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=== Amérique ===
=== Amérique ===
* '''De {{nb|70000 à 15000 ans}}''' [[Avant le présent|AP]] : ouverture d'un passage terrestre à travers la [[Béringie]]<ref>{{Ouvrage|langue=en|auteur1=Germán Mariano Gasparini, Jorge Rabassa, Cecilia Deschamps, Eduardo Pedro Tonni|titre=Marine Isotope Stage 3 in Southern South America, 60 ka B.P. - 30 ka B.P.|lieu=Cham|éditeur=Springer|année=2016|isbn=978-3-319-40000-6|présentation en ligne={{Google Livres|1E-_DAAAQBAJ|page=16}}}}</ref>{{,}}<ref>{{Ouvrage|langue=fr|auteur1=Christian Lemoy|titre=À travers le Pacifique|sous-titre=de l'Asie antique à l'Amérique précolombienne|lieu=Nantes|éditeur=Christian Lemoy|année=2006|pages totales=335|isbn=978-2-310-00391-9|présentation en ligne={{Google Livres|9aNsBQAAQBAJ|page=PT11}}}}</ref>. [[Premier peuplement de l'Amérique|Premières migrations d’Asie vers l'Amérique]] par la [[Béringie]] à une époque discutée. Ces chasseurs-cueilleurs venus de Sibérie s'établissent en [[Alaska]], puis trouvent un passage vers le reste de l'Amérique du Nord, peut-être par la route côtière. On suppose que les hommes qui empruntèrent ce passage poursuivaient le gibier qu’ils chassaient, comme le [[bison]] ou le [[mammouth]].
* '''{{nb|56000 ans}}''' [[avant le présent|AP]] : vestiges de charbons de bois trouvés sur un site de [[Pedra Furada]], dans la [[Parc national de la Serra da Capivara|Serra da Capivara]], au [[Brésil]], datés en 2003 par le procédé ABOX-SC d'environ {{nb|56000 ans}}<ref>{{Article|langue=en|auteur=Guaciara Santos, Michael Bird, Fabio Parenti, L.K Fifield, [[Niède Guidon]], P.A Hausladen|titre=A revised chronology of the lowest occupation layer of Pedra Furada Rock Shelter, Pia |volume=|numéro=2303-2310 |périodique= Quaternary Science Reviews|lieu= |année=2003|passage=|présentation en ligne=https://www.researchgate.net/publication/223811931_A_revised_chronology_of_the_lowest_occupation_layer_of_Pedra_Furada_Rock_Shelter_Piau_Brazil_The_Pleistocene_peopling_of_the_Americas}}</ref>. Une industrie taillée en quartz et quartzite est associée à des aires de combustion datées de {{nb|32160}} ± 1000 ans (niveau B, phase « Pedra Furada I ») et de {{nb|17000}} ± 400 ans [[avant le présent]] (niveau C, phase « Pedra Furada IV »). Du foyer ayant fourni cette dernière date provient en outre une pierre portant semble-t-il des vestiges de colorant rouge<ref>{{Ouvrage |auteur1=André Leroi-Gourhan, José Garanger |titre=La préhistoire dans le monde |éditeur=Presses Universitaires de France |année=2015 |pages totales=848 |isbn=978-2-13-073824-4 |présentation en ligne={{Google Livres|6oxjCwAAQBAJ|page=PT707}}}}</ref>.
*'''{{nb|56000 ans}}''' [[avant le présent|AP]] : vestiges de charbons de bois trouvés sur un site de [[Pedra Furada]], dans la [[Parc national de la Serra da Capivara|Serra da Capivara]], au [[Brésil]], datés en 2003 par le procédé ABOX-SC d'environ {{nb|56000 ans}}<ref>{{Article|langue=en|auteur=Guaciara Santos, Michael Bird, Fabio Parenti, L.K Fifield, [[Niède Guidon]], P.A Hausladen|titre=A revised chronology of the lowest occupation layer of Pedra Furada Rock Shelter, Pia |volume=|numéro=2303-2310 |périodique= Quaternary Science Reviews|lieu= |année=2003|passage=|présentation en ligne=https://www.researchgate.net/publication/223811931_A_revised_chronology_of_the_lowest_occupation_layer_of_Pedra_Furada_Rock_Shelter_Piau_Brazil_The_Pleistocene_peopling_of_the_Americas}}</ref>. Une industrie taillée en quartz et quartzite est associée à des aires de combustion datées de {{nb|32160}} ± 1000 ans (niveau B, phase « Pedra Furada I ») et de {{nb|17000}} ± 400 ans [[avant le présent]] (niveau C, phase « Pedra Furada IV »). Du foyer ayant fourni cette dernière date provient en outre une pierre portant semble-t-il des vestiges de colorant rouge<ref>{{Ouvrage |auteur1=André Leroi-Gourhan, José Garanger |titre=La préhistoire dans le monde |éditeur=Presses Universitaires de France |année=2015 |pages totales=848 |isbn=978-2-13-073824-4 |présentation en ligne={{Google Livres|6oxjCwAAQBAJ|page=PT707}}}}</ref>.


