Lay-Saint-Remy
Lay-Saint-Remy | |||||
La mairie | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Arrondissement | Toul | ||||
Intercommunalité | CC Terres Touloises | ||||
Maire Mandat |
Thierry Mansuy 2023-2026 |
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Code postal | 54570 | ||||
Code commune | 54306 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Layens, Layennes[1] | ||||
Population municipale |
338 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 89 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 40′ 52″ nord, 5° 45′ 47″ est | ||||
Altitude | Min. 246 m Max. 335 m |
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Superficie | 3,8 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Nancy (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Toul | ||||
Législatives | 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Liens | |||||
Site web | http://www.laysaintremy.fr/ | ||||
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Lay-Saint-Remy est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Lay-Saint-Remy est un petit village situé au fond du Val de l'Asne.
On trouve entre Lay-Saint-Remy et Foug, deux tunnels parallèles, l'un pour la voie de chemin de fer et l'autre pour le canal, qui tous deux coupent à travers l'un des méandres de l'ancien lit de la Moselle, évitant ainsi un long détour par la ferme de Savonnières.
Il se trouve dans l'aire d'attraction de Nancy, la zone d'emploi de cette ville et le bassin de vie de Toul[I 1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Foug et Pagny-sur-Meuse.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 3,8 km2 ; son altitude varie de 246 à 335 mètres[2].
Le village, situé au fond d'une vallée, est traversé par une grande voie de communication (aujourd'hui la Route Nationale 4), qui nécessitait le franchissement d'une dénivellation de plusieurs dizaines de mètres. Cet obstacle était un endroit où s'embusquaient des voleurs de grand chemin pour détrousser les voyageurs.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins versants du Rhin et de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le canal de la Marne au Rhin et le ruisseau du Moulin[3],[Carte 1].
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Carte hydrographique et des infrastructures de transport de la commune.
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Réseau hydrographique de Lay-Saint-Remy.
La commune se trouve dans le Val de l'Asne, l'ancien lit de la Moselle, aujourd'hui une zone marécageuse, où coule toujours un petit ruisseau qui longe le canal de la Marne au Rhin jusqu'à Pagny-sur-Meuse, où il se jette dans la Meuse.
Le canal de la Marne au Rhin, long de 293 km et comportant 178 écluses à l'origine, relie la Marne (à Vitry-le-François) au Rhin (à Strasbourg). Par le canal latéral de la Marne, il est connecté au réseau navigable de la Seine vers l'Île-de-France et la Normandie[4].
Le marais de Lay-Saint-Rémy est une grande tourbière alcaline qui constitue une richesse biologique par sa grande dimension et sa diversité botanique. Il est géré par le Conservatoire des espaces naturels de Lorraine[5]. px
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Canal de la Marne au Rhin avec le port de Lay-Saint-Remy.
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Vue du village depuis le talus du canal.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 876 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 17 km à vol d'oiseau[8], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Le marais de Lay-Saint-Rémy et de Pagny-sur-Meuse, jouxtant la Meuse et contourné par la ligne de Paris-Est à Strasbourg-Ville ainsi que par le canal de la Marne au Rhin, est une tourbière alcaline qui s'est formée depuis 2000 ans par accumulation de tourbe sur une épaisseur de 2.5 mètres. On y trouve une végétation de sources calcaires, de tourbière basse et de bas-marais[13].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Lay-Saint-Remy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,6 %), forêts (22,3 %), zones urbanisées (6,9 %), cultures permanentes (6,9 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %), zones humides intérieures (6,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 152, alors qu'il était de 142 en 2015 et de 128 en 2010[I 2].
Parmi ces logements, 94 % étaient des résidences principales et 6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 90,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,5 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lay-Saint-Remy en 2020 en comparaison avec celle de Meurthe-et-Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi l'absence de résidences secondaires et logements occasionnels, à comparer avec la proportion départementale (2,1 %) et nationale (9,7 %).
Typologie | Lay-Saint-Remy[I 3] | Meurthe-et-Moselle[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 94 | 88,6 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0 | 2,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6 | 9,3 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par le tracé initial de la route nationale 4 (actuelle Rd 400), et traversé par sa déviation constituant une voie express (actuelle RN 4), la ligne de Paris-Est à Strasbourg-Ville et le canal de la Marne au Rhin.
Toponymie
[modifier | modifier le code]La commune s'est appelée successivement « Layum retro Fagum », Laye-derrière-Foug, Lay-Saint-Remy-en-Haye, avant de devenir Lay-Saint-Remy.
