Saint-Jean-Saverne

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Saint-Jean-Saverne
Saint-Jean-Saverne
Rue Principale.
Blason de Saint-Jean-Saverne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Saverne
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Saverne
Maire
Mandat
Jean Goetz
2020-2026
Code postal 67700
Code commune 67425
Démographie
Population
municipale
535 hab. (2020 en diminution de 8,23 % par rapport à 2014)
Densité 84 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46′ 16″ nord, 7° 21′ 43″ est
Altitude Min. 186 m
Max. 436 m
Superficie 6,39 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saverne
(banlieue)
Aire d'attraction Strasbourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saverne
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Saint-Jean-Saverne
Liens
Site web http://www.saintjeansaverne.com

Saint-Jean-Saverne (anciennement Saint Jean près Saverne et Saint Jean des Choux[1]) est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace et fait partie du parc naturel régional des Vosges du Nord.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Saint-Jean-Saverne se trouve en bordure du massif des Vosges.

Communes limitrophes de Saint-Jean-Saverne
Ernolsheim-lès-Saverne
Saint-Jean-Saverne Steinbourg
Eckartswiller Monswiller

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Saint-Jean-Saverne se situe à l’extrémité occidentale du fossé rhénan. À ce titre, le territoire de la commune est coupé en deux, à la fois en matière de relief et de géologie, par une faille normale courant selon un axe sud-ouest-nord-est au pied du mont Saint-Michel. À l’ouest de cette faille prédomine donc une zone de montagne caractérisée par des grès, tandis qu’à l’est se trouve une zone de plaine au sous-sol composé d’abord de calcaires, puis de colluvions[2].

Du côté de la montagne, le grès est du Buntsandstein, ou grès bigarré, qui s’est formé au sein d’un ensemble fluviatile il y a 230 millions d’années, au Trias inférieur. Cette couche de plusieurs centaines de mètres d’épaisseur est coiffé sur les sommets par la couche du Conglomérat principal, un poudingue riche en galets de quartz blanc, visible notamment au mont Saint-Michel. En certains endroits, notamment au Stampfloecher, cette couche épaisse d’une dizaine de mètres est elle-même couverte par une couche de grès intermédiaire[2].

Le village lui-même est construit sur les calcaires se trouvant immédiatement à l’est de la faille. Ceux-ci sont constitués d’une alternance de marnes dolomitiques du Muschelkalk moyen et de calcaire à entroques et térébratules du Muschelkalk supérieur. Plus bas en direction de la plaine, cet ensemble est suivi par des marnes argileuses du Lettenkohle, rapidement recouvertes toutefois par des colluvions provenant de la montagne puis par les sables charriés par la Zorn. À l’extrémité orientale du territoire de la commune, l’épaisseur d’alluvion est ainsi de 3 m et est suivie d’une couche d’au moins 8 m de marnes[3].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Jean-Saverne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].Elle appartient à l'unité urbaine de Saverne, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[7] et 18 734 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,6 %), prairies (16,4 %), cultures permanentes (7,3 %), zones urbanisées (3,8 %)[12].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

L'actuelle dénomination Saint-Jean-Saverne date de 1920 lorsque la commune, mettant à profit le retour de l'Alsace-Lorraine à la France et le rétablissement des appellations françaises, opta pour ce nom consensuel en lieu et place du sobriquet Saint-Jean-des-Choux dont l'avaient affublée à la fin du XVIIe siècle les autorités françaises en souvenir d'un combat désespéré livré en 1676 par les troupes du maréchal de Luxembourg, acculées par les troupes impériales du duc Charles V de Lorraine, au pied des Vosges et du village, dans les champs de choux[réf. nécessaire].

