La Frénaye

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La Frénaye
La Frénaye
La mairie
Blason de La Frénaye
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Caux Seine Agglo
Maire
Mandat
Christophe Tétrel
2020-2026
Code postal 76170
Code commune 76281
Démographie
Gentilé Frenaysiens, Frenaysiennes
Population
municipale
2 081 hab. (2021 en diminution de 2,62 % par rapport à 2015)
Densité 208 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 31′ 41″ nord, 0° 34′ 29″ est
Altitude Min. 30 m
Max. 148 m
Superficie 10,02 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lillebonne
(banlieue)
Aire d'attraction Lillebonne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Port-Jérôme-sur-Seine
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.lafrenaye.fr

La Frénaye est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Entrée de La Frénaye.

La Frénaye est l'une des quatorze communes du canton de Notre-Dame-de-Gravenchon. Elle appartient aussi à la communauté de communes « Caux Vallée de Seine » (C.V.S.).

Par la route, elle est à peine moins éloignée de son chef-lieu d'arrondissement, Le Havre (45 km), que du chef-lieu de département, Rouen (50 km) mais, en l'état actuel des voies de communication, c'est la cité océane que l'on peut atteindre le plus rapidement.

D'une surface de 1 000 hectares, La Frénaye est sur le trajet du GR 2 venant de Triquerville, ce chemin de grande randonnée qui relie Les Andelys au Havre, escalade le vallon de Fontaineval, passe au pied du château d'eau proche du Bois du Parc, emprunte la sente Bayard et redescend vers Lillebonne par le sentier de la Valette.

Les communes limitrophes de La Frénaye sont : Lillebonne, Notre-Dame-de-Gravenchon, Auberville-la-Campagne, Lintot (qui fait partie du canton de Bolbec), Touffreville-la-Câble (du canton de Caudebec-en-Caux) et La Trinité-du-Mont. Ses coordonnées géographiques sont 49°32' de latitude nord et 0°34' de longitude est (au centre du village).

La commune de La Frénaye se situe à proximité du bord méridional du pays de Caux et, de ses hauteurs, la vallée de la Seine est visible vers le sud.

Troisième commune du canton de Lillebonne, La Frénaye est jumelée avec South-Wonston (Angleterre) et Untermaiselstein (Allemagne). La Frénaye est située à proximité de la plate-forme pétrochimique de Port-Jérome (Notre-Dame-de-Gravenchon - Lillebonne), à 30 km du Havre et 50 km de Rouen.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 931 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Petiville à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 844,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Frénaye est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lillebonne, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[11] et 21 856 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lillebonne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36 %), forêts (32,2 %), zones agricoles hétérogènes (15,1 %), zones urbanisées (10,3 %), prairies (6,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Fraxineta vers 1240[17], La Frenaye en 1793, La Frénaye en 1801[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ce village se trouve sur une ancienne voie romaine qui va de « Juliobona » Lillebonne à « Rotomagus » Rouen. Une autre voie romaine reliant « Breviodurum » Brionne, à « Mediolanum » Évreux, traverse également La Frénaye.

Une légende raconte que Jules César, le vainqueur des Gaules aurait reçu un message lui annonçant que la ville la plus proche, « Juliobona » venait d’être submergée et détruite par un tremblement de terre. Ne voulant croire en un tel désastre, il enfonça son bâton de commandement dans le sol en criant : si cela est vrai, qu’ici au lieu du bâton pousse un frêne, mais ceci reste une légende.

La période gallo-romaine est souvent évoquée dans l’histoire de notre région, de nombreux vestiges ont été retrouvés des fouilles ont mis au jour les fondations de deux postes militaires protégeant les voies romaines.

Une ferme encore exploitée à ce jour, porte le nom de ferme de la Lionnière, cette ferme reliée par un tunnel à l’amphithéâtre de « Juliobona » aurait été utilisée pour y garder les lions ou autres animaux sauvages présentés lors des fêtes organisées dans cet amphithéâtre. La période révolutionnaire et les événements de 1789 n’ont laissé que peu de trace, et de la réaction des Frenaysiens aux événements parisiens du , il ne reste pas de témoignage direct. L'abolition de la royauté à Paris le . À La Frenaye, la première trace perfectible du changement de régime est l’inscription nouvelle dans le registre des délibérations du conseil général de la commune :

« Ce jourd’huy dimanche septième jour d’octobre mil sept cent quatre-vingt-douze, l’an 1er de la République[citation nécessaire] »

Le verra la mobilisation de 60 pères de familles et de jeunes gens, trente furent tués et cinq portés disparus.

