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Archéologie en Auvergne[modifier | modifier le code]

Augustonemetum, à faire[modifier | modifier le code]

Augustonemetum, Arvernis, Temple de Vasso Galate (MH), Plateau des Côtes de Clermont (MH), Fanum de Blanzat (MH), Enceinte gallo-romaine de Clermont-Ferrand (MH), Égout gallo-romain de Clermont-Ferrand (MH), Théâtre de Montaudou, Thermes antiques de Royat, Source des Roches, Temple de Mercure (puy de Dôme)

Liens rouge Chesapeake[modifier | modifier le code]

Naval Board of Inquiry[modifier | modifier le code]



Charles Gordon[modifier | modifier le code]

Charles Gordon
Allégeance Drapeau des États-Unis États-Unis
Arme Pavillon de l'United States Navy United States Navy
Grade Capitaine
Commandement USS Chesapeake (1799)

Capt. Charles Gordon (1778?–1816) was a native of Kent County, Maryland, whose naval career began in 1799 as a midshipman and included service in the Quasi-War with France and the Barbary wars in Tripoli. He became lieutenant in 1800, commander in 1806, and captain in 1813. He was still captain of USS Constellation in Messina, Sicily, where he died on September 6, 1816. See Thomas H.S. Hamersley, ed., General Register of the United States Navy and Marine Corps, Arranged in Alphabetical Order for One Hundred Years, 1782–1882 (Washington, DC: THS Hamersley, 1882), p. 290; Morris Radoff, "Captain Gordon of the Constellation," Maryland Historical Magazine 67 (1972): 384–418; Christopher McKee, A Gentlemanly and Honorable Profession: The Creation of the U.S. Naval Officer Corps, 1794–1815 (Annapolis, MD: Naval Institute Press, 1991), pp. 293, 404. Stephen Tucker and Frank Reuter, Injured Honor: The Chesapeake-Leopard Affair (Annapolis, MD: Naval Institute Press, 1990), pp. 88–89, 193.



HMS Melampus (1785)[modifier | modifier le code]

Modèle:Infobox Navire de guerre




Ambassadeur de Grande-Bretagne aux États-Unis[modifier | modifier le code]



George Cranfield Berkeley[modifier | modifier le code]



Affaire du Little Belt[modifier | modifier le code]



Hampton Roads Naval Museum[modifier | modifier le code]



Maritime Museum of the Atlantic[modifier | modifier le code]

NVR[modifier | modifier le code]

En construction[modifier | modifier le code]

Nom du navire Coque Classe Type Quille Lancement Commentaires[note 1]
USS Billings LCS-15 Classe Freedom Littoral Combat Ship [a 1]
USS Brunswick JHSV-6 Classe Spearhead Joint high speed vessel [a 2]
Detroit LCS-7 Freedom Littoral combat ship 8 novembre 2012 [a 3]
Fall River JHSV-4 Spearhead Joint High Speed Vessel 20 mai 2013 16 janvier 2014 [a 4]
USS Gabrielle Giffords LCS-10 Independence Littoral Combat Ship 16 avril 2014 [a 5]
Gerald R. Ford CVN-78 Gerald R. Ford Porte-avions 13 novembre 2009 9 novembre 2013 [a 6]
Jackson LCS-6 Independence Littoral combat ship 18 octobre 2012 14 décembre 2013 [a 7]
John Finn DDG-113 Arleigh Burke Destroyer 4 novembre 2013 [a 8]
John Glenn T-MLP-2 Montford Point Mobile Landing Platform 17 avril 2012 15 septembre 2013 [1]
John P. Murtha LPD-26 San Antonio Landing Platform Dock 6 juin 2012 [a 9]
John Warner SSN-785 Virginia SNA 6 mars 2013 [a 10]
Lewis B. Puller T-MLP-3 Montford Point Mobile Landing Platform 5 novembre 2013 [a 11]
Little Rock LCS-9 Freedom Littoral combat ship 27 juin 2011 [a 12]
Michael Monsoor DDG-1001 Zumwalt Destroyer 23 mai 2013 [a 14]
Millinocket JHSV-3 Sperhead Joint High Speed Vessel 3 mai 2012 5 juin 2013 [a 15]
Milwaukee LCS-5 Freedom Littoral combat ship 27 octobre 2011 18 décembre 2013 [a 16]
Montgomery LCS-8 Independence Littoral combat ship 25 juin 2013 [a 17]
Neil Armstrong T-AGOR-27 Neil Armstrong Navire océanographique 17 août 2012 [a 18]
North Dakota SSN-784 Virginia SNA 11 mai 2012 15 septembre 2013 [a 19]
Portland LPD-27 San Antonio Landing Platform Dock 8 février 2013 [a 20]
Puerto Rico HST-2 Puerto Rico High Speed Transport 3 juin 2004 18 janvier 2007 [a 21]
Ralph Johnson DDG-114 Arleigh Burke Destroyer 9 décembre 2013 [a 22]
Sally Ride T-AGOR-28 Neil Armstrong Navire océanographique 17 août 2012 [a 23]
Sioux City LCS-11 Freedom Littoral combat ship 19 février 2014 [a 24]
Zumwalt DDG-1000 Zumwalt Destroyer 17 novembre 2011 28 octobre 2013 [a 25]

