Jean Charles L'officier
Chef d'entreprise | |
---|---|
Vice-président Lafarge | |
Directeur général Lafarge |
Naissance | |
---|---|
Décès |
(à 60 ans) Paris |
Nom de naissance |
Jean Théodore Alfred Pierre François Charles Lofficier |
Nationalité | |
Formation | |
Activité | |
Famille | |
Père | |
Parentèle |
Louis Lanafoërt (arrière-arrière-grand-père) Elmire Lanafoërt-Doat (arrière-grand-mère) Jean François Doat (arrière-grand-père) Louise Doat-Sabail (grand-mère) Alfred Sabail (grand-père) Alexandre Magenc (cousin) Léontine de Mibielle (cousine) |
Grade militaire | |
---|---|
Conflit | |
Distinction |
Jean Charles L'officier[1] ou Lofficier, né le à Hanoï, (Tonkin, Indochine française), et mort le à Neuilly-sur-Seine est un chef d'entreprise français.
Il fut vice-PDG du Groupe Lafarge.
Biographie
Origine et famille
Descendant et héritier d'une famille de robe de Gascogne qui remonte au XIIIe siècle, les Lanafoërt-Doat[2], et les de Sabail, il est le frère de Charlotte Chapelain L'officier (1910-2001), et fils de Henriette (de) Sabail (1880-1962)[3], petit-fils d'Alfred (de) Sabail, et arrière-petit-fils d'Elmire Lanafoërt-Doat (1809-1880) et arrière-arrière-petit-fils de Louis Lanafoërt (1782-1819). Il est cousin de la famille de Sadirac de Montesquiou, de Villeneuve, Dehon-Dahlman , Dareau-Laubadere, Ducuing et de Jean Cavaillès.
-
Charlotte Chapelain L'officier (1910-2001), sa sœur, 1934, Paris, Studio Harcourt , collection particulière.
-
Henriette Sabail L'officier (1880-1962), sa mère, épouse de Pierre Marius L'officier, collection particulière.
-
Christophe Chapelain L'officier, son petit neveu, héritier de la dynastie, collection particulière.
Il fit ses études à l'université de Paris[4] et fut licencié en droit[5], suivant la tradition familiale. Il est nommé chevalier de l'ordre souverain militaire et hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte.
La Seconde Guerre mondiale et les cadets de Saumur
Élève officier, puis lieutenant, durant la Seconde Guerre mondiale, à l'école de cavalerie de Saumur[6], dans la 5e compagnie du train, il participe[7] héroïquement[8],[9], à la tête de sa brigade (la 34e, la brigade L'officier[10],[11]) à la défense de la Loire et de Saumur. Il fait partie des fameux Cadets de Saumur[12],[13]. Il est titulaire de la croix de guerre 1939-1945.
Une carrière internationale dans le monde des affaires
Après la Seconde Guerre mondiale, il fut directeur financier[14], puis président[15] du Bon Marché à Paris, puis secrétaire général de la Société Poliet et Chausson[16]. Il entra rapidement au sein du Groupe Lafarge en 1950 sous la direction de Marcel Demonque, qui lui confia le développement du groupe à l'international.
Président de Lafarge Maroc (1950-1955)
Il commença par le Maroc en créant en 1950 pour Lafarge[17], la Société des ciments artificiels de Mecknes (CADEM) et en 1953[18], la deuxième cimenterie du pays. Très vite, la filiale du Maroc représenta, en 1955, 35 % de la production totale du groupe Lafarge[19].
Président de Lafarge Canada (1956-1961)
Puis Marcel Demonque lui confie le marché nord-américain, au travers d'une filiale constituée pour l'occasion en 1956, sous le nom de Lafarge Cement of North America (LCNA), installée d'abord à Vancouver puis à Montréal, où il eut pour adjoint Olivier Lecerf, futur patron de Lafarge[20],[21],[22]. Elle est cotée à la bourse de Toronto. Il en est président de 1956 à 1961. Il est resté jusqu’en 1971, administrateur de la chambre de commerce France-Canada.
