Utilisateur:Leonard Fibonacci/Thaddée d'Édesse

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Icône de saint Thaddée (Xe siècle, monastère Sainte-Catherine du Sinaï).

Thaddée d'Édesse aussi appelé Addaï ou Judas le Zélote est un disciple de Jésus qui selon la tradition aurait évangélisé des territoires en Mésopotamie et en particulier Édesse et le sud du royaume d'Arménie. Dans les traditions orientales, c'est le fondateur de l'Église d'Édesse dont l'Église nestorienne se réclame. De même, il aurait ensuite fondé la première Église d'Arménie avec l'apôtre Barthélemy.

Dans les traditions des églises orientales, ainsi que pour une partie des catholiques, il s'agit de l'apôtre Thaddée, appelé aussi Judas de Jacques (Lc. 6, 16 et Ac. 1, 14) ou Judas Thaddée. Pour eux, il s'agit du « frère » de Jésus portant le même nom et le même surnom. Pour les Orthodoxes et les Nestoriens, il s'agit d'un demi-frère de Jésus que Joseph aurait eu avec une autre femme que Marie, alors que pour les catholiques, il s'agit d'un cousin germain de Jésus, fils d'une demi-sœur de Marie appelée Marie Jacobé avec un frère — ou un demi frère — de Joseph appelé Clopas, l'expression « frères de Jésus » ne devant pas être pris dans son sens premier.

Une autre partie de la tradition catholique estime qu'il ne s'agît ni du « frère » de Jésus, ni de l'apôtre portant les mêmes noms, mais d'un disciple de Jésus, membre des « septante disciples » de Jésus dont Eusèbe de Césarée écrit qu'il en ignore les noms et dont on connaît plusieurs versions tardives et comportant des différences.

Selon la tradition, après avoir effectué une prédication dans la région Palestine, il s'est rendu « dans le pays Arabe », en Syrie, en Mésopotamie et en Arménie. Les récits l'associent souvent avec Simon le Zélote qui l'aurait rejoint en Mésopotamie, après avoir prêché aux Berbères.

Il aurait subi le martyr en « Perse ». Les sources en arménien sont plus précises et indiquent que Thaddée aurait été exécuté dans la ville de Maku appartenant alors au Royaume d'Arménie (aujourd'hui au nord de l'Iran).

Ses nom et surnom[modifier | modifier le code]

Bien qu'il soit connu sous le nom de Thaddée, il ne s'agit vraisemblablement pas d'un nom, mais d'un surnom. Son nom est Judas souvent réduit à son diminutif : Jude. Le nom Judas a initialement un sens positif[1], toutefois dans la tradition chrétienne il devint le symbole de la trahison à cause de celle de Judas Iscariot[2]. Le diminutif Jude et le surnom Thaddée (Thaddaeus) semblent avoir été privilégiés sur le nom Judas probablement pour éviter la confusion avec le traître, Judas Iscariot[3],[4].

Thaddée pourrait venir de l'araméen, « taddà » qui désigne la poitrine. Il pourrait signifier « le courageux »[5], puisque le cœur et la poitrine en sont traditionnellement le siège. Il pourrait signifier aussi « homme de cœur »[6] ou manifester la tendresse[4].

La tradition orientale l'appelle souvent Addaï[7], notamment dans les sources en syriaque[8] (un dialecte de l'araméen) et en arménien[9]. Selon François Blanchetière, Addaï « est l'abréviation d'Adonya (Yavhé est mon seigneur/maître)[10] ». Pour Christelle Jullien, Thaddée est « une transformation évidente de l'Addaï de la tradition syriaque[11] ».