Antérieurement, au temps du Saint-Empire romain germanique, l'appellation officielle était Sankt Johann bei (ou nächst) Elsass-Zabern, appellation reprise par les autorités allemandes pendant les deux périodes d'annexion de 1871-1918 et de 1940-1944. Cette dénomination est la traduction littérale de S. Iohannes prope Tabernas, plus anciennement S. Iohannes prope oppidum Zabernia, apparue dans les textes officiels anciens en 1126-1127 sous la forme Cella Sancti Iohannis, en remplacement du premier nom connu de la localité, Meginhelmeswilre, dans l'acte de donation du village et du domaine par le propriétaire Pierre de Lutzelbourg à l'abbaye de Sankt Georgen (en Forêt-Noire). Ce premier nom germanique évoque une création mérovingienne ou carolingienne, tout comme le nom des localités voisines d'Eckartswiller et d'Ernolsheim.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Il n’existe pas de signes concrets d’une occupation permanente à l’emplacement même de la commune avant le Moyen Âge, bien que quelques silex taillés aient été découverts à proximité de l’église. Cela ne signifie pas pour autant qu’il n’y a pas de présence humaine pendant ces périodes, mais celle-ci se concentre plutôt sur d’autres sites. Cette différence d’emplacement entre peuplement ancien et peuplement plus récent pourrait également être un biais introduit par le nombre limité de fouilles réalisées dans le village même[14]. Ainsi, le site du Mont-Saint-Michel montre des traces d’occupation permanente à l’époque du second âge du fer, à mettre en relation avec l’oppidum de la Heidenstadt, implanté à la limite entre le territoire de la commune et celui d’Ernolsheim[15]. Au même endroit, la ligne de démarcation actuelle entre les deux communes est constitué par le tracé d’une voie romaine passant à travers les Vosges et desservant également une carrière antique au lieu-dit Stempfloecher'"`UNIQ--nowiki-00000040-QINU`"'14'"`UNIQ--nowiki-00000041-QINU`"'[./Saint-Jean-Saverne#cite_note-Ring19846-16 [14]].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

St Jean des Choux et la Chapelle de St Michel (Eugène Laville, 1849).

Au Haut Moyen Âge, les traces d’habitat humain restent dans un premier temps localisée sur le mont Saint-Michel, celui-ci étant habité au IXe siècle[16]. Le village est mentionné pour la première fois en 1126 sous le nom de Megenhelmswilre, lorsque Pierre de Lutzelbourg en fait don, ainsi que de l’église privée qu’il dispose en ce lieu, à l’abbaye de Saint-Georges-en-Forêt-Noire (de). L’année suivante, le , celle-ci fonde sur place le couvent de Saint-Jean, dont le village prendra le nom[17]. Il se trouve à cette date un autre village sur le territoire de la commune : Volkerswiller, situé au débouché du vallon de la Winterhalt ; celui-ci disparaît toutefois lors des troubles de la fin du Moyen Âge. Cette période est en effet marquée par les ravages de la région par des bandes de routiers provenant de France, dont la traversée des Vosges est facilité par les nombreux cols aux alentours de Saverne. La fin du XIVe siècle voit ainsi trois incursions des Grandes compagnies en 1365, 1375 et 1384, puis, quelques décennies plus tard, en c’est au tour des « Armagnacs » de Jean de Fénétrange d’incendier le village sur leur passage. En 1525, pendant la guerre des paysans, le couvent est également la cible des paysans révoltés qui le mettent à sac et brûlent les archives[14].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Les conflits des siècles suivants amènent encore le village à être régulièrement saccagé par les armées de passage, attirées par les richesses du couvent et la possibilité d’y loger de grands corps de troupe. En 1590, le couvent est au bord de la disparition, ses bâtiments en ruines et les quelques religieuses restantes sans direction, la supérieure ayant pris la fuite dans le Wurtemberg[18].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mai 2020 Henri Wolff[19]    
mai 2020 En cours Jean Goetz [20]    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

