« Bassac (Charente) » : différence entre les versions
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=== Hameaux et lieux-dits === |
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Le bourg de Vibrac est assez gros. La commune ne comporte que deux hameaux importants : ''Cheville'', dans le nord de la commune, et ''Bassigeau'', près de la route de Jarnac à Châteauneuf au sud-est<ref name="ign"/>. |
Le bourg de Vibrac est assez gros. La commune ne comporte que deux hameaux importants : ''Cheville'', dans le nord de la commune, et ''Bassigeau'', près de la route de Jarnac à Châteauneuf au sud-est<ref name="ign" />. |
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=== Communes limitrophes === |
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{{article connexe|Géologie de la Charente}} |
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Le relief est celui d'une plaine, confondue quasiment avec la vallée de la Charente qui occupe le sud de la commune. Le point culminant est à une altitude de {{unité|38|m}}, situé à Cheville. Le point le plus bas est à {{unité|12|m}}, situé le long du fleuve près du pont de Vinade. Le bourg est à {{unité|18|m}} d'altitude<ref name="ign"/>. |
Le relief est celui d'une plaine, confondue quasiment avec la vallée de la Charente qui occupe le sud de la commune. Le point culminant est à une altitude de {{unité|38|m}}, situé à Cheville. Le point le plus bas est à {{unité|12|m}}, situé le long du fleuve près du pont de Vinade. Le bourg est à {{unité|18|m}} d'altitude<ref name="ign" />. |
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=== Hydrographie === |
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Cette abbaye de bénédictins de l'ordre de [[saint Maur]] avait droit de justice sur Bassac<ref>''Histoire de Cognac, Jarnac, Segonzac'', abbé Cousin, 1882, réédition 2007, {{ISBN|2-84618-496-8}}</ref>. |
Cette abbaye de bénédictins de l'ordre de [[saint Maur]] avait droit de justice sur Bassac<ref>''Histoire de Cognac, Jarnac, Segonzac'', abbé Cousin, 1882, réédition 2007, {{ISBN|2-84618-496-8}}</ref>. |
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Bassac possédait, à l'entrée de la ville, une église paroissiale dédiée à [[Nicolas (diacre)|saint Nicolas]]. C'était une construction remarquable du {{s|XIII|e}}, dominée par un beau clocher à deux étages. Elle a été vendue comme [[bien national]] puis détruite. Il ne reste plus que le mur nord de l'église<ref name="ReferenceA"/>. |
Bassac possédait, à l'entrée de la ville, une église paroissiale dédiée à [[Nicolas (diacre)|saint Nicolas]]. C'était une construction remarquable du {{s|XIII|e}}, dominée par un beau clocher à deux étages. Elle a été vendue comme [[bien national]] puis détruite. Il ne reste plus que le mur nord de l'église<ref name="ReferenceA" />. |
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Après la déclaration de guerre de la France à l'Allemagne le {{date|3|septembre|1939}}, Bassac comme de nombreux villages charentais accueillit des réfugiés de la zone frontalière à l'Allemagne. Ainsi des habitants de [[Rimling]] (Moselle) furent réfugiés pendant près d'un an à Bassac. |
Après la déclaration de guerre de la France à l'Allemagne le {{date|3|septembre|1939}}, Bassac comme de nombreux villages charentais accueillit des réfugiés de la zone frontalière à l'Allemagne. Ainsi des habitants de [[Rimling]] (Moselle) furent réfugiés pendant près d'un an à Bassac. |
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Reconstruction des voûtes de l'abbatiale : en [[1677]] et [[1688]]. Bâtiments conventuels construits de [[1677]] à [[1716]]. |
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On trouve, entre autres, une chapelle du {{XIIIe siècle}} percée d'une baie et couverte d'une voûte d'ogives avec liernes, suivie d'une autre chapelle du {{XVe siècle}}, voûtée seulement sur ogives, ayant une baie à trois meneaux et réseau flamboyant<ref>''Bull. Soc. arch. Charente''; 1881-1881, {{p.|3}}.</ref>{{,}}<ref>''Congrès arch. d'Angoulême'', t.1, 1912, {{p.|398}}.</ref>. |
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=== Patrimoine civil === |
=== Patrimoine civil === |
Version du 14 septembre 2014 à 09:59
Bassac | |
Mairie de Bassac | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Charente |
Arrondissement | Cognac |
Intercommunalité | Communauté de communes de Jarnac |
Maire Mandat |
Nicole Roy 2014-2020 |
Code postal | 16120 |
Code commune | 16032 |
Démographie | |
Gentilé | Bassacois |
Population municipale |
541 hab. (2014) |
Densité | 71 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 39′ 51″ nord, 0° 06′ 20″ ouest |
Altitude | Min. 12 m Max. 38 m |
Superficie | 7,62 km2 |
Élections | |
Départementales | Jarnac |
Localisation | |
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Bassac est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Poitou-Charentes).