Villa Grigy[modifier | modifier le code]

  • [Brkojewitsch 2021] Gaël Brkojewitsch (dir.), La villa romaine de Grigy à Metz (Moselle), Paris, CNRS Éditions, coll. « Gallia Supplément » (no 65), (ISBN 978-2-271-13529-2, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Brkojewitsch et al. 2017] Gaël Brkojewitsch, Simon Sedlbauer, Willy Tegel, Alexia Morel et Michaël Brunet, « Les structures artisanales de la villa de “Grigy” à Metz (Moselle) : apport de l’analyse morphologique des équipements et de l’étude du mobilier métallique à la caractérisation fonctionnelle des structures artisanales de la pars rustica », dans Frédéric Trément (dir.), Produire, Transformer et stocker dans les campagnes des Gaules romaines. Problèmes d’interprétation fonctionnelle et économique des bâtiments d’exploitation et des structures de production agro-pastorale, Aquitania, coll. « Suppléments » (no 38), (ISBN 978-2-910763-00-8), p. 731-756. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • [Brkojewitsch et al. 2014] Gaël Brkojewitsch, Sandrine Marquié, Geneviève Daoulas, Guilherme Remor de Oliveira, Gaëtan Jouanin, Michaël Brunet, Simon Sedlbauer, Willy Tegel, Nadia Cantin et Valérie Thirion-Merle, « La villa gallo-romaine de Grigy à Metz (Ier siècle apr. J.-C.-Ve siècle apr. J.-C.). Caractérisation fonctionnelle des structures et identification des activités artisanales », Gallia, vol. 71.2,‎ , p. 261-306 (ISSN 0016-4119, lire en ligne, consulté le ). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Villa Dehlingen[modifier | modifier le code]

Villa romaine du Gurtelbach
Localisation
Pays Drapeau de la France France
Commune actuelle Dehlingen
Département moderne Bas-Rhin
Coordonnées 48° 59′ 14″ nord, 7° 12′ 03″ est
Géolocalisation sur la carte : Bas-Rhin
(Voir situation sur carte : Bas-Rhin)
Villa romaine du Gurtelbach
Villa romaine du Gurtelbach
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Villa romaine du Gurtelbach
Villa romaine du Gurtelbach

À environ 1 km de la voie romaine Dieuze-Mayence, au lieu-dit Gurtelbach/Gorgelbach, une villa romaine a été découverte et partiellement fouillée par le pasteur Jean Ringel entre 1861 et 1864[2],[3]. D'une extension totale de 1,9 ha[3], le site a été redécouvert en 1993 puis fouillé sans interruption depuis cette date, notamment sous l'égide de la Société pour la recherche archéologique en Alsace Bossue[2]. Les fouilles se sont dans un premier temps consacrées à la partie résidentielle de l'établissement. Sur 400 m2, sept pièces, dont une à hypocauste, ont été mises au jour. La partie agricole de la villa se trouve au sud de la partie résidentielle et se compose d'au moins trois bâtiments reconnus à l'occasion d'une prospection géophysique[3]. Une grange y a été exhaustivement fouillée[3], ainsi qu'un atelier de métallurgie du IVe siècle, déjà vu par Ringel au XIXe siècle. Outre la fabrication de petits objets métalliques, cet atelier a servi à fabriquer des fausses monnaies à la fin du IIIe siècle[4]. Après une fugace occupation laténienne succède un premier établissement romain de type ferme[3]. La villa romaine est construite à la fin du Ier siècle, détruite partiellement vers 190, réaménagée à l'époque sévérienne puis détruite à la fin du IIIe siècle, avant une réoccupation sous la forme d'une ferme durant le IVe siècle et le premier quart du Ve siècle[5],[3]. Seule villa d'Alsace Bossue visitable et mise en valeur, un musée archéologique lui est dédiée dans le bourg de Dehlingen[6],[7].