En 2020, la commune comptait 535 habitants[Note 3], en diminution de 8,23 % par rapport à 2014 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
534621496763799854794863889
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
795863854787781750775754730
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
726725701620631614591561509
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
543550547563559598611592602
2014 2019 2020 - - - - - -
583533535------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Avant le XIXe siècle, le village est presque entièrement tourné vers l’activité agricole. Celle-ci est dominée par la polyculture, complétée par l’élevage ainsi que l’exploitation de vignes et de vergers. Il n’existe presque pas d’exploitation indépendante, l’abbaye possédant l’immense majorité des parcelles qui sont soit louées à des agriculteurs soit directement exploitées par des journaliers. Quelques activités artisanales existent à la marge, notamment la tonnellerie, la menuiserie et l’exploitation de la pierre[25].

Le XIXe siècle est marqué par un bouleversement profond de l’orientation économique de la commune. En effet, bien que devenus indépendants après la disparition de l’abbaye, les agriculteurs parviennent de moins en moins à vivre de leur activité au cours de ce siècle, tandis que le développement de l’industrie dans les communes avoisinantes, notamment Kuhn à Eckartswiller et Goldenberg à Monswiller, draine la main d’œuvre vers ce secteur d’activité. L’agriculture subsiste toutefois jusqu’au milieu du XXe siècle, généralement comme activité secondaire d’ouvriers-paysans, mais elle-même décline rapidement après la Seconde Guerre mondiale et la dernière exploitation agricole disparaît en 1962[25].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le patrimoine bâti civil est principalement représenté par des maisons d’habitation, la plupart ayant été à l’origine des fermes[25].

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Sur le domaine de Meginhelmeswilre, devenu Cella Sancti Johannis par la donation de 1126-1127, le nouveau propriétaire, l'abbaye de Sankt Georgen en Forêt-Noire fit construire dans le troisième quart du XIIe siècle une abbaye, placée sous l'invocation de Jean le Baptiste, pour accueillir une communauté de moniales bénédictines. L'histoire de cette communauté et des bâtiments conventuels n'est bien connue qu'à partir de la fin du XVIIe siècle, lorsqu'il fallut « ressusciter [...] une seconde fondation » selon les archives - l'abbaye anéantie par un siècle de conflits dévastateurs. Seule fut conservée la nef romane de l'abbatiale, remaniée et dotée d'une tour-porche. Tous les autres bâtiments, conventuels et annexes, firent l'objet d'un vaste programme de reconstruction, commencé en 1729 par les travaux à l'abbatiale et terminés en 1756 à l'achèvement de la maison du receveur. Puis commencèrent les travaux de réaménagement intérieur de l'abbatiale, pourvue d'un décor et d'un mobilier baroques dans le goût du jour.

L'abbaye ferma ses portes le et l'ensemble des terres et des bâtiments de l'enclos conventuel, déclarés biens nationaux, fut acquis le par un collectif des 72 chefs de famille de Saint-Jean qui lotirent leur propriété le , à l'exception de l'église, l'ancienne abbatiale, promue église paroissiale. Cette église catholique Saint-Jean-Baptiste de Saint-Jean-des-Choux figure sur la liste initiale des Monuments Historiques de 1840, et le classement Monument Historique a été confirmé au J.O. du , aux côtés des deux autres anciennes abbatiales romanes de la région, l'église catholique Saint-Étienne de Marmoutier et l'église catholique Saints-Pierre-et-Paul de Neuwiller-lès-Saverne[26].

Vers la sortie est du village, au bout de la Grand-Rue, s'élève la chapelle Saint-Wendelin. Construite à la suite d'un vœu fait en 1736 par les bourgeois de Saint-Jean dont les troupeaux de bovins étaient décimés par une épizootie particulièrement meurtrière, elle est consacrée le [27].

