Chazé-sur-Argos

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 30 décembre 2021 à 19:14 et modifiée en dernier par JessydeVilly (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Chazé-sur-Argos
Chazé-sur-Argos
L'église Saint-Julien.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Segré
Intercommunalité Anjou Bleu Communauté
Maire
Mandat
Françoise Coué
2020-2026
Code postal 49500
Code commune 49089
Démographie
Gentilé Chazéens
Population
municipale
1 049 hab. (2021 en diminution de 1,22 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 37′ 07″ nord, 0° 53′ 30″ ouest
Altitude 32 m
Min. 27 m
Max. 83 m
Superficie 30,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Segré-en-Anjou Bleu
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Chazé-sur-Argos
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Chazé-sur-Argos
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Voir sur la carte topographique de Maine-et-Loire
Chazé-sur-Argos
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Chazé-sur-Argos

Chazé-sur-Argos est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Géographie

Commune angevine du Segréen, Chazé-sur-Argos se situe au sud de Segré, sur les routes D 183, Segré - Le Louroux Béconnais, et D 73, Vern d'Anjou[1].

Son territoire est traversé par l'Argos, petite rivière qui baigne le bourg. Le sol est généralement assez plat, mais des collines séparent Chazé d'Angrie, à la limite sud.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 680 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Segre », sur la commune de Segré-en-Anjou Bleu, mise en service en 1989[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 714,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le département de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et à 74 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[14].

Urbanisme

Typologie

Chazé-sur-Argos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,4 %), prairies (27,3 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), zones urbanisées (1,5 %), mines, décharges et chantiers (1 %)[20].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

Toponymie

Histoire

Le village fut probablement construit à la place de la villa de Catiacum, mentionnée en 760 dans un diplôme de Charlemagne. Il est d'abord appelé Chaziacus desuper Argoa (1072) puis Chaze super Argoe (1264). Au Moyen Âge, une motte féodale est élevée à La Biscaye, elle est rasée en 1880. L'église paroissiale Saint-Julien est quant à elle construite au XIe siècle, comme le prieuré, fondé par l'abbaye Saint-Serge d'Angers en 1072. Les deux familles nobles présentes sur la paroisse, à Raguin et à Bellefontaine, se disputent la prééminence jusqu'à leur union au XVIIe siècle.

Pendant la Révolution, Chazé fait partie du district de Segré puis du canton de Candé. L'église paroissiale n'est pas démolie au XIXe siècle, contrairement à la majorité des sanctuaires de Maine-et-Loire. Elle est seulement remaniée de 1857 à 1859. À la même époque, Chazé bénéficie de la ligne de chemin de fer qui relie Nantes à Segré ; celle-ci est fermée à la fin du XXe siècle.

Pendant la Première Guerre mondiale, 40 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, aucun habitant n'est tué[22].

Politique et administration

Administration municipale

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2014 Hubert Derouet   Exploitant agricole retraité
2014 mai 2020 Bertrand Saget[23]    
mai 2020 En cours
(au 28 mai 2020)
Françoise Coué[24]    

Intercommunalité

La commune est membre d'Anjou Bleu Communauté, après disparition de la communauté de communes du Canton de Candé[25], elle-même membre du syndicat mixte Pays de l'Anjou bleu, Pays segréen.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 1 049 habitants[Note 7], en diminution de 1,22 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4111 0481 0621 5121 8541 5061 5201 5791 607
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6211 5291 6691 6131 6051 5461 5471 4851 379
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3561 3141 2481 1141 1601 1491 1151 0871 073
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0659679889058548419599921 053
2018 2021 - - - - - - -
1 0521 049-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,8 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 534 hommes pour 518 femmes, soit un taux de 50,76 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,63 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
1,4 
5,6 
75-89 ans
7,7 
13,7 
60-74 ans
14,1 
17,6 
45-59 ans
14,5 
21,3 
30-44 ans
23,9 
14,0 
15-29 ans
11,8 
26,6 
0-14 ans
26,6 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
6,9 
75-89 ans
9,4 
16 
60-74 ans
16,8 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,3 
30-44 ans
17,5 
18,7 
15-29 ans
17,6 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Vie locale

Économie

Sur 101 établissements présents sur la commune à fin 2010, 43 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 4 % du secteur de l'industrie, 15 % du secteur de la construction, 32 % de celui du commerce et des services et 7 % du secteur de l'administration et de la santé[32].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Chazé-sur-Argos est un village très ancien et le territoire de la commune garde un patrimoine assez important.

  • Le monument le plus remarquable est sans doute le château du Raguin. Un manoir est mentionné pour la première fois en 1417, il est peu après remplacé par un château, modifié et agrandi du XVIe au XVIIe siècle, et au XIXe. La pièce la plus intéressante est la Chambre des Amours, chambre nuptiale dont les murs décorés d'angelots dissimulent une cachette qu'utilisa le curé de la paroisse durant la Révolution. À proximité du château se trouve une ferme du XVIIe siècle. Le parc, qui conserve des traces de douves, est habité par des animaux exotiques (grues couronnées…) (Monument historique[33]).
  • Plus récent, le château des Peltrais, fut construit de 1850 à 1869 à l'emplacement d'un manoir. L'édifice mêle les styles Renaissance et Louis XIII.
  • L'église paroissiale Saint-Julien, dont le clocher et la croisée du transept sont du XIIe siècle, a été agrandie au XIXe.
  • Autre édifices religieux, la chapelle Notre-Dame ou de la Croix-Marie date de 1640 et la chapelle de l'Espérance date du XIXe siècle.
  • Le prieuré-cure Saint-Julien, a été fondé au XIe siècle, mais le bâtiment actuel n'a été construit qu'au XVIIIe. Il a abrité des bénédictins puis des chanoines réguliers de Saint-Georges-sur-Loire.

Personnalités liées à la commune

  • Raguin est un des foyers de la famille du Bellay, dont le descendant le plus illustre, Joachim du Bellay, est né à Liré en 1522.
  • Esprit-Benjamin Bancelin, commandant de la garde nationale de Segré puis commissaire du district a vécu à Chazé sur Argos aux XVIIIe et XIXe siècles.
  • Georges Six (1870-1947), professeur agrégé, auteur d'un dictionnaire de référence sur les généraux de Napoléon. Inhumé à Chazé-sur-Argos[34].

Voir aussi

Bibliographie

  • Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (BNF 33141105, lire en ligne)

Articles connexes

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

Notes

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. IGN et BRGM, Géoportail Chazé-sur-Argos (49), consulté le 2 septembre 2012
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  8. « Station Météo-France Segre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Chazé-sur-Argos et Segré-en-Anjou Bleu », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France Segre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Chazé-sur-Argos et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  22. Memorialgenweb.org - Chazé-sur-Argos : monument aux morts
  23. « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
  24. « Chazé-sur-Argod. Françoise Coué a été élue maire de la commune », sur Ouest-France, (consulté le ).
  25. Insee, Composition de l'EPCI du Canton de Candé (244900809), consulté le 21 novembre 2013
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chazé-sur-Argos (49089) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  32. Insee, Statistiques locales du territoire de Chazé-sur-Argos (49), consultées le 30 décembre 2012.
  33. « Château du Raguin », notice no PA00109038, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Notice de personne - Six Georges », sur BnF (catalogue.bnf.fr), (consulté le ).