Deux variantes de manuscrits des Constitutions apostoliques indiquent que « Thaddaeus, aussi appelé Lebbaeus et surnommé Judas le Zélote, prêcha la Vérité aux Édesséniens et au peuple de Mésopotamie lorsque Agbarus (Abgar) régnait à Édesse[12]. »

Jérôme de Stridon écrit dans son Commentaire de l’Épître aux Galates que « l’apôtre Judas, qui n’est pas le traître[13] » a pris le nom de Zélote « en vertu de son zèle insigne[13]. » Dans son texte contre Helvidius, il parle à nouveau de « Jude Zélote qui est dit Thaddée dans un autre évangile[14]. ». Le Décret de Gélase au VIe siècle déclare canonique une épître Iudæ Zelotis apostoli, « de l’apôtre Jude Zélotes ».

Les différentes traditions[modifier | modifier le code]

Thaddée est un personnage difficile à saisir puisque les différentes traditions définissent un contour différent du personnage. Toutes les traditions s'accordent toutefois pour dire qu'il a évangélisé les régions à l'est de l'Euphrate (souvent appelées Perse dans les textes chrétiens) dans la dernière partie de sa prédication.

Dans la tradition orthodoxe[modifier | modifier le code]

Pour les orthodoxes, Jude Thaddée est un des douze apôtres de Jésus, descendant du roi David et de Salomon par Joseph qui n'était que fiancé à Marie[15] lorsque Jésus est né de façon miraculeuse alors que Marie était vierge[16]. C'est avec une autre épouse que Joseph aurait eu préalablement les quatre fils dont les noms sont fournis dans les évangiles synoptiques dont ferait partie Jude Thaddée[15],[16]. Jude est aussi surnommé « Lebbaeus qui est aussi Thaddeus (Thaddée) » (Mt. 10, 3)[15]. Il est aussi appelé Thaddée dans l'évangile attribué à Marc (Mc. 3, 18)[15]. Dans les Actes des Apôtres, il est appelé Barsabas (Ac. 15, 22)[15]. Il est parfois appelé Judas frère de Jacques, pour marquer son humilité[17], afin de ne pas se mettre au même rang que son demi-frère Jésus. Il est donc à la fois le « frère » de Jésus, mentionné dans les listes de frères des évangiles et un des douze apôtres, mentionné soit sous le nom de Thaddée (Laebbius) ou de Judas de Jacques.

Dans la tradition nestorienne[modifier | modifier le code]

La tradition nestorienne reprend le même type d'information que les orthodoxes. Thaddée y est souvent appelé Addaï, celui-ci aurait d'abord été envoyé par l'apôtre Thomas peu de temps après la « résurrection » de Jésus. C'est de ces apôtres, avec Bar-Tulmai (Barthélemy) et Mar Man l'un des septante disciples que l'Église apostolique assyrienne de l'Orient a reçu l'enseignement de Jésus[18],[19]. Cette église aurait initialement été établie à Édesse au Ier siècle et c'est à partir d'Édesse que la « Bonne nouvelle » (évangile) se serait répandue[18].

Dans la tradition arménienne[modifier | modifier le code]

Monastère de Saint-Thaddée

Il existe en arménien un corpus de témoignages antiques et notamment une traduction arménienne de la « Doctrine d'Addaï » datant du Ve siècle[20]. Dans cette version, après avoir évangélisé Édesse, Thaddée/Addai est envoyé évangéliser l'Arménie par le roi Abgar, l'oncle du roi d'Arménie Sanatrouk. Par rapport à la version en syriaque le récit des actes de l'apôtre se poursuit après son départ d'Édesse[20]. Thaddée aurait été exécuté dans la ville de Maku vers 45[21], par Sanatruck, neveu du roi Abgar. Bien que l'authenticité de ces versions soient contestés, la tradition est toutefois solidement établie et soutenue par un ensemble de textes comme « Le martyr de Thaddée », « l'histoire de Thaddée et Sanduxt », le « Martyr de Sanduxt », la « Découverte des reliques de Thaddée »[20]. Certains de ces textes font également arriver l'apôtre Barthélemy en Arménie à l'époque de l'exécution de Thaddée, où il connut également le martyre dans les années 60[22].

