Planfoy

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Planfoy
Planfoy
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Saint-Étienne
Intercommunalité Communauté de communes des Monts du Pilat
Maire
Mandat
Cédric Loubet
2020-2026
Code postal 42660
Code commune 42172
Démographie
Gentilé Planfoyards, planfoyardes [1]
Population
municipale
1 070 hab. (2021 en augmentation de 5,84 % par rapport à 2015)
Densité 87 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 23′ 02″ nord, 4° 26′ 29″ est
Altitude Min. 597 m
Max. 1 099 m
Superficie 12,27 km2
Élections
Départementales Canton du Pilat
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Planfoy
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Planfoy
Géolocalisation sur la carte : Loire
Voir sur la carte topographique de la Loire
Planfoy
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Planfoy
Liens
Site web planfoy.fr

Planfoy est une commune française située dans le département de la Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Planfoy se trouve dans au sud-est du département de la Loire, dans le parc naturel régional du Pilat. À vol d'oiseau, elle se situe à 7 km au sud de Saint-Étienne[2], préfecture du département et à 19,3 km de Pélussin, chef-lieu du canton du Pilat dont dépend la commune depuis 2015[3].

Communes limitrophes de Planfoy
Saint-Étienne
La Ricamarie Planfoy
Saint-Genest-Malifaux

On accède au bourg, niché sur les pentes du col de la République, en empruntant la RD 1082 (ex-RN 82) sur 6 kilomètres depuis Saint-Étienne et sur 20 kilomètres depuis Bourg-Argental.

Relief[modifier | modifier le code]

La commune est en zone de montagne au titre de la loi Montagne. L'altitude du territoire communal varie de 597 mètres à 1099 mètres[Note 1],[4].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Planfoy est drainée par le Furan, en limite communale avec Saint-Étienne, barré des deux barrages du Gouffre d'Enfer et du Pas de Riot; le Furet qui prend sa source à l'extrême sud du territoire communal, et l'Ondenon en limite communale avec Saint-Genest-Malifaux.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 941 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tarentaise », sur la commune de Tarentaise à 4 km à vol d'oiseau[7], est de 8,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 128,3 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Sites Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État membre. Les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l'état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés[11].

Une partie du territoire communal est incluse dans deux sites Natura 2000[12] :

  • La « Vallée de l'Ondenon, contreforts nord du Pilat », au nord et nord-ouest du territoire communal, d'une superficie de 869,1 ha[13].
  • Les « Tourbières du Pilat et landes de Chaussitre », au sud du territoire communal, d'une superficie de 351 ha[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces forestiers. La répartition détaillée ressortant de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover millésimée 2018 est la suivante : forêts (64,4 %), prairies (19,3 %), zones agricoles hétérogènes (9,5 %), milieux à végétation arbustive ou herbacée (4 %), zones urbanisées (2,8 %)[15].

Planification[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d'un établissement public, pour déterminer les partis d'aménagement de l'espace au sein d'un SCoT, un document essentiel d'orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCOT Sud Loire, approuvé le sur un territoire de 117 communes[16].

En matière de planification, la commune dispose d'un plan local d'urbanisme approuvé le [17].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2017, le nombre total de logements dans la commune est de 476, alors qu'il était de 412 en 2007[I 1]. Parmi ces logements, 85,3 % sont des résidences principales, 10,1 % des résidences secondaires et 4,8 % des logements vacants (contre 3,8% en 2007 pour ces derniers). Ces logements sont pour 85,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 14,1 % des appartements[I 2]. En 2017, 85,2% des résidences principales sont occupés par leur propriétaire contre 14,4% en location[I 3].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Planfoy signifierait « le plateau des fées » mais trouverait son origine dans les plantations de « fayards », nom donné localement au hêtre[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Planfroy, dépendant initialement de la paroisse de Saint-Étienne (Grand'Église) est érigée en paroisse en 1822 sous le même vocable de Saint-Étienne 1822. La localité obtient le statut de commune le .

L'économie des XVIIIe, XIXe et du début du XXe siècle était basée sur la production agricole, la sylviculture et la passementerie, qui comptait jusqu'à 21 ateliers, pour la fabrication de ruban, grâce au métier Jacquard.

