Payroux

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Payroux
Payroux
L'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes du Civraisien en Poitou
Maire
Mandat
Sylvie Coquilleau
2020-2026
Code postal 86350
Code commune 86189
Démographie
Gentilé Payrousiens
Population
municipale
464 hab. (2021 en diminution de 5,31 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 12′ 58″ nord, 0° 29′ 09″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 167 m
Superficie 30,05 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Civray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Payroux
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Payroux
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Payroux

Payroux est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Payroux s'étend sur 3 005 hectares et est située à 50 km au sud de Poitiers, à une vingtaine de kilomètres de Civray et à 4 km de Saint-Martin-l'Ars ; en pays civraisien, caractérisé par un paysage de collines.

Le centre bourg est sur une hauteur dominant la vallée du Payroux juste avant sa confluence avec le Clain.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 854 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Vigeant à 12,69 km à vol d'oiseau[4], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 781,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Payroux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,6 %), prairies (22,2 %), zones agricoles hétérogènes (9 %), forêts (3,3 %), zones urbanisées (0,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Payroux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Payroux, le Clain et le Drion. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995, 1999 et 2010[16],[14].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Payroux.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[17]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[18]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. 98,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 2003, 2005 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

L’orthographe du nom du village a été modifiée : de Péroux (que porte la famille de Ferré de Péroux) en Payroux lors de la révolution française.

Histoire[modifier | modifier le code]

Proto-histoire[modifier | modifier le code]

Époque gallo-romaine[modifier | modifier le code]

Payroux est dans le territoire des Pictons.

Époque médiévale[modifier | modifier le code]

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Au début du XVIIe siècle, Georges de Moussy, écuyer, est le seigneur de Payroux. En 1665, c'est Jean de Ferré, écuyer, qui tient la seigneurie.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Pendant la Seconde Guerre mondiale, la ligne de démarcation traversait la commune[21]., du au , laissant le chef-lieu en zone occupée avec la majeure partie du territoire de la commune.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1989 mars 2008 Serge Coquilleau UMP  
mars 2008 mars 2014 Allain Giraud    
mars 2014 En cours Sylvie Coquilleau    
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics[modifier | modifier le code]

Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 464 habitants[Note 3], en diminution de 5,31 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
671573643707820844828882872
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
893885895852900856931932939
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
905915919855846850807737734
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
655552526551528501524516502
2015 2020 2021 - - - - - -
490468464------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’INSEE, la densité de population de la commune était de 17 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Santé[modifier | modifier le code]

La commune abrite une maison de retraite (EHPAD résidence les Cèdres de 60 lits et 40 salariés), un centre de post-cure (soins et réadaptation pour malades alcooliques de 70 lits) à La Gandillonnerie.

Économie[modifier | modifier le code]

Selon la direction Régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Foret de Poitou-Charentes[27], il n'y a plus que 24 exploitations agricoles en 2010 contre 28 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont paradoxalement augmenté de 24 % et sont passées de 2 468 hectares en 2000 à 2 993 hectares en 2010[27]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[28].

40 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 23 % pour les oléagineux (colza et tournesol à parts égales), 27 % pour le fourrage et 6 % restent en herbes. En 2000, un hectare (zéro en 2010) était consacré à la vigne[27].

12 exploitations en 2010 (contre 16 en 2000) abritent un élevage de bovins (1 872 têtes en 2010 contre 1 206 en 2000)[27]. C’est un des troupeaux de bovins les plus importants de la Vienne qui rassemblent 48 000 têtes en 2011[29].

7 exploitations en 2010 (contre 11 en 2000) abritent un élevage d'ovins (1 896 têtes en 2010 contre 2 210 têtes en 2000)[27]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d'ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[29]. En 2011, le nombre de têtes dans le département de la Vienne était de 214 300[30].

