Arabe (cheval)

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Arabe
Pur-sang arabe (PSar)
Mirage, étalon pur-sang arabe.
Mirage, étalon pur-sang arabe.
Région d’origine
Région Arabie
Caractéristiques
Morphologie Équilibré, en trois tiers égaux. Ligne du dessus plate, dans l'alignement, sans démarcation entre reins et croupe, queue attachée haute et portée fièrement, axe coxal bien développé.
Taille 1,40 m à 1,60 m en moyenne au garrot[1].
Poids 300 à 400 kg maximum[1]
Robe Généralement grise, baie ou alezane, rouan et noir rares. Tissus trempés et poil luisant.
Tête Courte et carrée au profil concave.
Pieds Sabots ronds et durs mais fin, pas de fanons.
Caractère Familier, obéissant, particulièrement intelligent, affectueux et maniable. Caractère noble et affirmé, fort influx nerveux.
Statut FAO (conservation) Non menacéVoir et modifier les données sur Wikidata
Autre
Utilisation Endurance, courses , shows (concours de modèles et allures), randonnée équestre, TREC.

Le cheval arabe et le pur-sang arabe (PSA), lignée pure élevée principalement par les Bédouins, forment une race chevaline de selle originaire du Moyen-Orient. Avec sa tête très typée et son port de queue relevé, le pur-sang arabe fait partie des races les plus facilement identifiables. Il est souvent cité comme le « plus beau cheval du monde ». C'est aussi l'une des races les plus anciennes qui soient, des fouilles archéologiques ayant prouvé que des chevaux caspiens, très proches physiquement de l'arabe, vivaient en Mésopotamie dès la plus haute Antiquité. Au cours de l'histoire, les chevaux arabes ont quitté leur Moyen-Orient natal pour gagner d'autres régions à l'occasion de guerres ou d'échanges commerciaux. Ils sont utilisés en croisement pour apporter de la vitesse, de l'endurance, de l'élégance et des os solides aux autres races de chevaux. On trouve désormais des arabes dans les courants de sang de la plupart des élevages modernes de chevaux de selle.

Le cheval arabe vit traditionnellement sous un rude climat désertique qui le rend apprécié par les peuples nomades bédouins, allant jusqu'à partager la tente de leur famille avec lui. Cette relation étroite a forgé une race de bonne nature, intelligente et toujours prête à apprendre, qui a développé une grande endurance et une résistance exceptionnelle à l'effort prolongé du fait de son utilisation à la guerre.

Le cheval arabe est réputé être l'une des meilleures montures en compétitions d'endurance, mais il peut être monté pour tout type de compétition équestre. Ces chevaux sont désormais répandus dans de très nombreux pays à travers le monde et sur les cinq continents.

Histoire

L'origine du cheval arabe est assurément parmi les plus anciennes qui soient, mais celle-ci est mal connue, et sujette à bien des débats. Une chose est sûre, cette race d'origine orientale est forgée par la rude vie en zones désertiques ou semi-désertiques. On le surnomme le prince du désert. Les Arabo-musulmans créent une race chevaline qui étonne énormément les premiers croisés par son agilité. Les chevaux des croisés sont sélectionnés pour leur robustesse et leur aptitude à porter de lourdes charges, à l'exact inverse des Pur-sang arabes, choisis pour leur endurance, leur sobriété et leur vivacité.

Ses caractéristiques ainsi que son homogénéité sont déjà bien établies vers la fin du Ier millénaire, sous la dynastie abbasside des califes de Bagdad. Mille ans de vie nomade en milieu hostile rendent le cheval arabe endurant et sobre. La vie aux côtés des Bédouins l’amène à parcourir de longues distances en peu de temps. Il y gagne la vitesse et la robustesse.

En 1834, l'hippologiste Karl Wilhelm Ammon remarque, après avoir rassemblé les témoignages et les écrits des historiens anciens, que les conditions climatiques extrêmes expliquent une présence sans doute faible des chevaux dans la région. Les observateurs de l’époque considèrent que la possession d'un cheval arabe reste un privilège aristocratique, Charles Doughty notant par exemple qu'une chamelière nourricière portant une provision d'eau doit accompagner la jument d'un sheik. Les époux Anne et Wilfrid Scawen Blunt, partis dans le Nedj pour trouver des chevaux arabes purs, témoignent du prestige récent de cette région présumée alors être le berceau de cette race équine[2].