La commune a été raccordé au réseau électrique en 1927 et à l'eau potable en 1932[19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Planfoy est membre de la communauté de communes des Monts du Pilat, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le [20].

Elle est rattachée sur le plan administratif à l'arrondissement de Saint-Étienne, au département de la Loire et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[21], en tant que circonscriptions administratives[21]. Sur le plan électoral, elle est rattachée au canton du Pilat depuis 2015 pour l'élection des conseillers départementaux[22] et à la quatrième circonscription de la Loire pour les élections législatives[23].

Politique et administration municipale[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Planfoy, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel plurinominal avec prime majoritaire[24]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges au conseil municipal est de 15. Le maire, à la fois agent de l'État et exécutif de la commune en tant que collectivité territoriale, est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil[25].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1907 1971 Baron de Rochetaillée    
1971 1989 Jacques Bethenod (1931-2010)    
mars 1989 mars 2008 Emmanuel Courbon    
mars 2008 janvier 2010 Georges Baroux    
janvier 2010 mars 2010 Délégation préfectorale    
mars 2010 mars 2014 Véronique Granger    
mars 2014 mars 2020 Jean-François Louison    
mars 2020 En cours Cédric Loubet    

Population et société[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1866. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 1 070 habitants[Note 2], en augmentation de 5,84 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
909772784744760761708684666
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
607596622642548421568479417
1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021
5367077788528959079991 0531 070
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Depuis les années 1970, la commune connaît une croissance démographique soutenue due principalement à l'installation de jeunes actifs qui travaillent à Saint-Étienne, dont l'entrée d'agglomération est située à 8 min en voiture (rond point Velocio). De plus, la population de la commune rajeunit puisqu'en en 2017, 22.8 % des habitants ont moins de 14 ans[I 4]. Planfoy est une des communes les plus diplômées du département de la Loire avec 46,9 % de la population non scolarisée de plus de 15 ans qui détient un diplôme du supérieur[I 5].

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école maternelle privée, d'une école primaire publique « Charles Exbrayat », ainsi que d'une crèche multi-accueil « Les Lucioles » d'une capacité d'accueil de 18 enfants[30].

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Église Saint-Étienne de Planfoy

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le barrage du Pas-du-Riot et celui du Gouffre d'Enfer, retenues d'eau destinée à alimenter la ville de Saint-Étienne. Ce sont aussi des lieux de promenades et d'activités sportives, comme la via ferrata située face au mur du barrage du Gouffre d'Enfer.

Le Guizay[modifier | modifier le code]

Émetteur de la Croix du Guizay

Le Guizay est un hameau de la commune de Planfoy. L'endroit est connu pour offrir un point de vue sur l'agglomération stéphanoise.

L'organisation spatiale stéphanoise est nettement visible, le promontoire donne plein axe sur les rues Charcot-de Gaulle-Bergson (place Bellevue à Massenet, du sud au nord). On aperçoit aussi les quartiers périphériques, grands ensembles de Montchovet, la Cotonne, Montreynaud[Note 3]. Le faubourg de Terrenoire, la ville de Saint-Jean Bonnefonds à l'est. L'on devine les pPrincipaux équipements métropolitains tel que le Zénith et le stade Geoffroy-Guichard.

Ce belvédère exposé au vent, est accessible depuis Saint-Étienne par une route très sinueuse[Note 4]. En montant depuis Saint-Étienne, via les quartiers de Solaure-Croix de l'Orme[Note 5], on a une intéressante perspective de la vallée de l'Ondaine, et des communes qui la bordent : La Ricamarie, Le Chambon et Firminy.

Au sommet, à 860 m d'altitude, on parvient au lieu-dit Croix de Guizay, où se trouvent plusieurs antennes de radio-télécommunication pour la télévision et la téléphonie mobile, ainsi qu'une table d'orientation, un monument, deux restaurants et une ferme équestre.

