Gaspard G
Pour les articles homonymes, voir Gaspard.
L'admissibilité de cette page est à vérifier ().
Motif : aucune source permettant de vérifier la notoriété. A part un article du Figaro, les autres articles concernant deux buzz, ce n'est pas suffisant à mon goût (sans évoquer les autres articles de la PQR.
Vous êtes invité à compléter l'article pour expliciter son admissibilité, en y apportant des sources secondaires de qualité, ainsi qu'à discuter de son admissibilité. Si rien n'est fait, cet article sera proposé au débat d'admissibilité un an au plus tard après la mise en place de ce bandeau.| 1. | Préciser le motif de la pose du bandeau. | Précisez le motif de la pose du bandeau en utilisant la syntaxe suivante :
{{admissibilité à vérifier|date=juillet 2024|motif=remplacez ce texte par le motif}} |
|---|---|---|
| ou | Créer l'espace de discussion. (cette méthode est préférable) |
Créez une section "Admissibilité" en page de discussion de l'article en y précisant le motif de la pose du bandeau. Dans ce cas, utilisez la syntaxe suivante :
{{admissibilité à vérifier|date=juillet 2024|motif=pdd}} |
| 2. | Informer les utilisateurs concernés. | Pensez à avertir le créateur de l'article, par exemple, en insérant le code ci-dessous sur sa page de discussion :
{{subst:avertissement admissibilité à vérifier|Gaspard G}}
|
| Naissance | |
|---|---|
| Pseudonyme |
Gaspard G |
| Nationalités | |
| Activités |
Gaspard Guermonprez, dit Gaspard G, né le à Lille, est un entrepreneur et vidéaste franco-canadien.
Il se fait connaître grâce à ses vidéos sur YouTube et Facebook.
Biographie
Origines et études
Né à Lille, dans le Nord de la France, Gaspard Guermonprez a fréquenté un établissement catholique à l'éducation stricte à laquelle il se sentait étranger, victime de harcèlement pendant ses années collèges, il témoigne et dénonce dans une tribune dans La Voix du Nord en octobre 2016 [1], l’immobilisme de son ancien établissement. En 2014, à 16 ans, il est déscolarisé, quitte le domicile familial et part vivre à San Francisco aux États-Unis dans une famille d'accueil[réf. nécessaire].
En septembre 2017, il intègre HEC Montréal[2].
Carrière
En 2014, Gaspard commence à poster ses premières réalisations sur sa chaîne YouTube Gaspard G.
Le , il poste une vidéo sur Facebook défendant la suppression des filières du lycée général[3] envisagée par le gouvernement d'Emmanuel Macron, fraîchement élu. La vidéo crée un buzz médiatique, et affiche 4 millions de vues au compteur en une semaine[4]. En février 2018, le ministre de l'Éducation nationale Jean-Michel Blanquer le rencontre afin d'échanger sur le projet de réforme[2].
En janvier 2021, il publie une vidéo sur Instagram dans laquelle il critique l'attitude du gouvernement français vis-à-vis des étudiants dans le contexte de la pandémie de Covid-19[5]. Suivant cette vidéo, le premier ministre Jean Castex s'entretient avec lui au téléphone[6].
Le , Gaspard G devient chroniqueur de l'émission politique Backseat, aux côtés de Jean Massiet, Usul et Léa Chamboncel. Le , il annonce sur Twitter la fin de sa participation à l'émission.
En , il lance l'application Elyze avec François Mari, Grégoire Cazcarra et Wallerand Moullé-Berteaux. Elle vise à faire découvrir aux jeunes les candidats à l'élection présidentielle française de 2022[7].
Notes et références
- Anne-Gaëlle Besse, "Gaspard G balance sur son ancien collège", La Voix du Nord, publié le 7 octobre 2016.
- Anne-Gaëlle Besse, « Gaspard G, 19 ans, interviewe le ministre Jean-Michel Blanquer », La Voix du Nord, publié le 22 février 2018
- Louis Heidsieck, « Gaspard G fait un carton avec une vidéo sur la suppression des filières », Le Figaro, publié le 14 novembre 2017
- Romain Herreros, « EM fait buzzer un YouTubeur qui plaide pour la suppression des filières », Le Huffington Post, publié le 14 novembre 2017
- Margaux Lannuzel, « Le Youtubeur Gaspard G dénonce la "vacuité" des réponses du gouvernement aux étudiants »
, sur Europe 1, (consulté le )
- « Quand Castex appelle un youtubeur pour parler confinement et retour en fac » , sur Le HuffPost, (consulté le )
- Thibault Prévost, « Elyze, le Tinder de l'apolitique » , sur www.arretsurimages.net, (consulté le )