Ses habitants sont appelés les Bassacois et Bassacoises[1].
Géographie
Localisation et accès
Bassac est une commune située à 6 km à l'est de Jarnac et 20 km à l'ouest d'Angoulême, dans la vallée de la Charente.
Elle est desservie par la D 22, route de Jarnac à Villebois-Lavalette par Châteauneuf qui longe la Charente sur sa rive droite, et la D 18, d'Échallat et Mérignac à Saint-Même et Segonzac, nord-sud, qui passe aussi au bourg et traverse la Charente.
La route nationale 141 d'Angoulême à Saintes passe à 3 km au nord du bourg[2].
Bassac est aussi à 8 km de Châteauneuf, 3,5 km de Saint-Même.
La gare la plus proche est celle de Jarnac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.
Site Internet de la Mairie : http://www.mairie-bassac.fr
Hameaux et lieux-dits
Le bourg de Vibrac est assez gros. La commune ne comporte que deux hameaux importants : Cheville, dans le nord de la commune, et Bassigeau, près de la route de Jarnac à Châteauneuf au sud-est[2].
Communes limitrophes
Géologie et relief
Le sol de la commune est calcaire et appartient au Purbeckien, ancienne zone lagunaire de la fin du Jurassique supérieur, qui s'étendait vers l'ouest dans tout le Pays Bas et riche en gypse.
Au sud de la route de Jarnac à Châteauneuf s'étend la vallée de la Charente, dont la zone inondable est couverte par des alluvions du Quaternaire. Des alluvions moins récentes occupent deux petites zones, entre le bourg et Triac, et au nord de Bassigeau[3],[4],[5].
Le relief est celui d'une plaine, confondue quasiment avec la vallée de la Charente qui occupe le sud de la commune. Le point culminant est à une altitude de 38 m, situé à Cheville. Le point le plus bas est à 12 m, situé le long du fleuve près du pont de Vinade. Le bourg est à 18 m d'altitude[2].
Hydrographie
La commune est limitée au sud par la Charente qui se divise en un grand nombre de bras et, à l'est, par un petit affluent du fleuve, la Guirlande.
Le village de Bassac est au bord de la Charente, sur la rive droite.
-
Pont
-
Passerelle
Climat
Le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 2 | 2,8 | 3,8 | 6,2 | 9,4 | 12,4 | 14,4 | 14 | 12,1 | 8,9 | 4,7 | 2,6 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 5,4 | 6,7 | 8,5 | 11,1 | 14,4 | 17,8 | 20,2 | 19,7 | 17,6 | 13,7 | 8,6 | 5,9 | 12,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,7 | 10,5 | 13,1 | 15,9 | 19,5 | 23,1 | 26,1 | 25,4 | 23,1 | 18,5 | 12,4 | 9,2 | 17,7 |
Ensoleillement (h) | 80 | 103,9 | 153,3 | 184,5 | 204,9 | 239,6 | 276,4 | 248,3 | 199,4 | 159 | 96,8 | 78,8 | 2 024,9 |
Précipitations (mm) | 80,4 | 67,3 | 65,9 | 68,3 | 71,6 | 46,6 | 45,1 | 50,2 | 59,2 | 68,6 | 79,8 | 80 | 783,6 |
Végétation
La vallée de la Charente comprend de vastes prairies ; le nord renferme de beaux vignobles du cognac.