Les premiers pur-sangs arabes arrivent en France au VIIIe siècle avec la bataille de Poitiers. Aux XIIe et XIIIe siècles, l'ordre du Temple prévoit d'équiper son maître et ses hauts dignitaires de quatre chevaux dont un turkoman. Quelques siècles plus tard, Napoléon Bonaparte œuvre pour promouvoir l'Arabe en lui permettant de se reproduire en race pure.

Description

Morphologie

Portrait d'un étalon bai.

Il n'y a pas vraiment de standard chez le Pur-sang arabe. Il existe une très grande variété de types de chevaux élevés par les Bédouins[3]. Les chevaux arabes d'apparat élevés pour figurer dans les haras de hauts dignitaires égyptiens ou turcs ont marqué les esprits au point d'en faire un standard[4]. Le pur-sang arabe a la particularité d'avoir 17 côtes alors que les autres chevaux en ont 18 et 5 vertèbres lombaires au lieu de 6 ainsi que 16 vertèbres coccygiennes au lieu de 18. Ces trois points montrent bien qu'ils ont gardé leur pureté primitive[5].

C'est un cheval petit, 1,40 m à 1,55 m, pesant de 350 à 400 kg[6].

Il se distingue par un poil soyeux et la finesse de ses attaches, une encolure longue et arquée, une tête particulièrement expressive et un profil concave. L'épaule est musclée. Sa poitrine est profonde et ouverte, son dos plutôt court et large, parfois légèrement concave bien que la ligne du dessus se veuille droite, sa croupe est haute et généralement horizontale. L’attache de la queue, haute, et avec un port relevé, est caractéristique de la race. Elle est aussi qualifiée de "bien portée". La tête du pur-sang arabe est sèche : l’ossature est nettement marquée, les veines se devinent sous la peau. Le front large est surmonté de deux oreilles, courtes et mobiles, bien écartées et joliment dessinées. Son chanfrein court, souvent concave, s'achève par un nez fin aux naseaux très ouverts. Les yeux, fleur de tête, sont grands et écartés, très expressifs. Le front est large et plat. Ses membres sont fins et solides, avec des jarrets longs et droits, larges et souples. Les articulations sont sèches ; les jambes puissantes. Les tendons sont secs et durs ; les paturons courts[7],[6].

Le cheval arabe de show est victime d'un hypertype, le chanfrein concave étant recherché à l'excès[8].

Robes

Le gris est très fréquent chez la race, de nombreux chevaux nés avec des robes sombres devenant gris en vieillissant[9]. Le bai et l'alezan dans toutes ses nuances sont également des robes rencontrées chez la race[7]. La robe noire est la plus rare de toutes[10].

Tempérament et entretien

Ces chevaux sont rapides, maniables, courageux et résistants. Le pur-sang arabe a une peau très fine et se montre à l’occasion un peu chatouilleux ; pour le pansage, une étrille en caoutchouc est préférable au métal et le bouchon doit être passé en douceur sur les points sensibles : hanches, ventre.

Allures

Les allures sont étendues et rasantes. Il se déplace en légèreté, dévoilant son mouvement caractéristique, souvent comparé à une danseuse, et dégage inévitablement un joyeux charisme.

L'Arabe a fait l'objet d'une étude visant à déterminer la présence de la mutation du gène DMRT3 à l'origine des allures supplémentaire : l'étude de 69 sujets a permis de confirmer l'absence de cette mutation chez tous les chevaux testés, ainsi que l'absence de chevaux présentant des allures supplémentaires parmi les sujets de la race[11]

Lignées

Zarife El Mansour, étalon arabe pur égyptien.

Il existe différentes lignées, et types de chevaux arabes et de pur-sang arabes. Hamdani, d'origine syrienne, est une lignée masculine, Saglawi une lignée féminine, la plus élégante. Koheilan est un type masculin musclé réputé pour la beauté de ses yeux, et Muniqi une lignée de course plus allongée[6];

Utilisations

Sports équestres

Endurance

Dans le monde des sports équestres, sa discipline de prédilection est l'endurance où il représente plus des trois quarts des inscriptions. Le cheval arabe excelle dans cette discipline, notamment pour son incroyable conditionnement cardio-vasculaire. Sa peau très fine lui permet un bon transfert calorique en dissipant la chaleur corporelle interne produite par le travail des muscles[12].

