Assevillers

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Assevillers
Assevillers
Blason de Assevillers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité Communauté de communes Terre de Picardie
Maire
Mandat
Didier Jacob
2020-2026
Code postal 80200
Code commune 80033
Démographie
Gentilé Assevillois
Population
municipale
308 hab. (2021 en augmentation de 6,21 % par rapport à 2015)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 53′ 49″ nord, 2° 50′ 10″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 84 m
Superficie 5,47 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Péronne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ham
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Assevillers

Assevillers est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Nature du sol et du sous-sol[modifier | modifier le code]

Le limon argilo-siliceux prédomine au niveau de la consistance du sol. Le sous-sol est composé de potasse et d'acide phosphatique[1].

Relief, paysage, végétation[modifier | modifier le code]

Le relief de la commune est celui du plateau du Santerre. Le terrain est particulièrement plat mais présente de petits vallons vers Flaucourt, Estrées-Deniécourt et Fay[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Aucun cours d'eau ne traverse la commune. La nappe phréatique se trouve à une vingtaine de mètres de profondeur[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 740 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 59, Harbonnières - Péronne)[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Assevillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Péronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (13,1 %), zones urbanisées (5,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat[modifier | modifier le code]

La commune d'Assevillers présente un habitat groupé en son chef-lieu. Détruit au cours de la Première Guerre mondiale, le village a été reconstruit durant l'entre-deux-guerres.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Assevillers est située à proximité immédiate de l'autoroute A1, sur l'axe Lille - Paris et de l'autoroute A29 sur l'axe Amiens - Saint-Quentin.

Assevillers se trouve également à 2 km de la gare TGV Haute Picardie où se situe une zone d'activité portant le même nom.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Assa villa en 1214[15], Assevilliers en 1415 et en 1429[16].

Asvilé en picard.

Plusieurs hypothèses ont été émise quant à l'origine du nom Assevillers : Assa villa signifierait soit « village brûlé », soit « lieu exposé aux rayons du soleil », soit « lieu où les habitants façonnent le bois de la forêt voisine »[17],[Note 3].

Le nom Assevillers est très certainement de formation germano-romane. Villers proviendrait du latin villare (de villa, domaine agricole) signifiant partie de la villa démembrée pour former un nouveau domaine[18]. Asson dériverait d'un anthroponyme d'origine germanique, celui du premier propriétaire de ce nouveau domaine, selon toute vraisemblance[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

La présence d'un polissoir datant de l'époque néolithique, sur le territoire de la commune prouve une occupation humaine en ces lieux dès la préhistoire.

Antiquité[modifier | modifier le code]

Il n'y a pas trace de présence d'un habitat gallo-romain sur le territoire de l'actuel Assevillers.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

1214, première mention du lieu nommé Assa villa (Assevillers) appartenant à Simon de Moreuil. Jusqu'au XVe siècle, Assevillers n'a été qu'un hameau, qui se développa à la fin du Moyen Âge, dépendant de la paroisse voisine de Fay.

Au XVe siècle, Assevillers était la possession de la famille de Caulaincourt et de la famille d'Ailly. Le 16 juin 1409, Colard d'Ailly reconnut, dans un aveu, tenir du roi un fief à Assevillers[17].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1528, Lancelot de Chambly possédait un fief à Assevillers, relevant de la seigneurie de Villers-Carbonnel.

En 1576, un d'Assevillers fut signataire de la Ligue de même qu'un Tassart-Assevillers. Cependant, en 1577, la seigneurie d'Assevillers était la possession de la famille d'Amerval. En 1574, Marie-Louise d'Amerval épousa Oudard de Mailly-Couronnel et la seigneurie d'Assevillers resta dans cette famille jusque 1789[17].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

La commune d'Assevillers a été au cœur de la Première Guerre mondiale. Elle fut occupée dès le mois d'août 1914 par l'armée allemande.

Elle fut pratiquement entièrement détruite en juin-juillet 1916, durant la bataille de la Somme. Lors cette bataille, plusieurs millions d'obus ont été tirés en direction des tranchées allemandes. C'est ainsi que l'église d'Assevillers, qui représentait un point d'observation pour l'armée allemande, a été détruite par l'artillerie franco-britannique. Elle fut définitivement libérée le par l'armée australienne[19] La commune est l'une des 338 qui établirent un plan de reconstruction prescrit par la loi du 14 mars et du 17 avril 1919[20].