Sites archéologiques[modifier | modifier le code]

Le Mont Saint-Michel est une colline aux flancs escarpés culminant à 378 m d’altitude et située immédiatement au nord du village[28]. Le site a été aménagé par l’Homme depuis au moins le second âge du fer et comprend notamment un habitat troglodyte, utilisé comme ermitage à partir du Moyen Âge mais qui a peut-être déjà été occupé avant cette date, une chapelle dédiée à saint Michel datant de la fin du XVIIe siècle ayant remplacé un édifice médiéval antérieur et un grand bassin circulaire taillé dans la roche dont la date de réalisation et la fonction demeurent indéterminés[29],[30],[31].

Les traces d’un établissement gallo-romain ont été détectées en 1996 au nord-est du village, à cheval sur les territoires de la commune et de celle d’Eckartswiller. Occupé entre les IIe et IIIe siècles, celui-ci était vraisemblablement dédié à la production de meules et à la fourniture de grès pour la construction monumentale. Outre la zone d’exploitation constituée de plusieurs carrières, le site comporte également au moins une habitation ainsi qu’une nécropole[32].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]


Blason de Saint-Jean-Saverne

Les armes de Saint-Jean-Saverne se blasonnent ainsi :
« D'argent au lion d'azur, à la bande d'or brochant sur le tout. »[33].

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • René Gerber, « La chapelle St. Michel et son pèlerinage », Bulletin de la société d’histoire et d’archéologie de Saverne et environs, vol. 52,‎ , p. 35-39 (lire en ligne, consulté le ).
  • Henri Heitz, « Le village : vue d’ensemble de l’habitat », Pays d’Alsace, vol. 127bis,‎ , p. 51-53 (lire en ligne, consulté le ).
  • Jean-Joseph Ring, « Quelques repères de géographie et d’histoire », Pays d’Alsace, vol. 127bis,‎ , p. 3-12 (lire en ligne, consulté le ).
  • Jean-Joseph Ring, « Saint-Jean-Saverne - Le Mont-Saint-Michel - Recherches archéologiques récentes », Pays d’Alsace, vol. 163,‎ , p. 1-7 (lire en ligne, consulté le )
  • Jean-Joseph Ring, « L’établissement gallo-romain des Stampfloecher-Rothlach Site inédit des sommets vosgiens, dans la Forêt Indivise de Saint-Jean », Pays d’Alsace, vol. 207,‎ , p. 3-12 (lire en ligne, consulté le ).
  • Paul Wernet, G. Levy-Mertz et René Gerber, « La montagne St. Michel dans l’antiquité », Bulletin de la société d’histoire et d’archéologie de Saverne et environs, vol. 52,‎ , p. 33-34 (lire en ligne, consulté le ).
  • (de) Alphonse Wollbrett, « Sagen um den Michelsberg », Bulletin de la société d’histoire et d’archéologie de Saverne et environs, vol. 52,‎ , p. 40 (lire en ligne, consulté le ).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

Références[modifier | modifier le code]

  1. https://www.saintjeansaverne.com/index.php?page=le-nom
  2. a et b Ring 1984, p. 4.
  3. Ring 1984, p. 4-5.
  4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Unité urbaine 2020 de Saverne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  14. a b et c Ring 1984, p. 6.
  15. Ring 1993, p. 5.
  16. Ring 1993, p. 6.
  17. André Marcel Burg, « La fondation du monastère de Saint-Jean-Saverne », Bulletin de la société d’histoire et d’archéologie de Saverne et environs, vol. 52,‎ , p. 1-4 (ISSN 0245-8403, lire en ligne, consulté le )
  18. Ring 1984, p. 6-7.
  19. [PDF] Liste des maires au 1er avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
  20. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  25. a b et c Heitz 1984, p. 51.
  26. Notice no IA00055618, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. Notice no IA00055480, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. Wernet, Levy-Mertz et Gerber 1965, p. 33.
  29. Wernet, Levy-Mertz et Gerber 1965, p. 33-34.
  30. Gerber 1965, p. 35-36.
  31. Ring 1993, p. 5-6.
  32. Ring 2004.
  33. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).