Quoique Grégoire l'Illuminateur est crédité du titre « d'Apôtre des Arméniens » pour avoir baptisé Tiridate IV d'Arménie en 301, et convertit les Arméniens, les apôtres Jude et Barthélemy sont traditionnellement considérés comme ayant été les premiers à apporter le christianisme en Arménie, et sont donc vénérés comme les saints patrons de l'Église apostolique arménienne. Le Monastère Saint-Thaddée (dans le nord de l'Iran) est construit à l'endroit supposé du martyr de Jude. Le Monastère Saint-Barthélemy d'Aghbak (dans le sud-est de la Turquie) est construit à l'endroit supposé du martyr de Barthélemy.

La tradition catholique[modifier | modifier le code]

Dans la tradition catholique, Thaddée n'est ni le « frère » de Jésus appelé Jude Thaddée, ni l'apôtre du même nom, mais un disciple de Jésus, seulement membre du groupe des soixante-dix. À la suite de Bède le Vénérable, cette tradition considère que Jérôme de Stridon se trompe[23]. Il en est de même des sources en syriaque et en arménien qui auraient confondu deux saints Thaddaeus. Pour affirmer cela, elle s'appuie sur la notice d'Eusèbe de Césarée qui pour présenter Thaddée dit seulement qu'il a été envoyé à Édesse par l'apôtre Thomas. Eusèbe de Césarée expose cette tradition, qu'il déclare avoir trouvé dans les Archives royales d'Édesse[24] et l'avoir traduite lui-même depuis le syriaque.


Reliquat[modifier | modifier le code]

Les fragments de liste des « douze » et « septante disciples », attribués à Hippolyte de Rome, connaissaient déjà les traditions reliant « Judas appelé Lebbaeus surnommé Thaddaeus » avec l'évangélisation « des Édesseniens et de toute la Mésopotamie » et apportant une lettre à « Augarus » (Abgar)[25]. Eusèbe de Césarée expose cette tradition, qu'il déclare avoir trouvé dans les Archives royales d'Édesse[24]. Chez Hippolyte, ce Thaddaeus est clairement le même Judas Thaddaeus (ou Lebbaeus) qui est aussi surnommé le Zélote[24].


La tradition pieuse veut qu'il ait été envoyé à Édesse par l'apôtre Thomas, lui aussi lié à cette ville par les traditions ecclésiales locales[26]. Pour la tradition catholique, le « frère » de Jésus mentionné sous le nom de Jude ou Judas n'est ni un frère ni un demi-frère de Jésus, mais un de ses cousins[27]. Depuis la proposition de Jérôme de Stridon au IVe siècle, ces « frères » de Jésus seraient les fils d'une demi-sœur de Marie appelée Marie de Clopas (Marie Salomé) avec son époux Clopas qui est un frère ou un demi-frère de Joseph et donc des cousins germains de Jésus, mais pas ses frères[28].

L'apôtre « Judas de Jacques » aussi appelé Thaddée, n'est pas ce « frère » de Jésus mais un fils de Jacques le Juste l'un des frères de Jésus. « Judas de Jacques » que lon trouve dans l'évangile attribué à Luc est alors interprété comme signifiant « Judas [fils] de Jacques » et non « Judas [frère] de Jacques ».

Enfin, l'apôtre Judas Thaddée n'est pas le Judas-Thaddée-Addaï des traditions orientales. Le Thaddée dont parle les traditions orientales serait d'ailleurs un membre du groupe des soixante-dix disciples qui n'était pas membre du groupe des douze apôtres.

Dans la tradition catholique, il y a donc trois personnages, là où les nestoriens n'en voient qu'un. Pour la tradition catholique, Addaï aurait prêché dans les siècles suivants et c'est pour se donner une origine apostolique que ces « légendes », visant à contester la prééminence de l'Église de Rome en tant qu'église la plus ancienne ayant reçu son enseignement d'un apôtre (Pierre), auraient été développées dans les Églises orientales.