=== Asie-Pacifique ===
=== Asie-Pacifique ===
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* '''Avant {{nb|67000 ans}}''' [[avant le présent|AP]] : la [[grotte de Callao]], sur l'ile de [[Luçon (Philippines)|Luçon]], aux [[Philippines]], livre 13 restes fossiles fragmentaires d'une nouvelle espèce humaine, décrite en 2019, ''[[Homme de Callao|Homo luzonensis]]''. Les chercheurs s'interrogent sur la façon dont cet humain archaïque a pu accéder à une ile qui n'a jamais été reliée au continent au cours des [[Glaciations quaternaires|cycles glaciaires]] du [[Pléistocène]]<ref>{{article|url=https://www.liberation.fr/sciences/2019/04/10/homo-luzonensis-un-petit-homme-des-philippines-qui-vient-de-loin_1720526 |périodique=Libération|date=10 avril 2019 |titre=«Homo luzonensis», un petit homme des Philippines qui vient de loin |auteur1= Camille Gévaudan |auteur2= Florian Bardou }}</ref>.
* '''Avant {{nb|67000 ans}}''' [[avant le présent|AP]] : la [[grotte de Callao]], sur l'ile de [[Luçon (Philippines)|Luçon]], aux [[Philippines]], livre 13 restes fossiles fragmentaires d'une nouvelle espèce humaine, décrite en 2019, ''[[Homme de Callao|Homo luzonensis]]''. Les chercheurs s'interrogent sur la façon dont cet humain archaïque a pu accéder à une ile qui n'a jamais été reliée au continent au cours des [[Glaciations quaternaires|cycles glaciaires]] du [[Pléistocène]]<ref>{{article|url=https://www.liberation.fr/sciences/2019/04/10/homo-luzonensis-un-petit-homme-des-philippines-qui-vient-de-loin_1720526 |périodique=Libération|date=10 avril 2019 |titre=«Homo luzonensis», un petit homme des Philippines qui vient de loin |auteur1= Camille Gévaudan |auteur2= Florian Bardou }}</ref>.
* '''{{nb|65000 ans}}''' [[avant le présent|AP]] : l’[[abri sous roche]] de {{lien|langue=en|Madjedbebe}}, en [[Terre d'Arnhem]], en [[Australie]], est occupé par des ''[[Homo sapiens]]''. Cette date fixe le début de la [[Préhistoire de l'Australie|colonisation de l’Océanie]]<ref name="Demoule"/>. L’[[Australie]], la [[Tasmanie]] et la [[Nouvelle-Guinée]] forment alors un seul continent, le [[Sahul]]<ref>{{Ouvrage |langue=fr |auteur1=Arnaud Noury |auteur2=Jean-Christophe Galipaud |titre=Les Lapita, nomades du Pacifique |lieu=Marseille |éditeur=IRD Editions |année=2013 |pages totales=127 |isbn=978-2-7099-1716-2 |présentation en ligne={{Google Livres|4drVDRPP_gAC|page=29}}}}</ref>. Des ''[[Homo sapiens]]'' ont effectué une traversée en haute mer sur une distance d'au moins {{unité|100|km}}, ce qui signifie qu'il maitrisaient les techniques de navigation. L’[[Australie]] n'a en effet jamais été reliée au sud-est de l’Asie, même à l’époque où le niveau des mers était très bas, lors des maximums glaciaires.