Président de Lafarge Brésil (1961-1963) et de l'ensemble des filiales du groupe (1961)
Jean Charles L'officier obtient, en 1961, la direction de l'ensemble des filiales du groupe à l'étranger[23],[24],[25]. En 1971, Lafarge réalisa plus de 50 % de son chiffre d'affaires à l'étranger[26], il développa et présida notamment de 1961 à 1963 la filiale Lafarge au Brésil et y résida plusieurs mois entre 1961 et 1963.
Vice-président et directeur général du groupe Lafarge
Enfin, L'officier fut nommé vice-président[27] et directeur général[28] du groupe Lafarge en 1968[29],[30],[31]. Il devait prendre la présidence du groupe Lafarge[32] en remplaçant Marcel Demonque, mais une grave attaque cérébrale en mit un terme à sa carrière[33]. En désespoir de cause, le président Demonque appela Olivier Lecerf pour le remplacer. Il fut pressenti quelques mois avant son accident cérébral pour prendre la succession de Paul Huvelin, président du Conseil national du patronat français (CNPF), mais son accident mit fin à ce projet[34].
Vie privée
Gascon d'origine, baptisé le à Plaisance du Gers[35], il tenta de reconstituer le patrimoine historique familiale en essayant de racheter les deux châteaux familiaux, Lannafoert[36] à Lasserade et Montus[37] à Castelnau Rivière Basse. Il échoue pour Montus pour des raisons de jalousie familiale[38], puis il entreprend de construire une chartreuse, à Couloumé-Mondebat, la Bergerie. Cette propriété sera vendu en 1981[39], par sa veuve "Manette" L'officier à une branche de la famille propriétaire de la maison de champagne Philipponnat[40]. Il permet à la ville de Plaisance du Gers, d'avoir sa piscine, en fournissant gratuitement le ciment[41]. Cousin du peintre, Alexandre Magenc, Il est un ami du sénateur Abel Sempé. Il reçut également à Plaisance, dans l'hôtel particulier familial Lanafoërt-Chapelain, en 1968 et 1970, son ami Pierre Trudeau[42], alors Premier ministre du Canada, et James Sinclair, ministre du Canada et parlementaire, pour des vacances privées et pour assister en 1970 au baptême de son petit neveu, Christophe Chapelain L'officier[43].
Il se marie à Antoinette Marie Simon (1904-1993)[44],[45], dit "Manette", propriétaire de la briqueterie Petit Jean à Meknès, originaire de Nancy et fille de Gustave Louis Simon (1868-1926), maire de Nancy et entrepreneur[46]. Il n'a pas de descendance, et fait de son neveu, Pierre Chapelain L'officier son héritier (1937-2018).
Notes et références
- Le fonctionnaire de l'état civil à Hanoï a omis l'apostrophe du nom L'officier et il est indiqué Lofficier à la place de L'officier, orthographe initiale sur l'acte de naissance de son père, le capitaine Pierre Marius L'officier (acte de naissance de Pierre Marius L'officier (1872-1916), Périgueux le 28 octobre 1872, carnet militaire et diplôme de la Légion d'Honneur. )(Archives nationales (France), base de données Léonore). De même, sur son acte de baptême en date du 14 août 1920 à Plaisance du Gers, il est bien indiqué Jean Théodore Alfred Pierre Charles L'officier. [Certificat de Baptême, copie en date du 12 mai 1938, Paroisse de Plaisance du Gers, année 1938, folio 4.]