Plusieurs sites romains sont attestés sur le territoire communal mais leur interprétation est incertaine[8].

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Paul Nüsslein et Claude Bortoluzzi, « 088 - Dehlingen », dans Pascal Flotté et Matthieu Fuchs, Le Bas-Rhin, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, coll. « Carte archéologique de la Gaule » (no 67/1), (ISBN 2-87754-067-7), p. 240-243
  • Maxime Calbris, Antonin Nüsslein, Paul Nüsslein et Manon Tailamée, « Une villa romaine en Alsace bossue », Archéologia, no 613,‎ , p. 56-61 (ISSN 0570-6270).

Liens externes[modifier | modifier le code]

Gabriel Fournier[modifier | modifier le code]

Gabriel Fournier
Description de l'image defaut.svg.

Naissance (104 ans)
Thiers (Puy-de-Dôme) (France)
Nationalité Drapeau de la France Français
Domaines Histoire médiévale
Archéologie
Diplôme Faculté des lettres de Paris
Formation Faculté des lettres de Paris
Directeur de thèse Charles-Edmond Perrin
Renommé pour Le peuplement rural en Basse-Auvergne durant le Haut Moyen Âge (thèse de doctorat, 1962)

Gabriel Fournier, né le à Thiers (Puy-de-Dôme), est un médiéviste et archéologue français.

[[Catégorie:Naissance en mars 1920]] [[Catégorie:Naissance à Thiers]] [[Catégorie:Étudiant de la faculté des lettres de Paris]] [[Catégorie:Médiéviste française]] [[Catégorie:Archéologue français]] [[Catégorie:Enseignant à l'université de Clermont-Ferrand]] [[Catégorie:Enseignant à l'université Clermont-Ferrand II]]

Jean-Luc Fiches[modifier | modifier le code]

Jean-Luc Fiches, né le et mort le (à 65 ans), est un archéologue français, directeur de recherche honoraire du CNRS.

Publications[modifier | modifier le code]

Liste non-exhaustive[9].

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • François Favory, « Hommage à Jean-Luc Fiches », dans Jean-Luc Fiches, Rosa Plana-Mallart et Victor Revilla Calvo (coord.), Paysages ruraux et territoires dans les cités de l'Occident romain. Gallia et Hispania, Nîmes, Presses universitaires de la Méditerranée, coll. « Mondes anciens », (ISBN 978-2-84269-968-0, lire en ligne), p. 17-22
  • François Favory, « Hommage à Jean-Luc Fiches », dans Claude Raynaud (éd.), Voies, réseaux, paysages en Gaule. Actes du colloque en hommage à Jean-Luc Fiches, Narbonne, Presses universitaires de la Méditerranée, coll. « Supplément à la Revue archéologique de Narbonnaise » (no 49), (ISBN 979-10-92655-12-4, lire en ligne), p. 15-19
  • Pierre Garmy, « Jean-Luc Fiches, in memoriam », Revue archéologique de Narbonnaise, vol. 45,‎ , p. 6-15 (ISSN 0557-7705, lire en ligne, consulté le )
  • Véronique Mathieu, « Hommage à Jean-Luc Fiches (1947-2012) », Gallia, vol. 73, no 1,‎ , p. 1 (ISSN 0016-4119, lire en ligne, consulté le )

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (en) Page de l'USS John Glenn sur NavSource
  2. a et b Nüsslein et Bortoluzzi 2000, p. 241.
  3. a b c d e et f Calbris et al. 2022, p. 58.
  4. Antonin Nüsslein, « Des ateliers monétaires dans les campagnes médiomatriques pendant l’Antiquité tardive : qui sont les fabricants de monnaies d’imitation de la vallée de la Sarre ? », dans Stéphane Martin, Monnaies et monétarisation dans les campagnes de la Gaule du Nord et de l'Est, de l'âge du Fer à l'Antiquité tardive, Bordeaux, Ausonius, (ISBN 978-2-35613-173-7, lire en ligne), p. 141-157.
  5. Nüsslein et Bortoluzzi 2000, p. 242-243.
  6. Calbris et al. 2022, p. 61.
  7. « La Villa - Musée et Sites Archéologiques de l'Alsace Bossue », sur cip-lavilla.fr (consulté le ).
  8. Nüsslein et Bortoluzzi 2000, p. 243-244.
  9. Pour une liste complète des publications, voir Garmy 2012, p. 7-15 ou « Jean-Luc Fiches - Bibliographie », sur Blog de l'Association d’études du monde rural gallo-romain (AGER) (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • {{Autorité}}
  • {{Bases recherche}}