* '''{{nb|65000 ans}}''' [[avant le présent|AP]] : l’[[abri sous roche]] de {{lien|langue=en|Madjedbebe}}, en [[Terre d'Arnhem]], en [[Australie]], est occupé par des ''[[Homo sapiens]]''. Cette date fixe le début de la [[Préhistoire de l'Australie|colonisation de l’Océanie]]<ref name="Demoule"/>. L’[[Australie]], la [[Tasmanie]] et la [[Nouvelle-Guinée]] forment alors un seul continent, le [[Sahul]]<ref>{{Ouvrage |langue=fr |auteur1=Arnaud Noury |auteur2=Jean-Christophe Galipaud |titre=Les Lapita, nomades du Pacifique |lieu=Marseille |éditeur=IRD Editions |année=2013 |pages totales=127 |isbn=978-2-7099-1716-2 |présentation en ligne={{Google Livres|4drVDRPP_gAC|page=29}}}}</ref>. Des ''[[Homo sapiens]]'' ont effectué une traversée en haute mer sur une distance d'au moins {{unité|100|km}}, ce qui signifie qu'il maitrisaient les techniques de navigation. L’[[Australie]] n'a en effet jamais été reliée au sud-est de l’Asie, même à l’époque où le niveau des mers était très bas, lors des maximums glaciaires.
*'''Vers {{nb|65000 ans}}''' [[Avant le présent|AP]] : des haches emmanchées au tranchant poli sont produites en Australie du Nord et sont présentes sur le site de {{lien|langue=en|Madjedbebe}}, en [[Terre d'Arnhem]], dès les niveaux les plus anciens, il y a {{nb|65000 ans}}. Cette technique représente une innovation qui répond peut-être à la nécessité de travailler les bois durs de la savane. Les sites livrent des industries [[Industrie lithique|lithiques]] et [[Industrie osseuse|osseuses]] variées et adaptées aux environnement locaux.
*'''Vers {{nb|64000 ans}}''' [[Avant le présent|AP]] : premiers fossiles [[Homme de Denisova|dénisoviens]] trouvés dans la [[grotte de Denisova]], dans l'[[Altaï]], en [[Sibérie]].
* '''{{nb|63000 ans}}''' [[avant le présent|AP]] : [[Grotte de Tam Pa Ling|Homme de Tam Pa Ling]]. Présence d’''[[Homo sapiens]]'' attestée par un crâne et une mandibule découverts en 2009, dans la [[Chaîne Annamitique]], au [[Laos]]<ref name="Garcia"/>.
* '''{{nb|63000 ans}}''' [[avant le présent|AP]] : [[Grotte de Tam Pa Ling|Homme de Tam Pa Ling]]. Présence d’''[[Homo sapiens]]'' attestée par un crâne et une mandibule découverts en 2009, dans la [[Chaîne Annamitique]], au [[Laos]]<ref name="Garcia"/>.