Son frère Simon, l'y aurait rejoint. Il serait mort « martyr » dans ces régions dans des circonstances et dans des lieux qui varient selon les traditions.

Interférence avec la question des « frères » de Jésus[modifier | modifier le code]

La critique historique[modifier | modifier le code]

Jude dans le Dialogue du Sauveur[modifier | modifier le code]

Dans le Dialogue du sauveur, Matthieu (ou Matthias) — connu dans la tradition gnostique  [sic] pour être l'auteur d'une tradition de paroles secrètes de Jésus. — Dans la Pistis Sophia, il reçoit avec Philippe et Thomas, la mission de transmettre par écrit la révélation qu'ils ont eu de façon privilégiée (PS 42, 43). C'est encore lui qui a consigné par écrit les paroles secrètes que le Sauveur a adressées à Jude Thomas, alors qu'il marchait à leurs côtés et écoutait leur conversation (LvreTh II, 138, 1-4). Aussi n'est-il pas étonnant qu'il forme avec Jude et Mari(e) — eux ussi associés à la révélation dans les textes gnostiques et reconnus comme des initiés parfaits — le groupe privilégié de ceux qui s'adressent personnellement au Seigneur dans le Dialogue du sauveur[29].

Il est aussi associé à Mari dans le Dialogue du sauveur[29]

Relicats nom et prénom[modifier | modifier le code]

La crainte de cette confusion est perceptible dans la formulation « Judas pas l'Iscariot » que l'on trouve dans l'évangile attribué à Jean (14, 22) et qui renvoie probablement à Thaddaeus[4].

Dans les manuscrits antiques des évangiles synoptiques, à la suite du nom Thaddée on trouve souvent le mot latin « Lebbaeus », qui est peut être basé sur « leb » (cœur), la racine hébraïque de « Lebbaeus »[4]. Selon les auteurs antiques Thaddée renvoyait à un mot hébraïque (probablement araméen) qui désignait la poitrine, ce qui converge vers le siège du cœur. C'est un surnom qui pouvait donc manifester la tendresse[4], ou le courage[5],[30].

Saint Jérôme disait de lui qu'il était trinomius, façon savante pour dire qu'il avait trois noms[6]: Judas frère de Jacques, Thaddée, Lebbaeus[31],[32], quoique Thaddée et Lebbaeus semblent être le même surnom dérivé à partir de deux langues différentes.

Généralement, la tendance a été d'accompagner le nom de « Judas » d'une précision complémentaire, voire de le remplacer au profit de son surnom, probablement en raison de la préoccupation des auteurs de ces textes de le différencier de Judas Iscariot[3], l'apôtre qui avait la réputation d'avoir trahi Jésus. L'étrange référence à « Judas pas l'Iscariot » dans l'évangile attribué à Jean (14:22) renvoi probablement à Thaddée[4] et traduit l'embarras et la crainte de l'auteur devant une éventuelle confusion avec le traître[33].

Dans la littérature non-canonique Thaddée prêche et guérit des personnes à Édesse[4]. Eusèbe mentionne Thaddée comme un des soixante-dix disciples (HE I, 13, 4-11)[4], là où les traditions orientales le place au rang des douze apôtres bien que pour elles, il soit aussi membre des soixante-dix disciples.

La tradition orientale l'appelle souvent Addaï[7], notamment dans les sources en syriaque (un dialecte de l'araméen). Selon François Blanchetière, Addaï « est l'abréviation d'Adonya (Yavhé est mon seigneur/maître)[34] ». Pour Christelle Jullien, Thaddée est « une transformation évidente de l'Addaï de la tradition syriaque[11] ».


