Chauvac-Laux-Montaux

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Chauvac-Laux-Montaux
Chauvac-Laux-Montaux
Donjon à Chauvac
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale
Maire
Mandat
Sébastien Roustan
2020-2026
Code postal 26510
Code commune 26091
Démographie
Gentilé Chauvaquiers, Chauvaquières
Population
municipale
43 hab. (2021 en diminution de 2,27 % par rapport à 2015)
Densité 1,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 19′ 20″ nord, 5° 31′ 35″ est
Altitude Min. 632 m
Max. 1 446 m
Superficie 24,24 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Nyons et Baronnies
Législatives Troisième circonscription
Canton de Rémuzat (avant mars 2015)
Localisation
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Chauvac-Laux-Montaux
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Chauvac-Laux-Montaux
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Chauvac-Laux-Montaux

Chauvac-Laux-Montaux est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située à 33 km au sud-ouest de Serres et à 50 km à l'est de Nyons.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Le nord et le sud de la commune sont escarpés, allant de 800 à 1 400 mètres.

Sites particuliers :

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par[3] :

  • la rivière l'Armalause qui y prend sa source (ancienne commune de Laux-Montaux[2]) ;
    • le Ruisseau de Ramette, affluent de l'Armalause ;
      • le Ruisseau de Chenevières, affluent du Ruisseau de Ramette ;
    • le Ruisseau de Baron (réunion des deux ruisseaux suivants), affluent de l'Armalause ;
      • le Ruisseau des Tuisses, affluent du Ruisseau de Baron ;
      • le Ruisseau de Caillette, affluent du Ruisseau de Baron.

Elle est aussi arrosée par plusieurs torrents (dont ceux du Chancelier et des Gravières)[3].
La source de l'Eygues est située au nord-est de la commune[3] (ancienne commune de Laux-Montaux[2]).

Le Chauvac est un ruisseau qui a sa source sur la commune de Roussieux, traverse celles de Chauvac et de Laux-Montaux, et se jette dans l'Eygues après dix kilomètres de parcours. En 1891, il avait une largeur moyenne de huit mètres, une pente de 372 mètres, un débit ordinaire de 0,60 m3 et extraordinaire de six mètres cubes[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 022 mm, avec 7,4 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Rosans à 9 km à vol d'oiseau[7], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 826,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Les trois hameaux sont accessibles par la route départementale RD 316.

Le col du Reychasset permet de rejoindre Villebois-les-Pins.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chauvac-Laux-Montaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (69,6 %), zones agricoles hétérogènes (13,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,2 %), cultures permanentes (3,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Chauvac et Laux-Montaux ont fusionné en 2002. La commune est aujourd'hui composée de trois zones d'habitation : Le Laux, Chauvac et le Plan (le long de la vallée de l'Armalause, dans le sens est-ouest). Montaux est un ancien hameau isolé au fond d'un vallon, non accessible par la route.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

En 1891, la ferme les Adrets est attestée sur la commune de Chauvac[17].
En 1891, la ferme l'Agut est attestée sur la commune de Chauvac[18].

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Chauvac[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[19] :

  • 1232 : castrum de Chovaco (inventaire des dauphins, 224).
  • 1284 : castrum de Chausaco(Valbonnais, II, 118).
  • 1314 : castrum de Chauviaco (inventaire des dauphins, 54).
  • 1343 : castrum de Chouvaco (choix de docum., 86).
  • 1361 : castrum Chauvasii (choix de docum., 157).
  • 1516 : mention de la paroisse : cura de Chauvaco (pouillé de Gap).
  • 1891 : Chauvac, commune du canton de Rémusat.

2002 (1er janvier)[réf. nécessaire] : Chauvac-Laux-Montaux est née de la fusion des deux communes (auparavant indépendantes) de Chauvac et de Laux-Montaux.

Laux-Montaux[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[20] :

  • 1767 : Le Lauds (archives de la Drôme, B 1632).
  • 1788 : Laux-Montaud (Alman. du Dauphiné).
  • 1891 : Laux-Montaux, commune du canton de Rémuzat.

Étymologies[modifier | modifier le code]

Chauvac
Laux
Montaux

Histoire[modifier | modifier le code]

Chauvac[modifier | modifier le code]

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie[19] :

  • Au point de vue féodal, Chauvac est une terre des barons de Montauban.
  • 1304 : elle passe (par héritage) aux dauphins.
  • 1317 : échangée contre Montbrison avec les Caderousse.
  • 1349 : passe (par mariage) aux Bésignan.
  • La terre passe aux Agoult.
  • 1368 : elle est vendue aux Mévouillon.
  • 1522 : vendue aux Ferrus.
  • Passe (par mariage) aux Achard, derniers seigneurs.