Version du 12 juillet 2021 à 21:47

300e à 201e millénaires AP | 200e à 101e millénaires AP | 100e à 71e millénaires AP |
70e à 51e millénaires avant le présent
| 50e à 41e millénaires AP | 40e à 36e millénaires AP | 35e à 31e millénaires AP

Liste de chronologies par périodes

Cet article traite de l’histoire évolutive de la lignée humaine entre 70 000 et 50 000 ans avant le présent (AP). Cinq espèces humaines peuplent alors l’Afrique et l’Eurasie : Homo sapiens, Homo floresiensis, Homo luzonensis, Homo denisovensis et Homo neanderthalensis. Les quatre dernières vont disparaitre il y a entre 50 000 et 30 000 ans. Selon les données génétiques, la dernière sortie d'Afrique d'Homo sapiens aurait eu lieu entre 60 000 et 50 000 ans AP, soit par le Proche-Orient, soit par le détroit de Bab-el-Mandeb à travers la mer Rouge, avant de se diffuser sur toute la planète[1].

Évènements

  • 70 000 ans avant le présent (AP) : l'étoile de Scholz aurait traversé le nuage de Oort il y a environ 70 000 ans en s'approchant au plus près du Soleil, à environ 0,82 année-lumière, soit 52 000 unités astronomiques ou 8 000 milliards de kilomètres[2]. Selon les connaissances actuelles, aucune autre étoile ne se serait jamais autant approchée du système solaire[3].
  • Selon des analyses génétiques, la bactérie Helicobacter pylori, aujourd'hui responsable des ulcères à l'estomac et de leurs dégénérations en cancer (1 % des cas), aurait été déjà présente dans l'estomac d'environ la moitié des Homo sapiens africains il y a 58 000 ans[4].

Afrique

Coquilles d’œufs d’autruche gravées de Diepkloof

Amérique

  • De 70 000 à 15 000 ans AP : ouverture d'un passage terrestre à travers la Béringie[6],[7]. Premières migrations d’Asie vers l'Amérique par la Béringie à une époque discutée. Ces chasseurs-cueilleurs venus de Sibérie s'établissent en Alaska, puis trouvent un passage vers le reste de l'Amérique du Nord, peut-être par la route côtière. On suppose que les hommes qui empruntèrent ce passage poursuivaient le gibier qu’ils chassaient, comme le bison ou le mammouth.
  • 56 000 ans AP : vestiges de charbons de bois trouvés sur un site de Pedra Furada, dans la Serra da Capivara, au Brésil, datés en 2003 par le procédé ABOX-SC d'environ 56 000 ans[8]. Une industrie taillée en quartz et quartzite est associée à des aires de combustion datées de 32 160 ± 1000 ans (niveau B, phase « Pedra Furada I ») et de 17 000 ± 400 ans avant le présent (niveau C, phase « Pedra Furada IV »). Du foyer ayant fourni cette dernière date provient en outre une pierre portant semble-t-il des vestiges de colorant rouge[9].

Asie-Pacifique

Moyen-Orient

  • 60 000 ans AP : Moshe (Kébara 2), squelette néandertalien post-crânien parmi les plus complets connus à ce jour, découvert en 1983 dans la grotte de Kébara, en Israël. L'étude de l'os hyoïde a permis de montrer que les Néandertaliens avaient les mêmes possibilités physiques que les hommes modernes concernant la production d'un langage articulé.
  • Entre 60 000 et 55 000 ans AP : sépultures d'Amud 1, un Néandertalien adulte découvert en 1961, et d'Amud 7, un enfant découvert en 1993-1994 dans une grotte près du nahal Amud, en Galilée (Israël)[14]. Des restes de plantes grasses, d'arbres fruitiers et d'herbes médicinales ont été retrouvés dans la grotte d'Amud[15].
  • De 60 000 à 44 000 ans AP : vestiges fossiles et lithiques néandertaliens trouvés dans la grotte de Shanidar, au Kurdistan irakien. Shanidar I, surnommé « Nandy », squelette fossile relativement complet daté de 44 000 ans, âgé entre 40 et 50 ans à son décès, avait subi des blessures longtemps avant de mourir. On débat encore sur l'existence de sépultures à Shanidar[16]. Shanidar IV est notamment entouré de très nombreux restes de pollen, interprétés comme le résultat possible d'un dépôt de fleurs autour du défunt[17].
  • 55 000 ans AP : une calotte crânienne d’Homo sapiens de morphologie moderne, découverte dans la grotte de Manot, en Israël, appuie l’hypothèse d’une dernière sortie d’Afrique par le Levant[12].

Europe

Crâne de l'Homme de Néandertal de La Ferrassie
Reconstitution de la sépulture de la Chapelle-aux-Saints