- Sa grand-mère, Louise Doat, est l'arrière petite-fille de Jean-Marie Doat, conservateur des hypothèques d'Eauze, petit-fils de Jean Baptiste Doat (1732-1792), conseiller du roi, juge en chef et magistrat Royal à Eauze, époux de Jeanne de Mibielle et arrière petit-fils de Jacques Doat, conseiller du roi, avocat en parlement, 1er consul d'Eauze en 1727, cousin de Jean de Doat, président de la Chambre des comptes de Navarre, et auteur de la Collection Doat (1663-1670), sur l'histoire des provinces du Sud-Ouest de la France, d'abord conservée dans la bibliothèque Colbert puis acquise en 1732 par la Bibliothèque du roi avec les autres manuscrits du célèbre ministre. Le blason des Doat fut enregistré en 1696 dans les registres de Charles d'Hozier, cela lui coûta 20 livres plus les frais d'enregistrement (Armorial des Landes, tome II, 1865, écrit par le Baron de Cauna, gallica.bnf.fr). Son arrière-grand-mère, Josephe Elmire Lanafoërt, est la dernière des Lanafoërt, qui font partie de la noblesse de robe, depuis une lettre patente de Henri IV, en date du 11 février 1592. Enfin, sa mère Henriette (de) Sabail, est l'arrière petite-fille de François de Sabail (1730-1785), conseiller du roi et son lieutenant en Rivière-Basse (acte de naissance en date du d'Alfred Sabail (1840-1927), son père, né au château Montus, Castelnau en Rivière-Basse (BNF-GALLICA, Rapports et délibérations - Gers, Conseil Général, Auch, 1848, bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, 8-LK16-1472).
- Extrait de l'acte de décès d'Henriette (de) Sabail, en date du , registre 1962, folio 29, Mairie de Plaisance du Gers. Henriette (de) Sabail, dont la particule a disparu à la Révolution, est la fille d'Alfred (de) Sabail (1840-1927), notaire et maire de Plaisance et est la descendante de François de Sabail (1730-1785), conseiller du roi et son lieutenant en Rivière-Basse.
- Le petit journal Parti social français, « Du pont de Bercy au point du jour, accidents de la rue », le Petit Journal, (Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France, "jean Charles Lofficier").
- De Alain Chatriot, Danièle Fraboulet, Patrick Fridenson, Hervé Joly, Dictionnaire historique des patrons français, Paris, Flammarion, , 1617 p. (ISBN 978-2-08-125516-6, lire en ligne), fiche bibliographique Marcel Demonque (1900-1974),https://books.google.es/books?hl=fr&id=EUqRLUIkuugC&=marcel+demonque&q=marcel+demonque#v=snippet&=marcel%20demonque&f=false, dernier et avant dernier paragraphe..
- Colonel Rémy, La résistance française a commencé le 3 septembre 1939., Paris, Plon, (ISBN 978-2-259-00437-4), p. 132.
- Robert Milliat, Le dernier Carrousel : Défense de Saumur 1940, Paris, Arthaud, .
- Pierre Nord et Guy Arnoux, Le sacrifice des cadets de Saumur, Paris, Édition du Masque, 32 décembre 1946, 153 p. (ISBN 978-2-7062-6939-4, lire en ligne), p. 44,45,62,64,69.
- Pierre Nord et Guy Arnoux, Le sacrifice des Cadets de Saumur, p. 43 : « il a bien fallu que l'ennemi se soit laissé tromper, subjuguer et dominer, dans un duel où, pour une fois, au siècle du matériel, les forces morales l'emportent sur la matière […] où les brigades d'E.A.R du train des lieutenants Maure et Lofficier se battent bravement ».
- Bruno Destour, « Le dernier Caroussel ou la résistance des cadets de Saumur », www.chronicus.com, la Seconde Guerre mondiale, les dossiers., , Partie 2, page 2 la brigade Lofficier Partie 3, page 4 déroulement de la Bataille (www.chronicus.com).
- Bruno Destour, , Les cadets de Saumur, , Partie 3, p. 4, récits de la bataille : « par suite du débordement à leur droite, les Brigades des Lieutenants MAURE et LOFFICIER replient leur groupe de combat. […] Liaison prise […] des lieutenants Maure et Lofficier. […] Les Lieutenants MAURE et LOFFICIER se replient à minuit sur Vihiers […] ».
