Viviers-lès-Lavaur

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Viviers-lès-Lavaur
Viviers-lès-Lavaur
Mairie.
Blason de Viviers-lès-Lavaur
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Castres
Intercommunalité Communauté de communes Tarn-Agout
Maire
Mandat
Jean-Paul Rocache
2020-2026
Code postal 81500
Code commune 81324
Démographie
Gentilé Viviérois
Population
municipale
252 hab. (2021 en augmentation de 13,51 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 37′ 58″ nord, 1° 48′ 07″ est
Altitude 260 m
Min. 181 m
Max. 272 m
Superficie 10,02 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lavaur Cocagne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Viviers-lès-Lavaur
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Liens
Site web Site officiel

Viviers-lès-Lavaur (Vivièrs de la Vaur en occitan) est une commune française située dans le sud-ouest du département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ».

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Nadalou, le Messal, le ruisseau de l'Herle et par divers autres petits cours d'eau.

Viviers-lès-Lavaur est une commune rurale qui compte 252 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 532 habitants en 1841. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Viviérois ou Viviéroises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Commune située dans le Lauraguais, à 9 km au sud de Lavaur.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Viviers-lès-Lavaur est limitrophe de huit autres communes. Les communes limitrophes sont Bannières, Belcastel, Lacougotte-Cadoul, Lavaur, Maurens-Scopont, Veilhes et Villeneuve-lès-Lavaur.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 1 002 hectares ; son altitude varie de 181 à 272 mètres[2].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par le Nadalou, le Messal, le ruisseau de l'Herle, le ruisseau d'Aussimon, le ruisseau de Dives, le ruisseau de négolase, le ruisseau de Négolase, le ruisseau de Peyre, le ruisseau de Pierreyot, le ruisseau de Poumarès et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[4],[Carte 1].

Le Nadalou, d'une longueur totale de 11,3 km, prend sa source dans la commune de Lacougotte-Cadoul et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans Le Girou à Teulat, après avoir traversé 8 communes[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Viviers-lès-Lavaur.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 806 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Laguiole à 511 km à vol d'oiseau[8], est de 8,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 441,2 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[12],[13],[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Viviers-lès-Lavaur est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[15],[I 1],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,1 %), forêts (2,9 %), eaux continentales[Note 3] (1,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Viviers-lès-Lavaur est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Nadalou. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[20]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1992[21],[18].

Viviers-lès-Lavaur est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 4],[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Viviers-lès-Lavaur.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[23]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 95 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 95 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Viviers : du latin vivarium (« vivier »).

Histoire[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Viviers-lès-Lavaur

Son blasonnement est : D'or à la bande componée de gueules et d'argent.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[27],[28].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Viviers-lès-Lavaur était membre de la communauté de communes du SESCAL jusqu'au premier , la commune a intégré la nouvelle communauté de communes Tarn et Agout et fait partie du canton de Lavaur Cocagne (avant le redécoupage départemental de 2014, Viviers-lès-Lavaur faisait partie de l'ex-canton de Lavaur).

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 En cours Jean-Paul Rocache CNI  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 252 habitants[Note 5], en augmentation de 13,51 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
404441449501505498532509481
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
495520464448447438418387397
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
392362372264272268282275242
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
210147132140156159177215220
2021 - - - - - - - -
252--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[33] 1975[33] 1982[33] 1990[33] 1999[33] 2006[34] 2009[35] 2013[36]
Rang de la commune dans le département 290 236 237 248 240 236 233 216
Nombre de communes du département 326 324 324 324 324 323 323 323

Enseignement[modifier | modifier le code]

Viviers-lès-Lavaur fait partie de l'académie de Toulouse.

L'éducation est assurée sur la commune par une école primaire (école maternelle et élémentaire).

Culture[modifier | modifier le code]

Salle polyvalente, théâtre,

Activités sportives[modifier | modifier le code]

Football, chasse, randonnée pédestre, pétanque, moto-cross,

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SICTOM de Lavaur[37].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 82 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 224 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 25 760 [I 4] (20 400  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 10,3 % 5,1 % 9,2 %
Département[I 7] 8,2 % 9,9 % 10 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 144 personnes, parmi lesquelles on compte 80,9 % d'actifs (71,6 % ayant un emploi et 9,2 % de chômeurs) et 19,1 % d'inactifs[Note 7],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 23 emplois en 2018, contre 32 en 2013 et 23 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 103, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 67,9 %[I 10].

Sur ces 103 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 16 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 92,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun et 5,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

15 établissements[Note 8] sont implantés à Viviers-lès-Lavaur au [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 20 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 15 entreprises implantées à Viviers-lès-Lavaur), contre 26,7 % au niveau départemental[I 14].

Agriculture[modifier | modifier le code]

1988 2000 2010 2020
Exploitations 20 14 14 8
SAU[Note 9] (ha) 901 925 869 734

La commune est dans le Lauragais tarnais, une petite région agricole située dans le sud-ouest du département du Tarn[38]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5]. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (20 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 734 ha[40],[Carte 6],[Carte 7].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[39].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Viviers-lès-Lavaur » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulouse » (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Viviers-lès-Lavaur » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Viviers-lès-Lavaur » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Viviers-lès-Lavaur » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Viviers-lès-Lavaur » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Viviers-lès-Lavaur », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. Sandre, « le Nadalou »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Viviers-lès-Lavaur et Laguiole », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Laguiole » (commune de Laguiole) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Laguiole » (commune de Laguiole) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Viviers-lès-Lavaur », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Viviers-lès-Lavaur », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Liste des espaces protégés sur la commune de Viviers-lès-Lavaur », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Viviers-lès-Lavaur », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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  22. « Les risques majeurs dans le Tarn »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  23. « Les risques majeurs dans le Tarn »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Viviers-lès-Lavaur », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Les risques majeurs dans le Tarn »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  27. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  28. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
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  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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