Autres disciplines équestres

Cheval arabe lors d'un concours international de tir à l'arc à cheval à Gauchoux, France 2015

Le cheval arabe est également recherché pour ses aptitudes en équitation de loisir et en Trec, où son physique solide lui permet d'assurer de longues randonnées tant au niveau du portage du paquetage que du cavalier[13]. Il peut participer à des épreuves de saut d’obstacles, mais pas à haut niveau, la race n'ayant pas été sélectionnée pour ses aptitudes au saut. Sa taille réduite est généralement un frein[14]. Le tempérament confiant et joueur du cheval arabe en fait une monture de choix pour la pratique du tir à l'arc à cheval[réf. souhaitée]. Il peut concourir à petit niveau en attelage et dressage, où ses allures aériennes et élégantes sont appréciées[13].

Show

Championnat du monde du cheval arabe au Salon du cheval de Paris 2014.

Il existe un concours de modèle et allures exclusivement réservé aux pur-sang arabes, le show. Ces concours sont axés sur l'esthétique du cheval et les attitudes de présentation. Les chevaux sont présentés toilettés en main par des entraîneurs choisis par les propriétaires. Les juges départagent les concurrents en se basant sur la conformité des animaux au standard de la race[14]. Le cheval de show doit posséder des allures légères et amples ainsi qu'un physique représentatif de sa race. Si les premiers concours débutent poulain, une carrière est possible jusqu'à un âge avancé, en accord avec le physique de l'animal. Des travaux en longe sont nécessaires pour maintenir le physique et la musculature, tout comme l'apprentissage de la présentation où le cheval apprend à poser et à se déplacer[15]. Le championnat du monde se déroule chaque année au salon du cheval de Paris. Le show représente le principal axe d'élevage du cheval arabe dans le monde[14].

Sports hippiques

Les sports hippiques sont également un débouché pour les chevaux arabes où des courses spécialisées leur sont dédiées[14]. Les courses de chevaux arabes remontent au XIXe siècle avec la séparation en deux sections des Pur-sang anglais et arabes. Les chevaux arabes disputent cependant pendant plusieurs décennies les mêmes courses que les anglo-arabes moyennant une décharge de poids. La période d'entre-deux-guerres est florissante pour l'élevage français grâce aux subventions des Haras nationaux et à l'importation de très bons sujets. Après une période de crise dans les années 1950-1960, l'élevage des arabes de courses s'est redéveloppé à partir des années 1980. Près d'une soixantaine de courses officielles de chevaux arabes ont lieu chaque année dans le monde, la France étant le pays en accueillant le plus grand nombre[16].

Croisements

Le Pur-sang arabe est souvent dit « père de toutes les races » et « améliorateur ». Connu pour sa sobriété, sa générosité, son équilibre, sa rapidité, et son endurance, il a contribué à améliorer et à fonder des races et des sous-races[6]. Le sang vif de ce glorieux ancêtre coule dans les veines de presque toutes les races de chevaux légers modernes. L'anglo-arabe et ses nombreuses variantes comme l'anglo-arabe sarde est issu du croisement d'arabes et de Pur-sangs. L'arabe-barbe est un autre croisement très répandu, avec le Barbe. L'ara-appaloosa est, comme son nom l'indique, issu du croisement avec un appaloosa, le quarab avec un quarter horse (croisement qui provoque parfois de l'hyperactivité chez le cheval), l'arabo-lusitanien avec un lusitanien et l'arabo-frison avec un frison. L'arabo-boulonnais est une tentative de relancement de l'élevage des chevaux boulonnais. Les timbaliers de la Garde Républicaine en montent. Il existe aussi l'Haflo arabe né du croisement avec l'Haflinger, l'aralusian issu du croisement avec un pure race espagnole, et l'aratel, avec l'ardennais.