{{Portail|historiographie|monde antique|archéologie}} {{DEFAULTSORT:Fiches, Jean-Luc}} [[Catégorie:Naissance en avril 1947]] [[Catégorie:Décès en octobre 2012]] [[Catégorie:Décès à 65 ans]] [[Catégorie:Archéologue français]] [[Catégorie:Directeur de recherche au CNRS]]

Jérôme France[modifier | modifier le code]

Jérôme France
une illustration sous licence libre serait bienvenue

Jérôme France est un historien français spécialiste de la Rome antique, d'histoire économique et financière.

Biographie[modifier | modifier le code]

Travaux[modifier | modifier le code]

Distinctions[modifier | modifier le code]

Publications[modifier | modifier le code]

Liste non exhaustive

  • Jérôme France, Tribut. Une histoire fiscale de la conquête romaine, Paris, Les Belles Lettres, (ISBN 978-2-251-45178-7)
  • Christine Delaplace et Jérôme France, Histoire des Gaules - VIe s. av. J.-C. - VIe s. ap. J.-C., Paris, Armand Colin, coll. « Cursus / Histoire », , 6e éd. (1re éd. 1995) (ISBN 978-2-200-62688-4)
  • Jérôme France et Frédéric Hurlet, Institutions romaines. Des origines aux Sévères, Paris, Armand Colin, coll. « Cursus », (ISBN 978-2-200-61450-8)
  • Jérôme France, Finances publiques, intérêts privés dans le monde romain, Pessac, Ausonius, coll. « Scripta antiqua » (no 100), (ISBN 978-2-35613-181-2)
  • Jérôme France et Jocelyne Nelis-Clément (dir.), La statio. Archéologie d'un lieu de pouvoir dans l'empire romain, Bordeaux, Ausonius, coll. « Scripta antiqua » (no 66), (ISBN 978-2-35613-112-6)
  • Jérôme France, Le Haut-Empire romain. 44 a. C.-235 p. C., Paris, Armand Colin, coll. « Récap », (ISBN 978-2-200-28658-3)
  • Guillaume Flamerie de Lachapelle, Jérôme France et Jocelyne Nelis-Clément, Rome et le monde provincial. Documents d'une histoire partagée - IIe s. a.C. - Ve s. p.C., Paris, Armand Colin, coll. « U / Histoire », (ISBN 978-2-200-24952-6)
  • Jean Andreau, Jérôme France et Sylvie Pittia (dir.), Mentalités et choix économiques des Romains, Bordeaux, Ausonius, coll. « Scripta antiqua » (no 7), (ISBN 2-910023-43-5)
  • Jérôme France, Quadragesima Galliarum. L'organisation douanière des provinces alpestres, gauloises et germaniques de l'Empire romain, Rome, École française de Rome, coll. « Collection de l'École française de Rome » (no 278), (ISBN 2-7283-0605-2)

Notes et références[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

{{Portail|historiographie}} {{CLEFDETRI:France, Jérôme}}

Philippe Leveau[modifier | modifier le code]

Philippe Leveau, né le à Angoulême (Charente), est un historien et archéologue français. Spécialiste des relations sociétés-milieux, de l'Afrique du Nord romaine et des thématiques liées à la question de l'eau, il est connu pour ses travaux sur Césarée de Maurétanie/Cherchell et ses fouilles de la meunerie de Barbegal. Professeur d'Antiquités nationales à l'Université d'Aix-en-Provence de 1984 à 2002, il s'est également investi dans les recherches en Provence, notamment autour de l'étang de Berre et du marais des Baux.

Biographie[modifier | modifier le code]

Parcours[modifier | modifier le code]

Étudiant à Bordeaux où il réalise un travail de recherche sur l'idéologie politique de Julien l'Apostat[1], Philippe Leveau obtient l'agrégation d'histoire en 1963 (classé 36e)[2],[3]. Assistant d'histoire ancienne à l'Université d'Alger pendant six ans (1966-1972), il commence des recherches sur le territoire autour de Césarée de Maurétanie/Cherchell[2]. De 1972 à 1984, Philippe Leveau est maître-assistant à l'Université d'Aix-Marseille où il soutient en 1979 une thèse de 3e cycle, sous la direction de Paul-Albert Février : Caesarea de Maurétanie et son territoire. Contribution à l'étude des rapports ville-campagne dans l'Empire romain. Elle est publiée en 1984 aux presses de l'École française de Rome[4]. Il est élu la même année professeur d'Antiquités nationales à l'Université d'Aix-en-Provence où il finira sa carrière en 2002, admis à l'éméritat[2]. Il reste depuis très actif dans le domaine de la recherche, par son activité de publications et sa présence à des manifestations scientifiques.