- Patrick de Gmeline, Les Cadets de Saumur, juin 1940, Paris, Presses de la Cité, , 397 p. (ISBN 978-2-258-03476-1), p.383 la 34e Brigade du sous-lieutenant L'officier.
- Guillaume Berteloot et Patrick de Gmeline, Avec les Cadets de Saumur, le vents de l'histoire, Paris, Éditions du Triomphe, , p.132.
- « Au Bon Marché, extrait du journal L’Économie, mars 1950 », sur www.entreprises-coloniales.fr, mise en ligne le 18 octobre 2014, dernière modification 5 août 2018, page 22..
- Au Bon Marché, extrait du journal L'Économie, avril 1950.
- Léon Dubois, Lafarge coppée, 150 ans d'industrie, Paris, Belfond, , 321 p. (ISBN 2-7144-2146-6), p. 61.
- Acte notarié du , Archives Groupe Lafarge Paris, année 1950, folio 4 pages 12.
- « notre histoire », sur lafargeholcim maroc.
- Dominique Barjot, Lafarge : l'ascension d'une multinationale à la française (1833-2005). Relations internationales 2005/4 (n 124)., Paris, page 25.
- Dominique Barjot, « Lafarge : l'ascension d'une multinationale à la française (1833-2005). », relations internationales 2005/4 (n 124), pages 27, .
- (en) Dominique Barjot, (dominique.barjot@paris-sorbonne.fr) is professor of economic history,University of Paris-Sorbonne (Paris IV), « The Americanization of the European Cement Industry: Lafarge in Comparative Perspective,from Fashion to a Structural Change », Business and Economic History on line., vol 7, 2009 (lire en ligne) ;
- extrait article de la conférence de Dominique Barjot, Business and Economic History on-line : « Such was the origin of Lafarge Cement of North America (LCNA), formed in April 1956, placed under the guidance of Jean-Charles Lofficier, and floated on the Toronto Stock Exchange. Under Lofficier’s leadership, the new firm was able to hold its own in a sluggish market and against the fierce competition put in its way by APCM. Aided by chair Frank Ross, then governor of British Columbia, LCNA soon availed itself of American management techniques (including the concept of the “break-even point”). LCNA then took over two major ready-mix operations. »
- Alain Chatriot, Danièle Fraboulet, Patrick Fridenson et Hervé Joly, Dictionnaire historique des patrons français, Paris, Flammarion, , 1617 p. (ISBN 978-2-08-125516-6, lire en ligne), voir la page de la Fiche bibliographique de Marcel Demonque (1900-1974) https://books.google.es/books?hl=fr&id=EUqRLUIkuugC&=marcel+demonque&q=marcel+demonque#v=snippet&=marcel%20demonque&f=false, dernier et avant dernier paragraphe..
- British Columbia Archival Union List (BCAUL), James Sinclair Fonds, (1908-1984) ancien ministre canadien, ancien administrateur de Lafarge Cement of north America (c’est le grand_père maternel de l'actuel premier ministre canadien Trudeau). The library of the University of Bristish Columbia Special Collection Division. Échange de correspondance du 30 novembre, 4 décembre, et avec Jean Charles l’officier. Il travaillait sous les ordres de Jean Charles L’officier au Canada.
- Le Soleil (Québec), p.1, 11 septembre 1965, sur un investissement de 35 millions de Dollars de Lafarge au Quebec.
- Philippine Donnelly, « Lafarge, une entreprise familiale devenue un groupe mondial », La Croix, .
- (en) S. Low, Marston & Company, Jane's Major Companies of Europe, Volume 8, University of Minnesota, S. Low, Marston & Company, (ISBN 978-0-354-00101-4), p. 17.
- Jean Fombonne, Personnel et DRH : l'affirmation de la fonction personnel dans les entreprises, France, 1830-1990, Université du Michigan, Vuibert, , 777 p., p. 365.
- Alain Chatriot, Danièle Fraboulet, Patrick Fridenson et Hervé Joly, Dictionnaire historique des patrons français, Paris, Flammarion, , 1617 p. (ISBN 978-2-08-125516-6, lire en ligne), Fiche Bibliographique Marcel Demonque, dernier et avant dernier paragraphe.