Pur-sang

Au XVIIe siècle, quelques étalons sont importés et croisés avec des juments autochtones de Grande-Bretagne. Les produits de ces croisements donnent les chevaux anglais, nommés ensuite Pur-sangs. Trois étalons présumés arabes sont particulièrement présents dans la race pur-sang anglais :

Demi-sang arabe (DSA)

Sont inscriptibles au registre du demi-sang arabe tous les produits non inscriptibles à la naissance à un stud-book géré en France ou au registre du Demi-sang Anglo Arabe (DSAA), présentant au moins 50 % de sang arabe, et issus d'un ascendant direct inscrit au stud-book français du cheval Arabe ou au registre du demi-sang arabe, et d'un parent inscrit à un stud-book de chevaux de sang, de trait ou poney, ou à un registre ou Origine Constatée ou Origine Non Constatée. L'appartenance au registre demi-sang arabe est matérialisée par l'abréviation DSA. Avant 2006, les DSA étaient classés comme Chevaux de Selle (CS). À partir de 2006, ils sont inscrits au SIRE comme DSA.

Diffusion de l'élevage

Parmi les haras célèbres figurent le haras national de Chaouchaoua de Tiaret (Algérie), Janow Podlaski (Pologne), Tersk (Russie), Om el Arab (États-Unis) et Crabbet Park (Angleterre). Dans ce dernier a vécu le « cheval du siècle », Skowronek, dont la lignée a produit plus de 1 000 champions en 15 ans. À noter enfin que les États-Unis possèdent à eux seuls près de 90 % des chevaux de cette race.

Impact culturel

Mythes et légendes

Les chevaux arabes sont au centre de nombreuses légendes, concernant en particulier les étalons et juments fondateurs.

Étalon pur-sang arabe égyptien gris.

Al Khamsa

Un autre légende raconte comment le prophète de l'Islam, Mahomet, a choisi les juments fondatrices de la race sur leur courage, leur résistance et leur loyauté. Il existe plusieurs variantes mais l'une des plus communes dit qu'après un long et pénible voyage à travers le désert, Mahomet dirigea sa harde de chevaux assoiffés vers une oasis. Tous les animaux se mirent alors à galoper en désordre vers le point d'eau et Mahomet leur donna l'ordre de revenir vers lui. Seules cinq juments répondirent à son appel. Pour les récompenser de leur loyauté, il fit de ces juments ses favorites et les nomma Al Khamsa ar Rasul Allah[17], ce qui signifie, les cinq du messager de Dieu. Ces juments devinrent les cinq fondatrices des cinq premières lignées du cheval pur-sang arabe[18],[19]. Bien que Al Khamsa soient probablement des chevaux mythiques sans existence réelle[20], certains éleveurs de pur-sang arabes affirment que les montures modernes des Bédouins descendent de ces juments[21].

Safanad

Une autre légende raconte que le roi Salomon possédait une jument pur-sang arabe nommée Safanad (« la pure »), cadeau des Reines de Saba[20]. Selon Ben Hodeïl dans « La parure des cavaliers et l'insigne des preux » (1365), Salomon aurait donné son célèbre étalon Zâd-er-Râkib (« la provision du cavalier ») aux gens de la tribu Banu Azd lorsqu'ils vinrent payer leur tribut. Cet étalon légendaire est dit plus rapide que le zèbre et la gazelle, chaque expédition de chasse avec lui était couronnée de succès. Les peuples arabes en font un étalon fondateur de légende[20],[22].

Littérature

Black, l'étalon noir de la série de romans jeunesse de Walter Farley, est un cheval arabe.

Chevaux arabes célèbres

Marengo, l'un des pur-sang arabes de Napoléon, vu par Antoine-Jean Gros, 1803.
  • Marengo, l'un des pur-sang arabes de Napoléon.
  • Panama du cassou HN, étalon performer en CSO avec Simon Delestre.
  • Persik, étalon performer en endurance et célèbre reproducteur.
  • Pieraz, hongre d'endurance et second cheval cloné au monde.
  • Skowronek, contesté quant à ses origines pures. Qualifié de « cheval du siècle »[Quand ?], né en 1909 au haras d'Antoniny du comte Potocki, en Pologne. Son père Ibrahim est importé du désert en 1907. Sa mère Yaskolka est l'une des meilleures juments du haras d'Antoniny. Dès sa naissance, il se fait remarquer pour sa beauté et son tempérament joueur d'où son nom « Skowronek » qui signifie « farceur ». Lady Wentworth, la fille de Lady Blunt, fondatrice du Crabbett Park, élevage prestigieux de Pur-sang arabes, l’achète et démarre avec lui une carrière de compétitions. Il remporte de nombreux championnats[Lesquels ?]. Skowronek est aussi un reproducteur. Rares sont les haras dont les chevaux peuvent se prévaloir de l'avoir Skowronek dans leur ascendance.