Toponymie
Les formes anciennes sont Baciacum en 852 et 923[7], Bacciaco en 1330, Baciaco, Bassiaco en 1265[8], Bassacum, Baciac[9].
Bacciacum signifie « domaine de Baccius », nom d'origine gauloise, du thème de nom propre Bacco-, avec le suffixe -acum indiquant la propriété[10].
Histoire
Dans les premières années du XIe siècle, le seigneur de Jarnac, Wardrade, ayant fait vœu d'édifier sur ses terres un monastère, fixa son choix, d'accord avec son épouse Rixendis, sur le petit bourg de Bassac.
Les fondements en furent tracés par Islo, évêque de Saintes, et la charte, qui consacra le fondation de l'abbaye Saint-Étienne de Bassac, fut signée par le pape Benoît VIII, Islo, Grimoard, évêque d'Angoulême, Seguin, archevêque de Bordeaux, Guillaume, duc d'Aquitaine, Guillaume IV Taillefer, comte d'Angoulême, et beaucoup d'autres seigneurs.
Vers le milieu du XIIIe siècle, l'église primitive, devenue insuffisante, fut agrandie et remplacée par un autre monument beaucoup plus vaste.
Ayant réussi à franchir sans dommages la première période de la guerre de Cent Ans, elle fut malheureusement ruinée par une troupe d'Anglo-Gascons, commandée par le maire de Bordeaux, en 1434, alors que tout le pays environnant était également saccagé. Les moines se tournèrent alors vers Henri de Courbon, prieur de Jarnac pour reconstruire le monastère et les cloîtres et rebâtir la maison abbatiale; il fit également fortifier l'église et entourer l'abbaye d'un mur d'enceinte percé de meurtrières. C'est sous sa direction que fut commencé le cartulaire de l'abbaye de Bassac.
Il eut à soutenir deux procès contre Renaud Chabot, seigneur de Jarnac. Grâce à ces procès, nous avons une description de Bassac : « Bassac est une ville fortifiée, close de remparts et de portes avec un fossé profond. Elle est peuplée de 300 à 400 habitants ».
Pendant la sanglante bataille dite de Jarnac, le , Bassac et son abbaye furent saccagées alternativement par les deux partis, des moines et des habitants furent massacrés et d'autres emmenés prisonniers; la reconstruction dura plus d'un siècle.
Le dernier abbé de Bassac fut Green de Saint-Marsault. À la Révolution, l'abbaye subit le sort des autres monastères : les moines en furent expulsés et leurs biens, saisis[11].
Cette abbaye de bénédictins de l'ordre de saint Maur avait droit de justice sur Bassac[12].
Bassac possédait, à l'entrée de la ville, une église paroissiale dédiée à saint Nicolas. C'était une construction remarquable du XIIIe siècle, dominée par un beau clocher à deux étages. Elle a été vendue comme bien national puis détruite. Il ne reste plus que le mur nord de l'église[11].
Après la déclaration de guerre de la France à l'Allemagne le , Bassac comme de nombreux villages charentais accueillit des réfugiés de la zone frontalière à l'Allemagne. Ainsi des habitants de Rimling (Moselle) furent réfugiés pendant près d'un an à Bassac.
Administration
Fiscalité
La fiscalité en 2007 est d'un taux de 17,85 % sur le bâti, 48,69 % sur le non bâti, et 8,44 % pour la taxe d'habitation.
La communauté de communes de Jarnac prélève la taxe professionnelle au taux 10,26 %.
Urbanisme
Les 221 logements de la commune sont 217 logements individuels et seulement 4 dans un immeuble collectif, répartis en 173 résidences principales soit 78,3 %, 26 résidences secondaires, 2 logements occasionnels et 20 logements vacants
Les 173 résidences principales ont pour 115 été construites avant 1949. Seulement 11 ont été construites de 1949 à 1974, 29 de 1975 à 1989 et 18 de 1990 à 1999.
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[14],[Note 1].