5 exploitations en 2010 (contre 6 en 2000) se répartissent le cheptel des caprins (1 185 têtes en 2010 contre 1 630 têtes en 2000)[27]. C'est un des troupeaux importants de caprins du département de la Vienne (74 500 têtes en 2011) qui est le deuxième département pour l'élevage des chèvres derrière le département des Deux-Sèvres[29]. Toutefois, cette baisse du nombre de têtes est révélatrice de l'évolution qu'a connu, en région Poitou-Charente, cet élevage au cours des deux dernières décennies : division par trois du nombre d'exploitations, augmentation des effectifs moyens par élevage (38 chèvres en 1988, 115 en 2000), division par 10 des chèvreries de 10 à 50 chèvres qui représentaient 50 % des troupeaux en 1988, et multiplication par 6 des élevages de plus de 200 chèvres qui regroupent, en 2000, 45 % du cheptel. Cette évolution des structures de production caprine a principalement pour origine la crise de surproduction laitière de 1990-1991 qui, en parallèle des mesures incitatives, a favorisé des départs d'éleveurs en préretraite et encouragé l'adaptation structurelle des élevages restant[31]. La vocation laitière du troupeau est très forte. Moins de 2 % des élevages caprins sont non laitiers en 2000. La quasi-totalité de la production laitière, en constante augmentation (de 2000 à 2011 : + 44 %[30]) est livrée à l’industrie agro-alimentaire soit 96 % des 485 000 hectolitres récoltés dans l'ensemble du département de la Vienne en 2004. La production de fromage à la ferme reste très marginale et ne représente que 1 % de la production de lait et 6 % des fermes. 75 % des élevages sont basés sur un système de production de type hors sol, la surface agricole étant destinée essentiellement dans ce cas, à la production de fourrage. 75 % de ces exploitations n'élèvent que des chèvres. Le dynamisme de cet élevage, l’accent porté sur la qualité des produits a permis d’obtenir les AOC « chabichou du Poitou » et « Sainte Maure de Touraine » pour les fromages produits[31].

L'élevage de volailles est limité à une autoconsommation : 20 têtes en 2000 répartis sur trois fermes contre 67 têtes en 2010 répartis sur cinq fermes[27].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'intérêt de cette petite église réside surtout dans sa façade, encadrée aux angles par de puissants contreforts. De chaque côté de la porte aux trois voussures très simples, on remarque la trace d'anciennes arcatures aveugles, a priori également très simples, qui ont été murées sommairement par des blocs de tailles diverses et même, à droite, par de petites pierres irrégulières. Le portail est surmonté d'une étroite baie qui coupe la corniche soutenue par quelques modillons naïfs. À l'intérieur, un chapiteau montre un accouplement, illustration évidente de la luxure.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • Château de Payroux (XIXe siècle). Propriété de la famille de Ferré de Payroux.
  • Château de La Touche (XIVe siècle). Le lieu est cité dans les archives du chapitre de l'abbaye de Saint-Hilaire vers 1370. Propriété de la famille de Ferré de Péroux.
  • La Fougeraie (XVIe – XIXe siècles). Ancienne propriété des familles de Lambertye, de Vivonne et Bermondet de Cromières.
  • La Gandillonnerie (XVIIIe – XIXe siècles). Ancienne propriété de la famille Delhomme[33],[34].
La maison possédait une chapelle particulière. Une des terres en faisant partie portait avant la Révolution le nom curieux de La Tour au Turc[35]. Depuis 1999, les lieux abritent un centre de soins de suite et de réadaptation.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sources[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Payroux et Le Vigeant », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Le-Vigeant » (commune du Le Vigeant) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Le-Vigeant » (commune du Le Vigeant) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Payroux », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Payroux », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  21. Jean-Henri Calmon, Occupation, Résistance et Libération dans la Vienne en 30 questions, La Crèche, Geste éditions, coll. « 30 questions », , 63 p. (ISBN 2-910919-98-6), carte p. 5
  22. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. a b c d e f et g Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  28. Agreste – Enquête Structure 2007
  29. a b et c Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
  30. a et b Panorama de l’Agriculture en Vienne – Juin 2012 – Chambre d’Agriculture de la Vienne
  31. a et b Agreste – Bulletin n°11 de Décembre 2005
  32. « Église », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  33. Antoine I Delhomme (Payroux, 1755 - idem, 1817) allié à Marie-Rose Lesire Labrousse (Payroux, 1776-1818).
  34. Armorial des familles du Poitou.
  35. Voir carte de Cassini, feuilles de Charroux.