Luc (Lozère)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Luc
Luc (Lozère)
Le village de Luc.
Blason de Luc
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Mende
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Allier
Maire
Mandat
Patrice Clavel
2020-2026
Code postal 48250
Code commune 48086
Démographie
Gentilé Lucois
Population
municipale
206 hab. (2021 en diminution de 7,62 % par rapport à 2015)
Densité 4,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 39′ 04″ nord, 3° 53′ 30″ est
Altitude Min. 925 m
Max. 1 386 m
Superficie 46,10 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Langogne
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Luc
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Luc
Géolocalisation sur la carte : Lozère
Voir sur la carte topographique de la Lozère
Luc
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Luc

Luc est une commune française, située dans le nord-est du département de la Lozère en région Occitanie.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par, le Langouyrou, le Masméjan, le Bertail, le Cartalaye, le Chaniaux, le Passemas et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Luc est une commune rurale qui compte 206 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 1 312 habitants en 1881. Ses habitants sont appelés les Lucois ou Lucoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Située dans l'est du département de la Lozère, la commune est limitrophe de l'Ardèche.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 239 mm, avec 8,9 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Châteauneuf-de-Randon à 17 km à vol d'oiseau[4], est de 7,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 919,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[8] : le « Haut-bassin de l'Allier » (2 648 ha), couvrant 12 communes dont neuf dans l'Ardèche et trois dans la Lozère[9] et deux ZNIEFF de type 2[Note 2],[8] :

  • la « forêt de Mercoire » (11 190 ha), couvrant 7 communes du département[10] ;
  • les « hauts bassins de l'Allier et de l'Ardèche » (17 943 ha), couvrant 15 communes dont 12 dans l'Ardèche et trois dans la Lozère[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Luc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[12],[I 1],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,8 %), zones agricoles hétérogènes (10,1 %), prairies (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,8 %), terres arables (0,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Luc est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Allier, le Masméjan et le Langouyrou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2003, 2008, 2019 et 2020[17],[15].

Luc est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[18]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 4],[18],[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Luc.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des glissements de terrain[20].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 286 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Luc est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Du latin lucus, « bois sacré ».

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1380, à l'époque où Bertrand Du Guesclin meurt au pied de Châteauneuf-de-Randon, non loin de là, les troupes anglaises, fortes de 2 000 hommes, assiègent le château de Luc.

Ce boulevard du Vivarais est libéré grâce à trois héroïques seigneurs :

  • le seigneur d'Agrain,
  • le seigneur de Polignac,
  • le seigneur de Choisinet.

Après un combat opiniâtre dans la terre des Hubacs, ils remportèrent une victoire complète, avec le secours soudain de dix des plus intrépides gentilshommes des environs.

Pour en perpétuer le souvenir, ces trois seigneurs placèrent au sommet du volcan Prasoncoupe-les-Ubas, trois pierres de granit, taillées en disque, et sur lesquelles leurs armes sont sculptées.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Luc est membre de la communauté de communes du Haut Allier[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Langogne. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[24].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Mende, à la circonscription administrative de l'État de la Lozère et à la région Occitanie[I 4].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Langogne pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la Lozère pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[25].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires de Luc
Période Identité Étiquette Qualité
2001 En cours Alain Coulon    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 206 habitants[Note 5], en diminution de 7,62 % par rapport à 2015 (Lozère : +0,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8348301 2031 2061 2521 2141 1031 1331 270
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2911 3101 2661 2421 3081 3121 3021 2201 135
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
967967936739636636628526417
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
407345300252212209221223230
2017 2021 - - - - - - -
216206-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique
Église Saint-Pierre de Luc

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 92 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 177 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 520 [I 5] (20 420  dans le département[I 6]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 4,1 % 5,6 % 8,7 %
Département[I 8] 5 % 6,4 % 7,1 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 90 personnes, parmi lesquelles on compte 78,3 % d'actifs (69,6 % ayant un emploi et 8,7 % de chômeurs) et 21,7 % d'inactifs[Note 7],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 10]. Elle compte 54 emplois en 2018, contre 69 en 2013 et 74 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 63, soit un indicateur de concentration d'emploi de 86,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 37,4 %[I 11].

Sur ces 63 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 30 travaillent dans la commune, soit 48 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 75 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Luc

Le blasonnement est d'or à la bande d'azur chargée d'un brochet d'argent

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Luc » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Luc » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Luc » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Luc » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Luc et Châteauneuf-de-Randon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Chateauneuf-de-randon » (commune de Châteauneuf-de-Randon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Chateauneuf-de-randon » (commune de Châteauneuf-de-Randon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Luc », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « ZNIEFF le « Haut-bassin de l'Allier » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « ZNIEFF la « forêt de Mercoire » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « ZNIEFF les « hauts bassins de l'Allier et de l'Ardèche » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Luc », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  18. a et b « Défense des forêts contre l'incendie (DFCI) », sur lozere.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  20. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Luc », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  24. « communauté de communes du Haut Allier - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  25. « Découpage électoral de la Lozère (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Eglise Saint-Pierre », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  31. R. L. Stevenson (trad. de l'anglais), Voyage avec un âne dans les Cévennes, Paris, Flammarion, , poche (ISBN 978-2-08-070601-0), « Cheylard et Luc », p. 84-85.