Le toponyme Lay, qui apparaît en 1300, est synonyme de laie, route forestière créée notamment en vue de la vente d'un bois. Le nom du saint patron n'est ajouté officiellement qu'en 1862[18].
Histoire
[modifier | modifier le code]- Présence gallo-romaine[réf. nécessaire].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1943 dans l'arrondissement de Toul du département de Meurthe-et-Moselle[I 1]
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Toul-Nord[2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Toul[I 1]
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de Meurthe-et-Moselle.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Lay-Saint-Remy était membre de la communauté de communes du Toulois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1992 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Terres Touloises, dont est désormais membre la commune[I 1]
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Les habitants disposent de la MJC du Marais[27].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].
En 2021, la commune comptait 338 habitants[Note 3], en évolution de −6,37 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Remy XIXe siècle.
- Près de l'église coule une fontaine nommée « fontaine Saint-Léger », dont les eaux avaient une renommée spéciale. Lorsqu'une personne était gravement malade, on faisait toucher aux reliques du patron de l'église un linge à l'usage du malade, et on jetait ensuite ce linge dans le bassin de la fontaine. Selon qu'il surnageait ou coulait au fond, cela augurait d'une guérison ou de la mort.
- Monument aux morts.
- Plaque commémorative Souviens-toi du .
- L'ancienne poste aux chevaux de Lay-Saint-Remy.
- Canal de la Marne au Rhin : passage dans un tunnel d'environ 870 m[31].
- Le marais de Lay-Saint-Remy et son sentier de découverte, mong de 1,6 km.
-
Église Saint-Remy.
-
Monument aux morts
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Plaque "Souviens-toi".
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Poste aux chevaux.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'or au pal de gueules, à une colombe d'argent fondant et tenant dans son bec la Sainte Ampoule d'or brochant sur le tout. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Lien externe
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie.
- « Lay-Saint-Remy », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr
- « Dossier complet : Commune de Lay-Saint-Remy (54306) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, (consulté le ).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Lay-Saint-Remy » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Lay-Saint-Remy ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Lay-Saint-Remy - Section LOG T1 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Lay-Saint-Remy - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la Meurthe-et-Moselle - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Fiche communale de Lay-Saint-Remy », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « le canal de la Marne au Rhin »
- « Le marais de Lay Saint Rémy », Les Espaces Naturels Sensibles » Autour de Toul et Saintois », sur citedespaysages.meurthe-et-moselle.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lay-Saint-Remy et Ochey », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « Marais de Lay st Rémy et Pagny sur Meuse », Sites naturels & Parcs et jardins, sur tourisme-meurtheetmoselle.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle, Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, .
- « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de le République », Journal officiel de la République française, , p. 4801.
- Lionel Madella, « Potier, le catholique de gauche », Vosges Matin, (lire en ligne, consulté le ).
- « Clément Verdelet élu maire », L'Est républicain, (lire en ligne , consulté le ).
- « Le maire ne se représentera pas », L'Est républicain, (lire en ligne, consulté le ) « Avec deux mandats effectués aux côté du maire Dominique Potier, puis élu maire depuis 2014, Clément Verdelet 57 ans, infirmier bloc opératoire à l’hôpital de Toul, connaît bien sa commune de 365 habitants ».
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Conseil municipal : les habitants retournent aux urnes en juin », L'Est républicain, (lire en ligne , consulté le ) « Les élus se sont réunis vendredi soir autour de Thierry Mansuy, 1er adjoint, qui prend la fonction de maire jusqu’aux élections complémentaires qui auront lieu les 11 et 18 juin ».
- « La nouvelle équipe municipale est en place », L'Est républicain, (lire en ligne , consulté le ) « Le conseil municipal au complet s’est réuni jeudi 22 juin pour élire le maire et ses trois adjoints. Thierry Mansuy a été élu maire à l’unanimité ».
- « École transférée à Foug, programme immobilier, city-stade, véloroute : les grands projets 2024 présentés lors de la cérémonie des vœux », L'Est républicain, (lire en ligne , consulté le ).
- « Du renfort et des projets à la MJC du Marais », L'Est républicain, (lire en ligne, consulté le ) « L’équipe de la MJC est passée de cinq à douze membres actifs, ce qui est encourageant pour l’avenir de l’association et l’animation de la commune ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Procès-verbaux de la chambre des députés, Partie 5 sur Google Books page 424