Coussac-Bonneval

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Coussac-Bonneval
Coussac-Bonneval
Vue sur le château.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Saint-Yrieix
Maire
Mandat
Philippe Sudrat
2020-2026
Code postal 87500
Code commune 87049
Démographie
Population
municipale
1 287 hab. (2021 en diminution de 2,28 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 30′ 43″ nord, 1° 19′ 30″ est
Altitude Min. 280 m
Max. 454 m
Superficie 66,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Yrieix-la-Perche
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Eymoutiers
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Coussac-Bonneval

Coussac-Bonneval (Coçac en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Coussacois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Situation de la commune de Coussac-Bonneval en Haute-Vienne.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et limousin[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 137 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Yrieix-la-Perche à 9,44 km à vol d'oiseau[6], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 130,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Coussac-Bonneval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Yrieix-la-Perche, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (53,2 %), forêts (26,6 %), prairies (14,9 %), terres arables (2 %), zones urbanisées (1,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %), cultures permanentes (0,5 %), eaux continentales[Note 3] (0,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Coussac-Bonneval est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Coussac-Bonneval.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. 10,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1997 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Coussac-Bonneval est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Durant la Révolution, la commune porte le nom de Coussac-sans-Culottes[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

À partir du Ve siècle av. J.-C., les Gaulois Lémovices exploitèrent près d'une vingtaine de mines d'or dans le nord de la commune actuelle[22], mines qui se situaient au sein du district minier de Saint-Yrieix-la-Perche. L’exploitation de ces mines a été arrêtée après la conquête romaine[23].

Blasonnement[modifier | modifier le code]

Blason de Coussac-Bonneval Blason
D'azur au lion d'or armé et lampassé de gueules[24].
Détails
Armes du chevalier de Bonneval.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1792 1795 Jean Laporte    
1795 1796 Jean Paignon    
1796 1797 Jean Laporte    
1797 1799 Louis Lapeyroux    
1799 1816 Pierre Guilhaumaud    
1816 1830 Bernard-Auguste du Burguet de Chauffaille   dit Auguste Chaufaille
1830 1831 Izaac Maleyx   Notaire
1831 1844 Jean-Baptiste Maleyx    
1844 1869 Jacques Bugeaud de Labastide    
1869 1870 Pierre Lucien Bordas    
1870 1874 Antoine Arsène Dunoyer    
1874 1876 Almer Guilhaumaud d'Arfeuille    
1876 1877 Antoine Arsène Dunoyer    
1877 1888 Pierre Roux    
1888 1903 Jean Freysselinard    
1903 1904 Jean Bayle    
1904 1914 Joseph Féral    
1914 1918 Charles Pestre    
1918 1919 Yrieix Plantadis    
1919 1941 Henri Plantadis    
1941 1944 René Vaugelade    
1944 1945 Claude Febre    
1945 1953 Maurice Audrerie   Ancien résistant
1953 1959 Léonard Maytraud   Agriculteur
1959 1965 Roger Lacotte    
1965 1971 Maurice Thomas   Professeur puis directeur au collège de Saint-Germain-les-Belles
1971 1987 Marcel Thoumieux   Directeur des écoles de Coussac
1987 2014 Guy Furelaud   Entreprise plomberie/chauffage
2014 En cours Philippe Sudrat   Boulanger retraité

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 1 287 habitants[Note 5], en diminution de 2,28 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 3632 2242 3422 7112 9363 0132 8033 1523 007
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 1453 0703 2733 2463 4123 5083 5973 4833 672
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 6723 5813 5053 1543 0803 0102 8042 6352 331
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 1552 0081 7231 6051 4471 3791 3501 3301 314
2021 - - - - - - - -
1 287--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château de Bonneval[28] qui rassemble les architectures médiévale, Renaissance et classique.
  • L'église Saint-Saturnin. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1978[29].
  • La lanterne des morts[30].
  • La motte castrale du château de Bré, au hameau de Bret[31]. La seigneurie de Bré existait sans doute depuis le XIVe siècle, elle est encore citée dans des actes officiels à la veille de la Révolution. Bré est dite enclave de Montgibeau en 1785. Elle change plusieurs fois de seigneurs : Les vicomtes de Limoges en font don aux Maulmont dont les héritiers l'échangent vers 1307 avec le roi Philippe V contre la seigneurie de Tonnay-Boutonne. Philippe V en fit don à son bouteiller Henry de Sully en 1317. Acquise par la famille Aubert qui la conservera 130 ans, la seigneurie est vendue par la veuve de Jacques Aubert, Catherine de Chaseron à Geoffroy Hélie de Pompadour en 1490. La baronnie de Bret restera dans la famille de Pompadour jusqu'à la mort (1726) de Marie-Françoise de Pompadour, épouse du marquis François-Marie de Hautefort. À la mort de Françoise-Augustine de Choiseul, filleule et héritière des biens de Marie-Françoise de Pompadour, son héritier le comte d'Alais hérite des seigneuries de Pompadour et de Bret. À la mort de celui-ci, son héritier le prince de Conti, vend Pompadour et Bret à Jeanne Poisson, maîtresse du roi Louis XV, dite Madame de Pompadour, qui les revend en 1760 au sieur Laborde. Le , le duc de Choiseul, parent d'Augustine-Françoise de Choiseul échange les seigneuries de Pompadour et de Bret avec le roi Louis XV. Sur le plan napoléonien, des parcelles no 349, 355, 394 portent le nom de Haras Royal. Le haras de Pompadour existait dès le XVIIe siècle fondé par François-Marie de Hautefort, époux de Marie-Françoise de Pompadour.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Claude-Alexandre de Bonneval (1675-1747) y naquit. Après avoir servi Louis XIV et l'empereur d'Autriche, il se convertit à l'Islam et réorganisa l'armée du sultan qui lui conféra le titre de pacha. Il mourut à Constantinople en 1747.
  • Jean-Louis Paguenaud, pseudonyme de Jean-Philippe Paguenaud (1876-1952), est un peintre français.

Jumelage[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Nom des habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Carte IGN sur Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Coussac-Bonneval et Saint-Yrieix-la-Perche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Yrieix la Pe » (commune de Saint-Yrieix-la-Perche) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Yrieix la Pe » (commune de Saint-Yrieix-la-Perche) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Yrieix-la-Perche », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Coussac-Bonneval », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Béatrice Cauuet, L'Or des Celtes du Limousin, Limoges : Culture et patrimoine en Limousin, coll. Archéologie, 2004, (ISBN 2-911167-37-6), p. 25.
  23. Cauuet, op. cit., p. 33.
  24. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Mérimée : Château », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
  29. « Eglise Saint-Saturnin », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Mérimée : Lanterne des Morts », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
  31. « Le château de Bré », sur le site Limousin médiéval, (consulté le ).