Saint-Germer-de-Fly
Saint-Germer-de-Fly | |||||
De haut en bas et de droite à gauche : l'abbaye Saint-Germer-de-Fly (vue de la collégiale à droite et de la sainte chapelle à gauche), la porterie de l'hôtel de ville, la façade occidentale de l'abbatiale. |
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Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | CC du Pays de Bray | ||||
Maire Mandat |
Alain Levasseur 2020-2026 |
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Code postal | 60850 | ||||
Code commune | 60577 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gérémarois | ||||
Population municipale |
1 690 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 85 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 26′ 38″ nord, 1° 46′ 57″ est | ||||
Altitude | Min. 84 m Max. 220 m |
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Superficie | 19,9 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Beauvais (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Grandvilliers | ||||
Législatives | 2e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-st-germer.fr/ | ||||
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Saint-Germer-de-Fly [sɛ̃ ʒɛʁmɛʁ də fli] est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Géographie
[edit | edit source]Description
[edit | edit source]La commune est traversée par l'avenue verte qui relie Paris à Londres.
Localisation
[edit | edit source]Hydrographie
[edit | edit source]Réseau hydrographique
[edit | edit source]La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Epte, le ruisseau de Goulancourt[1], le cours d'eau 03 de la commune de Ferrieres-en-Bray[2], le fossé 04 de la commune de Ferrieres-en-Bray[3], le Fossé des Peres[4], le ruisseau des Pres de Hagron[5] et le ruisseau des Prés de Hagron[6],[7],[Carte 1].
L'Epte, d'une longueur de 113 km, prend sa source dans la commune de Compainville et se jette dans la Seine à Notre-Dame-de-la-Mer, après avoir traversé 44 communes[8].
Gestion et qualité des eaux
[edit | edit source]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 219 km2 de superficie, délimité par le bassin versant du Thérain. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit est, en 2024, en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat intercommunal de la Vallée du Thérain (SIVT)[9].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[edit | edit source]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 772 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jaméricourt à 17 km à vol d'oiseau[12], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Urbanisme
[edit | edit source]Typologie
[edit | edit source]Au , Saint-Germer-de-Fly est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[17]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
[edit | edit source]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54,3 %), terres arables (28,5 %), zones urbanisées (7,9 %), forêts (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %), zones humides intérieures (0,7 %)[20]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
[edit | edit source]La commune est desservie, en 2023, par les lignes 610, 6102, 6138, 6147 et 6149 du réseau interurbain de l'Oise[21].
Toponymie
[edit | edit source]Le nom de la localité est attesté sous les formes flaviacum monasterium quod sanctus Geremarus fundavit (807) ; monasterio Flaviaco (vers 845) ; Sanctus Geremarus de Flaviaco (1030) ; ad Flaviacense monasterium (1114-21) ; abbatia S. Geremari de Flaviaco (1150) ; Sancti Geremari de Flaviaco (1193) ; monasterium Si Geremari Flaviacensis (XIIe) ; ecclesie B. Geremari Flaviac (1220) ; Sanctus Geremarus Flaviacensis (1242) ; de Sancto Geremaro de Fliaco (1261) ; sainct germer de flay (1271) ; saint germers a flai (XIIIe) ; le convent de Saint Germer de Flai (1285) ; conventus flaviacensis (vers 1300) ; S. Germair de flay (1300) ; conventus Si Geremari de Flayaco (1301) ; Saint Germer de fley (1313) ; abbacie de Sancto Germaro (1316) ; eccl. de Flayaco Si Geremari (vers 1320) ; Sancti Geremari de Flayaco (1348) ; Saint Germer en beauvoisis (vers 1380) ; Saint Germer de Flay (1385) ; Saint Germer (XIVe) ; Sainct Germer de Fley (vers 1500) ; Saint Germer de Flayx (1667) ; Germer de Fly (1794) ; Saint Germer en Bray (XIXe) ; Saint Germer de Flais (XIXe) ; Saint Germer de Fly (XIXe)[22].
Saint-Germer est un hagiotoponyme faisant référence à Germer de Fly, le premier abbé de l'abbaye Saint-Germer-de-Fly[23].
Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romaine en -acum, suffixe locatif gaulois, puis de propriété, précédé de l'anthroponyme latin Flavius « Le Blond », porté par un autochtone, qui a évolué en Flaius[24].
La paroisse est instituée commune lors de la Révolution française et porte en 1793 la dénomination de Germer. Elle devient en 1801 Saint-Germer-de-Fly, puis Saint-Germer avant de reprendre en 1961 le nom de Saint-Germer-de-Fly[25].
Histoire
[edit | edit source]Politique et administration
[edit | edit source]Rattachements administratifs et électoraux
[edit | edit source]La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton du Coudray-Saint-Germer[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Beauvais-2.
Intercommunalité
[edit | edit source]La commune est membre de la communauté de communes du pays de Bray, créée fin 1997.
Liste des maires
[edit | edit source]Jumelages
[edit | edit source]La commune est jumelée depuis le avec Niedenstein (Allemagne).
Population et société
[edit | edit source]Démographie
[edit | edit source]Évolution démographique
[edit | edit source]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].
En 2021, la commune comptait 1 690 habitants[Note 4], en évolution de −0,76 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[edit | edit source]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 810 hommes pour 903 femmes, soit un taux de 52,71 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
[edit | edit source]La commune compte en 2017[34] :
- L'école maternelle de la gare Roland-Duhamel, de trois classes ;
- L'école élémentaire Eugène-Élie, de quatre classes.