« La tradition désigne deux centres de diffusion du christianisme dans le monde iranien dès le Ier siècle, la communauté du royaume d'Adiabène en Mésopotamie orientale, ayant Arbèles pour capitale et, plus à l'Ouest, celui des Abgaride d'Édesse en Osrohène évangélisé par Addaï[35]. »

En dehors du texte de Labubna, il existe aussi en arménien des Actes de Thaddée[36]. Dans les Actes de Thaddée, ce dernier est appelé Addaï[9]. Pour Christelle Jullien, Thaddée est « une transformation évidente de l'Addaï de la tradition syriaque[11] ».

Il existe la Doctrine d'Addaï, cf. Blanchetière 227 et la Caverne aux trésors...

En dehors des multiples textes en syriaque, Addaï apparaît aussi dans les deux Apocalypses de Jacques retrouvées à Nag-Hammadi, dans lesquelles il est aussi bien appelé Judas Thaddée que Addaï.

Sources diverses[modifier | modifier le code]

Eusèbe de Césarée nous apprend que Thaddée en arrivant à Édesse a logé chez Tobie, fils de Tobie, juif de Jérusalem. Ce Tobie, membre de la famille des Bagratouni resta fidèle à sa religion, jusqu'à sa conversion au christianisme, nous dit Moïse de Khorène.

Égérie[modifier | modifier le code]

« Au ve siècle, la Doctrine d’Addaï, reformulation des documents d’Eusèbe paru sous le nom de Laboubna afin de récupérer la légende d’Abgar dans un sens monophysite, ne parle pas de Jude : c’est encore Addaï le héros de l’histoire. En revanche, en 384, Égérie nous renseigne sur l’importance que prend la lettre, puisqu’elle affirme qu’Abgar, alors que les Perses assiégeaient la ville, se fit apporter la lettre de Jésus et dit : « Seigneur Jésus, tu nous avais promis qu’aucun ennemi n’entrerait dans cette ville, et voici que les Perses nous attaquent. » Cette prière fut exaucée car des miracles empêchèrent que la ville soit prise (Journal 19, 9-13). La lettre de Jésus était donc considérée comme le palladium de la ville d’Édesse. Elle vit d’ailleurs rapidement son rayon d’action étendu à d’autres villes ou à des maisons particulières : Égérie s’en fit remettre une copie et on a trouvé des papyrus qui servaient sans doute d’amulettes ainsi que des inscriptions aux portes de certaines villes (dont celle de Philippes de Macédoine) pour les protéger. »

Tzada en Éthiopie[modifier | modifier le code]

I am an Ethiopian from Tigray administrative region and my village is located a few kilometers away from the north-east of the Eritrean border Baduma plain born and raised in a small village called TZADA EMNI, Tigray, which is currently the...

