Utilisateur:Céréales Killer/Présentation des films

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Modèle:Infobox Film 2 Texte de présentation.

Synopsis[modifier | modifier le code]

Résumé du film

Fiche technique[modifier | modifier le code]

{{fiche|
ti = Le Dîner de cons|
ré = Francis Veber|
sc = Francis Veber|
mu = Vladimir Cosma|
pa = France|
na = français|
jo = 15 avril|
an = 1998|
ty = Cinémascope|
fo = 35|
fp = 2,25:1|
son= [[Dolby]] numérique|
ge = comédie|
du = 87|
co = noir et blanc|
ce = Tout public}}

{{fiche 2|
ti  = Stand by me - Compte sur moi|
tio = Stand by Me|
ré  = Rob Reiner|
sc  = Stephen King]], [[Raynold Gideon]] et [[Bruce A. Evans|
mu  = Jerry Leiber]] (''Stand by Me'' et ''Yakety Yak''), [[The Chordettes]] (''Lollipop''), [[Buddy Holly]] (''Everyday'') et [[Jack Nitzsche|
jo  = 25 février|
an  = 1987|
pa  = États-Unis d'Amérique|
na  = américain|
ty  = Panavision|
fo  = 35|
fp  = 1,85:1|
son = monophonique|
ge  = drame|
du  = 89|
co = couleurs|
ce  = Tout public}}

Distribution[modifier | modifier le code]

Récompenses[modifier | modifier le code]

Anecdotes[modifier | modifier le code]

S'il y a des petits morceaux croustillants à raconter...

Lien externe[modifier | modifier le code]

Biographie[modifier | modifier le code]

Werner Helmut Milstein est né en Allemagne, à Berlin en 1885.

Il a grandi entre un père militaire à la retraite et une mère écrivaine. Il fera toute sa scolarité à Berlin jusqu'en 1899 où, a 14 ans, il part à Paris pour rejoindre son idole : Georges Méliès.

Débute alors pour lui une carrière de cinéaste longue de quatre-vingts ans. Il commence technicien de décor (appellation d'origine, avant la professionnalisation du cinéma), et profite des chutes de pellicules pour filmer ses premières réalisations telles que Les Escargots : partie 1 (il y en a aura en tout soixante-quinze entre 1901 et 1980) ou le premier film de science-fiction connu : Star Quest.

Ce passionné de cinéma et de lecture continuera cette formation jusqu'en 1910, date à laquelle il fonde sa première société de production qu'il dirigera de 1910 à 1930, produisant ses propres films dans des conditions souvents proches du bricolage le plus approximatif, donnant des œuvres comme Le Shérif de Paris ou une adaptation de Notre-Dame de Paris, mais il produit également le premier film de Jean Cocteau ou celui de Jean Tourneur, mais aussi Star Galaxy, ébauche de Metropolis, aujourd'hui introuvable.

Après ces vingt ans de travail sans répit, il est victime d'une dépression nerveuse et séjourne dans un hôpital psychatrique où il tourne en douce Les Escargots (parties 50 à 60, en deux mois). Puis le parlant arrive, et s'ouvre pour lui une seconde carrière où, en plus de réaliser et de produire, il écrira des romans (dont Paris, Berlin). Cette seconde carrière est facilitée par le fait qu'il est devenu, durant son séjour, le dernier des pionniers du cinéma des années 1900. Il en profite pour fonder sa seconde société de production, « Zeppelin Production », anticipant l'invention du dirigeable. Il tourne alors aussi bien des westerns (la série des Shérif de Memphis : 5 films), de la science-fiction (Star Galaxy : 7 films) ou des comédies (Jean à Paris).

Mais si les films séduisent les critiques, le public n'est pas là : il met la clé sous la porte en 1940. La Seconde Guerre mondiale lui ôtera sa jambe droite, mais lui donne l'envie de tourner son chef-d'œuvre :La Guerre 1940-1945 : le chemin des escargots, le public l'acclame et il fonde sa troisime société en 1946, elle ne fermera qu'en 1976. Cette dernière période sera son apogée : Paris, Paris, Soy Berlin, Battle Quest, mais aussi ces réalisations internationales : Dead again (1947, Luxembourg), Flash Time (1950, Suisse), Belgitude (1951, Belgique), mais aussi Flash Gordon (1954, États-Unis) ou Andaz (1970, Inde).

Il tourne dans le monde entier, sans que le public ne le suive ni ne voie ses films, mais il tourne avec les moyens du bord envers et contre tous. Il se retire en 1977, après Mort et vivant, l'ultime film (1977, Allemagne). Il aura néanmoins réalisé deux documentaires durant sa retraite : Les Escargots : dernière partie (1979) et, enfin, Berlin, Paris, une carrière (1981). Il meurt durant le tournage, dans l'oubli général.