil y fit construire à son tour un four et une maison.

Les chapelles de la commune[modifier | modifier le code]

La chapelle Saint-Melaine

Elle fut construite en 1729 et dédiée à la Vierge. Rebâtie en 1760 elle ne fut bénite qu'en 1769 en l'honneur de la Sainte-Vierge, Saint Joseph et Saint Fiacre. On y allait en procession lors des Rogations.

Au-dessus de la porte principale, on pouvait lire : « la présente chapelle a été rétablie l'an 1760 - Ave Maria ».

On la connaît également sous le nom de chapelle Saint-Mélaine car, à l'origine, elle appartenait aux moines de ce nom.

Démolie à la fin du XIXe siècle, elle fut reconstruite en 1890-1891 par Arthur Regnault, originaire de Bain-de-Bretagne, (bénite le ) et déplacée plus à l'ouest que sa position initiale (le cadastre napoléonien la situant plus à l'ouest que de nos jours).

La chapelle Sainte-Catherine-du-Fretay

Elle avait été construite par les seigneurs du Fretay près de leur manoir.

La chapelle du Ménillet ou chapelle de la Chênette-Tirel

La date de construction de cette chapelle, toujours visible dans le village du Ménillet, est totalement inconnue. Elle est connue pour ses légendes :

  • Première légende

Elle aurait été construite en signe de reconnaissance par un propriétaire qui aurait découvert, non loin de là, un trésor composé de pièces d'or.

  • Seconde légende

Le lieu serait hanté par un poulain blanc qui se présente dès qu'un visiteur s'attarde auprès de la dite chapelle. Si le visiteur refuse de chevaucher l'animal, il se verrait séparé en deux.

  • Troisième légende

Un objet déposé dans un angle intérieur de l'édifice disparaîtrait en quelques instants si le dépositaire sort de la chapelle quelques instants.

  • Dernière légende

Un trou creusé un jour dans le sol de la chapelle se verrait systématiquement rebouché dès le lendemain.

La chapelle Solleux

Construite en 1884 par la famille Solleux le long de la route de Pancé à Crevin, elle est dédiée à sainte Anne, saint Joseph et saint Apolline. Cette dernière possède également sa légende[Laquelle ?]. La chapelle a été édifiée en repentance à la suite du décès de leur fille unique. En effet celle-ci voulait entrer dans les ordres, mais étant leur seule héritière les parents l'obligèrent à se marier. Malheureusement celle-ci décéda en couche et ses parents décidèrent l'édification de la chapelle.

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

La construction de l'actuelle église Saint-Martin[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin, vue de la rue du Tertre Gris.

Elle fut construite en style néo-gothique entre 1860 et 1865 sous la direction architecturale d’Édouard Brossay-Saint-Marc (frère de l'évêque de Rennes). Elle fut bénie en (abbé Richard).

Elle a été restaurée à plusieurs reprises : 1912/1913, 1964, début des années 2000 et rouverte en décembre 2005 après de nombreux mois de fermeture (fissures, chute de pierres).

Lors de la dernière restauration, les vitraux ont été vandalisés et ont fait l'objet d'une dépose afin de les restaurer. À noter que dans la nuit du 4 au , la voûte s'était déjà effondrée.

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

La Belle Époque[modifier | modifier le code]

Une ligne de tramway des TIV (Transports d'Ille-et-Vilaine) allant de Rennes au Grand-Fougeray en passant par Chartres, Noyal-sur-Seiche, Pont-Péan, Orgères, Chanteloup, Le Sel, Saulnières, Pancé, Bain et La Dominelais fut construite à partir de 1909[17] ; mise en service en 1910, la ligne était longue de 64 km ; elle ferma en 1937 ; les tramways y circulaient à environ 25 km/h[18].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1792   Bertrand Choquet    
1805   René-Louis Jouon    
1813 Septembre 1821 Joseph Gendrot    
octobre 1821 1830 Pierre Massicot    
1831 1835 Joseph Gendrot    
1835 1843 René Gendrot    
1844 1859 René Massicot    
1859 1871 Jean Hamon    
1872 1873 Joseph Desbois    
1874 24 octobre 1885 René Massicot    
1886 17 juin 1900 René Martin    
26 juin 1900 1902 Charles Lorin de Branbuan    
1903   René Martin    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989 février 2002
(démission)
Onen Gorré DVD Retraité de la Gendarmerie
Réélu en 1995
mars 2002 mars 2014 Laurent Kazmierczak[19]   Professeur d'EPS
mars 2014 mai 2020 Jean Princen[20] SE Retraité
mai 2020 En cours Jean-François Pilard[21]   Enseignant-chercheur
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

En 2021, la commune comptait 1 184 habitants[Note 3], en augmentation de 2,42 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2647601 2541 3201 3631 2961 2851 4561 365
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3581 3371 3591 3521 3711 3601 4051 4261 347
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3031 2561 201990997995979950879
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
7817256897637949641 0991 1181 149
2017 2021 - - - - - - -
1 1711 184-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Pancé et La Noë-Blanche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « La-Noe-Blanche » (commune de La Noë-Blanche) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « La-Noe-Blanche » (commune de La Noë-Blanche) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 517a.
  15. Ibidem
  16. Xavier Delamarre : Dictionnaire de la langue gauloise, Paris (éditions errance) 2001. (ISBN 978-2-87772-198-1), p. 245.
  17. « Tramway de Rennes au Grand-Fougeray », La Dépêche bretonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « TIV Rennes Le-Grand-Fougeray », sur e-monsite.com (consulté le ).
  19. « Ils ont été élus maires », Dimanche Ouest-France (éd. Ille-et-Vilaine), no 535,‎ , p. 10-13 (ISSN 1285-7688).
  20. « L'annuaire des élus 2014 d'Ille-et-Vilaine », Dimanche Ouest-France, 20 avril 2014
  21. Ouest-France, « Pancé. Jean-François Pilard, nouveau maire de Pancé », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Liens externes[modifier | modifier le code]