  • Recherche Google sur Tzada Ethiopian (94 resultats)
    • Tsada Christian Reservoirs Tsa'eda Kristyan, Tzada Christian
    • Ethiopia. Ministry of Mines. Minor surface scratching resulting from past exploration activity is observed. TZADA CHRISTIAN At two localities, Tzada Christian Station and Tzada Christian (west of the village)
    • in 1965 at Ela Tzada, the eventual outbreak of a full-blooded civil war at the end of February 1972 came as no surprise. ... Eritrea: The National Democratic Revolution versus Ethiopian Expansionism
    • The agricultural wealth of the country in former times impressed most foreign observers. Four centuries ago, in 1520, the Portuguese priest, Francisco Alvares, travelling through the May Tzada region of Tegrd, exclaimed, "It seems to methat in...
    • The Great Ethiopian Famine of 1888-1892, perhaps the most terrible natural calamity still ... Four centuries ago in 1520, the Portuguese priest, Fransisco Alvares, travelling through the Mai Tzada region of Tigre province, ...
    • MAY SA'ADA: Mai Tzada, NE of Adigrat, HFF 372. 'AGAMO : perhaps near the May Agamo of Abb., near Hoya (Hoja, Guida) between the Unguia ('Engueya) and Belesa (Balasa) rivers. AGAZENA: Arghezana, 10 miles NW of Addi Quala, HFL ...
    • Deportation of Eritreans from Ethiopia: A Lesson to the World : an Eye Witness Account of the Ethiopian Style Ethnic Cleansing (2000)
      • A Lesson to the World : an Eye Witness Account of the Ethiopian Style Ethnic Cleansing Malasa Waldaselāsé ... plain born and raised in a small village called TZADA EMNI, Tigray, which is currently the village deserted and destroyed.
    • Agricultural Factors: Abundance and Scarcity Ethiopia traditionally enjoyed abundant agriculture. In 1520 the Portuguese priest Francisco Alvares, traveling through the May Tzada region of Tegre, exclaimed "It seems to me that in the whole ...
    • infinite number of fowls', a hundred of which could often be bought in exchange for a little pepper.9 In the Mai Tzada area of Tigre he saw 'infinite herds'.10 Describing the 'beautiful herds of cows' which he saw in the neighbourhood of Farso ...
    • Eritrea: Africa's Longest War - Page 48 (1982)
      • Tzada Christian, six miles north west of Asmara, was burned down. ... and EPLF attacks inside Asmara, eyewitnesses arriving in Addis Ababa, told correspondents of killing and looting by Ethiopian troops and of atrocities committed by them.
      • The Prester John of the Indies: A True Relation of the Lands of the Prester John, Being the Narrative of the Portuguese Embassy to Ethiopia in 1520, Numéro 115 (1961)
    • A True Relation of the Lands of the Prester John, Being the Narrative of the Portuguese Embassy to Ethiopia in 1520 ... There is another May Sa'eda about 8 miles N. of Adigrat, GSGS (ND 37/2 HFE) Mai Tzada, but this is not the place referred ...
      • 18 dicembre 1897-23 maggio 1903 - Page 67 (1914)
    • Eritrea (Ethiopia) ... separa il bacino delI'Anseba da quelli dei torrenti che vanno al mare, e che passa per contrafforti di Aighet Tzallim, Aighet Tzada e M. Camblescium ; questa linea segue poi l'Adobaha Seghira fino alla confluenza col Maat, ...
      • Works Issued by the Hakluyt Society - Page 608 (1961)
    • ... 402, 411, 412, 413,414, 453 Maia, 200 Maicada, 130, 582 Mait (Meti), 45, 46, 47 Mai Tzada, 582 Maizada, 582 maize, 69, ... See Marab Mares, Manoel de, 61, 74, 295, 325 millet, Italian, 142 Mina, 487 Minas, King of Ethiopia, 247 608 INDEX.
      • Land, literacy and the state in Sudanic Africa - Page 207 (2005)
    • For a bibliography on customary law see: J. Vanderlinden, "An Introduction to the Sources of Ethiopian Law ... Debub, Guhacià, Takala, Harfé Grotto, Mai Tzada, Maraguz, Gundet, Cohain, Decchì Dighnà, Temezzà, Zaid Accolom , Decchì Bocri ...

Lignes de chemin de fer en Érythrée en:Railway_stations_in_Eritrea[modifier | modifier le code]

  • Ligne Asmara to Keren, station Tzada Cristian (Tsada Christian Reservoirs Tsa'eda Kristyan, Tzada Christian), distance 127.2 km (79.0 mi), altitude 2,292 m (7,520 ft), pas très loin du Tigray (Éthiopie) où se trouverait la région Mai Tzada (ou May Tzada region of Tigre province) et les toponymes « small village called TZADA EMNI », Ela Tzada (lieu cité pour des événements liés à la guerre civile)
    • Et aussi: Tzada Christian, six miles north west of Asmara, was burned down. ... and EPLF attacks inside Asmara
  • Et aussi: * MAY SA'ADA: Mai Tzada, NE (Nord-Est) of Adigrat, HFF 372.
    • Et aussi: Prester John, Being the Narrative of the Portuguese Embassy to Ethiopia in 1520 ... There is another May Sa'eda about 8 miles N. of Adigrat, GSGS (ND 37/2 HFE) Mai Tzada, but this is not the place referred ..
  • Et aussi: Eritrea (Ethiopia) ... separa il bacino delI'Anseba da quelli dei torrenti che vanno al mare, e che passa per contrafforti di Aighet Tzallim, Aighet Tzada e M. Camblescium ; questa linea segue poi l'Adobaha Seghira fino alla confluenza col Maat, ...