En 1939, les soldats sont mobilisés, en 1940 l’exode des Frenaysiens atteint son maximum, les rumeurs sur les exactions allemandes les effraient. Durant cette période de nombreux soldats frenaysiens furent emprisonnés en Allemagne ou furent réquisitionnés pour le Service du travail obligatoire (STO). Durant la nuit du 7 au , un bombardier Lancaster de la Royal Air Force s'est écrasé sur le territoire de la commune. Trois aviateurs britanniques ont trouvé la mort et reposent dans le cimetière de la Frénaye[19].

Vers le , les Allemands ont quitté La Frénaye.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Résultats électoraux récents[modifier | modifier le code]

Scrutin 1er tour 2d tour
1er % 2e % 3e % 4e % 1er % 2e % 3e %
Présidentielle 2007 UMP 31,46 PS 22,82 UDF 19,27 FN 10,63 UMP 53,39 PS 46,61 Pas de 3e
Européennes 2009 UMP 28,31 PS 19,74 EELV 9,87 MoDem 8,75 Tour unique
Régionales 2010 PS 38,8 UMP 25 FN 10,38 EELV 8,33 PS-EELV-FG 55,08 UMP 32,82 FN 12,1
Présidentielle 2012 PS 27,25 UMP 24,9 FN 19,38 FG 12,33 PS 53,12 UMP 46,88 Pas de 3e
Européennes 2014 FN 33,56 UMP 20,24 PS 13,32 MoDem 7,25 Tour unique
Régionales 2015 FN 30,36 PS 29,01 UDI-UMP 25,51 FG 5,53 PS-EELV-FG 39,76 UDI-UMP 33,44 FN 26,8
Présidentielle 2017 FN 26,71 EM 22,08 LR 18,51 LFI 18,44 LREM 56,13 FN 43,87 Pas de 3e
Européennes 2019 RN 30,93 LREM 20,75 EELV 8,89 PP-PS 7,35 Tour unique

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790   Pierre Filleul    
1790 1792 Jean-Baptiste Becquet    
1792 1795 Charles Leduc    
    Philippe Tocqueville[Note 3]    
1804 1808 Jean-Baptiste Becquet[Note 4]    
1808 1813 Pierre Séry    
1813 1824 Pierre Filleul    
1824 1829 Guillaume Pichot    
1829 1859 Pierre Adrien Séry    
1860 1862 Scévola Fleury    
1862 1873 Georges Édouard Fleury    
1874 1881 Edmond Séry    
1881 1882 Placide Marette    
1882 1895 Edmond Séry    
1895 1911 Raoul Séry    
1911 1916 Gaston Chantillon    
1916 1929 Henri Gaillard[Note 5]    
1929 1941 Jules Dodelin    
1941 1957 Gaston Savalle[Note 6]    
1957 1958 René Martin    
1958 1960 Émile Lelièvre    
1960 1977 Jean Martin    
1977 mai 2020[20] M. Dominique Annetta   Ingénieur chimiste
mai 2020[21],[22] En cours
(au 10 août 2020)
Christophe Tétrel   Retraité d’ExxonMobil

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

En 2021, la commune comptait 2 081 habitants[Note 7], en diminution de 2,62 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
616633621624672710700700765
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
806809818768820861878872835
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
780715692598577533605630672
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
6837091 0801 2101 5361 5661 6901 6951 940
2014 2019 2021 - - - - - -
2 1072 0932 081------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,5 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 040 hommes pour 1 074 femmes, soit un taux de 50,80 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,90 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,1 
90 ou +
1,0 
8,3 
75-89 ans
8,4 
16,9 
60-74 ans
18,3 
21,2 
45-59 ans
20,3 
18,1 
30-44 ans
18,2 
13,6 
15-29 ans
13,8 
21,8 
0-14 ans
19,9 
Pyramide des âges du département de la Seine-Maritime en 2020 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,8 
6,5 
75-89 ans
9,5 
16,6 
60-74 ans
17,7 
19,5 
45-59 ans
19,1 
18,5 
30-44 ans
17,6 
19,2 
15-29 ans
17,4 
19,1 
0-14 ans
16,8 