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Lors de la bataille de France, de 1940, Assevillers fut occupée par l'armée allemande le 19 mai. Le village avait été évacué le 17, par ordre de la préfecture de la Somme. Le 26 mai, le 1er bataillon du 41e régiment d'infanterie français déclencha une attaque pour reprendre le village. Le bilan fut très lourd pour l'armée française qui ne put reprendre le village, 50 morts et 75 blessés. Le 5 juin, les chars allemands concentrés entre Barleux et Assevillers attaquaient l'armée française[21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Chaulnes[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Ham.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était adhérente de la communauté de communes de Haute-Picardie créée en 1994 sous le nom de communauté de communes de Chaulnes et environs, et qui a pris sa dénomination de communauté de communes de Haute-Picardie en 1999.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[23].

Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[24],[25],[26]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[27], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [28].

Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[29].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1878 1919 Ernest Boinet[19],[30]   Agriculteur, fabricant de sucre,
Directeur des sucreries d'Epenancourt et de Génermont (Fresnes-Mazancourt)
Conseiller général de Chaulnes (1882 → 1919)
Décédé en fonction
avant 1988   Jean-Marie Marchandise    
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 juillet 2020[31] Michel Guilbert    
juillet 2020[32] En cours
(au 5 juillet 2020)
Didier Jacob   Chef d'entreprise

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

En 2021, la commune comptait 308 habitants[Note 4], en augmentation de 6,21 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
604329492444492465465480464
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
419406405389416401388411414
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
405401307124189187202188190
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
199203221262256228260260287
2015 2020 2021 - - - - - -
290307308------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 1898, une râperie, à un kilomètre du village, compte six habitants[1].

Enseignement[modifier | modifier le code]

Équipements[modifier | modifier le code]

À la suite de la fermeture de l'école municipale en 2017, le bâtiment a été rénové. Il est devenu une salle des fêtes en 2019[36] .

Économie[modifier | modifier le code]

Activités économiques et de services[modifier | modifier le code]

L'agriculture demeure une activité essentielle de la commune sur le territoire de laquelle a été aménagée une aire de repos et de service autoroutière de l'autoroute A1. Y furent ouverts le premier Quick autoroutier et aussi les premiers hôtels Accor[réf. nécessaire].

L'aire de service autoroutière d'Assevillers, généralement qualifiée la plus importante d'Europe, peut accueillir 30 000 personnes par jour lors des grandes pointes de déplacements. Elle compte, en 2017, quatorze boutiques ou restaurants qui emploient 350 salariés.

L'aire fait l'objet en 2018-2019 d'une profonde restructuration qui comprend le démontage de la passerelle piétonne au-dessus de l'autoroute[37].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Polissoir dit « Grès de Saint-Martin », du Néolithique, bloc de grès gris de 2,50 m de long sur 1,20 m de large environ, initialement implanté à 1,5 km au nord du village, dans la plaine de la Croix de Saint-Martin, et désormais déplacé à côté de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption[38].
  • Ensemble mairie-église labelisé « Patrimoine du xxe siècle » par le ministère de la Culture en 2005. Cet édifice, conçu par l'architecte Louis Duthoit, a été inauguré en 1929[39]. L'ancienne église a été totalement détruite durant l'offensive franco-britannique lors de la bataille de la Somme, fin .
  • Oratoire Notre-Dame-de-Lourdes, en forme de triangle. Une chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours avait été construite en 1834 puis détruite pendant la guerre[40].
  • Le Cimetière militaire britannique d'Assevillers (Assevillers New British Cemetery) contient un peu plus de 800 soldats dont 482 identifiés[41].
  • L'aire d'Assevillers, l'une des plus grandes aires d'autoroute d'Europe, abrite une dizaine d'enseignes dont plusieurs hôtels. Elle s'étale des deux côtés de l'autoroute. Une passerelle permet de passer d'un côté à l'autre[37] .

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Cecil Healy, médaillé olympique de natation aux jeux de Stockholm en 1912, sous-lieutenant au 19e bataillon australien d'infanterie tué le 29 août 1918 à l'âge de 34 ans lors de la bataille du Mont Saint-Quentin, inhumé au « Assevillers New British Cemetery »[42].

Héraldique[modifier | modifier le code]

La commune a repris les armoiries de la famille d'Amerval, seigneur d'Assevillers du XVe au XVIIIe siècle, les couleurs étant simplement inversées. On ignore si et à quelle date Assevillers releva officiellement ces armes qui figuraient sur le site internet de la commune en 2012[43].