En Idumée[modifier | modifier le code]

M'Tzada semble aussi le nom de la forteresse de Massada Encyclopedia of Zionism and Israel - Volume 2 - Page 810 (1971) p. 810 M'TZADA

of 'En Gedi. The boat-shaped rock rises abruptly, almost perpendicularly, above its surroundings. The fortified palace, built on the upper plateau of the rock by King Herod, is described in detail by Flavius Josephus, the Jewish ...

Tzada = pêcher[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Judas est un mot hébreu qui signifie « louange à Dieu ». cf. (es) Pérez-Rioja, José Antonio, Diccionario de Símbolos y Mitos, Madrid : Editorial Tecnos, 1971, p. 258-259, (ISBN 84-309-4535-0)
  2. (es) Pérez-Rioja, José Antonio, Diccionario de Símbolos y Mitos, Madrid : Editorial Tecnos, 1971, p. 258-259, (ISBN 84-309-4535-0)
  3. a et b Cipriani, S. (2000). « Judas Tadeo », in Leonardi, C.; Riccardi, A.; Zarri, G., (es) Diccionario de los Santos, Volumen II. España: San Pablo, p. 1409-1410, (ISBN 84-285-2259-6) Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « Cipriani » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  4. a b c d e f g et h JoAnn Ford Watson, Anchor Bible Dictionary, article Thaddeus (person), p. 8762.
  5. a et b Escuela Bíblica de Jerusalén, Biblia de Jerusalén, Bilbao : Desclée de Brouwer, éd. 1975, p. 1401, (ISBN 84-330-0022-5).
  6. a et b MacArthur, John, Doce Hombres Comunes y Corrientes Editorial Caribe (TN, USA), 2004, p. 191-192, (ISBN 0-88113-777-4).
  7. a et b François Blanchetière, Enquête sur les racines juives du mouvement chrétien, Cerf, 2001, p. 227, (ISBN 978-2-204-06215-2).
  8. Ilaria ramelli, L'arrivée de l'Évangile en Inde et la tradition sur saint Thomas in L'apôtre Thomas et le christianisme en Asie, éd. AED, Paris, 2013, p. 69.
  9. a et b Christelle Jullien, Apôtres des confins: processus missionnaires chrétiens dans l'Empire Iranien, Groupe pour l'Étude de la Civilisation du Moyen-Orient, 2002, p. 61-68. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « Jullien_61-68 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  10. François Blanchetière, Enquête sur les racines juives du mouvement chrétien, Cerf, 2001, p. 227., (ISBN 978-2-204-06215-2).
  11. a b et c Christelle Jullien, Apôtres des confins: processus missionnaires chrétiens dans l'Empire Iranien, Groupe pour l'Étude de la Civilisation du Moyen-Orient, 2002, p. 67.
  12. Robert Eisenman, James the Brother of Jesus: The Key to Unlocking the Secrets of Early Christianity and the Dead Sea Scrolls, éd. GDP, Nashville, 2012, p. 376-377.
  13. a et b Jérôme de Stridon, Epist. ad. Gal. 2, 4.
  14. Jérôme de Stridon, Adv. Helvidium 13.
  15. a b c d et e Apostle Jude the Brother of the Lord, (Église orthodoxe aux USA).
  16. a et b Voir à ce sujet Pierre-Antoine Bernheim, Jacques, frère de Jésus,  éd. Albin Michel, 2003, p. 28 et 33-34.
  17. Apôtre Jude, Orthodoxwiki.
  18. a et b History of the Nestorian Church, sur http://www.nestorian.org.
