Chamboulive

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Chamboulive
Chamboulive
L'église Saint-Côme-et-Saint-Damien et la place du village.
Blason de Chamboulive
Blason
Chamboulive
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté d'agglomération Tulle Agglo
Maire
Mandat
Betty Dessine
2020-2026
Code postal 19450
Code commune 19037
Démographie
Gentilé Chamboulivois.
Population
municipale
1 164 hab. (2021 en diminution de 2,68 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 25′ 58″ nord, 1° 42′ 19″ est
Altitude Min. 312 m
Max. 530 m
Superficie 46,80 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Tulle
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Seilhac-Monédières
Législatives Première circonscription
Localisation
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Chamboulive
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Chamboulive
Liens
Site web Site officiel

Chamboulive (Chamboliva en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze dans le Limousin, en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Chamboulivois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le Rujoux, au sud de la commune.
La campagne chamboulivoise.

Chamboulive occupe un plateau bordé au nord-ouest par la Vézère et entaillé par plusieurs ruisseaux, dont la Madrange et le Rujoux, affluents de la Vézère. La commune couvre 4 679 ha avec une altitude maximale de 529 m au Puy-Grand tandis que, sur la place de l’église, le niveau est à 430 m.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 319 mm, avec 13,8 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Uzerche à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 097,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chamboulive est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tulle, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (49,2 %), prairies (36,5 %), forêts (11,8 %), zones urbanisées (2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Transport routier[modifier | modifier le code]

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Chamboulive est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chamboulive.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 20,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 770 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 31 sont en aléa moyen ou fort, soit 4 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2001. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 3] situé dans la Corrèze et disposant d'une retenue de 20,5 millions de mètres cubes[19]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[20].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Chamboulive est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts.

L’origine du nom est incertaine. On peut, certes, citer le petit peuple des Camboleutheri, mentionné par Jules César, mais, seule la première partie du mot parait lisible avec le terme camb-, c’est-à-dire la courbe. Cela pourrait conduire à évoquer un pays vallonné ayant de multiples sources et une terre fertile... À l’exception de l’oppidum bien délabré du Puy-Chalard, peu de découvertes archéologiques (quelques objets en pierre polie, quelques sites occupés au début de notre ère), mais ils attestent une occupation ancienne du sol. C’est ce que confirme la toponymie avec, notamment, les noms en —ac de l’époque gallo-romaine. [réf. souhaitée] Le mot a été interprété tardivement comme "Champ d'olive" Dictionnaire des noms de lieux de France Dauzat et Rostaing.

Au haut Moyen Âge, Chamboulive est le siège d’un pagus minor, un petit pays du Limousin, une très ancienne division territoriale de la Cité des Lémovices, d’une vicairie, circonscription administrative et judiciaire et d’une paroisse sous le vocable des saints Côme et Damien, médecins syriaques.

On connaît, dès le XIe siècle, l’existence de seigneurs particuliers, les comtors. La seigneurie appartient ensuite aux Comborn, à leurs successeurs et, avant 1789, aux Lastic-Saint-Jal. C’est de Chamboulive que serait originaire, au XIVe siècle, dom Jean Birelle, général de l’Ordre des Chartreux, proposé à la mort du pape Clément VI pour le trône pontifical. On lui préfère celui qui devient Innocent VI.

À la fin de l’Ancien Régime, la paroisse relève de la sénéchaussée d’Uzerche (en appel du parlement de Bordeaux), de l’élection de Brive-la-Gaillarde et de la généralité de Limoges.

En 1790, Chamboulive, qui compte autour de 2 500 habitants, devient commune et chef-lieu d’un canton qui est supprimé en 1801. Depuis, elle est rattachée au canton de Seilhac, département de la Corrèze.

La nouvelle municipalité se dote d’armoiries (un châtaignier surmonté du chef de France)... Des troubles éclatent (ouverture d’étangs en 1791, pillage de châteaux en 1792).