Il a été membre du Conseil national de la recherche archéologique du au [2], membre de la commission pour les fouilles sous-marines, au titre de membre élu par la commission interrégionale de la recherche archéologique Sud-est.

Opérations de terrain[modifier | modifier le code]

Les archives papier de ses travaux sur Cherchell et ses environs sont déposés au Centre Camille Jullian[5].

Apports à l'archéologie[modifier | modifier le code]

Enseignements[modifier | modifier le code]

CAG 13.1 p. 6

https://journals.openedition.org/anneemaghreb/2062

Publications[modifier | modifier le code]

Liste non-exhaustive[6].

  • (en) Gül Sürmelihindi, Philippe Leveau, Christoph Spötl, Vincent Bernard et Cees W. Passchier, « The second century CE Roman watermills of Barbegal: Unraveling the enigma of one of the oldest industrial complexes », Science Advances, vol. 4, no 9,‎ (ISSN 2375-2548, lire en ligne, consulté le )
  • Philippe Leveau, « Certitudes et incertitudes dans l'interprétation des structures archéologiques : une réponse à Alain Ferdière », dans Frédéric Trément (dir.), Produire, Transformer et stocker dans les campagnes des Gaules romaines. Problèmes d’interprétation fonctionnelle et économique des bâtiments d’exploitation et des structures de production agro-pastorale, Bordeaux, Aquitania, coll. « Suppléments » (no 38), (ISBN 978-2-910763-00-8), p. 51-65
  • Philippe Leveau, « Le Rhône romain dans sa basse plaine et dans son delta. Variations territoriales, sociétales et environnementales », Revue archéologique de Narbonnaise, t. 47,‎ , p. 9-34 (ISSN 0557-7705, lire en ligne, consulté le )
  • Philippe Leveau et Robert Thernot, « Le pont de Barbegal au vallon des Arcs à Fontvieille (Bouches-du-Rhône). Étude archéologique de la dérivation de l'aqueduc d'Arles. Aqueducs de la Gaule méditerranéenne », Gallia, t. 62,‎ , p. 97-105 (ISSN 0016-4119, lire en ligne, consulté le )
  • Pierre Garmy et Philippe Leveau (éd.), « Dossier: Villa et vicus en Gaule Narbonnaise », Revue archéologique de Narbonnaise, t. 35,‎ , p. 1-317 (ISSN 0557-7705, lire en ligne, consulté le )
  • Philippe Leveau, « L'hydrologie du Rhône, les aménagements du chenal et la gestion territoriale de ses plaines en aval d'Orange », Gallia, t. 56,‎ , p. 99-108 (ISSN 0016-4119, lire en ligne, consulté le )
  • Philippe Leveau, Caesarea de Maurétanie. Une ville romaine et ses campagnes, Rome, École française de Rome, coll. « Collection de l'École française de Rome » (no 70), , 556 p. (ISBN 2-7283-0060-7, lire en ligne)
  • Philippe Leveau, « La ville antique et l'organisation de l'espace rural : villa, ville », Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, t. 38.4,‎ , p. 920-942 (ISSN 0395-2649, lire en ligne, consulté le )

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Robert Étienne, « Préface », dans Bouet et Verdin 2005, , p. 9
  • Alain Bouet et Florence Verdin (éd.), Territoires et paysages de l'Âge du Fer au Moyen Âge. Mélanges offerts à Philippe Leveau, Bordeaux, Ausonius, coll. « Mémoires » (no 16), (ISBN 2-910023-65-6)

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Étienne 2005.
  2. a b c et d « Leveau Philippe », sur Fonds d'archives du Centre Camille Jullian UMR 7299 - HumaNum (consulté le ).
  3. « L'Institut de Géographie de Bordeaux en 1963 », Cahiers d'Outre-Mer, no 65,‎ , p. 110-112 [112] (ISSN 0373-5834, lire en ligne, consulté le ).
  4. Leveau 1984.
  5. « Fonds Philippe Leveau », sur Fonds d'archives du Centre Camille Jullian UMR 7299 - HumaNum (consulté le ).
  6. Pour une liste complète des publications jusqu'en 2004, voir Bouet et Verdin 2005, p. 295-305.