Notes et références

  1. a et b Sevestre et Rosier 1983, p. 119
  2. François Pouillon, « À la recherche de la race arabe : cheval et voyage en Arabie centrale au XIXe siècle », Arabian Humanities, 8 | 2017, mis en ligne le 30 avril 2017, consulté le 02 décembre 2018, Lire en ligne ; DOI : 10.4000/cy.3321
  3. Louis Damoiseau, « La grande famille des purs sangs arabes »
  4. Voir à ce sujet la mission d'achat de l'inspecteur des haras Rieu de Madron
  5. Gérard Klein (trad. de l'anglais), Les plus beaux chevaux du monde, Paris, Michel Lafon, , 256 p. (ISBN 978-2-7499-0354-5, BNF 40081997), p. 44
  6. a b c et d Michel Henriquet et Alain Prevost, L'équitation, un art, une passion, Paris, Seuil, , 319 p.
  7. a et b Bataille 2008, p. 38
  8. http://www.cfpli.com/index_htm_files/DEPECHE%20VETERINAIRE%20HYPERTYPE.pdf
  9. (en) Gail Stewart, The Arabian Horse, Capstone, , 48 p. (ISBN 978-1-56065-244-1), p. 35
  10. Edwards 2006, p. 40-41
  11. (en) M. Promerová, L. S. Andersson, R. Juras et M. C. T. Penedo, « Worldwide frequency distribution of the ‘Gait keeper’ mutation in the DMRT3 gene », Animal Genetics, vol. 45, no 2,‎ , p. 274–282 (ISSN 1365-2052, DOI 10.1111/age.12120, lire en ligne, consulté le ).
  12. Nancy S. Loving, Tenir la distance : Tout sur le cheval d'endurance, Actes Sud, , 350 p. (ISBN 978-2-7427-4277-6), p. 11-47
  13. a et b Collectif 2002, p. 59.
  14. a b c et d Collectif 2002, p. 60.
  15. Doriane Federspiel, « Une journée avec... un cheval arabe de show », Cheval magazine, no 517,‎ , p. 64-65
  16. « Présentation de l'association », sur AFAC : Association Française du Cheval Arabe de Course (consulté le )
  17. Le Pur-Sang Arabe, collection Chevaux d'exception, édition Atlas
  18. (en) Al Khamsa, « Al Khamsa The Five », Al Khamsa, Inc. (consulté le )
  19. (en) Rosemary Archer, The Arabian Horse, J.A. Allen, , 150 p. (ISBN 978-0-85131-549-2), p. 92-93
  20. a b et c Upton et Amirsadeghi 2006.
  21. (en) Patti Schofler, Flight Without Wings : The Arabian Horse and the Show World, The Lyons Press, , 304 p. (ISBN 978-1-59228-800-7), p. 3-4.
  22. (en) Chamberlin, Horse How the Horse Has Changed Civilizations, ОЛМА Медиа Групп,‎ , 208 p. (ISBN 978-1-904955-36-8), p. 166-167

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

Ouvrages et articles spécialisés

  • René Julian Chatelain, Mémoire sur les chevaux arabes : projet tendant à augumenter et à améliorer les chevaux en France..., Librairie de Madame Huzard, , 158 p. (lire en ligne)
  • Denis Bogros et Nicole De Blomac, L'Arabe, premier cheval de sang, Paris, Crépin-Leblond,
  • Philippe Barbié de Préaudeau, Le cheval arabe : des origines à nos jours, Les Éditions du Jaguar, , 218 p. (ISBN 978-2-86950-358-8)
  • Peter Upton et Hosseïn Amirsadeghi, Le Pur-Sang Arabe : Histoire, Mystère et Magie, Actes Sud, (ISBN 978-2-7427-6439-6) Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Emission Equidia,"Prince du désert,une beauté parfaite.
  • La parure des cavaliers et l'insigne des preux écrit en 1365 par Ali Ben Abderrahman Ben Hodeïl el Andalusy pour le sultan Mohamed V, traduction française : Louis Mercier, Librairie Paul Geuthner, 1924. Rare ouvrage sur l'origine du Pur-sang arabe.

Ouvrages généralistes

Liens externes