Blasonnement :

  • De gueules à trois besants d'argent posés 2 et 1.

Ornement extérieur :

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, - réédition partielle sous le titre : Chaulnes et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire Rassorts Lorisse, , 213 p. (ISBN 978-2-87760-916-6, BNF 35548185), p. 81
  • Henri Douchet « Fasol », L'Arrondissement de Péronne sous l'occupation (1914-1918), Inval-Boiron, La Vague verte, coll. « Jusant », (ISBN 978-2-35637-059-4)
  • Francine François-Dejuine, 1914-1924, 26 communes dans la tourmente, Inval-Boiron, La Vague verte, coll. « Souvenance », , 187 p. (ISBN 978-2-913924-99-4, BNF 41223031)
  • Francine François-Dejuine, 1935-1955, Mémoires de 28 communes du Santerre, Inval-Boiron, La Vague verte, coll. « Souvenance », , 340 p. (ISBN 978-2-35637-035-8, BNF 42482331).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Ces hypothèses ne sont plus retenues aujourd'hui.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e M. Grimaux, instituteur, « Notice géographique et historique sur la commune d'Assevillers »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Archives départementales de la Somme, .
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Assevillers et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Péronne », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Dans les écrits dans un dénombrement destiné à Philippe-Auguste, Roi de France.
  16. Dans un registre concernant les recettes de droits de bâtardise de la prévôté de Péronne.
  17. a b et c Decagny, p. 81.
  18. Charles Rostaing, Les Noms de lieux, Paris, P.U.F., , p. 74-76.
  19. a et b « Il y a 100 ans, notre village était libéré du joug allemand », S'investir pour Assevillers, no Supplément au numéro 2,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  20. « Assevillers », Les circuits du Bleuet, Santerre 2014-2018 : La mémoire de la Grande Guerre dans la Somme (consulté le ).
  21. Francine François-Dejuine, 1935-1955, Mémoires de 28 communes du Santerre, Inval-Boiron, La Vague verte, coll. « Souvenance », , 340 p. (ISBN 978-2-35637-035-8, BNF 42482331).
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  24. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  25. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  26. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  27. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  28. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
  29. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
  30. « Frédéric Ernest Célestin Boinet », base Léonore, ministère français de la Culture.
  31. Aude Collina, « C’est le dernier mandat pour Michel Guilbert, à Assevillers : Michel Guilbert ne briguera pas de mandat supplémentaire à la tête de la commune d’Assevillers, qui compte autour de 300 habitants », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « J’ai effectué quatre mandats de maire et deux de conseiller municipal, c’est-à-dire trente-sept ans, dont 25 ans de maire », chiffre le retraité, très investi dans le développement de son village natal ».
  32. Vincent Fouquet, « Didier Jacob, nouveau maire d’Assevillers », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Avec huit nouveaux élus sur 11, le conseil municipal d’Assevillers a subi un important lifting après le départ annoncé du maire, Michel Guilbert, élu depuis 35 ans et maire depuis 27 ans. Pour lui succéder, c’est Didier Jacob qui a été élu avec 9 voix (contre deux blancs) ».
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Aude Collina, « Les anciennes écoles revitalisent les villages de Haute-Somme : La vie ne s’arrête pas dans les écoles où les enfants ont rejoint des regroupements scolaires. Du futur pôle santé d’Harbonnières à la Maison du temps partagé à Tincourt-Boucly, en passant par la salle des fêtes d’Assevillers, de nouveaux services en milieu rural éclosent dans ces bâtiments libérés », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. a et b Vincent Fouquet, « L’aire d’autoroute d’Assevillers va se métamorphoser en 2018 : L’aire d’autoroute la plus fréquentée d’Europe va aborder une longue période de travaux et d’aménagements afin de mieux répondre aux attentes et aux consommations des usagers », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. G. Boulanger, « La Pierre de Sainte-Radegonde et le Grès de Saint-Martin », Bulletin de la Société préhistorique de France, t. 15, no 5,‎ , p. 279-283 (lire en ligne, consulté le ).
  39. « Église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption à Assevillers », sur patrimoine-de-france.com (consulté le ).
  40. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 239 (ASIN B000WR15W8).
  41. B.Fareneau, « Assevillers New British Cemetery », sur assevillers.80.free.fr (consulté le ).
  42. « Le projet Healy », Le Centenaire, sur assevillers.80.free.fr (consulté le ).
  43. « Le blason dans l'Armorial de France ».