Sports[modifier | modifier le code]

La Frénaye accueille la finale de la coupe de France d'auto-cross (vallon de Fontaineval). La Frénaye compte de nombreuses associations sportives : - A.S.FR. : football - C.L.B.F : badminton - L.F.Cyclo : vélo - T.C.F. : tennis - XOCHIQUETZAL : danse - ACIF : cross intervillages des écoles - Le souffle du Tao frenaysien : art martiaux - Gym volontaire - Judo club - Club de pétanque - Golf

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L’église Saint-Jacques-le-Majeur, seul monument historique[28], date du XVIe siècle, en 1863 une souscription est lancée pour acquérir une nouvelle cloche, celle-ci pèse 932 kg, avec un battant de 385 kg.

Trois vitraux réalisés d'après les cartons du peintre Georges Mirianon évoquent la vie de Jeanne d'Arc[29]. Dans cette église, on peut trouver quelques statues monuments historiques :

  • saint Sébastien, statue en bois du début du XVIIe siècle ;
  • sainte Barbe, statue en pierre avec des traces de polychromie début du XVe siècle ;
  • le Christ à l’ancre du XVIIe siècle.
  • Au cimetière, une statue de l'Immaculée Conception.
  • Trois mémoriaux de guerre: le mémorial des morts pour la France dans l'église, le monument aux morts communal et le mémorial de la bataille de Normandie, .

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Bertrand Cantat de Noir Désir a vécu à La Frénaye quand il était très jeune.
  • Jean Claude Joly, agriculteur, a participé à la saison 6 de l'Amour est dans le pré (M6)

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de La Frénaye

Les armes de la commune de La Frénaye se blasonnent ainsi :

D'argent à l’esquisse du Pays de Caux, accompagné d’une ombre de mouette contournée en vol et brochant, le tout d’azur ; au chef de gueules chargé de deux léopards d’or, accostés de deux branches de frêne de sinople, celle de dextre posée en bande, celle de senestre posée en barre.[30]

Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Agent municipal puis président de la municipalité du canton pendant le Directoire. Semble être maire pendant le Consulat, mais faute de registre pour cette période la situation n'apparaît pas clairement
  4. Maire provisoire en 1804, confirmé officiellement en 1805
  5. Adjoint faisant fonction de maire de 1916 à 1919, élu maire ensuite
  6. Nommé en 1941, élu en 1945
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre La Frénaye et Petiville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Petiville » (commune de Petiville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Petiville » (commune de Petiville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Lillebonne », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lillebonne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 408.
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. « Armées.com - Crash d'un Lancaster à La Frenaye en Normandie », sur xn--armes-dsa.com (consulté le ).
  20. Blaise Diagne, « Dominique Annetta, quatre décennies à la tête de la commune cauchoise La Frénaye : 1977, 1983, 1989, 1995, 2001, 2008, 2014. Dominique Annetta bouclera en mars son septième mandat, ce qui fait de lui le maire en exercice le plus expérimenté de l’agglomératio », Paris-Normandie,‎ .
  21. « Municipales 2020. Annetta passe la main à Tétrel à La Frénaye : Christophe Tétrel est élu au premier tour à La Frénaye », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire depuis 1977, Dominique Annetta a regretté que la participation soit trop faible, avant de féliciter le nouvel élu qui a rallié 945 votants sur 1 666 inscrits (soit 58,10 %). Christophe Tétrel, de la liste « Une équipe, une méthode et des projets », arrive en tête avec 522 voix contre 423 (55,24 %) ».
  22. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Frénaye (76281) », (consulté le ).
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Seine-Maritime (76) », (consulté le ).
  28. Notice no IA00075868, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. Robert Évreux, Georges Mirianon - L'attrait de la diversité, édition des Amateurs rouennais d'art, 1996/
  30. http://www.ville-la-frenaye.fr/