- Revue de la Chambre de Commerce française au Canada, numéro 615, décembre 1970, page 5 et 6 (voir photographie). (numerique.banq.qc.ca).
- Léon Dubois, Lafarge coppée, 150 ans d'industrie, Paris, Belfond, , 321 p. (ISBN 2-7144-2146-6), p. 97.
- (en) Christian Staller, Enduring Sucess : what we can learn from the history of outstanding corporations, Stanford, Stanford Business Books, p157.
- Mireille Rusinak, Les bons, les brutes et les autres : les grands Patrons, comment ils ont pris le pouvoir et comment ils l'ont gardé., Paris, Belfond, , 324 p. (ISBN 978-2-7144-6472-9), pages 234-235.
- Entre 1950 et 1956, Jean Charles L'officier fut le délégué général du syndicat des fabricants de ciments, et de ce fait membre de droit de la direction du CNPF français (cf. Alain Chatriot, Danièle Fraboulet, Patrick Fridenson, Hervé Joly, « Marcel Demonque », in Dictionnaire historique des patrons français, Flammarion, 2010.
- Registre de la paroisse de Plaisance, certificat de baptême, copie en date du , paroisse de Plaisance du Gers, année 1938, folio 4.
- il est l'arrière arrière petit fils de Elmire Lanafoert-Doat et de Jean François Doat. Il existe toujours en 2019, un lieu-dit Lannafoert, à Lasserade, où il n'existe plus que les ruines d'une tour issues de la Gentilhommière Lannafoërt et quelques dépendances d'origine. Longitude : 00.03.05.8 E latitude : 43.38.39.2 N
- Son grand père, Alfred Sabail, né au château Montus, l'a élevé avec sa mère, à la suite du décès de son père, Pierre L'officier à Verdun. Les Sabails furent propriétaire jusqu'à la fin des années 1970 du Château Montus, avant sa vente aux enchères publiques à Alain Brumont. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques ( Pau), famille SABAIL, à Castelnau Rivière Basse, année 1950 à 1966. Une partie des archives de la famille Sabail fut achetée par les départements des Pyrénées-Atlantiques et des Hautes-Pyrénées, compte tenu de leurs intérêts historiques
- Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques ( Pau), famille SABAIL, année 1950 à 1966, échanges de correspondances entre Paul Sabail, propriétaire du Château Montus et son cousin, Jean Charles L'officier, 1958.
- Minute notariale en date de 1981, concernant la vente de la propriété "la Bergerie" sis à Couloumé-Mondebat, par Madame Antoinette Marie Simon, veuve L'officier. Archives notariales du Gers, commune de Couloumé-Mondebat
- « Mon beau village, acteur de la commune »
- Archives Groupe Lafarge, direction des opérations, 1959, Bon de livraison du ciment, département du Gers et archives municipales, Plaisance du Gers, 1959.
- Léon Dubois, Lafarge coppée, 150 ans d'industrie, Paris, Belfond, , 321 p. (ISBN 2-7144-2146-6), p. 301.
- British Columbia Archival Union List (BCAUL), James Sinclair Fonds, (1908-1984) ancien ministre canadien, ancien administrateur de Lafarge Cement of north America (c’est le grand-père maternel de l'actuel premier ministre canadien Justin Trudeau). The library of the University of Bristish Columbia Special Collection Division. Échange de correspondance du 11 février 1970 et 1er mai 1970, avec Jean Charles l’officier. Il travaillait sous les ordres de Jean Charles L’officier au Canada.
- Philippe Nivet, Olivier Forcade (dir.), Les Réfugiés en Europe : Du XI au XXe siècle, Nouveau monde éditions,
- Léon Dubois, Lafarge coppée, 150 ans d'industrie, Paris, Belfond, , 321 p.
- « Antoinette Marie SIMON », sur gw.geneanet.org