En 2014, la commune comptait 541 habitants, en diminution de −2,52 % par rapport à 2009 (Charente : 0,65 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Pyramide des âges
Remarques
Bassac qui s'est créée autour de l'abbaye a vu sa population baisser continuellement durant un siècle de 1850 à 1950 puis se stabiliser mais avec 46 % de moins qu'en 1800.
Enseignement
L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Triac-Lautrait et Bassac. Triac-Lautrait accueille l'école élémentaire et Bassac l'école primaire[19].
Économie
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
L'abbaye Saint-Étienne de Bassac est une ancienne abbatiale du diocèse de Saintes, fondée en 1002 par Wardrade Lorichès, comte de la Marche et premier seigneur connu de Jarnac ; il gît encore, ainsi que son épouse Rixendis dans l'église de Bassac[20]. Elle fut consacrée vers 1015 par Grimoard, évêque d'Angoulême, et son frère Iso, évêque de Saintes. rattachée en 1092 à l'abbaye de Saint-Jean-d'Angély ; elle redevient libre en 1246.
Église en grande partie reconstruite sous Guillaume de Vibrac, abbé de 1247 à 1286.
Pillée par les troupes anglo-gasconnes en 1434 elle est restaurée et fortifiée sous Henri de Courbon, abbé de 1451 à 1476 qui reconstruit également le logis de l'abbé et le cloître.
Pillée par les Protestants en 1564.
Assiégée et pillée par les Catholiques au moment de la bataille de Jarnac en 1569.
Reconstruction des voûtes de l'abbatiale : en 1677 et 1688. Bâtiments conventuels construits de 1677 à 1716.
Destruction du cloître en 1820[21].
Le clocher possède un rez-de-chaussée couvert d'une petite coupole très élevée du XIIe siècle ; il présente, au-dessus de la souche, quatre étages en retraite les uns sur les autres, soulignés par un cordon, avec colonnettes aux angles, et est surmonté d'une flèche conique à imbrications, accostée à son départ par quatre pinacles en pyramide triangulaire.
On peut lire sur sa façade romane une inscription de la phrase de Robespierre : « Le peuple français reconnait l'être suprême et l'immortalité de l'âme ».
On trouve, entre autres, une chapelle du XIIIe siècle percée d'une baie et couverte d'une voûte d'ogives avec liernes, suivie d'une autre chapelle du XVe siècle, voûtée seulement sur ogives, ayant une baie à trois meneaux et réseau flamboyant[22],[23].
L'abbaye est classée monument historique depuis 1880[24],[21].
Patrimoine civil
Les fortifications du XIe siècle ne comportaient plus au XVIe siècle que trois portes : Saint-Benoît, Saint-Nicolas et la porte Barrière et en 1844, il ne restait que les fossés aujourd'hui comblés.
Le manoir des Plantes porte l'inscription : « 20 MAY 1716 » sur la porte du logis et « 1723 » sur le portail. Il a été remanié et la partie centrale du logis a été surélevée[25].
Patrimoine environnemental
Le GR 4 qui va de Royan à Grasse passe à l'ouest de la commune et franchit le fleuve.
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
- « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
- Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 26,130
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 98,130,232
- Cartulaire de Saint-Jean-d'Angély
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 74-75
- Histoire de Cognac, Jarnac, Segonzac, abbé Cousin, 1882, réédition 2007, (ISBN 2-84618-496-8)
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- « Evolution et structure de la population à Bassac en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Site de l'inspection d'académie de la Charente
- Le château de Jarnac, ses barons et ses comtes, P. Lacroix, Aux Librairies Historiques, Paris, 1875.
- « Abbaye de Bassac (notice) », notice no IA00049629, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Bull. Soc. arch. Charente; 1881-1881, p. 3.
- Congrès arch. d'Angoulême, t.1, 1912, p. 398.
- « Abbaye de Bassac », notice no PA00104242, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Manoir des Plantes », notice no IA00042495, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Catillus Carol, « Bassac »,
Modèle:Palette Sentier de grande randonnée Modèle:Palette Navigation communauté de communes de Jarnac