Chapelle-Guillaume

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Chapelle-Guillaume
Chapelle-Guillaume
L'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Nogent-le-Rotrou
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Châteaudun
Maire
Mandat
Joël Ferré
2020-2026
Code postal 28330
Code commune 28078
Démographie
Gentilé Castelguillaumois(e)
Population
municipale
183 hab. (2021 en diminution de 3,17 % par rapport à 2015)
Densité 9,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 06′ 50″ nord, 0° 54′ 21″ est
Altitude Min. 184 m
Max. 251 m
Superficie 19,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Brou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Chapelle-Guillaume

Chapelle-Guillaume est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. Elle fait partie du Parc naturel régional du Perche.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune de Chapelle-Guillaume est située à l'extrémité sud-ouest du département d'Eure-et-Loir, dans le pays appelé autrefois Perche-Gouët. Sa superficie est de 1960 hectares.

Elle est constituée d'un tiers de forêts privées, on y trouve aussi un espace important de tourbières. La principale rivière est l'Yerre, qui prend sa source dans la forêt de Montmirail, sur le territoire de la commune. Elle alimente les étangs de Saut-au-Lièvre, du Moulin-Neuf et entre sur la Bazoche-Gouët au-dessus de la ferme du Vieux-Moulin, après un parcours de 5 km. Elle reçoit sur sa rive gauche la Carrelière, puis, sur sa rive droite, la Bécanne. Elle se jette dans le Loir à Saint-Hilaire-sur-Yerre.

Le bourg ne se compose que d'une seule rue. À l'entrée la mairie et l'école, de construction récente, puis sur un tertre à droite, on voit le château. Sur la gauche un peu plus loin, derrière l'église, à 50 mètres de la rue, se trouve un ancien prieuré, qui deviendra la demeure du jardinier du château.

Communes, départements et région limitrophes[modifier | modifier le code]

Chapelle-Guillaume, commune du département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire, est limitrophe de deux départements, le Loir-et-Cher, qui appartient également à la région Centre-Val de Loire, et la Sarthe, région des Pays de la Loire.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune abrite la source de la rivière l'Yerre, affluent du Loir, sous-affluent du fleuve la Loire par la Sarthe et la Maine.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 781 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 758,2 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].

Statistiques 1991-2020 et records CHAPELLE-GUILLAUME_SAPC (28) - alt : 197m, lat : 48°06'43"N, lon : 0°54'20"E
Records établis sur la période du 01-12-2007 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 0,7 2,5 4,2 7,6 11,2 12,6 12,1 9,5 7,3 4,5 1,8 6,3
Température moyenne (°C) 4 4,4 7,2 10,1 13,4 16,9 19 18,4 15,4 11,6 7,6 4,7 11,1
Température maximale moyenne (°C) 6,7 8,2 12 16,1 19,2 22,6 25,4 24,8 21,3 15,9 10,8 7,7 15,9
Record de froid (°C)
date du record
−14,6
07.01.09
−15,8
09.02.12
−7,3
13.03.13
−5,4
06.04.21
−1,2
02.05.21
2,2
12.06.11
4,7
30.07.15
4,4
21.08.14
0,5
21.09.12
−3,3
21.10.10
−8,7
30.11.10
−9,7
26.12.10
−15,8
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
14,4
01.01.22
19,7
27.02.19
23,9
31.03.21
27,1
20.04.18
29,5
21.05.20
36,8
18.06.22
40
25.07.19
37,6
08.08.20
33,7
09.09.23
28,4
02.10.23
20,8
01.11.15
14,4
30.12.22
40
2019
Précipitations (mm) 70,9 59,4 66,9 51,1 74,5 60,1 43,9 49,2 48,7 70 74,5 89 758,2
Source : « Fiche 28078001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chapelle-Guillaume est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9],[10].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,5 %), terres arables (33,2 %), prairies (24,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,8 %), zones urbanisées (1,3 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Chapelle-Guillaume est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Yerre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1997 et 1999[14],[12].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chapelle-Guillaume.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 87,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 156 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 123 sont en aléa moyen ou fort, soit 79 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[12].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Cujus locus designabatur antiqitas Ad Lazellam, nunc ex monime patris mei appellatur Capella Guillelm/* Lieux et monuments */ i, 1071-1080 (Cartularium Dunense, charte 37, p. 34) ; Apud Capellam Guillelmi, 1077-1084 (Cartularium Dunense, charte 27,p. 28) ; Chapelle Guillaume, 1740 (Bibliothèque municipale d’Orléans, Ms 995, fol.40) ; La Chapelle Guillaume, XVIIIe siècle (Carte de Cassini) ; Hière, nivôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2).

Hière est le nom de la rivière, Yerre, qui traverse la commune.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

La commune de Chapelle-Guillaume se situe dans une partie de la région appelée autrefois le Perche-Gouët, dont les origines remontent au VIe siècle.

Issue d’un défrichement dans la forêt de Montmirail, la paroisse de Lazelle prend le nom de Chapelle-Guillaume avant 1071-1080 ; Guillaume est le nom du père d’Hugues, seigneur de Brethel, département de l’Orne, donateur de l’église aux moines de Marmoutier, commune de Tours.

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

En l'an II, la commune porta provisoirement le nom de Yerre[17].