Gergovie[modifier | modifier le code]

Site archéologie de Gergovie[modifier | modifier le code]

Site archéologique de Gergovie
Localisation
Pays Drapeau de la France France
Commune La Roche-Blanche
Département Puy-de-Dôme
Coordonnées 45° 43′ 12″ nord, 3° 07′ 05″ est
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
(Voir situation sur carte : Puy-de-Dôme)
Site archéologique de Gergovie
Site archéologique de Gergovie
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Site archéologique de Gergovie
Site archéologique de Gergovie

Le site archéologique de Gergovie situé sur la commune de La Roche-Blanche dans le Puy-de-Dôme englobe les découvertes archéologiques faites sur le plateau de Gergovie ainsi que dans ses environs. L'essentiel de l'occupation du plateau concerne la Protohistoire et l'Antiquité, notamment en lien avec la bataille de Gergovie

Topographie[modifier | modifier le code]

Historiographie[modifier | modifier le code]

Occupations préhistorique et protohistorique ancienne[modifier | modifier le code]

L'oppidum laténien[modifier | modifier le code]

Le site antique[modifier | modifier le code]

L'agglomération secondaire[modifier | modifier le code]

La présence d'une agglomération secondaire romaine postérieure au règne d'Auguste a été contestée[1] sur la base d'un article de synthèse[2], bien que le corpus des agglomérations indique uniquement l'existence d'une « agglomération augusto-tibérienne »[3] dont la chronologie se fonde sur les fouilles menées au XIXe siècle et au milieu du XXe siècle. Florian Baret souligne par ailleurs que « seule une reprise des recherches [...] peut réellement confirmer ou infirmer cette proposition »[3].

Le sanctuaire[modifier | modifier le code]

Valorisation[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

  • Daniel Leguet et Denis Tourlonias, « 302 - La Roche-Blanche », dans Michel Provost et Christine Mennessier-Jouannet (dir.), Le Puy-de-Dôme, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, coll. « Carte archéologique de la Gaule » (no 63/2), (ISBN 978-2-87754-031-5), p. 264-291

Préhistoire[modifier | modifier le code]

  • Jean-François Pasty, « L’occupation préhistorique du plateau de Gergovie (Puy-de-Dôme). Caractérisation des industries lithiques néolithiques », Revue archéologique du Centre de la France, vol. 55,‎ (ISSN 1951-6207, lire en ligne, consulté le )

Protohistoire[modifier | modifier le code]

  • Yann Deberge et al., « Présences militaires romaines dans le bassin clermontois », dans Michel Reddé (dir.), L’armée romaine en Gaule à l’époque républicaine. Nouveaux témoignages archéologiques, Glux-en-Glenne, Centre archéologique européen, coll. « Bibracte » (no 28), (ISBN 978-2-909668-96-3), p. 73-112
  • Yann Deberge et Vincent Guichard, « Nouvelles recherches sur les travaux césariens devant Gergovie (1995-1999) », Revue archéologique du Centre de la France, t. 39,‎ , p. 83-111 (ISSN 1951-6207, lire en ligne, consulté le )
  • Yann Deberge et al., « Témoignages de la Guerre des Gaules dans le bassin clermontois, nouveaux apports », Revue archéologique du Centre de la France, t. 53,‎ (ISSN 1951-6207, lire en ligne, consulté le )
  • Yann Deberge et Thomas Pertlwieser (dir.), Les fortifications de l’oppidum de Gergovie. Bilan historiographique & nouvelles recherches (VIe et Ve s. av. J.-C, Ier s. av. J.-C. et Ier s. ap. J.-C), Clermont-Ferrand, Presses universitaires Blaise-Pascal, coll. « Terra Mater » (no 1), (ISBN 978-2-84516-850-3)
  • Peter Jud, « L'architecture en pierre sèche de l'oppidum de Gergovie (Puy-de-Dôme) », dans Anne Villard-Le Tiec (dir.), Architectures de l’âge du Fer en Europe occidentale et centrale, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, coll. « Archéologie et Culture », (ISBN 978-2-7535-7442-7), p. 639-641
  • Pierre Moret, « Le mur à éperons de Gergovie : échos hellénistiques sur un oppidum gaulois », Pallas, no 105,‎ , p. 223-233 (ISSN 0031-0387, lire en ligne, consulté le )

Antiquité[modifier | modifier le code]