Économie
[edit | edit source]Edilians produit localement 240 000 tonnes de tuiles par an[35].
Culture locale et patrimoine
[edit | edit source]Lieux et monuments
[edit | edit source]- Abbaye Saint-Germer-de-Fly[36], fondée au VIIe siècle par saint Germer, dont l'église abbatiale de la seconde moitié du XIIe siècle[37], considéré comme un remarquable exemple de transition entre le roman et le gothique, est fermée pour des raisons de sécurité, devrait rouvrir en 2018[38],[39]. La Chapelle de la Vierge, dédicacée en 1267 et qui se trouve dans le prolongement de l'abbatiale, est de pur style gothique rayonnant, et est la réplique de la Sainte-Chapelle de Paris[40],[41].
- Une partie des bâtiments conventuels, datant des XIIIe, XIVe, XVIIe et XVIIIe siècles subsiste[42].
-
Jardins de l'abbaye et église.
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L'église abbatiale.
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Le chœur de l'abbatiale, vers 1840.
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Croisée d'ogives et clés de voûtes.
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Coupe du chœur.
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Jonction entre l'église abbatiale et la Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
-
Intérieur de la Sainte-Chapelle.
- Musée des arts et traditions populaires situé au pied de l'Abbaye Saint-Germer-de-Fly.
- Verrerie de MM. Mauger et Pinat[43].
Personnalités liées à la commune
[edit | edit source]- Nicolas Le Roy, sieur du Mé, officier de marine de Louix XIII et Louix XIV, né à Saint-Germer-de-Fly.
Héraldique
[edit | edit source]Voir aussi
[edit | edit source]Articles connexes
[edit | edit source]Liens externes
[edit | edit source]- Site officiel
- « Dossier complet : Commune de Saint-Germer-de-Fly (60577) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Saint-Germer-de-Fly »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Saint-Germer-de-Fly » sur Géoportail.
Notes et références
[edit | edit source]Notes
[edit | edit source]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- L'école maternelle du village porte le nom de ce maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[edit | edit source]- « Réseau hydrographique de Saint-Germer-de-Fly » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[edit | edit source]- Sandre, « le ruisseau de Goulancourt »
- Sandre, « le cours d'eau 03 de la commune de Ferrieres-en-Bray »
- Sandre, « le fossé 04 de la commune de Ferrieres-en-Bray »
- Sandre, « le Fossé des Peres »
- Sandre, « le ruisseau des Pres de Hagron »
- Sandre, « le ruisseau des Prés de Hagron »
- « Fiche communale de Saint-Germer-de-Fly », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Sandre, « l'Epte »
- « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Germer-de-Fly et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Germer-de-Fly ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun à Saint-Germer-de-Fly », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 507.
- Joseph Depoin, « La vie de saint Germer », Congrès archéologique de France : séances générales tenues en 1905 à Beauvais, Paris / Caen, A. Picard / H. Delesques, vol. 72, , p. 392-406 (lire en ligne)
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France -IVe partie, vol. I, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et Françaises », , 708 p. (ISBN 978-2-600-02883-7, lire en ligne), p. 558 sur Google livres.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Saint-Germer-de-Fly », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Noces d'or. Alain Levasseur, maire de Saint-Germer-de-Fly, signe pour un nouveau mandat : C'est dans une 4L, comme le jour de leur mariage le 12 octobre 1968, qu'Alain et Dany Levasseur sont arrivés à la mairie. Mais pour une fois, ce n'est pas le maire qui officiait… », L'Éclaireur - La Dépêches, (lire en ligne, consulté le ) « Alain Levasseur consacre sa vie à ses concitoyens depuis plus de quarante ans. Dès 1977, il est conseiller municipal, puis second et enfin premier adjoint avant d'être élu maire en 2014. Il succède à Nadège Lefebvre à la présidence de la communauté de communes du pays de Bray en novembre 2017. Il est aussi vice-président du syndicat des eaux et a occupé le poste de président du comité des fêtes durant vingt-cinq ans ».
- « À Saint-Germer-de-Fly, Alain Levasseur est reconduit à la tête de la municipalité », L'Éclaireur - La Dépêche, (En poste au conseil municipal depuis 1977 comme conseiller puis adjoint et enfin maire depuis six ans, Alain Levasseur continue son chemin après sa réélection au poste de maire, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Germer-de-Fly (60577) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « Les écoles de Saint-Germer-de-Fly », sur mairie-st-germer.fr (consulté le ).
- « Edilians produit 240 000 tonnes de tuiles en terre cuite chaque année », Courrier picard, , p. 24-III
- « Abbaye de bénédictins de la congrégation de Saint-Maur Saint-Germer », notice no IA60001558, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église abbatiale Saint-Germer, actuellement église paroissiale », notice no IA60001559, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fermée depuis dix ans, l'abbatiale de Saint-Germer va rouvrir », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Corinne Fourcin, « Saint-Germer-de-Fly : objectif printemps 2018 pour la réouverture de l'abbatiale », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « Chapelle de bénédictins de la congrégation de Saint-Maur dite chapelle de la Vierge, actuellement annexe de l'église paroissiale », notice no IA60001560, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église et chapelle », notice no PA00114860, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ancienne abbaye », notice no PA00114859, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Verriers de la Vallée de la Bresle - un Lock-out - le 7/9/1908 », Le Figaro, , p. 3 (lire en ligne).