Montgibaud
Montgibaud | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Corrèze | ||||
Arrondissement | Brive-la-Gaillarde | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Lubersac-Pompadour | ||||
Maire Mandat |
Alain Marsat 2020-2026 |
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Code postal | 19210 | ||||
Code commune | 19144 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montgibaudois, Montgibaudoises | ||||
Population municipale |
244 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 31′ 11″ nord, 1° 25′ 24″ est | ||||
Altitude | Min. 324 m Max. 474 m |
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Superficie | 13,99 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Uzerche | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Montgibaud (Mont Gibaud en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine. Son nom vient de la forme gibeuse de la colline.
Géographie
Localisation
Montgibaud est située dans le Massif central à proximité de Lubersac et de Meuzac, non loin de l'autoroute A20. C'est une commune limitrophe avec le département de la Haute-Vienne.
Communes limitrophes
Hydrographie
Le ruisseau de la Boucheuse après avoir traversé le territoire de la commune de Meuzac alimente l'étang de Cherchaud. Cet étang est une retenue d'eau, la plus ancienne connue dans les environs, l'étang est déjà cité dans les cartulaires de l'abbaye de Vigeois au XIIe siècle, il est possédé en indivis par les maîtres du Castrum de Bré, les Breno et leurs miles. À la suite de donations à l'abbaye d'Aureil, l'étang de Cherchaud était une possession du prieuré-cure de Montgibaud. Au XVIIIe siècle, la retenue d'eau permettait d'actionner les soufflets d'une forge. La Boucheuse à cet endroit traverse un val profond surmonté à la sortie de l'étang par des collines à pic. La Boucheuse et l'étang sont entourés de puys aux sommets arrondis sur lesquels sont construits des petits villages existants au XIIe siècle.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lubersac », sur la commune de Lubersac, mise en service en 1988[8] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 152,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 39 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 11,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Montgibaud est une commune rurale[Note 5],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (87,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (73,1 %), prairies (10,1 %), forêts (7 %), terres arables (6,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Montgibaud est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Boucheuse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1992, 1993, 1999 et 2001[23],[21]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Monceaux-sur-Dordogne - Bassin de la Dordogne », approuvé le [24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 171 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 sont en en aléa moyen ou fort, soit 1 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval des barrages de Bort-les-Orgues, du Chastang, de Marcillac, d'Enchanet et de Hautefage, des ouvrages de classe A[Note 6] soumis à PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[28].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Montgibaud est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].
Toponymie
Histoire
L'histoire de la paroisse et des villages du Xe siècle à la Révolution.
L'histoire de la commune de Montgibaud est liée au castrum de Bré (actuelle commune de Coussac-Bonneval) et à l'abbaye d'Aureil. Le castrum se dressait au nord de l'actuel village de Bre sur un piton rocheux dominant la Boucheuse non loin du village de Royer.
Aux XIe, XIIe et XIIIe siècles les membres 'de l'antique famille de Breno et les chevaliers du castrum firent de nombreux dons à l'abbaye de Vigeois (créé par les Bré) et à l'abbaye d'Aureil.
Une riche famille d'alleutiers - les Las Rasas - firent au XIe siècle d'importants dons de terres à l'abbaye d'Aureil. Umberga Las Rasas donna de nombreuses manses et borderies dépendant de sa villa de Selumnac située non loin de Bré et où se trouve sa maison (domus). Ce don est important, on peut supposer que la dame Umberga se fit moniale et que ce don constitua sa dot. Son frère Petrus compléta ce don en donnant tout ce qui reste de son alleu depuis le pont de Bré sur la voie Lemovicina jusqu'à la Nouaille. La même année Stephanus Las Rasas donna par amour pour sa fille Pétronille future servante de Dieu, sa borderie de La Nouaille. La villa Selumnac et toutes les terres données se trouvaient dans la paroisse de Meuzac. La villa Selumnac se situait près du pont de Bré, elle est devenue le lieu-dit de Sauvignat situé sur les rives de la Boucheuse. Les Las Rasas dont la villa jouxtait le castrum de Bré n'étaient pas des milites, bien positionnés en terres, ils semblent plutôt être leurs égaux.
La via Lemovicina reliait l'abbaye Saint-Martial aux vignobles de Voutezac (actuelle Corrèze), elle partait de Limoges, passait par Château-Chervix, enjambait la Boucheuse au pont de Bré, continuait au pied de la colline de la forteresse de Bré, rejoignait Lubersac par la Chapelle-Antie puis Pompadour... L'abbaye possédait des prieurés dans tous ces lieux. La via lemovicina était une sorte de route du vin limousine.
Les dons de terres furent si nombreux que l'abbaye d'Aureil créa à Montgibaud un prieuré-cure. Le prieur de Montgibaud en tant que prêtre assurait un service spirituel mais il était aussi un seigneur foncier au sens médiéval du terme qui possédait de nombreux villages, l'étang de Cherchaud, les moulins des Prêtres (actuel moulin Brûlé) et du Prieur, le village et tènement de La Boulessie.
Le prieur de Montgibaud officiait avec l'autorisation du curé de Meuzac. pour les villages proche de Montgibaud qui relevaient alors de la paroisse de Meuzac : La Joubertie, La Crocherie, la Vidalie et même parfois pour le village proche de Royer.
Héraldique
Blason | D'argent à un laurier de sinople mouvant d'un croissant de sable. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33]. En 2021, la commune comptait 244 habitants[Note 7], en évolution de +1,67 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %). |
Lieux et monuments
- le tilleul de Sully, planté à la demande du premier ministre d'Henri IV, endommagé par la tempête de 1999 ;
- le château de la Joubertie ;
- L'église Saint-Martial, ancien prieuré de l'abbaye d'Aureil.
Montgibaud dans la littérature
Montgibaud est citée (orthographiée « Mongibaud ») dans le poème d’Aragon, Le conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[36].
Personnalités liées à la commune
Louis Texier-Olivier, (1764-1849), haut fonctionnaire et homme politique français, préfet et député.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[27].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Lubersac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Montgibaud et Lubersac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Lubersac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montgibaud et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Montgibaud », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « PPRI Monceaux-sur-Dordogne - Bassin de la Dordogne », sur le site de la préfecture de Corrèze (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Montgibaud », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- Site de la préfecture, consulté le 20 août 2008
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375