  • Florian Baret, Les agglomérations « secondaires » gallo-romaines dans le Massif Central (cités des Arvernes, Vellaves, Gabales, Rutènes, Cadurques et Lémovices) : 1er siècle avant J.-C. - Ve siècle après J.-C. (thèse de doctorat en archéologie), Clermont-Ferrand, Université Blaise-Pascal, (lire en ligne)
  • Florian Baret, « Le réseau des agglomérations antiques dans les cités du Massif central (Arvernes, Vellaves, Gabales, Rutènes, Cadurques et Lémovices) entre le Ier s. av. J.-C. et le Ve s. ap. J.-C. », Gallia, t. 73.2,‎ , p. 169-212 (ISSN 0016-4119, lire en ligne, consulté le )
  • Magalia Garcia et Sandrine Oesterlé, « Organisation spatiale des sanctuaires arvernes : les exemples de Gergovie et de Corent à l'époque romaine (Puy-de-Dôme, F) », dans Daniel Castella et Marie-France Meyland Krause (dir.), Topographie sacrée et rituels. Les cas d'Aventicum, capitale des Helvètes, Bâle, Archéologie Suisse, coll. « Antiqua » (no 43), (ISBN 978-3-908006-35-0), p. 287-291

Cébeillac[modifier | modifier le code]

Entre 1970 et 1973, elle a dirigé des fouilles à Mégara Hyblaea (Sicile) qui ont mis au jour la nécropole méridionale de la cité[1].

http://www.anhima.fr/spip.php?auteur23 https://www.academia.edu/5767067/Compte_rendu_de_C._Berrendonner_M._Cebeillac-Gervasoni_L._Lamoine_dir._Le_Quotidien_municipal_dans_l_Occident_romain_Clermont-Ferrand_Presses_Universitaires_Blaise-Pascal_coll._Histoires_crois%C3%A9es_2008_807_p._dans_Histoire_et_Soci%C3%A9t%C3%A9s_Rurales_33_2010 https://condorcetclermont.fr/blog/category/hommage/

  • Laurent Lamoine, « Ostie, aiguillon des programmes de recherche de Mireille Cébeillac-Gervasoni », dans Quinto seminario ostiense. In memoria di Mireille Cébeillac-Gervasoni

Hugues Vertet[modifier | modifier le code]

Hugues Vertet
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Naissance
Décès (à 93 ans)
Nationalité Drapeau de la France Français
Résidence France
Domaines Céramologie
Institutions CNRS
Formation Université de Clermont-Ferrand
Renommé pour Recherches sur Lezoux
Distinctions Médaille de bronze du CNRS (1974)

Hugues Vertet, né le et mort le (à 93 ans), est un archéologue français, spécialiste de céramologie. Son nom est associé à l'archéologie du centre de production de sigillée de Lezoux.

En 1966, il a soutenu une thèse de doctorat à l'université de Clermont-Ferrand, sur les lampes antiques du musée de Moulins[2].

Références[modifier | modifier le code]

  1. Henri Duday et Michel Gras (dir.), Mégara Hyblaea 6 : La nécropole méridionale de la cité archaïque, vol. 1 : Les données funéraires (notices des tombes et données biologiques), Rome, École française de Rome, coll. « Collection de l'École française de Rome », (ISBN 978-2-7283-1352-5, 2 février 2019), p. 2
  2. « Nouvelles universitaires », Revue archéologique du Centre de la France, t. 5.3,‎ , p. 284 (ISSN 0220-6617, lire en ligne, consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • « Hugues Vertet », sur Musée départemental de la céramique de Lezoux

Petit camp de César[modifier | modifier le code]

Petit camp de César
Présentation
Patrimonialité
Localisation
Pays
Département
Commune

Lac de Sarliève[modifier | modifier le code]

Lac de Sarliève
Image illustrative de l’article CptKeyes/Brouillon2
Administration
Pays Drapeau de la France France
Coordonnées 45° 44′ 04″ N, 3° 09′ 39″ E
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Lac de Sarliève
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
(Voir situation sur carte : Puy-de-Dôme)
Lac de Sarliève

Contextes[modifier | modifier le code]

Contexte géographique[modifier | modifier le code]

Contexte géologique[modifier | modifier le code]

Contexte archéologique[modifier | modifier le code]

Historiographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Frédéric Trément (dir.), « Un ancien lac au pied de l’oppidum de Gergovie (Puy-de-Dôme) : interactions sociétés-milieux dans le bassin de Sarliève à l’Holocène », Gallia, vol. 64, no 1,‎ , p. 289-351 (ISSN 2109-9588, lire en ligne, consulté le )