  19. Nestorian Patriarchs, sur http://www.nestorian.org.
  20. a b et c Valentina Calzolari, École Pratique des Hautes Études Sciences Historiques et Philologiques : Livret 10, Apocryphes arméniens du Nouveau Testament (saint Thaddée, saint Barthélemy, sainte Thècle), éd. Champions, Paris, 1996, p. 38.
  21. Albert Khazinedjian, 40 ans au service de l'Eglise arménienne apostolique: Compendium"", éd. L'Harmattan, Paris, 2009, p. 139.
  22. Voir entre autres (en) Yowhannes Drasxanakertci, History of Armenia, trad. Krikor H. Maksoudian, Scholars Press, Atlanta, 1987, p. 78 ; (en) Aziz S. Atiya, History of Eastern Christianity, University of Notre Dame Press, 1967, p. 315 ; (en) Khoren Narbey, A Catechism of Christian Instruction According to the Doctrine of the Armenian Church, trad. Ter Psack Hyrapiet Jacob, Diocese of the Armenian Church of North America, 1892, p. 86–87.
  23. Calvin B. Kendall, Faith Wallis, in Bède_le_Vénérable, Bede: On the Nature of Things and on Times, 2010, Liverpool University Press, Liverpool, p. 14.
  24. a b et c Robert Eisenman, James the Brother of Jesus: The Key to Unlocking the Secrets of Early Christianity and the Dead Sea Scrolls, éd. GDP, Nashville, 2012, p. 376.
  25. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Eisenman_Jacques_368-369
  26. Jean-Pierre Lémonon, Les débuts du christianisme : De 30 à 135, éd. de l'Atelier, 2003, p. 62.
  27. Voir à ce sujet Pierre-Antoine Bernheim, Jacques, frère de Jésus,  éd. Albin Michel, 2003, p. 28-29 et 34-44.
  28. Pierre-Antoine Bernheim, Jacques, frère de Jésus,  éd. Albin Michel, 2003, p. 28.
  29. a et b Pierre Létourneau, Le dialogue du sauveur: NH III, 5, p. 149-150. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « PL_149-150 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  30. Il a été aussi proposé « homme au cœur tendre » voire « enfant de cœur », cf. MacArthur, John, Doce Hombres Comunes y Corrientes Editorial Caribe (TN, USA), 2004, p. 191-192. Bien que moins probable, il a également été proposé de voir dans «Taddeus" une abréviation dérivé du nom grec "Theodore" ou "Théodote", cf. (es) Benoit XVI, Los Apóstoles y los Primeros Discípulos de Cristo en los Orígenes de la Iglesia, Santa Rosa, La Pampa (Argentine): Editorial Juan Pablo II. p. 163-169, (ISBN 978-987-23734-0-5).
  31. Anne-Elisabeth Urfels-Capot, Judas Jacobi frater, Thaddaeus et Lebbaeus.
  32. Ecclesiasticum officium secundem ordinem fratrum praedicatorum, éd. École des chartes, 2007, p. 690.
  33. Hophan, Otto, Los apóstoles (titre original: Die Apostel), Madrid (Espagne): Ediciones Palabra, 1982, (ISBN 84-7118-286-6)
  34. François Blanchetière, Enquête sur les racines juives du mouvement chrétien, Cerf, 2001, p. 227., (ISBN 978-2-204-06215-2).
  35. Jean Marie Mayeur, Histoire du christianisme des origines à nos jours: Les Eglises D'Orient et D'Occident, éd. Desclée, 1998, p. 1103.
  36. Gerald M. Browne, Les Sciences du langage en France au XXe siècle, éd. Peeters, Louvain, 1998, p. 558.