En 1792, un club des Amis de la Constitution est créé : il reste très actif et vigilant... Cette période est dominée par la figure de Pierre Rivière (1749-1806) qui remplace Bigourie du Chambon à la Convention.

Au XIXe siècle, la commune reste très populeuse avec un maximum de 3 103 habitants en 1846. Elle en a 2 833 en 1896, 2 057 en 1946 et 1 133 en 1999...

En 1831, la chapelle du cimetière est transformée en mairie et école.

En 1848, la Révolution est marquée par des troubles qui nécessitent l’intervention des soldats du 10e Léger, de Tulle ; sous la IIIe République, un grand effort est entrepris pour développer l’enseignement ; un imposant groupe scolaire et une mairie moderne sont bâtis ; des écoles de hameaux voient le jour à Chalaux, Vernéjoux et Le Puy-Grand.

En juillet 1904, le train à voie étroite relie Chamboulive à Treignac, Seilhac, Tulle et Uzerche, surnommé « le Tacot ».

Mais Chamboulive paie un lourd tribut au champ d'honneur en perdant plus de 150 soldats durant la Première Guerre mondiale.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, on compte une vingtaine de morts, des disparus, des déportés, un fusillé...

Deux Chamboulivois sont tués au cours de la guerre d’Algérie.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
28 mars 1971 1983 Pierre Noilhetas PS -
1983 2020 Noël Martinie PS Retraité - Ancien conseiller général
mai 2020 En cours Betty Dessine[22] PS Directrice d'association

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24]. En 2021, la commune comptait 1 164 habitants[Note 4], en diminution de 2,68 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 5422 4792 5152 9983 0363 0473 0933 1033 000
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 0093 0023 0112 6502 7872 7502 8562 8322 833
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 7582 7072 6242 3312 2542 0892 0622 0571 851
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 5751 4111 2811 2101 1901 1331 2531 2721 184
2015 2020 2021 - - - - - -
1 1961 1681 164------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Équipements[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Une maison dans le centre-bourg.
Mairie et école de la commune.
L'escalier d'accès au souterrain a été dégagé sur une longueur de 3,80 m et comporte onze marches taillées à même le sol. Atteignant une profondeur de deux mètres, le souterrain semble tourner sur lui même pour « déboucher » à proximité de son entrée. Le souterrain, dont l'entrée est une sorte de goulot formé par des dalles, est situé à peu près sous une motte. Une Datation par le carbone 14 dans l'accès comblé du souterrain a donné une date de 1490 plus ou moins 100 ans.
Dans la pièce de terre attenante au souterrain ont été découvertes sept fosses dits « à offrandes », de forme ovoïde dont le diamètre intérieur varie entre 1,10 et 1,30 m dans la partie renflée. Leur profondeur moyenne est de 1,50 m[28].
  • Site de la Chapelle du Puy Saint Damien, point culminant de Chamboulive. La table d'orientation présente sur le lieu propose une cartographie de l'horizon.
On trouve à l'entrée du site la sculpture de Marc Duquesnoy, réalisée en 2010 à l'occasion de Chamboul'art.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Pierre Rivière, homme politiques né le à Chamboulive (Corrèze) et décédé le au même lieu.
  • Louis de Lajarrige, artiste peintre né à Chamboulive le , mort en 1933.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Chamboulive Blason
De gueules au chevron accompagné en chef de deux étoiles et en pointe de quatre poissons nageant et contre-nageant l'un sur l'autre dans un anneau, le tout d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Alias du blason de Chamboulive
Alias du blason de Chamboulive
D'or au châtaignier de sinople fruité de gueules, sur une terrasse de sinople, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or.
Ancien blason

Jumelages[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[18].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Chamboulive et Uzerche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Uzerche » (commune d'Uzerche) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Uzerche » (commune d'Uzerche) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Chamboulive », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Chamboulive », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  18. Article R214-112 du code de l’environnement
  19. « barrage de Monceaux la Virole », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  21. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  22. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Eglise Saint-Côme et Saint-Damien », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  28. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 327.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]