Epasnactos[modifier | modifier le code]

Epasnactos, ou quelquefois Espasnactos, est un chef arverne, favorable aux Romains, auprès duquel le chef de la rébellion gauloise Lucterios vient chercher refuge après la bataille d'Uxellodunum. Epasnactos livre Lucterios à Jules César[1]. Il est connu aussi par un abondant monnayage, ses monnaies portent l'indication « EPAD » et certaines présentent au revers un guerrier debout, le casque à ses pieds tenant un bouclier et une enseigne, d'autres un cavalier. Ces monnaies ont peut-être été émises sur l'oppidum de Gergovie[Interprétation personnelle ?] où l'on en a retrouvé près de 250, soit plus que sur aucun autre site. Epasnactos était un grand personnage arverne dès avant 52 puisque 65 % des monnaies arvernes retrouvées dans les fossés d'Alésia sont légendées à son nom (types CICEDV.BRI/EPAD et EPAD "au cavalier"). La défaite de Vercingétorix renforça sans doute considérablement son poids politique.



Epasnactos, ou quelquefois Espasnactos, est un chef arverne mentionné dans les Commentaires sur la Guerre des Gaules, auquel est attribué plusieurs types de frappes monétaires.

Chef arverne[modifier | modifier le code]

Sous la plume d'Aulus Hirtius, Epasnactos n'est mentionné qu'une seule fois, brièvement :

« Dans le même temps, Lucterios, dont j'ai apporté qu'il avait pu s'enfuir de la bataille, était venu se mettre entre les mains de l'Arverne Epasnactos : il changeait, en effet, souvent de résidence et ne se confiait pas longtemps au même hôte, car, sachant combien César devait le haïr, il estimait dangereux tout séjour de quelque durée : l'Arverne Epasnactos, qui était un grand ami du peuple romain, sans aucune hésitation le fit charger de chaînes et l'amena à César. »

amicissimus populi romani

Émissions monétaires[modifier | modifier le code]

EPAD au guerrier.

EPAD au cavalier à Alésia, camp D Nieto p. 40 attribution monnaie à Epasnactos remonte à 1763 par Pellerinn

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Jules César, Guerre des Gaules, VIII, 44.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Frédéric Trément, « Aux origines de la cité arverne », dans Daniel Martin, L'identité de l'Auvergne, Nonette, Créer, (ISBN 2-909797-70-8), p. 167-193
  • Laurent Lamoine, « Se nommer, être nommé et intégrer le monde romain. À partir de la documentation gauloise », Droit et cultures, no 64,‎ , p. 69-90 (ISSN 0247-9788, lire en ligne, consulté le )
  • Aurélien Blanc, Marion Dacko, Bertrand Dousteyssier, Laurent Lamoine, Élise Nectoux et Jérôme Trescarte, « Les élites et les marqueurs du développement », dans Frédéric Trément (dir.), Les Arvernes et leurs voisins du Massif Central à l'époque romaine : une archéologie du développement des territoires, vol. 2, Revue d'Auvergne, (ISSN 1269-8946), p. 11-29
  • Sylvia Nieto-Pelletier (dir.), Les Arvernes (Centre de la Gaule), Paris, Bibliothèque nationale de France/Musée d'archéologie nationale, coll. « Catalogue des monnaies celtiques » (no 1), (ISBN 978-2-7177-2566-7)
  • Yann Deberge, Sylvain Foucras, Jean-François Pasty, Guillaume Hulin, Peter Jud, Daniel Leguet, Morgan Millet et François-Xavier Simon, « Présences militaires romaines dans le bassin clermontois », dans Michel Reddé (dir.), Les armées romaines en Gaule à l’époque républicaine. Nouveaux témoignages archéologiques, Glux-en-Glenne, Centre archéologique européen du Mont Beuvray, coll. « Bibracte » (no 28), (ISBN 978-2-909668-96-3), p. 73-112
  • Christine Mennessier-Jouannet, Katherine Gruel, John Collis, Yann Deberge, Magali Garcia et Vincent Guichard, « Les émissions de monnaies arvernes en bronze aux IIe et Ier s. av. n. è. », dans Eneko Hiriart et al. (dir.), Monnaies et archéologie en Europe celtique. Mélanges en l’honneur de Katherine Gruel, Glux-en-Glenne, Centre archéologique européen du Mont Beuvray, coll. « Bibracte » (no 29), (ISBN 978-2-909668-97-0), p. 243-254


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