Références

  1. (en) Michael H. Fisher, Migration : A World History, OUP USA, (ISBN 978-0-19-976433-4, présentation en ligne)
  2. (en) Eric Mamajek et al., « The closest known flyby of a star to the Solar System », The Astrophysical Journal, vol. 800, no 1,‎ , id. L17, 4 p. (DOI 10.1088/2041-8205/800/1/L17, Bibcode 2015ApJ...800L..17M, arXiv 1502.04655, résumé, lire en ligne [PDF])
  3. (en)The Closest Known Flyby of a Star to the Solar System, 17 février 2015
  4. (en) Linz B, Balloux F, Moodley Y et Als. An African origin for the intimate association between humans and Helicobacter pylori, Nature, 2007, 445:915-918, doi:10.1038/nature05562
  5. (en) J. Deacon, « An Unsolved Mystery at the Howieson's Poort », South African Archaeological Bulletin, vol. 50, no 162,‎ , p. 110–120 (DOI 10.2307/3889060, lire en ligne)
  6. (en) Germán Mariano Gasparini, Jorge Rabassa, Cecilia Deschamps, Eduardo Pedro Tonni, Marine Isotope Stage 3 in Southern South America, 60 ka B.P. - 30 ka B.P., Cham, Springer, (ISBN 978-3-319-40000-6, présentation en ligne)
  7. Christian Lemoy, À travers le Pacifique : de l'Asie antique à l'Amérique précolombienne, Nantes, Christian Lemoy, , 335 p. (ISBN 978-2-310-00391-9, présentation en ligne)
  8. (en) Guaciara Santos, Michael Bird, Fabio Parenti, L.K Fifield, Niède Guidon, P.A Hausladen, « A revised chronology of the lowest occupation layer of Pedra Furada Rock Shelter, Pia », Quaternary Science Reviews, nos 2303-2310,‎ (présentation en ligne)
  9. André Leroi-Gourhan, José Garanger, La préhistoire dans le monde, Presses Universitaires de France, , 848 p. (ISBN 978-2-13-073824-4, présentation en ligne)
  10. a et b Dominique Garcia et Hervé Le Bras, Archéologie des migrations, La Découverte, , 363 p. (ISBN 978-2-7071-9942-3, présentation en ligne)
  11. Camille Gévaudan et Florian Bardou, « «Homo luzonensis», un petit homme des Philippines qui vient de loin », Libération,‎ (lire en ligne)
  12. a et b Jean-Paul Demoule, Dominique Garcia, Alain Schnapp, Une histoire des civilisations : comment l'archéologie bouleverse nos connaissances, Paris/85-Luçon, Éditions La Découverte, , 601 p. (ISBN 978-2-7071-8878-6, présentation en ligne), p. 114-116
  13. Arnaud Noury et Jean-Christophe Galipaud, Les Lapita, nomades du Pacifique, Marseille, IRD Editions, , 127 p. (ISBN 978-2-7099-1716-2, présentation en ligne)
  14. Anne-Marie Tillier, L’homme et la mort : L’émergence du geste funéraire durant la Préhistoire, CNRS Éditions, , 186 p. (ISBN 978-2-271-09118-5, présentation en ligne)
  15. La Recherche, vol. 355, Paris, Société d'éditions scientifiques, (ISBN 978-2-84299-141-8, présentation en ligne)
  16. Marylène Patou-Mathis, Néandertal, edi8, , 376 p. (ISBN 978-2-262-04452-7, présentation en ligne)
  17. De l'usage des plantes, Éditions L'Harmattan, , 256 p. (ISBN 978-2-296-24629-4, présentation en ligne)
  18. « Le Regourdou », sur Don's Maps
  19. a et b Marylène Patou-Mathis, Néandertal de A à Z, Allary éditions, , 431 p. (ISBN 978-2-37073-161-6, présentation en ligne)
  20. [Grün et al. 2006] (en) Rainer Grün, Julià Maroto, Stephen Eggins, Christopher Brian Stringer, Steve Robertson, Lois Taylor, Graham Ernest Mortimer et Malcolm T. McCulloch, « ESR and U-series analyses of enamel and dentine fragments of the Banyoles mandible », Journal of Human Evolution, vol. 50, no 3,‎ , p. 347-358 (résumé).
  21. « Les premières sépultures et tombes de la préhistoire - Article en partenariat avec Historia », sur hominides.com
  22. [McKee, Poirier & Mcgraw 2015] (en) Jeffrey K. McKee, Frank E. Poirier et W Scott Mcgraw, Understanding Human Evolution, Routledge, , 432 p., sur books.google.fr (ISBN 978-1-317-34279-3, présentation en ligne).
  23. [Attendorn & Bowen 1988] (en) H.-G. Attendorn et R. Bowen, Isotopes in the Earth Sciences, Springer Science & Business Media, , 648 p. (ISBN 978-0-412-53710-3, présentation en ligne).