De nombreux sentiers de randonnée passent au Guizay. La Croix de Guizay domine, plein sud, le barrage de l'Ondenon, alors que d'autres itinéraires s'enfoncent à travers bois pour rejoindre Saint-Genest-Malifaux.

Saint-Étienne depuis le Guizay

Manifestations[modifier | modifier le code]

  • La montée Velocio, épreuve cycliste de côte ayant lieu au mois de juin[31].
  • Le festival Jazz au Sommet, au mois de septembre[32].
  • De 2011 à 2019, a eu lieu, au mois de juillet, le festival de musique La Tawa[33].

Héraldique, devise et logotype[modifier | modifier le code]

La commune ne dispose pas de blason[34].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • L'écrivain Charles Exbrayat (1906-1989) habita à Planfoy à partir des années 1960 et jusqu'à 1984.
  • Le groupe Dub Inc dont certains membres ont vécu dans la commune[35].

Galerie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Répertoire géographique des communes (RGC) 2015. En 2016, le RGC a été remplacé par la base Admin Express qui ne comporte plus que l'altitude moyenne de la commune, les altitudes minimale et maximale pouvant être trouvées par un système d'information géographique.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. Espaces en cours de réaménagement depuis la fin des années 2000.
  4. Interdite aux véhicules de plus de 10 t, ce qui pose des soucis pour l'acheminement des convois de bois de coupe.
  5. Intersection RN 88, sortie 25.2 du périphérique -- belvédère non indiqué depuis la rocade, il faut entrer en ville, repasser au-dessus de la voie rapide et prendre la 1re à droite.

Références[modifier | modifier le code]

Insee[modifier | modifier le code]

  • Dossier relatif à la commune, [lire en ligne (page consultée le 25 décembre 2020)]
  1. LOG T1 - Évolution du nombre de logements par catégorie en historique depuis 1968
  2. LOG T2 - Catégories et types de logements
  3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation
  4. POP T0 - Population par grandes tranches d'âges
  5. FOR G2 - Diplôme le plus élevé de la population non scolarisée de 15 ans ou plus (en %)

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Loire », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Orthodromie entre "Planfoy" et "Saint-Étienne" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre "Planfoy" et "Pélussin" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  4. Carte de Planfoy, sur Géoportail, consulté le 25 décembre 2020.
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Planfoy et Tarentaise », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Tarentaise », sur la commune de Tarentaise - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Tarentaise », sur la commune de Tarentaise - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Réseau européen Natura 2000 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du Ministère de la transition écologique (consulté le ).
  12. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Planfoy » (consulté le ).
  13. « INPN - FSD Natura 2000 - FR8201762 - Vallée de l'Ondenon, contreforts nord du Pilat - Description », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  14. « INPN - FSD Natura 2000 - FR8201761 - Tourbières du Pilat et landes de Chaussitre - Description », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover | Données et études statistiques - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  16. « SCOT SUD LOIRE - Site du SCOT », sur SCOT SUD LOIRE - Site du SCOT (consulté le ).
  17. « PLU », sur Planfoy, (consulté le ).
  18. « Planfoy », sur Association Anciens Maires de la Loire (42) (consulté le ).
  19. a et b « Histoire », sur Planfoy, (consulté le ).
  20. « CC des Monts du Pilat - fiche descriptive au 1er octobre 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  21. a et b « Métadonnées de la commune de Planfoy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  22. « Décret n° 2014-260 du 26 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Loire », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Découpage électoral de la Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  24. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de plus de 1000 habitants », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  25. « Les fonctions d'un maire », sur vie-publique.fr (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Services », sur Planfoy, (consulté le ).
  31. « VELOCIO SAINT ETIENNE », sur Montée Vélocio (consulté le ).
  32. « Jazz au Sommet », sur jazzausommet.com (consulté le ).
  33. F. S., « Le festival La Tawa à Planfoy, c’est fini ! », sur Le Progrès, (consulté le ).
  34. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  35. « LOIRE. Dub Inc à la conquête du monde », sur leprogres.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Louis Dorna, Histoire de Planfoy, Saint-Étienne, Dumas, , 40 p. (BNF 32039810)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]