Délimitation réalisée de Chapelle-Guillaume d’avec Le Plessis-Dorin, Loir-et-Cher, par décret impérial du 30 thermidor an 13 (Archives nationales.-F2 1475, Archives départementales d'Eure-et-Loir-1M 53).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
an IX an IX René Drouet    
an IX an XII Jean Crave    
an XII 1806 Charles Pierre Marc Legouz    
1806 1809 François Jaulneau    
1809 1811 Nicolas Louis de Bruet    
1812 1815 Jean François de Reviers de Mauny    
1821 1830 Jean François de Reviers de Mauny    
1830 1837 François Jaulneau    
1837 1843 Marin Célestin Jaulneau    
1843 1854 Michel Joseph Olivier    
1854 1860 Pierre Esnault    
1860 1871 François Renard    
1871 1877 Alphonse Bourrelier    
1878 1896 Pierre Gautier    
1896 1903 Auguste Sagot    
1903 1910 Achille Lebrun    
1910 1912 Germain Gautier    
1912 1919 Adolphe Bodin    
1919 1920 Richard de Reviers de Mauny    
1920 1926 Alexandre Chéramy    
1926 1935 Léon Laverton    
1935 1945 Emile Letang    
1945 1946 Armand Gosnet    
1946 1947 René Melet    
1947 1950 Armand Gosnet    
1950 1965 René Melet    
1965 1995 Alain de Reviers de Mauny    
1995   Joël Ferré UMP-LR Agriculteur
mars 2014 En cours Joël Ferré[18],[19]   Agriculteur sur moyenne exploitation
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

En 2021, la commune comptait 183 habitants[Note 2], en diminution de 3,17 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
707674807915905952927969919
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
891810790726733729700769742
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
693687706564650610633511410
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
364322260236190188197198210
2015 2020 2021 - - - - - -
189184183------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

La commune a surtout eu une activité rurale. Désormais, elle héberge 2 entreprises (scierie et charpente métallique) qui emploient environ 30 personnes, l'activité tertiaire faisant travailler encore environ 15 personnes. Par sa position dans le Parc régional du Perche et les activités de loisirs proposées, la commune est également devenue un site hébergeant des résidences secondaires et des gîtes.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame[modifier | modifier le code]

On ne peut fixer de manière précise la date de sa construction. Les énormes piliers faits de grison qui soutiennent les murs au midi, la forme ogivale de la voûte et surtout celle de la fenêtre percée au midi font penser au XIIIe siècle. Certains auteurs pensent que l'église originelle date du XIe siècle. On en trouve trace vers 1070, lorsque le seigneur de Braitel la donna aux moines de Marmoutier, près de Tours. Dès lors, le village perdit le nom de Lazelle, pour Chapelle-Guillaume, du nom de Guillaume II Gouët, seigneur du Perche-Gouët et père du donateur. À la façade qui donne sur la place, était adossé autrefois un chapiteau qui a été enlevé lors de la restauration de l'église, vers la fin du XIXe siècle. Parmi les pièces de bois dont il était composé, la plupart ont servi à la construction de la nouvelle tribune élevée au-dessus de la porte d'entrée.

À l'intérieur, la voûte et les murs sont restaurés depuis peu (1900). La première est maintenant en bardeau recouvert d'ornementation en peinture, dont les couleurs bien agencées produisent un bon effet. Ce travail est l'œuvre d'un ouvrier du pays et d'un des anciens curés. Trois fenêtres éclairent la nef ; les deux percées au nord depuis peu (1900) ne méritent aucune attention ; la troisième au midi, de forme ogivale, ressemble à celles que l'on rencontre dans les églises du XIIIe siècle. Elle se compose de trois baies, avec ornementation et moulures dans la partie supérieure.

Le chœur plus petit et plus bas que la nef, semble être d'une autre époque. Il est séparé de celle-ci par un arc de voûte, légèrement incliné au nord. Les murs sont entourés de boiseries sans valeur. Trois petites fenêtres romanes devaient l'éclairer autrefois, aujourd'hui deux de ces fenêtres sont agrandies et ont perdu le plein cintre pour prendre la forme gothique. La troisième a été bouchée et se trouve cachée par un tableau suspendu derrière l'autel et représentant l'Annonciation.

Une statue de saint Julien orne la façade au-dessus de le porte d'entrée. À l'intérieur, on peut admirer deux statues : l'une représentant sainte Barbe, devant protéger contre la foudre et les incendies, l'autre représentant saint Roch, protecteur des animaux. Le 6 nivôse an XII (28 décembre 1803), une tempête abattit le clocher sur l'église, dont il ne subsista que les murs. L'église fut réparée mais elle dut attendre 1827 pour avoir à nouveau un clocher.

Autres édifices notables[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sources[modifier | modifier le code]

  • Philippe Siguret (ill. G. Massiot et R. J. Garnier), Le Perche-Gouët, Paris, Edicha, coll. « Cahiers percherons », , 1 fasc. (64 p.) (ISSN 0526-8443, BNF 32631577)
  • Philippe Siguret (préf. Michel Fleury), Histoire du Perche, Ceton, Fédération des amis du Perche, , 606 p., 22 cm (ISBN 2-900122-27-9, BNF 37212948)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Station Météo-France « Chapelle-Guillaume » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  4. « Station Météo-France « Chapelle-Guillaume » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  6. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  8. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Chapelle-Guillaume », sur Géorisques (consulté le ).
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  14. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  15. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Chapelle-Guillaume », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  18. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  19. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Stéphanie Zeimet, « Loto du patrimoine 2022 : les dépendances du Manoir de Pré, à Chapelle-Guillaume, retenues parmi les 100 sites de la Mission Stéphane Bern », sur lechorepublicain.fr, (consulté le ).