Ruiné et dépeuplé au XVe siècle, Chauvac est repeuplé en 1502 par les soins du seigneur[19].

Avant 1790, Chanvac était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation et bailliage du Buis.
Elle formait une paroisse du diocèse de Gap. Son église, dédiée à saint Pierre, et ses dîmes appartenaient au prieur de Saint-André-de-Rosans, qui présentait à la cure[19].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, la commune est comprise dans le canton de Montauban. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Rémuzat[19].

Laux-Montaux[modifier | modifier le code]

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie de Laux[20] :

  • XVe siècle : ce n'est qu'un pâturage dépendant de la terre des Montferrand (encore propriétaires en 1413).
  • Passe (par héritage) aux Peyre.
  • 1580 : passe aux Manent.
  • Début XVIIe siècle : les Manent deviennent propriétaires de la terre de Montaud. Ils s'intitulent seigneurs de Laux-Montaux jusque vers 1766.
  • Passe (par mariage) aux La Morte.
  • Passe (par mariage) aux Chastelard, derniers seigneurs.

La seigneurie de Montaud :

  • Début XVIIe siècle : acquise par les Manent (cf. supra).

Avant 1790, Laux-Montaux était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation et du bailliage du Buis. Elle faisait partie de la paroisse de Chauvac (voir ce nom)[20].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, les terres de Laux et Montaux sont comprises dans la municipalité de Chauvac. Elles en sont séparées en l'an VIII (1799-1800) pour former la commune distincte de Laux-Montaux (canton de Rémuzat)[20].

Chauvac-Laux-Montaux[modifier | modifier le code]

Le , les deux communes de Chauvac et de Laux-Montaux fusionnent pour donner celle de Chauvac-Laux-Montaux[21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : commune de Chauvac
1871 2001 (31 déc.) ?    
Les données manquantes sont à compléter. : commune de Laux-Montaux
1871 2001 (31 déc.) ?    
Les données manquantes sont à compléter. : commune ?
avant 1981 ? Claude Samuel PS  
2001 (mars) 2001 (31 déc.) André Mourre    
Les données manquantes sont à compléter. : commune de Chauvac-Laux-Montaux
2002 (1er janv.) 2008 André Mourre    
2008 2014 André Mourre   maire sortant
2014 2020 Bruno Olivier DVG retraité
2020 En cours
(au 20 janvier 2021)
Sébastien Roustan[22][source insuffisante]    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

En 2021, la commune comptait 43 habitants[Note 2], en diminution de 2,27 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
243176181276274265264255268
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
230222220197199202194169162
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1631371471291231161177880
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
755846464639454445
2018 2021 - - - - - - -
4143-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Chauvac (en 1992) : fête patronale le 22 juillet ; fête communale le dimanche suivant le 11 novembre[1].
  • Laux-Montaux (en 1992) : fête le 23 avril[2].

Loisirs[modifier | modifier le code]

  • Randonnées.
  • Pêche et chasse[1].

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Chapelle à Chauvac.

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : bois et prairies, pâturages (ovins), arbres fruitiers, lavande, tilleul, apiculture (miel)[1],[2].

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Site du village dans un paysage tourmenté encadré de hautes montagnes[1].

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Chauvac[modifier | modifier le code]

Laux-Montaux[modifier | modifier le code]

  • Village ancien de Laux[2].
  • Chapelle médiévale[2].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

  • Laux-Montaux (en 1992) : artisanat d'art[2].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean-Pierre Mourre, né en 1796 à Chauvac, ancien maire de la commune, arrière-grand-père de Pierre Montel (député du Rhône, résistant, candidat aux élections présidentielle de 1953 (10 % des voix) et dont trois fils sont morts dans les camps de concentration en 1943-1944)[réf. nécessaire].

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Chauvac-Laux-Montaux possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 2004, 192 pages.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g et h Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Chauvac.
  2. a b c d e f g et h Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Laux-Montaux.
  3. a b et c « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 83 (ruisseau Chauvac).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Chauvac-Laux-Montaux et Rosans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Rosans », sur la commune de Rosans - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Rosans », sur la commune de Rosans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  17. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 2 (Les Adrets).
  18. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 2 (L'Agut).
  19. a b c d et e J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 83 (Chauvac).
  20. a b c et d J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 191 (Laux-Montaux).
  21. « Commune de Chauvac-Laux-Montaux (26091) − COG | Insee », sur www.insee.fr (consulté le )
  22. « Annuaire des Communes de la Drôme », sur Association des Maires et Présidents de… (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. chapelle Saint Georges